945 resultados para Cr3 diffusion
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Travail de recherche ralis lEBSI, Universit de Montral, dans le cadre du cours SCI6111 Politique de gestion des archives offert au trimestre dautomne 2011 par le professeur Yvon Lemay.
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Ce mmoire explore le concept de diffusion des archives lre du Web 2.0. Dans le contexte nord-amricain, la diffusion en archivistique englobe les aspects de promotion, de mise en valeur et de communication des archives. Le Web 2.0 offre un potentiel trs intressant pour la diffusion darchives. Ce moyen de diffusion est dfini comme tant un ensemble de principes et de technologies qui cre et facilite linteraction entre plusieurs individus. Peu dtudes ont t menes sur la diffusion des archives lre du Web 2.0, cest pourquoi notre recherche sest intresse un milieu qui a intgr le Web 2.0 afin dinstaurer un dialogue avec ses usagers, connus et potentiels, pour exploiter ses archives et augmenter sa visibilit, soit le Muse McCord. Dans cette tude de cas simple certains membres du personnel du Muse McCord ont t rencontrs, afin de dcouvrir les motivations de linstitution se lancer dans lutilisation doutils issus de ces technologies. De plus, ltude a permis dobserver quels outils ont t choisis, comment et pourquoi. Ensuite, les avantages et les dsavantages de cette nouvelle utilisation ont t mis en lumire. Enfin, les tapes de la mise en place doutils du Web 2.0 sont exposes.
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Mmoire numris par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Universit de Montral
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Mmoire numris par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Universit de Montral.
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Mmoire numris par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Universit de Montral.
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La diffusion sur les plateformes nomdiatiques duvres audiovisuelles, comme les sites Internet des tldiffuseurs ou des webdiffuseurs, la vido sur demande, la tlvision mobile ou la webdistribution, modifie les risques que les producteurs audiovisuels doivent grer normalement sur les plateformes traditionnelles, comme la tlvision. La mutation des risques dcoule de quatre sources en particulier, soit du march, des pratiques daffaires, des lois et rglements et des techniques elles-mmes. Ces sources peuvent galement induire des normes pouvant constituer un cadre juridique afin de moduler ou liminer les risques. Le prsent mmoire analyse les risques encourus lors de la diffusion sur les plateformes nomdiatiques duvres audiovisuelles du point de vue des producteurs par lentremise du processus de gestion de risques. Il identifie et recense ainsi les risques en mutation et les nouveaux risques auxquels les producteurs sont confronts. Puis, les risques identifis y sont dfinis et le cadre juridique est abord dans le contexte de la mise en uvre dune stratgie de gestion de risques et des mesures afin dattnuer ou dviter les risques encourus par les activits de production et dexploitation des producteurs.
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Le phnomne de la romanisation tant des plus complexe, il est donc ncessaire de se concentrer sur un seul de ses aspects, mais aussi sur un espace gographique restreint : la diffusion de la citoyennet romaine en Afrique proconsulaire. Quels sont ses mcanismes et ses processus? Quels sont les motifs pour Rome ou pour les indignes? Finalement, quels sont les impacts de cette diffusion sur les individus ainsi que sur leur cit? Ultimement, y a-t-il eu une romanisation de lAfrique par la diffusion de la citoyennet romaine? Voil les questions qui ont t poses travers ltude des cas de Thugga et de Lepcis Magna. Finlement, il semble que lempereur ainsi que les notables locaux furent des moteurs importants de cette diffusion, que les motifs pouvaient tre stratgiques ou culturels pour lempereur, mais surtout fiscaux pour les notables et que le principal impact, autant sur les individus que sur la cit, fut bel et bien la transformation, voire la romanisation juridique, de lAfrique romaine.
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Depuis longtemps dj, les arts visuels se dmarquent par leurs rapports proches quoique cratifs avec les dveloppements technologiques des socits modernes. Pour les muses, Internet constitue une opportunit de rejoindre des publics qui savrent de prime abord moins accessibles. Ce nouvel acteur dans le monde de l'art occupe une place croissante dans la prsentation des oeuvres tout en jouant un rle dterminant dans la diffusion et donc dans le retentissement qu'elles ont auprs de publics aux attentes changeantes. Alors que le muse diffusait autrefois ses collections et connaissances par les expositions et les catalogues, le cyberespace est aujourdhui un nouveau lieu public quil lui convient dinvestir. Linternaute est souvent isol dans sa qute dune trouvaille parmi la diversit de loffre technologique. Nous proposons limage alternative du flneur comme mtaphore oprationnelle afin danalyser la relation entre linternaute et lexposition. Les oeuvres sont transposes dans le virtuel par le mdium numrique, le mme langage qui sous-tend lexposition dans son ensemble, un transfert dont les implications sont nombreuses. La reproduction, par sa nature dsacralise, autorise la manipulation virtuelle. Cest une nouvelle forme de participation qui est exige des spectateurs, non pas en termes dacquisition rationnelle de connaissances, mais de manire ludoducative, par cette mme manipulation de limage. Dans le but de souligner lauthenticit de loeuvre originale par la prsentation de son quivalent numrique, lexposition virtuelle est souvent mdiatrice et documentaire avant tout, privilgiant lobservation technologique didactique.
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Nous avons observ une augmentation transientdu taux de cristallisation interfacique de la-Si lorsquon rimplante du Si proximit de linterface amorphe/cristal. Aprs amorphisation et traitement thermique 650C pendant 5s de la couche a-Si cre par implantation ionique, une partie a t rimplante. Les dfauts produits par auto-rimplantation 0.7MeV se trouvent (3029) nm de linterface initiale. Cela nous a permis dtudier davantage la variation initiale de la vitesse SPE (pitaxie en phase solide). Avec des recuit identiques de 4h 500C, nous avons dtermin les positions successives des interfaces et en dduit les taux de cristallisation SPE. La cristallisation dbute linterface et continue graduellement vers la surface. Aprs le premier recuit, (25211) nm sest recristallis dans la zone rimplante soit un avancement SPE de 1.26x10^18at./cm2. Cette valeur est environ 1.50 fois plus importante que celle dans ltat relax. Nous suggrons que la prsence de dfauts proximit de linterface a stimul la vitesse initiale. Avec le nombre de recuit, lcart entre les vitesses diminue, les deux rgions se cristallisent presque la mme vitesse. Les mesures Raman prises avant le SPE et aprs chaque recuit ont permis de quantifier ltat de relaxation de la-Si et le transfert de ltat d-relax relax.
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Cette recherche s'intresse l'acteur patronal organis, encore peu tudi en Amrique du Nord. Pourtant, cet acteur est fortement organis au Qubec et il exerce une influence reconnue sur les politiques publiques et les relations industrielles. Cette recherche vise mieux comprendre la logique daction des employeurs et les lieux o ils exercent leur influence. Plus important encore, la recherche sinterroge sur les mcanismes de diffusion utiliss par les associations patronales pour transmettre leurs membres des orientations et des lignes directrices adopter. Tout comme pour lacteur syndical qui doit dvelopper sa capacit reprsentative (Dufour, Hege, Levesque et Murray, 2009), nous croyons quil en est de mme pour lacteur patronal. Bref, cette tude cherche comprendre comment les associations patronales vont s'assurer que leurs membres adoptent des pratiques en lien avec les positions dfendues dans les institutions du march du travail et dans la sphre des politiques publiques. Notre question de recherche est la suivante : Quels sont les mcanismes dvelopps par les associations patronales pour diffuser leurs orientations en matire de politiques publiques et de relations du travail en vue dinfluencer les pratiques locales de gestion de leurs membres? Au plan thorique, cette tude mobilise les ides dveloppes par les approches no-institutionnalistes pour mieux expliquer comment les acteurs vont utiliser les institutions en place pour faonner les rgles dans leurs intrts, ce qui suppose dabord une capacit de reprsentation et une cohrence dans les actions entre les niveaux o se situent lacteur. On cherche comprendre comment les associations peuvent coordonner les actions patronales en raction aux changements qui soprent dans lenvironnement institutionnel. Les associations patronales sont des entrepreneurs institutionnels (Crouch, 2005) qui sont la recherche active dopportunits et de leviers de pouvoir utiliser pour maximiser leurs intrts de leurs membres et par la mme occasion, rduire les incertitudes en provenance de lenvironnement (Campbell, 2004; Streeck et Thelen, 2005; Crouch, 2005). Toujours au niveau thorique, cette tude se base sur les ides avances par la sociologie des logiques daction. Cette approche thorique nous permet de rendre compte des niveaux sectoriel et local o senracinent les comportements des employeurs. Au niveau sectoriel, il existe une pluralit dinstances qui contribuent faonner les logiques dactions des associations patronales. La sociologie des logiques dactions nous permet denvisager lassociation patronale comme un groupe qui dispose dune vie qui lui est propre avec une relative autonomie de fonctionnement. La capacit dinfluence de lassociation serait tributaire des mcanismes de coordination de laction utiliss pour susciter laccord au sein du groupe. Les mcanismes de coordination de laction devraient permettre une connexion rgulire et stable entre lassociation et ses membres. Cette recherche sintresse aux associations patronales qui ont recours un ensemble de moyens pour diffuser les orientations privilgies aux entreprises membres. Au plan empirique, cette recherche propose de rpondre aux trois objectifs suivants : (1) mieux comprendre les formes dorganisation patronales dans les mines au Qubec; (2) mieux saisir la structure et la logique daction des associations patronales sur les politiques publiques, les relations de travail et le march du travail et finalement (3) mieux comprendre les mcanismes dvelopps par les associations patronales pour diffuser leurs orientations en vue dinfluencer les pratiques locales de gestion de leurs membres. Pour atteindre nos objectifs de recherche, nous avons utilis une mthodologie qualitative de recherche soit une tude de cas du secteur des mines au Qubec. Cette dernire a t conduite en trois tapes : la prparation, la collecte des donnes et linterprtation (Merriam, 1998). Les donnes de cette tude ont t recueillies lhiver 2012, par le biais dentretiens semi-directifs auprs de gestionnaires dentreprises minires et de dirigeants dassociations minires. Une analyse qualitative du contenu de ces entrevues a t effectue en lien avec la revue de littrature et nos propositions de recherche. cette fin, nous avons utilis la technique de lappariement logique de Yin (1994), ce qui nous a permis de comparer nos observations nos propositions de recherche. Au niveau des rsultats, nous avons pu constater que les associations patronales du secteur des mines au Qubec, endossent davantage le rle de porte-parole de lindustrie auprs du gouvernement que celui de dveloppeur de services aux membres. Les actions des associations patronales sexercent tous les niveaux dcisionnels afin dassurer la meilleure promotion possible des intrts des employeurs. La reprsentation politique reprsente le champ dactivit le plus important qui compose la logique daction des associations patronales de la filire minrale qubcoise. Mentionnons galement que la reprsentation des intrts des entreprises auprs du public et des mdias est galement vitale laction collective patronale dans un souci dacceptabilit sociale. Les associations demployeurs vont tenter principalement dinfluencer les pratiques en relations industrielles qui permettent dassurer une meilleure image de lindustrie et qui sont juges prioritaires en fonction du contexte institutionnel en place. La recherche nous a permis dobserver un impact favorable et significatif la capacit de diffusion pour cinq des sept mcanismes de diffusion faisant partie de notre modle danalyse. Trois de ces cinq mcanismes favorisent la capacit de diffusion descendante (transposition de la logique daction sectorielle sur les pratiques locales des membres) et les deux autres favorisent plutt la capacit de diffusion ascendante (transposition des enjeux locaux jugs prioritaires sur la logique daction sectorielle). Les mcanismes qui supportent au mieux la cohsion au sein de lassociation sont ceux qui impliquent une relation dynamique entre les reprsentants et les membres et entre les membres eux-mmes do la pertinence dune diffusion descendante et ascendante des orientations. Il est noter qutant donn que cette recherche consiste en une tude de cas, des limites mthodologiques lies la gnralisation des rsultats sont prsentes. Il nest pas ais daffirmer que les rsultats de cette microanalyse soient gnralisables en raison des spcificits du secteur ltude. En contrepartie, les analyses ont servi llaboration dun modle qui pourra tre utilis dans des tudes futures.
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Les biofilms sont des communauts de microorganismes incorpors dans une matrice exo-polymrique complexe. Ils sont reconnus pour jouer un rle important comme barrire de diffusion dans les systmes environnementaux et la sant humaine, donnant lieu une rsistance accrue aux antibiotiques et aux dsinfectants. Comme le transfert de masse dans un biofilm est principalement d la diffusion molculaire, il est primordial de comprendre les principaux paramtres influenant les flux de diffusion. Dans ce travail, nous avons tudi un biofilm de Pseudomonas fluorescens et deux hydrogels modles (agarose et alginate) pour lesquels lautodiffusion (mouvement Brownien) et les coefficients de diffusion mutuels ont t quantifis. La spectroscopie par corrlation de fluorescence a t utilise pour mesurer les coefficients d'autodiffusion dans une volume confocal de ca. 1 m3 dans les gels ou les biofilms, tandis que les mesures de diffusion mutuelle ont t faites par cellule de diffusion. En outre, la voltamtrie sur microlectrode a t utilise pour valuer le potentiel de Donnan des gels afin de dterminer son impact sur la diffusion. Pour l'hydrogel d'agarose, les observations combines d'une diminution du coefficient dautodiffusion et de laugmentation de la diffusion mutuelle pour une force ionique dcroissante ont t attribues au potentiel de Donnan du gel. Des mesures de l'effet Donnan (diffrence de -30 mV entre des forces ioniques de 10-4 et 10-1 M) et l'accumulation correspondante dions dans l'hydrogel (augmentation dun facteur de 13 par rapport la solution) ont indiqu que les interactions lectrostatiques peuvent fortement influencer le flux de diffusion de cations, mme dans un hydrogel faiblement charg tel que l'agarose. Curieusement, pour un gel plus charg comme l'alginate de calcium, la variation de la force ionique et du pH n'a donn lieu qu' de lgres variations de la diffusion de sondes charges dans l'hydrogel. Ces rsultats suggrent quen influenant la diffusion du solut, l'effet direct des cations sur la structure du gel (compression et/ou gonflement induits) tait beaucoup plus efficace que l'effet Donnan. De mme, pour un biofilm bactrien, les coefficients d'autodiffusion taient pratiquement constants sur toute une gamme de force ionique (10-4-10-1 M), aussi bien pour des petits soluts chargs ngativement ou positivement (le rapport du coefficient dautodiffusion dans biofilm sur celui dans la solution, Db/Dw 85 %) que pour des nanoparticules (Db/Dw 50 %), suggrant que l'effet d'obstruction des biofilms lemporte sur l'effet de charge. Les rsultats de cette tude ont montr que parmi les divers facteurs majeurs qui affectent la diffusion dans un biofilm environnemental oligotrophe (exclusion strique, interactions lectrostatiques et hydrophobes), les effets d'obstruction semblent tre les plus importants lorsque l'on tente de comprendre la diffusion du solut. Alors que les effets de charge ne semblaient pas tre importants pour l'autodiffusion de substrats chargs dans l'hydrogel d'alginate ou dans le biofilm bactrien, ils ont jou un rle cl dans la comprhension de la diffusion travers lagarose. Lensemble de ces rsultats devraient tre trs utiles pour l'valuation de la biodisponibilit des contaminants traces et des nanoparticules dans l'environnement.
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Thse doctorale effectue en cotutelle au dpartement d'histoire de l'Universit de Montral et l'cole doctorale d'archologie de l'Universit Paris 1 Panthon-Sorbonne - UMR 7041, Archologies et Sciences de l'Antiquit - Archologie du monde grec.
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Les villes de toutes tailles rivalisent aujourd'hui avec des endroits et des organisations situs sur tous les continents pour attirer les investisseurs, touristes, entreprises, travailleurs, tudiants et futurs rsidants. Afin de faire face cette concurrence mondiale, lutilisation dapproches et de stratgies de marketing et de branding territorial par les autorits municipales dans leur dmarche de planification et de gestion urbaine est de plus en plus frquente. Ce mmoire se penche sur le caractre politique du branding des villes, qui a t jusquici trs peu explor. Il expose lengouement observ pour ladoption de ce type de politiques dans un nombre croissant de villes et sintresse linfluence de la communaut de consultants en marketing des villes dans le transfert de ce type de pratiques. Puisquil sagit dune approche nouvelle, ce mmoire se veut avant tout exploratoire. Il prsente un portrait de la communaut dacteurs uvrant dans ce domaine dactivit et expose certains des lments servant illustrer linfluence que ces acteurs peuvent avoir sur la diffusion internationale de ce type de politiques et de pratiques.
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Le but de ce travail de mmoire tait d'explorer des moyens pour augmenter la permabilit des biofilms de Streptococcus mutans aux macromolcules en utilisant des agents potentiellement perturbateurs de la structure des biofilms. Lacide thylnediamine ttraactique (EDTA) ainsi que lacide actylsalicylique (aspirine) sont les agents perturbateurs choisis. Le changement de permabilit des biofilms de S. mutans a t dtermin en mesurant les coefficients de diffusion globale du polythylne glycol (PEG) et de diffusion locale de dextrans. Les coefficients de diffusion globale ont t mesurs par spectroscopie infrarouge avec un chantillonnage par rflexion totale attnue (ATR) alors que la spectroscopie par corrlation de fluorescence (SCF) a t utilise pour la mesure des coefficients de diffusion locale. Les rsultats ont dmontr que lincorporation de lEDTA une concentration de 7.5 (m/v) % dans la solution de diffusion permet damliorer les proprits de transport du PEG dans les biofilms en augmentant sa pntrabilit et son coefficient de diffusion globale. Par contre, aucune variation na t constate dans la valeur du coefficient de diffusion locale de dextran fluorescent. Cette diffrence peut tre explique, entre autres, par l'chelle des mesures et la nature diffrente des molcules diffusantes. Laspirine na dmontr aucun effet sur le transport du PEG travers les biofilms de S. mutans. La pntration accrue du PEG en prsence de lEDTA a t corrle aux tests de viabilit des cellules bactriennes. En effet, la combinaison de la pnicilline G (PenG) avec lEDTA 2 (m/v) % a eu comme effet laugmentation du pouvoir biocide dun facteur 3. De plus, les images de microscopie pifluorescence et de microscopie confocale balayage de laser ont dmontr que les bactries dans le cur des microcolonies sont plus affectes par la PenG lorsque le milieu contient de l'EDTA. A la lumire des rsultats obtenus, il savre que lincorporation d'agents perturbateurs de la structure des biofilms est une option srieuse considrer dans lradication des biofilms microbiens. Plus dtudes devront tre effectues afin dinvestiguer leffet dautres molcules possdant les proprits perturbatrices de la structure des biofilms sur la rsistance de ces derniers aux agents antimicrobiens.
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Ce mmoire vise comprendre la diffusion transnationale du phnomne du 'nouvel insurrectionalisme'. C'est une forme novatrice de contestation violente, base dans la philosophie anarchiste, s'opposant la domination de systmes tatiques et capitalistes. L'intrt pour ce sujet porte sur le fait que c'est une manire indite d'organiser une lutte rvolutionnaire, et que le nouvel insurrectionalisme relve de formes et interprtations novatrices d'action violente. Nous situons l'tude dans le contexte contemporain de la mondialisation, car c'est son accroissement qui contribuerait l'mergence du nouvel insurrectionalisme. Pour dmontrer cela, seront examins plusieurs types de littratures : crits portant sur la diffusion transnationale de luttes ; analyses de violence terroriste et insurrectionaire; et les communiqus et publications mis par les acteurs et penseurs insurrectionalistes. La mthodologie relve de l'tude qualitative d'un phnomne transnational, en la forme d'une tude comparative de cinq pays (Italie, Grce, Mexique, Chili et Indonsie). Le cadre analytique est 'l'approche comprhensive', place dans la diffusion transnationale, qui cherche comprendre un mouvement social de l'intrieur, donnant parole ceux qui y participent. Le nouvel insurrectionalisme est une lutte transnationale, au miroir de son adversaire la mondialisation conomique et politique, et il se diffuse aisment travers des contextes varis car portant en lui des idaux plus aptes tre partags du fait de leur flexibilit, de la primaut des luttes locales, la dcentralisation, les relations horizontales, et la lutte contre la hirarchie, la domination et l'exploitation.
