667 resultados para Aigoual, Mont
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El chile dulce (Capsicum annuum L.) es una de las hortalizas que utilizan grandes inversiones en su manejo y producción. En El Salvador, HIDROEXPO, S.A. de C.V es una de las empresas con sistemas de producción hidropónica y de cultivo protegido de chile dulce o pimentón, orientado al mercado internacional. Sin embargo, a pesar de la tecnología empleada y las estructuras de protección, siempre existe la aparición de plagas y enfermedades. La mosca blanca Bemisia tabaci (Genn.), es uno de los principales insectos que ocasiona pérdidas en cultivos hortícolas. El principal problema fitosanitario ocasionado por la Bemisia tabaci (Genn.) se da al servir como vector de geminivirus, los cuales ocasionan pérdidas importantes en la mayoría de cultivos hortícolas y leguminosas. El objetivo de la presente investigación fue evaluar hongos entomopátogenos como alternativa en la reducción de la población de ninfas de Bemisia tabaci (Genn.), para su utilización en programas MIP. La investigación se realizó de agosto 2014 a noviembre 2015. La primera fase fue de laboratorio, realizando la reproducción, pruebas de viabilidad, pureza y agresividad del hongo Beauveria brongniartii. Luego se realizó la fase de campo en instalaciones protegidas brindadas por CENTA donde se montó el área de trabajo con plantas de chile pimentón, evaluando cuatro cepas de hongos entomopátogenos a la concentración de 1x105: Beauveria bassiana, Beauveria brongniartii, Isaria fumorosea y Lecanicillium lecanii, utilizando un diseño completamente al azar (DCA) con cinco repeticiones, tomando como variables la mortalidad mediante un análisis ANVA. En esta prueba Beauveria brongniartii ejerce mejor control sobre ninfas de mosca blanca con una mortalidad promedio de 60%. Se procedió a determinar la CL50 y CL90 de B. brogniartii. Se realizaron bioensayos colocando 20 jaulas clip con 300 moscas cada una, a estas jaulas se le aplicaron cuatro concentraciones de conidios B. brogniartii y un testigo absoluto (agua destilada) a las ninfas de segundo estadio. Las concentraciones evaluadas fueron: 1.0 x 106, 1.0 x 107, 5 x 107 y 1 x 108 conidios por mililitro. La CL50 de la cepa de B. brogniartiise estimó en 5 x 107 conidios por ml y la CL90 en 1 x 108 conidios por ml. Demostrando que los hongos entomopátogenos son una buena alternativa de control biológico contra Bemisia tabaco (Genn.). Palabras clave: Mosca blanca, Bemisia tabaci (Genn.), hongos entomopátogenos, chile dulce, Capsicum annuum, control biológico.
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Until the early 90s, the simulation of fluid flow in oil reservoir basically used the numerical technique of finite differences. Since then, there was a big development in simulation technology based on streamlines, so that nowadays it is being used in several cases and it can represent the physical mechanisms that influence the fluid flow, such as compressibility, capillarity and gravitational segregation. Streamline-based flow simulation is a tool that can help enough in waterflood project management, because it provides important information not available through traditional simulation of finite differences and shows, in a direct way, the influence between injector well and producer well. This work presents the application of a methodology published in literature for optimizing water injection projects in modeling of a Brazilian Potiguar Basin reservoir that has a large number of wells. This methodology considers changes of injection well rates over time, based on information available through streamline simulation. This methodology reduces injection rates in wells of lower efficiency and increases injection rates in more efficient wells. In the proposed model, the methodology was effective. The optimized alternatives presented higher oil recovery associated with a lower water injection volume. This shows better efficiency and, consequently, reduction in costs. Considering the wide use of the water injection in oil fields, the positive outcome of the modeling is important, because it shows a case study of increasing of oil recovery achieved simply through better distribution of water injection rates
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Durant les années 1950, les autorités municipales, sous la pression du département de la police, ont demandé le déboisement d’une section du parc du Mont-Royal. Cette section, communément appelée la « Jungle » et principalement composée de broussailles, de buissons et d’arbres, était fréquentée par une clientèle considérée comme indésirable. Cette dernière comprenait, essentiellement, des alcooliques, des voyous, des pervers, et, surtout, des homosexuels. Leur éradication s’est alors déployée selon un plan en trois étapes qui avait pour objectif de simplifier les techniques de surveillance utilisées par le département de la police. D’abord, une augmentation de l’éclairage, puis, le déboisement de la « Jungle », et, finalement, la construction d’une route, aujourd’hui connue sous le nom de Camillien-Houde. Le parc devenait ainsi plus accessible et plus sécuritaire. Les coupes, que l’on a appelées les « coupes de la moralité », ont eu un effet considérable sur l’environnement et la composition écologique du parc, donnant, entre autres, aux Montréalais, l’impression que le parc était devenu chauve (ce qui lui conféra d’ailleurs le surnom de Mont Chauve). Les transformations du parc du Mont-Royal n’étaient cependant pas limitées à sa Jungle. En fait, des modifications furent aussi mises en application dans d’autres sections considérées comme sous-développées. La métamorphose du parc et de sa « Jungle » était un acte de développement caractéristique de l’ère moderniste de la planification du Montréal d’après-guerre. La re-planification du parc du Mont-Royal témoigne ainsi d’une volonté sans bornes des autorités d’instaurer la moralité et la modernité dans la ville, volonté qui aura pour conséquence d’altérer la composition écologique du parc. C’est ce qui sera à l’origine d’une campagne nommée « Save-the-Mountain Movement », qui a cherché à empêcher la modernisation de l’espace et milité pour la réhabilitation du parc en tant que boisé paisible.
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Durant les années 1950, les autorités municipales, sous la pression du département de la police, ont demandé le déboisement d’une section du parc du Mont-Royal. Cette section, communément appelée la « Jungle » et principalement composée de broussailles, de buissons et d’arbres, était fréquentée par une clientèle considérée comme indésirable. Cette dernière comprenait, essentiellement, des alcooliques, des voyous, des pervers, et, surtout, des homosexuels. Leur éradication s’est alors déployée selon un plan en trois étapes qui avait pour objectif de simplifier les techniques de surveillance utilisées par le département de la police. D’abord, une augmentation de l’éclairage, puis, le déboisement de la « Jungle », et, finalement, la construction d’une route, aujourd’hui connue sous le nom de Camillien-Houde. Le parc devenait ainsi plus accessible et plus sécuritaire. Les coupes, que l’on a appelées les « coupes de la moralité », ont eu un effet considérable sur l’environnement et la composition écologique du parc, donnant, entre autres, aux Montréalais, l’impression que le parc était devenu chauve (ce qui lui conféra d’ailleurs le surnom de Mont Chauve). Les transformations du parc du Mont-Royal n’étaient cependant pas limitées à sa Jungle. En fait, des modifications furent aussi mises en application dans d’autres sections considérées comme sous-développées. La métamorphose du parc et de sa « Jungle » était un acte de développement caractéristique de l’ère moderniste de la planification du Montréal d’après-guerre. La re-planification du parc du Mont-Royal témoigne ainsi d’une volonté sans bornes des autorités d’instaurer la moralité et la modernité dans la ville, volonté qui aura pour conséquence d’altérer la composition écologique du parc. C’est ce qui sera à l’origine d’une campagne nommée « Save-the-Mountain Movement », qui a cherché à empêcher la modernisation de l’espace et milité pour la réhabilitation du parc en tant que boisé paisible.
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This research challenges the origin story of neoliberalism in Latin America. Drawing on archival data from the Mont Pèlerin Society and the personal archives of leading but neglected figures in the post-war push to rebuild economic liberalism, I present a historical geography of elite counter-protest that both predates and broadens the generally accepted “birth” of neoliberalism in 1970s Chile. Beginning in the 1940s, Latin American elites found common cause with key figures from economic liberalism’s most radical wing: the Austrian School. While existing literature links the onset of neoliberalism in Chile to the Austrian School, particularly with respect to the School’s influence on the early Mont Pèlerin Society, this dissertation is the first comprehensive inquiry to place the Austrian tradition in the ideational and organizational landscape of Latin America. Embracing a new mission that promised to save the soul of Western civilization, Latin America’s retro-neoliberal leaders collaborated with transnational actors to build a network of Austrian-inspired think-tanks and institutes of higher learning in the region. These organizations, in turn, served as recruiting mechanisms to found the Hispanic quarter of the Mont Pèlerin Society, which was dominated not (as might be assumed) by Chileans, but rather by retro-neoliberal elites from Mexico, Argentina, Guatemala, and Venezuela. By 1975, when scholars began analyzing how a run-of-the-mill economics department had been transformed into a bastion of free-market thinking in Chile, an entire neoliberal university was up and running in Guatemala, exposing all students, regardless of discipline, to the Austrian tradition – the crowning achievement of Latin America’s retro-neoliberal network. Investigating, and accounting for, the development and impact of this initiative sheds new light on the neoliberal landscape in Latin America, and raises important questions for the study of neoliberalism more broadly.
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Il y a présentement de la demande dans plusieurs milieux cherchant à utiliser des robots afin d'accomplir des tâches complexes, par exemple l'industrie de la construction désire des travailleurs pouvant travailler 24/7 ou encore effectuer des operation de sauvetage dans des zones compromises et dangereuses pour l'humain. Dans ces situations, il devient très important de pouvoir transporter des charges dans des environnements encombrés. Bien que ces dernières années il y a eu quelques études destinées à la navigation de robots dans ce type d'environnements, seulement quelques-unes d'entre elles ont abordé le problème de robots pouvant naviguer en déplaçant un objet volumineux ou lourd. Ceci est particulièrement utile pour transporter des charges ayant de poids et de formes variables, sans avoir à modifier physiquement le robot. Un robot humanoïde est une des plateformes disponibles afin d'effectuer efficacement ce type de transport. Celui-ci a, entre autres, l'avantage d'avoir des bras et ils peuvent donc les utiliser afin de manipuler précisément les objets à transporter. Dans ce mémoire de maîtrise, deux différentes techniques sont présentées. Dans la première partie, nous présentons un système inspiré par l'utilisation répandue de chariots de fortune par les humains. Celle-ci répond au problème d'un robot humanoïde naviguant dans un environnement encombré tout en déplaçant une charge lourde qui se trouve sur un chariot de fortune. Nous présentons un système de navigation complet, de la construction incrémentale d'une carte de l'environnement et du calcul des trajectoires sans collision à la commande pour exécuter ces trajectoires. Les principaux points présentés sont : 1) le contrôle de tout le corps permettant au robot humanoïde d'utiliser ses mains et ses bras pour contrôler les mouvements du système à chariot (par exemple, lors de virages serrés) ; 2) une approche sans capteur pour automatiquement sélectionner le jeu approprié de primitives en fonction du poids de la charge ; 3) un algorithme de planification de mouvement qui génère une trajectoire sans collisions en utilisant le jeu de primitive approprié et la carte construite de l'environnement ; 4) une technique de filtrage efficace permettant d'ignorer le chariot et le poids situés dans le champ de vue du robot tout en améliorant les performances générales des algorithmes de SLAM (Simultaneous Localization and Mapping) défini ; et 5) un processus continu et cohérent d'odométrie formés en fusionnant les informations visuelles et celles de l'odométrie du robot. Finalement, nous présentons des expériences menées sur un robot Nao, équipé d'un capteur RGB-D monté sur sa tête, poussant un chariot avec différentes masses. Nos expériences montrent que la charge utile peut être significativement augmentée sans changer physiquement le robot, et donc qu'il est possible d'augmenter la capacité du robot humanoïde dans des situations réelles. Dans la seconde partie, nous abordons le problème de faire naviguer deux robots humanoïdes dans un environnement encombré tout en transportant un très grand objet qui ne peut tout simplement pas être déplacé par un seul robot. Dans cette partie, plusieurs algorithmes et concepts présentés dans la partie précédente sont réutilisés et modifiés afin de convenir à un système comportant deux robot humanoides. Entre autres, nous avons un algorithme de planification de mouvement multi-robots utilisant un espace d'états à faible dimension afin de trouver une trajectoire sans obstacle en utilisant la carte construite de l'environnement, ainsi qu'un contrôle en temps réel efficace de tout le corps pour contrôler les mouvements du système robot-objet-robot en boucle fermée. Aussi, plusieurs systèmes ont été ajoutés, tels que la synchronisation utilisant le décalage relatif des robots, la projection des robots sur la base de leur position des mains ainsi que l'erreur de rétroaction visuelle calculée à partir de la caméra frontale du robot. Encore une fois, nous présentons des expériences faites sur des robots Nao équipés de capteurs RGB-D montés sur leurs têtes, se déplaçant avec un objet tout en contournant d'obstacles. Nos expériences montrent qu'un objet de taille non négligeable peut être transporté sans changer physiquement le robot.