757 resultados para Equine metabolic syndrome
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INTRODUCCIÓN: Alteraciones en el metabolismo de la glucosa son causantes de Síndrome Metabólico y diabetes en adultos mayores; la determinación de hemoglobina glucosilada es un indicador exacto de la glucemia de los individuos en los últimos tres meses permitiendo comprobar el estado de salud. OBJETIVO: Establecer la correlación entre glucosa basal y hemoglobina glucosilada y su asociación con Síndrome Metabólico en adultos mayores del cantón Cuenca. METODOLOGÍA: Estudio descriptivo en 126 adultos mayores. Para la obtención de la muestra se utilizó el calculador automático EPI INFO. De los participantes un grupo con Síndrome Metabólico cumplió el criterio de la Adult Treatment Panel (APT-III). Se aplicó una encuesta para recolección de información y se tomó muestras de sangre para determinar glucosa basal y hemoglobina glucosilada. La información obtenida se procesó en el programa SPSS versión 20.0, Excel y MedLab. Se clasificaron los valores de acuerdo a frecuencia por edad, sexo y su relación con Síndrome Metabólico. RESULTADOS: Se analizaron 126 pacientes entre 65 y 96 años, siendo más frecuentes adultos mayores de sexo femenino con 65,1%. La población con Síndrome Metabólico fue 50.8%. La media de glucosa fue 87,16 y de hemoglobina glucosilada 5,65%. Luego del análisis 92% se encontraron en el rango normal de glucemia y 92,8% de HbA1; se ubicó en el rango de prediabetes 4,8% y dentro del rango de diabetes el 2,4%. Mediante coeficiente de correlación de Pearson se determinó una correlación moderada de 0.418 entre glucemia basal y hemoglobina glucosilada. Se observó una ligera relación entre alteración del metabolismo de glucosa y Síndrome Metabólico pues 12,5% de pacientes con esta enfermedad presentaron hiperglucemia y 11% HbA1 alterada
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ANTECEDENTES: Desde el año 1987, el impacto y aumento del VIH/SIDA ha llevado a implementar e incrementar combinaciones de Antirretrovirales (ARV), consiguiendo una disminución de la mortalidad en un 35%; sin embargo, nos enfrentamos a otra problemática, la aparición de efectos adversos a largo plazo de estos medicamentos, englobándole al Síndrome Metabólico. OBJETIVO GENERAL: Determinar la prevalencia y factores de riego del Síndrome Metabólico en pacientes que usen Antirretrovirales en el Hospital Vicente Corral Moscoso. METODOLOGÍA: Se realizó un Estudio Analítico - Transversal de prevalencia. Se incluyó a todos los pacientes que pertenecen a la Unidad de Atención Integral para PVVS-HVCM, mayores de 18 años, que reciben tratamiento antirretroviral por más de un mes previa autorización. La información recolectada fue analizada mediante software SPSS 5. RESULTADOS: en una población de 211 pacientes, se encontró una prevalencia del Síndrome Metabólico de 30,3% (n=64) según criterios de IDF. Las variables relacionadas al síndrome metabólico fueron: Edad 42,86 (p 0,000); Sexo femenino 51.6% y masculino 48.4% (p 0,001); IMC: sobrepeso y obesidad 82,8 (p 0,000); Perímetro abdominal 100% (p 0,000); Perfil lipídico: hipertrigliceridemia 86% (p 0,000), hipercolesterolemia 53% (p 0,012), alteración de HDL 83% (p 0,000). CONCLUSIONES: Se encontró una elevada prevalencia de Síndrome Metabólico en pacientes HIV+/SIDA con tratamiento antirretroviral pero no se pudo encontrar relación estadísticamente significativa. Mientras que los factores de riesgo fueron: edad, sexo, IMC, Perímetro Abdominal y dislipidemias
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INTRODUCCIÓN: Si se valora a tiempo la Sensibilidad a la insulina, se evitara padecer diabetes tipo 2; en los adultos mayores hay cambios como el aumento de tejido adiposo y sarcopenia, relacionados con disminución de la sensibilidad a la insulina. OBJETIVO: Determinar la sensibilidad a la insulina mediante la prueba de tolerancia oral a la glucosa en la población adulta mayor del cantón Cuenca, en el año 2015. METODOLOGÍA: Estudio descriptivo en 120 adultos mayores del cantón Cuenca; 60 casos con síndrome metabólico según el criterio ATP III y 60 casos sin síndrome metabólico. Se trata de una muestra no probabilística por conveniencia debido al costo de las pruebas de laboratorio. Se tomaron dos muestras de sangre una en ayunas y otra postprandial y se dosifico glucosa e insulina. Los datos fueron analizados en SPSS 22, Excel empleando frecuencias, porcentajes, medidas de tendencia central como mediana, promedio, medidas de dispersión, desvío stándar. RESULTADOS: El 39,2 % de adultos mayores presentó insulinemia postprandial alterada. Según el método HOMA-IR el 42 % presenta baja sensibilidad a la insulina y según el método QUICKI el 91,7 % presenta sensibilidad disminuida a la insulina. La baja sensibilidad a la insulina según género, edad y estado civil no fue significativa; en cambio con el IMC elevado se tiene más probabilidad de padecer insulinorresistencia (p=0,03) .Siendo más significativo los pacientes con síndrome metabólico aumenta dos veces la probabilidad de padecer insulinorresistencia (p=0.02, OR 2.3 IC 95% 1.09 – 4.85).
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Dissertação (mestrado)—Universidade de Brasília, Faculdade de Ciências da Saúde, Programa de Pós-Graduação em Ciências da Saúde, 2015.
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L’insuffisance rénale chronique (IRC) est caractérisée par de multiples déséquilibres homéostatiques tels que la résistance à l’insuline. Peu d’études se sont intéressées aux mécanismes sous-jacents à cette résistance à l’insuline en IRC. De plus, il est méconnu si cette résistance à l’insuline peut mener au développement d’un diabète de type II chez des patients prédisposés. Dans un modèle d’IRC, le rat Sprague-Dawley (CD) néphrectomisé 5/6e, on observe une corrélation entre la gravité de l’atteinte rénale, évaluée par la créatinine sérique, et l’hyperglycémie, évaluée par la fructosamine sérique (R2 = 0.6982, p < 0.0001). Cependant, cet état hyperglycémique n’est pas observable lors d’une glycémie à jeun. Lors d’un test de tolérance au glucose, on observe une plus grande élévation de la glycémie (AUC 1.25 fois, p < 0.0001) chez le rat atteint d’IRC. Par contre, la sécrétion d’insuline au cours de ce même test n’augmente pas significativement (AUC ≈ 1.30 fois, N.S.) en comparaison aux rats témoins. Malgré une élévation des taux d’insuline en IRC suivant un bolus de glucose, les tissus périphériques ne montrent pas d’augmentation de la captation du glucose sanguin suggérant un défaut d’expression et/ou de fonction des transporteurs de glucose chez ces rats. En effet, on observe une diminution de ces transporteurs dans divers tissus impliqués dans le métabolisme du glucose tel que le foie (≈ 0.60 fois, p < 0.01) et le muscle (GLUT1 0.73 fois, p < 0.05; GLUT4 0.69 fois, p < 0.01). En conséquence, une diminution significative du transport insulinodépendant du glucose est observable dans le muscle des rats atteint d’IRC (≈ 0.63 fois, p < 0.0001). Puisque les muscles sont responsables de la majorité de la captation insulinodépendante du glucose, la diminution de l’expression du GLUT4 pourrait être associée à la résistance à l’insuline observée en IRC. La modulation de l’expression des transporteurs de glucose pourrait être à l’origine de la résistance à l’insuline en IRC. Cela dit, d’autres mécanismes peuvent aussi être impliqués. En dépit de cette importante perturbation du transport du glucose, nous n’avons pas observé de cas de diabète de type II chez le rat CD atteint d’IRC. Dans un modèle de rat atteint d’un syndrome métabolique, le rat Zucker Leprfa/fa, l’IRC provoque une forte hyperglycémie à jeun (1.5 fois, p < 0.0001). De plus, l’IRC chez le rat Zucker provoque une réponse glycémique (AUC 1.80 fois, p < 0.0001) exagérée lors d’un test de tolérance au glucose. Une forte résistance à l’insuline est mesurée au niveau des muscles puisque la dose usuelle d’insuline (2mU/mL) n’est pas suffisante pour stimuler la captation du glucose chez le rat Zucker atteint d’IRC. De plus, une modulation similaire des transporteurs de glucose peut être observée chez ces deux espèces. Par contre, environ 30% (p < 0.001) des rats Zucker atteints d’IRC avaient une glycosurie. L’IRC en soi ne mènerait donc pas au développement d’un diabète de type II. Par contre, lorsqu’une résistance à l’insuline est présente antérieurement au développement d’une IRC, cela pourrait précipiter l’apparition d’un diabète de type II chez ces patients prédisposés.
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L’insuffisance rénale chronique (IRC) est caractérisée par de multiples déséquilibres homéostatiques tels que la résistance à l’insuline. Peu d’études se sont intéressées aux mécanismes sous-jacents à cette résistance à l’insuline en IRC. De plus, il est méconnu si cette résistance à l’insuline peut mener au développement d’un diabète de type II chez des patients prédisposés. Dans un modèle d’IRC, le rat Sprague-Dawley (CD) néphrectomisé 5/6e, on observe une corrélation entre la gravité de l’atteinte rénale, évaluée par la créatinine sérique, et l’hyperglycémie, évaluée par la fructosamine sérique (R2 = 0.6982, p < 0.0001). Cependant, cet état hyperglycémique n’est pas observable lors d’une glycémie à jeun. Lors d’un test de tolérance au glucose, on observe une plus grande élévation de la glycémie (AUC 1.25 fois, p < 0.0001) chez le rat atteint d’IRC. Par contre, la sécrétion d’insuline au cours de ce même test n’augmente pas significativement (AUC ≈ 1.30 fois, N.S.) en comparaison aux rats témoins. Malgré une élévation des taux d’insuline en IRC suivant un bolus de glucose, les tissus périphériques ne montrent pas d’augmentation de la captation du glucose sanguin suggérant un défaut d’expression et/ou de fonction des transporteurs de glucose chez ces rats. En effet, on observe une diminution de ces transporteurs dans divers tissus impliqués dans le métabolisme du glucose tel que le foie (≈ 0.60 fois, p < 0.01) et le muscle (GLUT1 0.73 fois, p < 0.05; GLUT4 0.69 fois, p < 0.01). En conséquence, une diminution significative du transport insulinodépendant du glucose est observable dans le muscle des rats atteint d’IRC (≈ 0.63 fois, p < 0.0001). Puisque les muscles sont responsables de la majorité de la captation insulinodépendante du glucose, la diminution de l’expression du GLUT4 pourrait être associée à la résistance à l’insuline observée en IRC. La modulation de l’expression des transporteurs de glucose pourrait être à l’origine de la résistance à l’insuline en IRC. Cela dit, d’autres mécanismes peuvent aussi être impliqués. En dépit de cette importante perturbation du transport du glucose, nous n’avons pas observé de cas de diabète de type II chez le rat CD atteint d’IRC. Dans un modèle de rat atteint d’un syndrome métabolique, le rat Zucker Leprfa/fa, l’IRC provoque une forte hyperglycémie à jeun (1.5 fois, p < 0.0001). De plus, l’IRC chez le rat Zucker provoque une réponse glycémique (AUC 1.80 fois, p < 0.0001) exagérée lors d’un test de tolérance au glucose. Une forte résistance à l’insuline est mesurée au niveau des muscles puisque la dose usuelle d’insuline (2mU/mL) n’est pas suffisante pour stimuler la captation du glucose chez le rat Zucker atteint d’IRC. De plus, une modulation similaire des transporteurs de glucose peut être observée chez ces deux espèces. Par contre, environ 30% (p < 0.001) des rats Zucker atteints d’IRC avaient une glycosurie. L’IRC en soi ne mènerait donc pas au développement d’un diabète de type II. Par contre, lorsqu’une résistance à l’insuline est présente antérieurement au développement d’une IRC, cela pourrait précipiter l’apparition d’un diabète de type II chez ces patients prédisposés.
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Objective: To assess the epidemiological evidence on dietary fiber intake and chronic diseases and make public health recommendations for the population in Romania based on their consumption. Populations that consume more dietary fiber from cereals, fruits and vegetables have less chronic disease. Dietary Reference Intakes recommend consumption of 14 g dietary fiber per 1,000 kcal, or 25 g for adult women and 38 g for adult men, based on epidemiologic studies showing protection against cardiovascular disease, stroke, hypertension, diabetes, obesity, metabolic syndrome, gastrointestinal disorders, colorectal -, breast -, gastric -, endometrial -, ovarian - and prostate cancer. Furthermore, increased consumption of dietary fiber improves serum lipid concentrations, lowers blood pressure, blood glucose leads to low glycemic index, aids in weight loss, improve immune function, reduce inflammatory marker levels, reduce indicators of inflammation. Dietary fibers contain an unique blend of bioactive components including resistant starches, vitamins, minerals, phytochemicals and antioxidants. Dietary fiber components have important physiological effects on glucose, lipid, protein metabolism and mineral bioavailability needed to prevent chronic diseases. Materials and methods: Data regarding diet was collected based on questionnaires. We used mathematical formulas to calculate the mean dietary fiber intake of Romanian adult population and compared the results with international public health recommendations. Results: Based on the intakes of vegetables, fruits and whole cereals we calculated the Mean Dietary Fiber Intake/day/person (MDFI). Our research shows that the national average MDFI was 9.8 g fiber/day/person, meaning 38% of Dietary Requirements, and the rest of 62% representing a “fiber gap” that we have to take into account. This deficiency predisposes to chronic diseases. Conclusions and recommendations:The poor control of relationship between dietary fiber intake and chronic diseases is a major issue that can result in adverse clinical and economic outcomes. The population in Romania is at risk to develop such diseases due to the deficient fiber consumption. A model of chronic diseases costs is needed to aid attempts to reduce them while permitting optimal management of the chronic diseases. This paper presents a discussion of the burden of chronical disease and its socio-economic implications and proposes a model to predict the costs reduction by adequate intake of dietary fiber.
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Background and Study Rationale Being physically active is a major contributor to both physical and mental health. More specifically, being physically active lowers risk of coronary heart disease, high blood pressure, stroke, metabolic syndrome (MetS), diabetes, certain cancers and depression, and increases cognitive function and wellbeing. The physiological mechanisms that occur in response to physical activity and the impact of total physical activity and sedentary behaviour on cardiometabolic health have been extensively studied. In contrast, limited data evaluating the specific effects of daily and weekly patterns of physical behaviour on cardiometabolic health exist. Additionally, no other study has examined interrelated patterns and minute-by-minute accumulation of physical behaviour throughout the day across week days in middle-aged adults. Study Aims The overarching aims of this thesis are firstly to describe patterns of behaviour throughout the day and week, and secondly to explore associations between these patterns and cardiometabolic health in a middle-aged population. The specific objectives are to: 1 Compare agreement between the International Physical Activity Questionnaire-Short Form (IPAQ-SF) and GENEActiv accelerometer-derived moderate-to-vigorous (MVPA) activity and secondly to compare their associations with a range of cardiometabolic and inflammatory markers in middle-aged adults. 2 Determine a suitable monitoring frame needed to reliably capture weekly, accelerometer-measured, activity in our population. 3 Identify groups of participants who have similar weekly patterns of physical behaviour, and determine if underlying patterns of cardiometabolic profiles exist among these groups. 4 Explore the variation of physical behaviour throughout the day to identify whether daily patterns of physical behaviour vary by cardiometabolic health. Methods All results in this thesis are based on data from a subsample of the Mitchelstown Cohort; 475 (46.1% males; mean aged 59.7±5.5 years) middle-aged Irish adults. Subjective physical activity levels were assessed using the IPAQ-SF. Participants wore the wrist GENEActiv accelerometer for 7 consecutive days. Data was collected at 100Hz and summarised into a signal magnitude vector using 60s epochs. Each time interval was categorised based on validated cut-offs. Data on cardiometabolic and inflammatory markers was collected according to standard protocol. Cardiometabolic outcomes (obesity, diabetes, hypertension and MetS) were defined according to internationally recognised definitions by World Health Organisation (WHO) and Irish Diabetes Federation (IDF). Results The results of the first chapter suggest that the IPAQ-SF lacks the sensitivity to assess patterning of activity and guideline adherence and assessing the relationship with cardiometabolic and inflammatory markers. Furthermore, GENEActiv accelerometer-derived MVPA appears to be better at detecting relationships with cardiometabolic and inflammatory markers. The second chapter examined variations in day-to-day physical behaviour levels between- and within-subjects. The main findings were that Sunday differed from all other days in the week for sedentary behaviour and light activity and that a large within-subject variation across days of the week for vigorous activity exists. Our data indicate that six days of monitoring, four weekdays plus Saturday and Sunday, are required to reliably estimate weekly habitual activity in all activity intensities. In the next chapter, latent profile analysis of weekly, interrelated patterns of physical behaviour identified four distinct physical behaviour patterns; Sedentary Group (15.9%), Sedentary; Lower Activity Group (28%), Sedentary; Higher Activity Group (44.2%) and a Physically Active Group (11.9%). Overall the Sedentary Group had poorer outcomes, characterised by unfavourable cardiometabolic and inflammatory profiles. The remaining classes were characterised by healthier cardiometabolic profiles with lower sedentary behaviour levels. The final chapter, which aimed to compare daily cumulative patterns of minute-by-minute physical behaviour intensities across those with and without MetS, revealed significant differences in weekday and weekend day MVPA. In particular, those with MetS start accumulating MVPA later in the day and for a shorted day period. Conclusion In conclusion, the results of this thesis add to the evidence base regards an optimal monitoring period for physical behaviour measurement to accurately capture weekly physical behaviour patterns. In addition, the results highlight whether weekly and daily distribution of activity is associated with cardiometabolic health and inflammatory profiles. The key findings of this thesis demonstrate the importance of daily and weekly physical behaviour patterning of activity intensity in the context of cardiometabolic health risk. In addition, these findings highlight the importance of using physical behaviour patterns of free-living adults observed in a population-based study to inform and aid health promotion activity programmes and primary care prevention and treatment strategies and development of future tailored physical activity based interventions.
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Disruptions to circadian rhythm in mice and humans have been associated with an increased risk of obesity and metabolic syndrome. The gut microbiota is known to be essential for the maintenance of circadian rhythm in the host suggesting a role for microbe-host interactions in the regulation of the peripheral circadian clock. Previous work suggested a role for gut bacterial bile salt hydrolase (BSH) activity in the regulation of host circadian gene expression. Here we demonstrate that unconjugated bile acids, known to be generated through the BSH activity of the gut microbiota, are potentially chronobiological regulators of host circadian gene expression. We utilised a synchronised Caco-2 epithelial colorectal cell model and demonstrated that unconjugated bile acids, but not the equivalent tauro-conjugated bile salts, enhance the expression levels of genes involved in circadian rhythm. In addition oral administration of mice with unconjugated bile acids significantly altered expression levels of circadian clock genes in the ileum and colon as well as the liver with significant changes to expression of hepatic regulators of circadian rhythm (including Dbp) and associated genes (Per2, Per3 and Cry2). The data demonstrate a potential mechanism for microbe-host crosstalk that significantly impacts upon host circadian gene expression. Disruptions to circadian rhythm in mice and humans have been associated with an increased risk of obesity and metabolic syndrome. The gut microbiota is known to be essential for the maintenance of circadian rhythm in the host suggesting a role for microbe-host interactions in the regulation of the peripheral circadian clock. Previous work suggested a role for gut bacterial bile salt hydrolase (BSH) activity in the regulation of host circadian gene expression. Here we demonstrate that unconjugated bile acids, known to be generated through the BSH activity of the gut microbiota, are potentially chronobiological regulators of host circadian gene expression. We utilised a synchronised Caco-2 epithelial colorectal cell model and demonstrated that unconjugated bile acids, but not the equivalent tauro-conjugated bile salts, enhance the expression levels of genes involved in circadian rhythm. In addition oral administration of mice with unconjugated bile acids significantly altered expression levels of circadian clock genes in the ileum and colon as well as the liver with significant changes to expression of hepatic regulators of circadian rhythm (including Dbp) and associated genes (Per2, Per3 and Cry2). The data demonstrate a potential mechanism for microbe-host crosstalk that significantly impacts upon host circadian gene expression.
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Background: Obesity is not a new disease, with roots that can be traced back to 400 BC. However, with the staggering increase in individuals that are overweight and obese since the 1980s, now over a quarter of individuals in Europe and the Americas are classed as obese. This presents a global health problem that needs to be addressed with novel therapies. It is now well accepted that obesity is a chronic, low-grade inflammatory condition that could predispose individuals to a number of comorbidities. Obesity is associated with cardiovascular diseases (CVDs) and type 2 diabetes (T2D) as part of “the metabolic syndrome,” and as first identified by Dr Vauge, central distribution of white adipose tissue (WAT) is an important risk factor in the development of these diseases. Subsequently, visceral WAT (vWAT) was shown to be an important factor in this association with CVDs and T2D, and increasing inflammation. As the obese WAT expands, mainly through hypertrophy, there is an increase in inflammation that recruits numerous immune cells to the tissue that further exacerbate this inflammation, causing local and systemic inflammatory and metabolic effects. One of the main types of immune cell involved in this pathogenic process is pro-inflammatory M1 adipose tissue macrophages (ATMs). MicroRNAs (miRNAs) are a species of small RNAs that post-transcriptionally regulate gene expression by targeting gene mRNA, causing its degradation or translational repression. These miRNAs are promiscuous, regulating numerous genes and pathways involved in a disease, making them useful therapeutic targets, but also difficult to study. miR-34a has been shown to increase in the serum, liver, pancreas, and subcutaneous (sc)WAT of patients with obesity, non- alcoholic fatty liver disease (NAFLD) and T2D. Additionally, miR-34a has been shown to regulate a number of metabolic and inflammatory genes in numerous cell types, including those in macrophages. However, the role of miR-34a in regulating vWAT metabolism and inflammation is poorly understood. Hypothesis: miR-34a is dysregulated in the adipose tissue during obesity, causing dysregulation of metabolic and inflammatory pathways in adipocytes and ATMs that contribute to adipose inflammation and obesity’s comorbidities, particularly T2D. Method/Results: The role of miR-34a in adipose inflammation was investigated using a murine miR-34a-/- diet-induced obesity model, and primary in vitro models of adipocyte differentiation and inflammatory bone marrow-derived macrophages (BMDMs). miR-34a was shown to be ubiquitously expressed throughout the murine epididymal (e)WAT of obese high-fat diet (HFD)-fed WT mice and ob/ob mice, as well as omental WAT from patients with obesity. Additionally, miR-34a transcripts were increased in the liver and brown adipose tissue (BAT) of ob/ob and HFD-fed WT mice, compared to WT controls. When miR-34a-/- mice were fed HFD ad libitum for 24 weeks they were significantly heavier than their WT counterparts by the end of the study. Ex vivo examinations showed that miR-34a-/- eWAT had a smaller adipocyte area on chow, which significantly increased to WT levels during HFD-feeding. Additionally, miR-34a-/- eWAT showed basal increases in cholesterol and fatty acid metabolism genes Cd36, Hmgcr, Lxrα, Pgc1α, and Fasn. miR-34a-/- iBAT showed basal reductions in Cebpα and Cebpβ, with increased Pgc1α expression during HFD- feeding. The miR-34a-/- liver additionally showed increased basal transcript expression of Pgc1α, suggesting miR-34a may broadly regulate PGC1α. Accompanying the ex vivo changes in cholesterol and fatty acid metabolism genes, in vitro miR-34a-/- white adipocytes showed increased lipid content. An F4/80high macrophage population was identified in HFD-fed miR-34a-/- eWAT, with increased Il-10 transcripts and serum IL-5 protein. Following these ex vivo observations, BMDMs from WT mice upregulated miR-34a expression in response to TNFα stimulation. Additionally, miR-34a-/- BMDMs showed an ablated CXCL1 response to TNFα. Conclusion: These findings suggest miR-34a has a multi-factorial role in controlling a susceptibility to obesity, by regulating inflammatory and metabolic pathways, potentially through regulation of PGC1α.
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Objetivo: El propósito del estudio fue relacionar la etapa en el cambio en el comportamiento frente a la actividad física y el estado nutricional en escolares entre 9 y 17 años de Bogotá- Colombia, pertenecientes al estudio FUPRECOL. Método: Se trata de un estudio transversal, en 6.606 niños y adolescentes entre 9 y 17 años, pertenecientes a 24 instituciones educativas, de Bogotá-Colombia. Se aplicó de manera auto-diligenciada el cuestionario de cambio de comportamiento en función a la intensión de realizar actividad física (CCC-Fuprecol) y se midió el peso y la estatura para determinar el estado nutricional con el índice de masa corporal (IMC). Resultados: El porcentaje de respuesta fue 94% y se consideraron válidos 6,606 registros, siendo 58.3 % (n=3.850) niñas con un promedio de edad de 12,7±2,3 años. En la población general, el 5,3 % de los escolares se encontraban en etapa de pre-contemplación, 31,8 % en contemplación, el 26,7 % en acción y el 36,2 % en etapa de mantenimiento. Al comparar la etapa de cambio con el estado nutricional por IMC, los escolares clasificados en obesidad mostraron mayor frecuencia de respuesta en la etapa de pre-contemplación, mientras que los escolares con peso saludable acusaron mayores porcentajes en la etapa de mantenimiento. Conclusión: En escolares de Bogotá, Colombia, se encontró una relación estadísticamente significativa entre a la intensión de realizar actividad con el estado nutricional medido con el IMC. Fomentar la promoción de la actividad física y monitorear el estado nutricional, deberá ser una prioridad en las agendas y políticas públicas dentro del ámbito escolar.
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The objectives of this study are to investigate the association between cardiorespiratory fitness and cardiovascular risk factors in schoolchildren and to evaluate the degree of association between overall and abdominal adiposity and cardiorespiratory fitness. A total of 1,875 children and adolescents attending public schools in Bogota, Colombia (56.2% girls; age range of 9–17.9 years). A cardiovascular risk score (Z-score) was calculated and participants were divided into tertiles according to low and high levels of overall (sum of the skinfold thicknesses) and abdominal adiposity. Schoolchildren with a high level of overall adiposity demonstrated significant differences in seven of the 10 variables analyzed (i.e. systolic and diastolic blood pressure, triglycerides, triglycerides/HDL-c ratio, total cholesterol, glucose and cardiovascular risk score). Schoolchildren with high levels of both overall and abdominal adiposity and low cardiorespiratory fitness had the least favorable cardiovascular risk factors score. These findings may be relevant to health promotion in Colombian youth.
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Problema. Esta investigación se aproxima al entorno escolar con el propósito de avanzar en la comprensión de los imaginarios de los adolescentes y docentes en torno al cuerpo, la corporalidad y la AF, como un elemento relevante en el diseño de programas y planes efectivos para fomento de la práctica de AF. Objetivo. Analizar los imaginarios sociales de docentes y adolescentes en torno a los conceptos de cuerpo, corporalidad y AF. Métodos. Investigación de corte cualitativo, descriptivo e interpretativo. Se realizaron entrevistas semi-estructuradas a docentes y a estudiantes entre los 12 y 18 años de un colegio público de Bogotá. Se realizó análisis de contenido. Se compararon los resultados de estudiantes por grupos de edades y género. Resultados. Docentes y estudiantes definen el cuerpo a partir de las características biológicas, las diferencias sexuales y las funciones vitales. La definición de corporalidad en los estudiantes se encuentra ligada con la imagen y la apariencia física; los docentes la entienden como la posibilidad de interactuar con el entorno y como la materialización de la existencia. La AF en los estudiantes se asocia con la práctica de ejercicio y deporte, en los docentes se comprende como una práctica de autocuidado que permite el mantenimiento de la salud. Conclusiones. Para promover la AF tempranamente como una experiencia vital es necesario intervenir los espacios escolares. Hay que vincular al cuerpo a los procesos formativos con el propósito de desarrollar la autonomía corporal, este aspecto implica cambios en los currículos.
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Objetivo: Establecer la relación entre la exposición ocupacional a altas temperaturas o sobrecarga térmica con el comportamiento fisiológico, metabólico y electrocardiográfico. Métodos: estudio de corte transversal, donde se incluyeron dos grupos (expuesto y no expuesto a altas temperaturas) en una empresa minera, en el departamento de Boyacá, Colombia, en el año 2016. El número de participantes fue de 160 trabajadores del género masculino, grupo expuesto (n=86) y grupo no expuesto (n=74). La exposición ocupacional a sobrecarga térmica se evaluó con el índice de temperatura de globo y bulbo húmedo (TGBH), el comportamiento fisiológico con el índice de costo cardiaco relativo (ICCR) con mediciones de frecuencia cardiaca (FC), el comportamiento metabólico con la determinación del colesterol total (CT), colesterol de alta densidad (C-HDL), colesterol de baja densidad (C-LDL), triglicéridos (TG) y glicemia basal (GL). Las alteraciones electrocardiográficas con la toma de Electrocardiograma de 12 derivaciones. También fueron evaluadas variables antropométricas, tensión arterial, hábitos y antecedentes de enfermedad cardiovascular en ambos grupos. Resultados: incrementos significativos del ICCR (p<0.001) y la carga física (p<0.001) fueron encontrados en los trabajadores expuestos a altas temperaturas. Los índices lipídicos y glicemia, así como los antecedentes personales cardiovasculares, IMC, consumo de cigarrillo y consumo de alcohol, no mostraron significancia. El antecedente familiar de ACV (p=0.043) y el EKG alterado (p=0.011) mostraron una asociación significativa con la exposición a altas temperaturas. El modelo de regresión lineal múltiple explicó la relación entre el incremento del ICCR y la exposición a altas temperaturas (β=4,213, IC 95%: 1.57,6.85) ajustado por variables fisiológicas y electrocardiográficas. Conclusiones: La exposición ocupacional a altas temperaturas, presenta asociación con las alteraciones cardiovasculares a nivel fisiológico y electrocardiográfico, aumentando el ICCR y la carga física de trabajo (GE trabajo).