935 resultados para ANTI-HEPATITIS C VIRUS
Resumo:
Introduction: Malgré des taux d’efficacité comparable du traitement antiviral de l’hépatite C (VHC) entre utilisateurs de drogues par injection (UDIs) et non-UDIs, il y a encore d’importantes barrières à l’accessibilité au traitement pour cette population vulnérable. La méfiance des UDIs à l’égard des autorités médicales, ainsi que leur mode de vie souvent désorganisé ont un impact sur l’initiation du traitement. L’objectif de cette étude est d’examiner les liens entre l’initiation du traitement du VHC et l’utilisation des services de santé chez les UDIs actifs. Methode: 758 UDIs actifs et séropositifs aux anticorps anti-VHC ont été interrogés durant la période de novembre 2004 à mars 2011, dans la région de Montréal. Des questionnaires administrés par des intervieweurs ont fourni des informations sur les caractéristiques socio-économiques, ainsi que sur les variables relatives à l’usage de drogues et à l’utilisation des services de santé. Des échantillons sanguins ont été prélevés et testés pour les anticorps anti-VHC. Une régression logistique multivariée a permis de générer des associations entre les facteurs relatifs aux services de santé et l’initiation du traitement contre le VHC. Resultats: Parmi les 758 sujets, 55 (7,3%) avaient initié un traitement du VHC avant leur inclusion dans l’étude. Selon les analyses multivariées, les variables significativement associées à l’initiation du traitement sont les suivantes: avoir vu un médecin de famille dans les derniers 6 mois (Ratio de Cote ajusté (RCa): 1,96; Intervalle de Confiance à 95% (IC): 1,04-3,69); plus de 2 ans sous traitement de la dépendance à vie, sans usage actuel de méthadone (RCa: 2,25; IC: 1,12-4,51); plus de 2 ans sous traitement de la dépendance à vie, avec usage actuel de méthadone (RCa: 3,78; IC: 1,85-7,71); et avoir déjà séjourné en prison (RCa: 0,44; IC: 0,22-0,87). Conclusion: L’exposition à des services d’aide à la dépendance et aux services médicaux est associée à l’initiation du traitement du VHC. Ces résultats suggèrent que ces services jouent leur rôle de point d’entrée au traitement. Alternativement, les UDIs ayant initié un traitement du VHC, auraient possiblement adopté une attitude proactive quant à l'amélioration de leur santé globale. D’autre part, l’incarcération ressort comme un obstacle à la gestion de l’infection au VHC.
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Le virus de l'hépatite C (VHC) touche 3% de la population mondiale et environ 30% des patients chroniquement infectés développeront une fibrose hépatique. Son génome est un ARN simple brin de polarité positive qui possède un cadre ouvert de lecture flanqué de deux régions non traduites hautement conservées. Différents facteurs peuvent influencer le cycle de réplication du VHC. Deux d’entre eux ont été étudiés dans cette thèse. Tout d'abord, nous nous sommes intéressés à l'effet des structures secondaires et tertiaires du génome sur la réplication du VHC. Les extrémités 5' et 3' du génome contiennent des structures ARN qui régulent la traduction et la réplication du VHC. Le 3'UTR est un élément structural très important pour la réplication virale. Cette région est constituée d’une région variable, d’une séquence poly(U/C) et d’un domaine hautement conservé appelé région X. Des études in vitro ont montré que le 3'UTR possède plusieurs structures ARN double brin. Cependant, les structures ARN telles qu'elles existent dans le 3'UTR dans un contexte de génome entier et dans des conditions biologiques étaient inconnues. Pour élucider cette question, nous avons développé une méthode in situ pour localiser les régions ARN simple brin et double brin dans le 3'UTR du génome du VHC. Comme prédit par les études antérieures, nous avons observé qu’in situ la région X du 3’UTR du génome présente des éléments ARN double brin. Étonnamment, lorsque la séquence poly (U/UC) est dans un contexte de génome entier, cette région forme une structure ARN double brin avec une séquence située en dehors du 3'UTR, suggérant une interaction ARN-ARN distale. Certaines études ont démontré que des structures ARN présentes aux extrémités 5’ et 3' du génome du VHC régulent à la fois la traduction et la réplication du VHC. Cela suggère qu'il y aurait une interaction entre les extrémités du génome qui permettrait de moduler ces deux processus. Dans ce contexte, nous avons démontré l'existence d'une interaction distale ARN-ARN, impliquant le domaine II du 5'UTR et la séquence codante de NS5B du génome du VHC. En outre, nous avons démontré que cette interaction joue un rôle dans la réplication de l'ARN viral. Parallèlement, nous avons étudié l'impact d'une molécule immuno-modulatrice sur la réplication du VHC. La fibrose hépatique est une manifestation majeure de l’infection par le VHC. Hors, il a été montré qu'une molécule immuno-modulatrice appelée thalidomide atténuait la fibrose chez les patients infectés par le VHC. Cependant, son impact sur la réplication virale était inconnu. Ainsi, nous avons étudié l'effet de cette molécule sur la réplication du VHC in vitro et nous avons démontré que la thalidomide active la réplication du virus en inhibant la voie de signalisation de NF-kB. Ces résultats soulignent l’importance de la voie de signalisation NF-kB dans le contrôle de la réplication du VHC, et sont à prendre en considération dans l’établissement d’un traitement contre la fibrose hépatique.
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La transmission mère-enfant (TME) du virus de l’hépatite C (VHC) est la première cause d’acquisition de l’infection chez les enfants des pays développés. Celle-ci prend place dans <10% des cas. Toutefois, dans le cas d’une coinfection maternelle avec le virus de l’immunodéficience de type 1 (VIH-1), ce taux est accru alors qu’il n’existe aucune intervention préventive de la TME du VHC. Le VHC arbore une diversité importante qui est le résultat d’une réplication exempte de mécanisme de correction. Il est donc retrouvé chez son hôte sous la forme d’un spectre de virions génétiquement apparentés mais différents qu’on appelle quasiespèce. Lorsque le VHC est transmis entre adultes, seulement un nombre limité de variantes sont responsables de l’infection, c’est ce qu’on appelle un goulot d’étranglement génétique. L’existence d’un tel profil de transmission lors de la TME du VHC restait, jusqu’à maintenant, à confirmer. En se basant sur la détection par RT-PCR de la virémie à la naissance, la TME du VHC est réputée prendre place in utero et peripartum, une dynamique de transmission qui reste à démontrer. Ici, nous rapportons une analyse longitudinale de la TME du VHC par séquençage de nouvelle génération chez 5 paires mère-enfant dont 3 mères sont également coinfectées avec le VIH-1. L’analyse de l’identité des variantes virales basée sur la séquence nucléotidique des régions hypervariables 1-2 de la glycoprotéine E2 (positions 1491-1787 de l’isolat H77) révèle qu’un nombre limité de variantes virales sont transmises de la mère à l’enfant lorsque la mère est seulement infectée par le VHC (n = 1-4 variantes transmises). Dans le cas de la coinfection maternelle avec le VIH-1, ce nombre est toutefois drastiquement plus important (n = 111-118). La détection de variantes retrouvées chez la mère au deuxième trimestre et l’enfant mais non détectées subséquemment chez la mère témoigne que la TME du VHC peut prendre place aussi tôt que lors du deuxième trimestre de grossesse. Finalement, nous montrons que la dynamique d’infection chez l’enfant implique une augmentation transitoire de la virémie concomitante avec une perte de diversité de la quasiespèce. Dans l’ensemble ces résultats sont les premiers à démontrer directement l’existence d’un goulot d’étranglement lors de la TME du VHC. Celui-ci serait moins restringent dans le cas de la coinfection maternelle avec le VIH-1. Cette transmission peut prendre place aussi tôt que lors du deuxième trimestre de grossesse et il semblerait qu’un spectre limité de variantes soit responsable pour l’établissement de l’essentiel de la production virale chez le jeune enfant.
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Progression of chronic hepatitis C is known to be associated with some factors, but influence of HCV genotypes is still controversial. Association between HCV genotypes and other risk factors was examined to determine which factors are associated with progression of infection. One hundred consecutive anti-HCV positive volunteer blood donors were evaluated for several risk factors, examined for HCV genotypes, and submitted to hepatic biopsy and biochemical exams.HCV genotyping were carried out in 89 patients and hepatic biopsy in 78. Transmission routes were found to be illicit intravenous drug use (26%), Gluconergan® use in a non-safe manner (48%) and blood transfusion (15%). HCV genotype was 1 in 45%, 3 in 40%, and it was not associated with the stage of fibrosis or with inflammatory activity. There was no significant association of factors related to infection, chronic alcohol use, or duration of illness, with progression of the lesion. There was a significant association of aminotransferase levels and the fibrosis stage. Univariate analysis showed that the age at contamination, patient's age, GT-gamma, and aminotransferase levels over three times the upper normal limits, were associated with fibrosis stages 2 to 4. Multivariate analysis detected age (odds ratio=1.19), and GT-gamma (odds ratio=2.02) as independent factors.
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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Pós-graduação em Alimentos e Nutrição - FCFAR
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Pós-graduação em Alimentos e Nutrição - FCFAR
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Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq)
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Pós-graduação em Genética - IBILCE
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As hepatites virais constituem um dos mais importantes assuntos de saúde pública, podendo ser causadas por diferentes agentes etiológicos. Dentre estes, encontra-se o Vírus da hepatite C (HCV), que segundo a Organização Mundial da Saúde (OMS) afeta mundialmente cerca de 123 milhões de pessoas, com uma prevalência de 2%. A principal forma de transmissão do HCV é a exposição ao sangue contaminado. O HCV pertence à família Flaviviridae, gênero Hepacivirus, possui 6 genótipos e múltiplos subtipos. No Brasil, o genótipo 1 é observado em 70% dos pacientes infectados, seguido pelo genótipo 3 (25%) e o genótipo 2 (5%). Alguns fatores de risco são fortemente associados à transmissão do HCV, dentre eles: o uso de seringa de vidro esterilizada em domicílio; o compartilhamento de utensílios de higiene pessoal como a lâmina de barbear, escova de dente, alicates de manicure e cortadores de unhas e também a transfusão de sangue antes de 1993. O presente estudo teve como objetivo executar um inquérito epidemiológico sobre fatores de risco relacionados à infecção pelo HCV e, determinar a soroprevalência de anti-HCV em candidatos a doação de sangue, no Estado do Pará. Foram analisados os seguintes fatores de risco: o uso de agulhas e seringas esterilizadas em domicílio; o uso de material próprio de manicure e pedicure; o uso de lâminas descartáveis em ambiente público; o uso compartilhado de lâminas em ambiente domiciliar; a realização de tratamento dentário invasivo e; o recebimento de transfusão antes de 1993. Foram alocados ao acaso, 11.916 candidatos ao processo de doação sanguínea da Fundação HEMOPA, no período de fevereiro de 2008 a março de 2009, posteriormente divididos em dois grupos: (1) aqueles com sorologia positiva para anti-HCV e; (2) aqueles com sorologia negativa para anti-HCV. O primeiro grupo foi constituído de 53 candidatos com sorologia positiva (0,4%) e o segundo grupo de 11.863 candidatos com sorologia negativa (99,6%). A análise dos dados mostrou que a mediana de idade entre os indivíduos anti-HCV positivos foi de 35 anos. Observou-se que dentre os indivíduos com sorologia positiva, 36 eram do sexo masculino (68%) e 17 do sexo feminino (32%). Já entre os candidatos com sorologia negativa, 9.250 pertenciam ao sexo masculino (78%) e 2.613 ao sexo feminino (22%). A análise dos fatores de risco estudados demonstrou que o uso de seringa de vidro em domicílio, a utilização de material não-próprio de manicure e pedicure e o recebimento de transfusão antes de 1993, foram fatores significativos para a transmissão do HCV na população de candidatos à doação de sangue, no Estado do Pará. Estes achados poderão propiciar estratégias de redução da hepatite C transfusional.
Resumo:
No presente estudo a soroprevalência da infecção pelo Vírus da hepatite C (VHC) foi investigada em indivíduos portadores da infecção pelo Vírus da imunodeficiência humana 1 (HIV-1) da cidade de Macapá, Estado do Amapá, Brasil. Um total de 120 indivíduos infectados pelo HIV-1 foi testado para a presença de anti-VHC usando um ensaio imunoabsorvente ligado a enzima. Todos os pacientes envolvidos no presente estudo foram testados para a carga viral plasmática do HIV-1 e para os níveis de células T CD4+ no momento do consentimento em fazer parte do estudo. Os pacientes responderam a um questionário epidemiológico no momento da coleta de sangue. Do total de 120 amostras testadas apenas sete (5,83%) foram soropositivas para anti-VHC. Quanto ao gênero, quatro (57,2%) e três (42,8%) eram homens e mulheres, respectivamente. A idade dos indivíduos soropositivos para anti-VHC variou de 21 a 40 anos entre os homens e de 21 a 60 entre as mulheres. Considerando o impacto da coinfecção nos valores de carga viral plasmática do HIV-1 e na contágem de células T CD4+ não foram observadas diferenças significativas (Odds Ratio=2,7368, p=0,3624; Odds Ratio=1,7803, p=0,7764). O uso de drogas injetáveis e de piercing mostrou ser um importante fator de risco para a co-infecção (p<0,05). Os resultados do presente estudo representam os primeiros achados acerca da co-infecção HIV-1/VHC no Estado do Amapá e demonstra a necessidade de um estudo continuado objetivando avaliar a soroprevalência da infecção pelo VHC no Amapá e detectar o real impacto clinico da co-infecção HIV-1/VHC no paciente.
Resumo:
A Organização Mundial de Saúde (OMS) calcula que existam mais de 350 milhões de pessoas no mundo infectadas de forma crônica pelo Vírus da hepatite B (VHB) e cerca de 180 milhões de pessoas com o Vírus da hepatite C (VHC), além de, aproximadamente, 40 milhões de pessoas vivendo com o HIV-1. Estima-se que entre dois e quatro milhões são co-infectados pelo VHB e que entre quatro e cinco milhões são co-infectados pelo VHC. A partir dessas informações, o presente estudo teve como objetivo avaliar a soroprevalência da co-infecção pelo VHB e pelo VHC em pessoas portadoras do HIV-1 e/ou com SIDA/AIDS da cidade de Belém, entre os usuários da URE-DIPE. As amostras foram testadas para a presença de marcadores da infecção pelo VHB (HBsAg, HBeAg, anti-HBs, anti-HBc, anti-HBc/IgM e anti-HBe) e VHC (anti-VHC) por meio de ensaios imunoenzimáticos. O grupo estudado foi composto por 170 homens (56,7%) e 130 mulheres (43,3%), sendo que 30% não chegaram a cursar o primeiro grau completo e apresentam renda familiar de até 3 salários mínimos. A co-infecção HIV-1/VHB foi detectada em 91 (30,3%), cinco (1,7%) apresentaram co-infecção HIV-1/VHC, e seis (2%) mostraram-se infectados pelo VHB e VHC. Em sete (2,7%), foi possível mostrar evidência de vacinação prévia ao VHB. Não foi possível mostrar diferença estatística entre os valores de carga viral e de contagem de linfócitos T CD4+ e linfócitos T CD8+ com a presença de anticorpos na duplo (HIV-1/VHC) e na triplo infecção (HIV-1/VHB/VHC), porém foi mostrado significância estatística entre os valores de carga viral e contagem de linfócitos T CD8+ entre os co-infectados HIV-1/VHB.
Resumo:
As hepatites virais representam um importante problema de saúde pública no Brasil e no mundo. A hepatite B e a hepatite C são as de principal interesse para os profissionais da área de saúde em função do modo de transmissão e da possibilidade de aquisição ocupacional. O presente trabalho teve por principal objetivo verificar a soroprevalência da infecção pelo Vírus da Hepatite B (VHB) e pelo Vírus da Hepatite C (VHC) em cirurgiões-dentistas e relacioná-la com os fatores de risco. Participaram do estudo 97 cirurgiões-dentistas, sendo 39 do gênero masculino e 58 do gênero feminino, no período de junho a dezembro de 2005, que atuam no município de Belém, Pará, Brasil. Os dados epidemiológicos foram obtidos por meio de inquéritos e os sorológicos por um ensaio imunoenzimático para a pesquisa de antígeno e anticorpo tanto para o VHB quanto para o VHC. O teste de Tendência foi utilizado para a análise estatística dos resultados. A prevalência do VHB foi de 6,2%, enquanto do VHC foi de 3,1% entre a população estudada. Das amostras sororreativas para os marcadores da hepatite B, a prevalência foi de 1,03% (1/97) para o anti-HBc total, 5,16% (5/97) para a presença simultânea do anti-HBc total e anti-HBs e 54,61% (53/97) para o anti-HBs. Quando comparado ao encontrado na população de doadores de sangue no Estado do Pará a prevalência do VHC na população estudada foi significativamente maior, enquanto a do VHB foi semelhante. Além disso, 37,7% (36/97) relataram terem tido algum tipo de exposição ocupacional, estando o acidente com objetos pérfuro-cortante como o mais relatado (86,1%). A medida adotada após a exposição foi sempre a lavagem com água e sabão e apenas 2,8% (1/36) dos acidentados relataram à realização de testes sorológicos. O conhecimento das normas de biossegurança e a utilização de pelo menos uma barreira de proteção individual foram relatados por todos, sendo o uso de luvas e máscara a resposta mais mencionada (96,9%). Encontravam-se imunizados contra o VHB por meio de vacina 54,61% (53/97) dos cirurgiões-dentistas, enquanto que imunes por infecção natural 5,16% (5/97). O elevado percentual de ocorrência de acidentes ocupacionais, aliado a baixa soroconversão pós-exposição dentre os cirurgiões-dentistas participantes demonstra a necessidade de se conhecer a prevalência de infecções de risco ocupacional em profissionais da área de saúde para que se adotem medidas de prevenção e controle mais eficazes contra os agentes causadores.
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INTRODUCTION: The aim of this study was to evaluate the therapeutic response of hepatitis C in patients coinfected with human immunodeficiency virus (HIV-1). METHODS: A retrospective study of 20 patients coinfected with HIV-1/HCV who were treated in the outpatient liver clinic at the Sacred House of Mercy Foundation Hospital of Pará (Fundação Santa Casa de Misericórdia do Pará - FSCMPA) from April 2004 to June 2009. Patients were treated with 180µg PEG interferon-α2a in combination with ribavirin (1,000 to 1,250mg/day) for 48 weeks. The end point was the sustained virological response (SVR) rate (HCV RNA negative 24 weeks after completing treatment). RESULTS: The mean age of the patients was 40±9.5 years, of which 89% (n=17) were male, and the HCV genotypes were genotype 1 (55%, n=11/20), genotype 2 (10%, n=2/20) and genotype 3 (35%, n=7/20). The mean CD4+ lymphocyte count was 507.8, and the liver fibrosis stages were (METAVIR) F1 (25%), F2 (55%), F3 (10%) and F4 (10%). The early virological response (EVR) was 60%, the end-of-treatment virological response (EOTVR) was 45% and the SVR was 45%. CONCLUSIONS: The median HCV viral load was high, and in 85% of cases in which highly active antiretroviral therapy (HAART) was used, none of the patients with F3-F4 fibrosis responded to treatment. Of the twenty patients treated, 45% achieved SVR and 45% achieved EOTVR. Studies that include cases from a wider region are needed to better evaluate these findings.