906 resultados para Unified Delinquency Intervention Services. Illinois.


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Méthodologie: Simulation; Analyse discriminante linéaire et logistique; Arbres de classification; Réseaux de neurones en base radiale

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Au Québec, comme partout dans les pays développés, le vieillissement de la population oblige à repenser les méthodes d’intervention (Couturier et al., 2013). De plus, vieillir chez soi en conservant la meilleure qualité de vie possible est un souhait cher à la majorité des personnes aînées (Mauriat et al., 2009). Pour prendre en considération ce souhait, malgré la complexité de la situation biopsychosociale de plusieurs, le système de santé et de services sociaux offre un service de soutien à domicile dans lequel des coordonnateurs dédiés (ex. : gestionnaires de cas, travailleuses sociales pivots) coordonnent les différents services requis afin de répondre aux besoins des personnes vivant à domicile avec une autonomie fonctionnelle diminuée (Couturier et al., 2013). Plusieurs personnes aînées en situation biopsychosociale complexe refusent les services offerts (Corvol et al., 2012). Ce refus peut aller de la simple décision de ne pas prendre sa médication ou de ne pas accepter l’aide à la toilette à celle de refuser l’aide alimentaire ou des soins et services essentiels, et, ce faisant, d’encourir d’importants risques quant à leur sécurité, voire leur survie (Balard et Somme, 2011). Au Québec, sauf dans les cas d’exception prévus par la loi, la liberté de consentir ou non à des soins est un droit reconnu à chaque personne, consacrant ainsi les principes d’intégrité et d’inviolabilité de la personne (gouvernement du Québec, n.d.). Le cadre professionnel des travailleuses sociales, via leur formation et les lignes directrices de l’Ordre des travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux et familiaux du Québec (OTSTCFQ), favorise également l’autonomie de la personne à travers des approches visant l’empowerment. Cependant, les mêmes cadres leur donnent également un rôle central à jouer lorsqu’il est question de reconnaître l’inaptitude des personnes à décider pour elles-mêmes, notamment à travers l’acte d’évaluation psychosociale dans un tel contexte. Plus largement, la société donne plus ou moins formellement un mandat de protection des personnes vulnérables aux travailleuses sociales. Ce mandat de protection est au cœur de leur métier, mais il ne fait pas l’objet d’une reconnaissance légale forte, comme c’est le cas pour l’objet aptitude/inaptitude. Pour la réalisation de ce mémoire, 10 entretiens semi-directifs furent menés auprès de travailleuses sociales en soutien à domicile afin de nous permettre de comprendre comment les travailleuses sociales prennent en compte le refus de services des personnes aînées. Pour ce faire, nous répondons à quatre objectifs. Premièrement, nous dégageons le sens qu’accordent les travailleuses sociales au refus de services et la façon dont elles le reçoivent. Deuxièmement, nous décrivons les stratégies d’adaptation au refus des travailleuses sociales. Troisièmement, nous tentons de comprendre les liens entre le sens donné au refus de services et les stratégies d’adaptation des travailleuses sociales. Finalement, nous explorons comment les relations de pouvoir expliquent en partie ces adaptations. Cette recherche nous a permis de montrer que dans de nombreux cas, les stratégies impliquant une prise de pouvoir lors de situations de refus n’étaient pas légitimées par une volonté de faire vivre la personne le plus longtemps possible en la protégeant, mais plutôt par le discours valorisant son autonomie. Nous croyons que ce discours, en constante évolution, pourrait prendre de plus en plus de place dans les prochaines années et qu’en conséquence, si nous souhaitons que les modèles de prise de décision partagée (par exemple l’usager-partenaire) soient appliqués de la bonne façon, il est essentiel d’outiller les travailleuses sociales pour éviter que les personnes résistant au discours de l’autonomie soient perçues comme de mauvais usagers.

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Communications are important for relationships within a marketing channel from both a theoretical and managerial perspective. Yet it is a problematic area for scholars. Thus, this research addresses the problem of how do customers of a financial services institution perceive communications with an ideal institution? This study's case research methodology used in-depth interviews with 34 carefully selected customers of a building society. The factors that make up customers' attitudes about corporate communications for an ideal financial services institution were identified and actual perceptions were compared against that ideal. The findings confirmed the importance of communications for customers in a relationship with a financial services provider and suggested communication priorities for customers in this context. In addition, the findings suggested sources of communication dissatisfaction for customers. These findings build upon the literature that speculates about customer perceptions of communications with organizations but provides little evidence to support hypotheses. The contributions arose from the emphasis on the customers' own attitudes and the patterns found within them.

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International evidence on the cost and effects of interventions for reducing the global burden of depression remain scarce. Aims: To estimate the population-level cost-effectiveness of evidence-based depression interventions and their contribution towards reducing current burden. Method: Primary-care-based depression interventions were modelled at the level of whole populations in 14 epidemiological subregions of the world. Total population-level costs (in international dollars or I$) and effectiveness (disability adjusted life years (DALYs) averted) were combined to form average and incremental cost-effectiveness ratios. Results: Evaluated interventions have the potential to reduce the current burden of depression by 10–30%. Pharmacotherapy with older antidepressant drugs, with or without proactive collaborative care, are currently more cost-effective strategies than those using newer antidepressants, particularly in lower-income subregions. Conclusions: Even in resource-poor regions, each DALYaverted by efficient depression treatments in primary care costs less than 1 year of average per capita income, making such interventions a cost-effective use of health resources. However, current levels of burden can only be reduced significantlyif there is a substantialincrease substantial increase intreatment coverage.