980 resultados para Parasitic insects.
Resumo:
Les modèles d'optimalité postulent que les animaux en quête de ressources utilisent le taux de gain de valeur adaptative pour optimiser plusieurs comportements tels que la répartition du temps lors de l’exploitation d‘un agrégat et l'investissement en progénitures. Bien que la durée de plusieurs comportements doit être régulée, peu d’évidences de la perception du temps sont actuellement disponibles pour les insectes et aucune pour les guêpes parasitoïdes, et ce malgré leur importance en tant que modèles écologiques. De plus, puisque les guêpes parasitoïdes sont poïkilothermes, cette capacité pourrait être affectée par la température. Nous avons supposé que les guêpes parasitoïdes auraient la capacité de percevoir le temps, à la fois de façon prospective (mesure du temps écoulé) et rétrospective (durée d'un événement passé), afin d'optimiser les décisions liées à l'exploitation d’agrégats d’hôtes et à la reproduction. Nous avons également émis l'hypothèse que la température aurait une incidence sur la perception du temps des guêpes parasitoïdes. Pour la mesure prospective du temps, nous avons utilisé la capacité d’apprentissage associatif de Microplitis croceipes (Hymenoptera: Braconidae). Les guêpes ont été entraînées à associer une odeur à la durée d'un intervalle entre des hôtes. Après leur entraînement, elles ont été testées dans un tunnel de vol avec un choix d’odeurs. Les guêpes ont choisi majoritairement l'odeur associée à l'intervalle de temps auquel elles étaient testées. Nous avons également investigué le rôle de la dépense énergétique sur la mesure du temps. Suite à une restriction de mouvement des guêpes pendant l'intervalle de temps entre les hôtes, elles choisissaient aléatoirement dans le tunnel de vol. L'absence de dépense énergétique les aurait rendues incapables de mesurer le temps. La dépense d'énergie est donc un substitut essentiel pour mesurer le temps. Pour la mesure rétrospective du temps, nous avons utilisé le processus d'évaluation de l'hôte de Trichogramma euproctidis (Hymenoptera: Trichogrammatidae). Certains trichogrammes utilisent la durée du transit initial sur l'œuf hôte afin d’en évaluer la taille et d’ajuster le nombre d’œufs à y pondre. Nous avons augmenté artificiellement la durée de transit initiale de T. euproctidis en suspendant l'œuf hôte pour le faire paraître plus gros qu'un œuf de taille similaire. Une augmentation de la durée de transit initiale a augmenté la taille de la ponte. Ceci démontre la capacité de T. euproctidis de mesurer la durée du transit initial, et donc d’une mesure du temps rétrospective. Pour déterminer si la température modifie la mesure du temps dans les espèces poïkilothermes, nous avons utilisé le comportement d’exploitation d’agrégats d’hôtes de T. euproctidis. Les modèles d’optimalités prédisent que les guêpes devraient rester plus longtemps et quitter à un faible taux de gain de valeur adaptative suite à un déplacement de longue durée plutôt que pour un déplacement de courte durée. Nous avons testé l'impact d'un déplacement de 24 h à différentes températures sur l'exploitation d’agrégats d’hôtes. Un déplacement à température chaude augmente le temps de résidence dans l’agrégat et diminue le taux de gain de valeur adaptative au moment de quitter ; ces comportements sont associés à un trajet de longue durée. L'inverse a été observé lors d’un déplacement à une température froide. Les températures chaude et froide ont modulé la mesure du temps en accélérant ou ralentissant l'horloge biologique, faisant paraître le déplacement respectivement plus long ou plus court qu’il ne l’était réellement. Ces résultats démontrent clairement que les guêpes parasitoïdes ont la capacité de mesurer le temps, autant rétrospectivement que prospectivement. Des preuves directes de leur capacité sont maintenant disponibles pour au moins deux espèces de guêpes parasitoïdes, une composante essentielle des modèles d'optimalité. Le rôle de la dépense énergétique dans la mesure du temps a aussi été démontré. Nos résultats fournissent également la preuve de l'impact de la température sur la perception du temps chez les insectes. L'utilisation de la dépense énergétique en tant que proxy pour mesurer le temps pourrait expliquer une partie de sa thermosensibilité, puisque les guêpes parasitoïdes sont poïkilothermes. Cette mesure du temps sensible à la température pourrait affecter des stratégies de lutte biologique. Sur le terrain, au début de la journée, la température de l'air sera similaire à la température de l'air autour des plantes infestées par des parasites, alors qu'elle sera plus chaude pendant la journée. En lutte biologique augmentative, les guêpes parasitoïdes libérées resteraient plus longtemps dans les agrégats d’hôtes que celles relâchées en début de journée.
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Pathogenesis, classification and treatment of non-parasitic splenic cysts (NPSCs) are controversial. The utility of percutaneous aspiration of the cyst is not well understood. We report a case of a 32 year-old woman with a symptomatic giant epidermoid cyst of the spleen treated with laparoscopic splenectomy. A percutaneous transcatheter drainage was performed under ultrasound guidance before surgical procedure in order to classify the type of cyst and to choose the best treatment.
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The parasitic nematode Haemonchus contortus has a major impact on the welfare and economic sustainability of small ruminant farming throughout the world. Increasing drug resistance requires the development of novel therapeutic agents. To further this process, we examined the fundamental biology of development in H. contortus, specifically, the potential role of microRNAs (miRNAs). miRNAs are short, non-coding RNA molecules that negatively regulate gene expression. In the free-living nematode Caenorhabditis elegans, miRNAs regulate a variety of genes including those involved in development. This thesis describes the expression patterns, potential targets and possible functions of miRNAs in H. contortus throughout development.
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The parasites fauna of 491 specimens of Sander lucioperca, Linnaeus 1758 (246 specimens) and catfish, Silurus glanis, Linnaeus 1758 (245 specimens) in different size from Aras Reservoir situated in North —west of the Iran was investigated. During 2006-2007 Totally 16 parasite species were recorded. The most various parasites was found in catfish (10 species) while the lowest number was recorded in Sander lucioperca (6 species). Among them, however three genera of protozoa (Trichodina, Vorticella, Ichthyophthirius), two genera of Monogenea (Gyrodactylus, Silurodiscoides), Digenea, Cestoda, Nematoda, Acanthocephala and Annelida one species each (Diplostomum, Protocephalus, Eustrongylides, Neoechinorhynchus, Pisicola) and two crustacean genera (Argulus and Lernea) recorded and we can come to conclusion in comparison with the earlier data the actual parasite fauna of two hosts has been greatly improved. According to the present study the prevalence, mean abundance and mean intensity of parasites species of both hosts were highly influenced by seasons of the year. Some species found, however show a tendency to be more abundant ides Trichodina sp., Ichthyophthirius multifiliis, Silurodiscoides vistolensis, Protocephalus osculatus respectively. Most parasites species live in gills and skin, where is highly sensitive to some pathogens parasites species (Trichodina, Vorticella, Ichthyophthirius, Pisicola geometra, Argulus foliaceus; Lernea) and While some are specialist (Silurodiscoides vistolensis and Silurodiscoides siluri) other more or less generalist (ichthyophthirius).
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Background: Although the Democratic Republic of Sao Tome and Principe (DRSTP) has undertaken school children-based deworming programs against intestinal parasitic infections (IPIs) using a single dose of mebendazole annually since 2005, it remains unclear as to the outcome to date. The present study intends to investigate the recent IPIs status among school children living in capital areas of the DRSTP. Methods: A total of 252 school children (121 boys and 131 girls) of grades 4 and 5 from 4 primary schools located in the capital areas participated in the present study and their fresh fecal specimens were examined for the presence of any parasites using the merthiolate- iodine-formaldehyde concentration method as conducted. Results: The overall prevalence of IPIs was 64.7% (163/ 252). No significant gender difference in prevalence between boys (67.8%) and girls (61.8%) was found (p = 0.3). The majority of school children were infected with a single species of parasite (55.8%). Altogether, 12 different intestinal parasite species were identified in DRSTP school children, of which 9 species were pathogenic and the remaining 3 were non-pathogenic. Conclusion: Improving the detection method, sanitation facilities and personal hygiene as well as utilizing combined drugs are all important measures to greatly reduce IPIs in DRSTP school children.
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Les modèles d'optimalité postulent que les animaux en quête de ressources utilisent le taux de gain de valeur adaptative pour optimiser plusieurs comportements tels que la répartition du temps lors de l’exploitation d‘un agrégat et l'investissement en progénitures. Bien que la durée de plusieurs comportements doit être régulée, peu d’évidences de la perception du temps sont actuellement disponibles pour les insectes et aucune pour les guêpes parasitoïdes, et ce malgré leur importance en tant que modèles écologiques. De plus, puisque les guêpes parasitoïdes sont poïkilothermes, cette capacité pourrait être affectée par la température. Nous avons supposé que les guêpes parasitoïdes auraient la capacité de percevoir le temps, à la fois de façon prospective (mesure du temps écoulé) et rétrospective (durée d'un événement passé), afin d'optimiser les décisions liées à l'exploitation d’agrégats d’hôtes et à la reproduction. Nous avons également émis l'hypothèse que la température aurait une incidence sur la perception du temps des guêpes parasitoïdes. Pour la mesure prospective du temps, nous avons utilisé la capacité d’apprentissage associatif de Microplitis croceipes (Hymenoptera: Braconidae). Les guêpes ont été entraînées à associer une odeur à la durée d'un intervalle entre des hôtes. Après leur entraînement, elles ont été testées dans un tunnel de vol avec un choix d’odeurs. Les guêpes ont choisi majoritairement l'odeur associée à l'intervalle de temps auquel elles étaient testées. Nous avons également investigué le rôle de la dépense énergétique sur la mesure du temps. Suite à une restriction de mouvement des guêpes pendant l'intervalle de temps entre les hôtes, elles choisissaient aléatoirement dans le tunnel de vol. L'absence de dépense énergétique les aurait rendues incapables de mesurer le temps. La dépense d'énergie est donc un substitut essentiel pour mesurer le temps. Pour la mesure rétrospective du temps, nous avons utilisé le processus d'évaluation de l'hôte de Trichogramma euproctidis (Hymenoptera: Trichogrammatidae). Certains trichogrammes utilisent la durée du transit initial sur l'œuf hôte afin d’en évaluer la taille et d’ajuster le nombre d’œufs à y pondre. Nous avons augmenté artificiellement la durée de transit initiale de T. euproctidis en suspendant l'œuf hôte pour le faire paraître plus gros qu'un œuf de taille similaire. Une augmentation de la durée de transit initiale a augmenté la taille de la ponte. Ceci démontre la capacité de T. euproctidis de mesurer la durée du transit initial, et donc d’une mesure du temps rétrospective. Pour déterminer si la température modifie la mesure du temps dans les espèces poïkilothermes, nous avons utilisé le comportement d’exploitation d’agrégats d’hôtes de T. euproctidis. Les modèles d’optimalités prédisent que les guêpes devraient rester plus longtemps et quitter à un faible taux de gain de valeur adaptative suite à un déplacement de longue durée plutôt que pour un déplacement de courte durée. Nous avons testé l'impact d'un déplacement de 24 h à différentes températures sur l'exploitation d’agrégats d’hôtes. Un déplacement à température chaude augmente le temps de résidence dans l’agrégat et diminue le taux de gain de valeur adaptative au moment de quitter ; ces comportements sont associés à un trajet de longue durée. L'inverse a été observé lors d’un déplacement à une température froide. Les températures chaude et froide ont modulé la mesure du temps en accélérant ou ralentissant l'horloge biologique, faisant paraître le déplacement respectivement plus long ou plus court qu’il ne l’était réellement. Ces résultats démontrent clairement que les guêpes parasitoïdes ont la capacité de mesurer le temps, autant rétrospectivement que prospectivement. Des preuves directes de leur capacité sont maintenant disponibles pour au moins deux espèces de guêpes parasitoïdes, une composante essentielle des modèles d'optimalité. Le rôle de la dépense énergétique dans la mesure du temps a aussi été démontré. Nos résultats fournissent également la preuve de l'impact de la température sur la perception du temps chez les insectes. L'utilisation de la dépense énergétique en tant que proxy pour mesurer le temps pourrait expliquer une partie de sa thermosensibilité, puisque les guêpes parasitoïdes sont poïkilothermes. Cette mesure du temps sensible à la température pourrait affecter des stratégies de lutte biologique. Sur le terrain, au début de la journée, la température de l'air sera similaire à la température de l'air autour des plantes infestées par des parasites, alors qu'elle sera plus chaude pendant la journée. En lutte biologique augmentative, les guêpes parasitoïdes libérées resteraient plus longtemps dans les agrégats d’hôtes que celles relâchées en début de journée.
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The effects of parasitic infections in condition factor, hematocrit, hemoglobin, mean corpuscular hemoglobin concentration (MCHC), and leucocytes and thrombocytes distribution in Piaractus mesopotamicus, Leporinus macrocephalus, hybrid tambacu (P. mesopotamicus x Colossoma macropomum and Brycon amazonicus collected in feefishing from Franca, São Paulo, Brazil were evaluated. Parasitized tambacu and L. macrocephalus had higher (p<0.05) condition factor than unparasitized fish. However, the contrary occurred in P. mesopotamicus and B. amazonicus. Changes in the hematocrit, hemoglobin and MCHC were not related to parasitism. Parasitic infections did not cause effect on leucocytes and thrombocytes percentage (p>0.05) of tambacu. In P. mesopotamicus parasitized by Monogenea Anacanthorus penilabiatus and dinoflagellate Piscinoodinium pillulare, increase in monocytes and decrease in thrombocytes percentage (p<0.05) were found. However, the same parasitic association in L. macrocephalus caused a decrease in lymphocytes percentage accompanied by increase in neutrophils percentage (p<0.05). In B. amazonicus, infection by Ichthyophthirius multifiliis, P. pillulare and monogeneans caused increase in neutrophils percentage.
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Sandflies stand out as important vectors of leishmaniasis. The females need to ingest blood meals, enabling them to transmit protozoa of the genus Leishmania, which may give rise to visceral leishmaniasis (VL) or American tegumentary leishmaniasis (ATL), in addition to transmitting other parasites. Leishmaniasis are important infirmities, distributed worldwide, whose infection results from the interaction of reservoir animals, the vector insect, parasitic protozoa and the healthy host. In the state of Rio Grande do Norte (RN), Brazil, these insects are important transmitters of VL, which usually presents in the most serious form. It occurs mainly in metropolitan areas, with the dog as its main reservoir and Lutzomyia longipalpis as the vector. ATL is most present in the highland areas of the state. In addition to hematophagia, engaged in by the females, both sexes need to ingest carbohydrates, which are essential to the sand flies energy requirements and may interfere in the development of Leishmania. The aim of this study was to determine the occurrence and abundance of sand flies in different environments on the farm belonging to the Empresa de Pesquisas Agropecuárias do RN (Institute of Agricultural Research of RN), in the municipality of Parnamirim, in order to relate this occurrence with climatological and biological references and eating habits. Three consecutive monthly collections were carried out with CDC traps in a fragment of the Atlantic Forest, in a residence, on a goat breeding farm and on cashew, dwarf and giant coconut, mango, banana, eucalyptus, acacia and bean plantations. A total of 1241 sandflies from eight species (Lutzomyia evandroi, Lutzomyia longipalpis, Lutzomyia shannoni, Lutzomyia sordellii Lutzomyia walkeri, Lutzomyia wellcomei, Lutzomyia whitmani, and Lutzomyia intermedia) were collected, most in the forest environment. L. longipalpis, the main VL transmitter, was confirmed as a species adapted to anthropic environments, whereas others such as L. wellcomei, the vector of ATL, occurred predominantly in forests. Carbohydrate characterization of the sand flies and plants of the region demonstrated that a number of exotic plants such as hay and eucalyptus may play some role in the adaptation of these species to modified environments. Breeding in laboratory showed a mean biological cycle of 53.5 days from egg to adulthood for L. shannoni and the possibility of diapause behavior in L. wellcomei. This study serves as a source of information that may contribute to the epidemiological vigilance of tegumentary and visceral leishmaniasis in the state, given that it analyzes the bioecology of transmitting species, as well as their potential to adapt to new environments
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"The English edition of this work appeared under the title of 'Buffon's Natural history, &c.'"
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The aim of this study is to understand the biological role of Serratia quinivorans BXF1, a bacterium commonly found associated with Bursaphelenchus xylophilus, the plant parasitic nematode responsible for pine wilt disease. Therefore, we studied strain BXF1 effect in pine wilt disease. We found that strain BXF1 promoted in vitro nematode reproduction. Moreover, the presence of bacteria led to the absence of nematode chitinase gene (Bxcht-1) expression, suggesting an effect for bacterial chitinase in nematode reproduction. Nevertheless, strain BXF1 was unable to colonize the nematode interior, bind to its cuticle with high affinity or protect the nematode from xenobiotic stress. Interestingly, strain BXF1 was able to promote tomato and pine plant-growth, as well as to colonize its interior, thus, acting like a plant-growth promoting endophyte. Consequently, strain BXF1 failed to induce wilting symptoms when inoculated in pine shoot artificial incisions. This bacterium also presented strong antagonistic activities against fungi and bacteria isolated from Pinus pinaster. Our results suggest that B. xylophilus does not possess a strict symbiotic community capable of inducing pine wilt disease symptoms as previously hypothesized. We show that bacteria like BXF1, which possess plant-growth promoting and antagonistic effects, may be opportunistically associated with B. xylophilus, possibly acquired from the bacterial endophytic community of the host pine.
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Background: Pine wilt disease (PWD) is a worldwide threat to pine forests, and is caused by the pine wood nematode (PWN) Bursaphelenchus xylophilus. Bacteria are known to be associated with PWN and may have an important role in PWD. Serratia sp. LCN16 is a PWN-associated bacterium, highly resistant to oxidative stress in vitro, and which beneficially contributes to the PWN survival under these conditions. Oxidative stress is generated as a part of the basal defense mechanism used by plants to combat pathogenic invasion. Here, we studied the biology of Serratia sp. LCN16 through genome analyses, and further investigated, using reverse genetics, the role of two genes directly involved in the neutralization of H2O2, namely the H2O2 transcriptional factor oxyR; and the H2O2-targeting enzyme, catalase katA. Results: Serratia sp. LCN16 is phylogenetically most closely related to the phytosphere group of Serratia, which includes S. proteamaculans, S. grimessi and S. liquefaciens. Likewise, Serratia sp. LCN16 shares many features with endophytes (plant-associated bacteria), such as genes coding for plant polymer degrading enzymes, iron uptake/ transport, siderophore and phytohormone synthesis, aromatic compound degradation and detoxification enzymes. OxyR and KatA are directly involved in the high tolerance to H2O2 of Serratia sp. LCN16. Under oxidative stress, Serratia sp. LCN16 expresses katA independently of OxyR in contrast with katG which is under positive regulation of OxyR. Serratia sp. LCN16 mutants for oxyR (oxyR::int(614)) and katA (katA::int(808)) were sensitive to H2O2 in relation with wild-type, and both failed to protect the PWN from H2O2-stress exposure. Moreover, both mutants showed different phenotypes in terms of biofilm production and swimming/swarming behaviors. Conclusions: This study provides new insights into the biology of PWN-associated bacteria Serratia sp. LCN16 and its extreme resistance to oxidative stress conditions, encouraging further research on the potential role of this bacterium in interaction with PWN in planta environment.