973 resultados para T lymphocytes subsets


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Increases in free light chain (FLC) production are associated with disease progression in multiple myeloma (MM). Using a double immunofluorescence staining method to produce a differential count of plasma cells in bone marrow, single populations were demonstrated, containing intact monoclonal immunoglobulins (M-Igs) in 74% and FLCs only in 8% of cases. However, 18% contained a mixture of both cell populations. Progression from cells making intact M-Ig to cells restricted to FLC only production occurred in individual cases during the course of their disease. The presence of FLC only cells was associated with shortened survival.

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Leukemic B-chronic lymphoproliferative disorders (B-CLPDs) are generally believed to derive from a monoclonal B cell; biclonality has only occasionally been reported. In this study, we have explored the incidence of B-CLPD cases with 2 or more B-cell clones and established both the phenotypic differences between the coexisting clones and the clinicobiologic features of these patients. In total, 53 B-CLPD cases with 2 or more B-cell clones were studied. Presence of 2 or more B-cell clones was suspected by immunophenotype and confirmed by molecular/genetic techniques in leukemic samples (n = 42) and purified B-cell subpopulations (n = 10). Overall, 4.8% of 477 consecutive B-CLPDs had 2 or more B-cell clones, their incidence being especially higher among hairy cell leukemia (3 of 13), large cell lymphoma (2 of 10), and atypical chronic lymphocytic leukemia (CLL) (4 of 29). In most cases the 2 B-cell subsets displayed either different surface immunoglobulin (sIg) light chain (n = 37 of 53) or different levels of the same sIg (n = 9 of 53), usually associated with other phenotypic differences. Compared with monoclonal cases, B-CLL patients with 2 or more clones had lower white blood cell (WBC) and lymphocyte counts, more frequently displayed splenomegaly, and required early treatment. Among these, the cases in which a CLL clone coexisted with a non-CLL clone were older and more often displayed B symptoms, a monoclonal component, and diffuse infiltration of bone marrow and required early treatment more frequently than cases with monoclonal CLL or 2 CLL clones.

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CD73 est un ecto-enzyme qui a été associé à la suppression de l'immunité anti-tumorale. Ses valeurs pronostiques et thérapeutiques ont été mises de l'avant dans plusieurs types de cancer. La première hypothèse du projet est que l'expression de CD73 dans la tumeur prédit le pronostic des patients atteints du cancer de la prostate. L'expression de CD73 a été étudiée par immunofluorescence dans des échantillons de tumeur. Puis, des analyses univariées et multivariées ont été conduites pour déterminer si l'expression de CD73 permet de prédire la récidive biochimique des patients. Nous avons déterminé que CD73 prédit indépendamment le pronostic des patients atteints du cancer de la prostate. De plus, nous avons déterminé que son expression dans le tissu normal adjacent ou dans la tumeur prédit différemment la survenue de la récidive biochimique. La deuxième hypothèse est que l'inhibition de CD73 permet d'améliorer l'efficacité d'un vaccin thérapeutique contre le cancer de la prostate. L'effet d'un vaccin de type GVAX a été étudié dans des souris CD73KO ou en combinaison avec un anticorps ciblant CD73. Nous avons observé que l'efficacité du vaccin était augmentée dans les souris où CD73 était absent. Cependant, la combinaison avec l'anti-CD73 n'a pas permis d'améliorer l'efficacité.

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BACKGROUND: Allergic asthma and rhinitis are common in pregnancy. The immune mechanisms underlying the effects of pregnancy in asthma and vice-versa are not completely understood. OBJECTIVES: This work aimed to study the evolution of regulatory T and B cells in asthmatic pregnant women, from late pregnancy till postpartum. METHODS: Four groups of women were enrolled for this study: third trimester pregnant women, asthmatic (n=24) and healthy (n=43), and non-pregnant women, asthmatic (n=33) and healthy (n=35). Pregnant women were also evaluated postpartum (>6 weeks after delivery). Blood samples were taken from each woman and flow cytometry was used to characterize circulating regulatory T and B cells. Foxp3 expression was assessed within CD4DimCD25Hi regulatory T cells. RESULTS: In asthmatic and healthy pregnant women, regulatory T cells did not oscillate significantly from pregnancy to postpartum, but CD24HiCD38Hi regulatory B cells, decreased in pregnancy, rose significantly postpartum. Foxp3 expression in regulatory T cells was also impaired during pregnancy in asthmatic and healthy pregnant women, recovering postpartum. Nevertheless, asthmatic pregnant women presented higher Foxp3 expression than healthy pregnant women (p=0.007), probably due to the use of control medication. CONCLUSIONS: Women with controlled asthma present variations in regulatory cell subsets during pregnancy and postpartum. The similar pattern observed for Foxp3 expression and CD24HiCD38Hi regulatory B cells during this period corroborates the interaction established between regulatory T and B cells in immune responses. Considering the immunomodulatory potential of these immune mediators, more studies are needed to evaluate their relation with asthma and rhinitis complications in pregnancy.

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L’infection au VIH s’accompagne souvent de dérégulations du compartiment des lymphocytes B qui nuisent à la génération de réponses efficaces. En effet, détectées tôt après l’infection, ces dérégulations perdurent, ne sont pas totalement restaurées par la thérapie, et mènent souvent à des manifestations auto-immunes et lymphomes. Une étude longitudinale de notre groupe, effectuée avec des cellules mononucléées du sang circulant provenant de patients VIH+ avec différents types de progression clinique, a démontré qu’un niveau élevé de BLyS chez des individus VIH+ progresseurs était associé à une dérégulation des fréquences de populations de cellules B avec augmentation de cellules innées de la zone marginale (MZ) présentant des caractéristiques d’immaturité et d’activation. Au contraire, chez des individus VIH+ non-progresseurs avirémiques ou contrôleurs d’élite, les niveaux de BLyS étaient dans la normale et ce sont les fréquences de cellules B MZ plus matures qui étaient diminuées. La résistance au VIH pourrait aussi impliquer le contrôle de BLyS et son impact sur les cellules B. De ce fait, nous avons préalablement recruté une cohorte de travailleuses du sexe (TS) à Cotonou (Bénin) dans laquelle nous avons identifié des femmes qui demeurent séronégatives malgré une exposition soutenue au virus. Nous avons mesuré les niveaux de BLyS dans le sang et dans les lavages cervico-vaginaux (CVL) de TS VIH- et les avons comparés à ceux mesurés chez des TS VIH+ et un groupe contrôle de non-TS VIH- . Nous avons trouvé que les niveaux de BLyS dans le sang et le CVL des TS VIH- étaient inférieurs à ceux des TS VIH+ et des non-TS VIH-. Le niveau d’expression de BLyS à la surface des lymphocytes T, monocytes et cellules dendritiques de TS VIH- était augmenté, mais à un niveau moindre que les TS VIH+. Chez les TS VIH+, les hauts niveaux de BLyS étaient concomitants avec une dérégulation du compartiment B caractérisée par une hyperglobulinémie, une augmentation de la fréquence de populations avec un profil immature/inné et une plus grande proportion de plasmablastes IgG vs IgA. Au contraire, les niveaux inférieurs de BLyS dans le sang des TS VIH- coïncident avec un compartiment B préservé, révélant que les lymphocytes B MZ peuvent être impliqués dans l’immunité naturelle au VIH. Ces résultats démontrent l’importance du contrôle des niveaux de BLyS et du maintien de l’intégrité du compartiment B dans la résistance au VIH.

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L’infection au VIH s’accompagne souvent de dérégulations du compartiment des lymphocytes B qui nuisent à la génération de réponses efficaces. En effet, détectées tôt après l’infection, ces dérégulations perdurent, ne sont pas totalement restaurées par la thérapie, et mènent souvent à des manifestations auto-immunes et lymphomes. Une étude longitudinale de notre groupe, effectuée avec des cellules mononucléées du sang circulant provenant de patients VIH+ avec différents types de progression clinique, a démontré qu’un niveau élevé de BLyS chez des individus VIH+ progresseurs était associé à une dérégulation des fréquences de populations de cellules B avec augmentation de cellules innées de la zone marginale (MZ) présentant des caractéristiques d’immaturité et d’activation. Au contraire, chez des individus VIH+ non-progresseurs avirémiques ou contrôleurs d’élite, les niveaux de BLyS étaient dans la normale et ce sont les fréquences de cellules B MZ plus matures qui étaient diminuées. La résistance au VIH pourrait aussi impliquer le contrôle de BLyS et son impact sur les cellules B. De ce fait, nous avons préalablement recruté une cohorte de travailleuses du sexe (TS) à Cotonou (Bénin) dans laquelle nous avons identifié des femmes qui demeurent séronégatives malgré une exposition soutenue au virus. Nous avons mesuré les niveaux de BLyS dans le sang et dans les lavages cervico-vaginaux (CVL) de TS VIH- et les avons comparés à ceux mesurés chez des TS VIH+ et un groupe contrôle de non-TS VIH- . Nous avons trouvé que les niveaux de BLyS dans le sang et le CVL des TS VIH- étaient inférieurs à ceux des TS VIH+ et des non-TS VIH-. Le niveau d’expression de BLyS à la surface des lymphocytes T, monocytes et cellules dendritiques de TS VIH- était augmenté, mais à un niveau moindre que les TS VIH+. Chez les TS VIH+, les hauts niveaux de BLyS étaient concomitants avec une dérégulation du compartiment B caractérisée par une hyperglobulinémie, une augmentation de la fréquence de populations avec un profil immature/inné et une plus grande proportion de plasmablastes IgG vs IgA. Au contraire, les niveaux inférieurs de BLyS dans le sang des TS VIH- coïncident avec un compartiment B préservé, révélant que les lymphocytes B MZ peuvent être impliqués dans l’immunité naturelle au VIH. Ces résultats démontrent l’importance du contrôle des niveaux de BLyS et du maintien de l’intégrité du compartiment B dans la résistance au VIH.

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Follicular lymphoma (FL) is a B cell neoplasm, composed of follicle center cells, that accounts for about 20% of all lymphomas, with the highest incidence reported in the USA and western Europe. FL has been considered a virtually incurable disease, with a high response rate alternated with frequent post-therapy relapses or progression towards more aggressive lymphomas. Due to the extreme variability in outcome, many efforts were made to predict prognosis, the need for therapy, and the likelihood of evolution. Even if clinical scores turned out to be robust and easy to use in clinical practice for patient risk stratification, marked heterogeneity in outcome remains within each group and further insights into the biology of FL are needed. The genome-wide approach underscored the pivotal role of the FL microenvironment in the evolution of the disease. In 2004, a landmark study by Dave et al. first described the microenvironment impact on tumor biology. By gene expression profiling they identified two different immune response signatures, involving T-cells and macrophages which seemed to independently predict FL outcome, but their exact is not completely understood and different studies led to variable results. Subsequently, many workgroups identified in amount and distribution pattern of these different cell subsets features which can impact prognosis, this leading to hypothesizing the use of these parameters as surrogate markers of the molecular signature. We aimed to assess the possible contributions of micro-environmental components to FL transformation or progression, its relevance as a prognostic/predictive tool, and its potential role as an innovative therapeutic target. We used immunohistochemical techniques, focusing specifically on macrophages and T-cells subsets, and then found correlations between the presence, proportions, and distribution of these reactive cells and the clinical outcomes leading to the future development of a reliable tool for upfront risk stratification of patients affected by FL.

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This study aimed at evaluating the functional activation and activating receptors expression on resting, short- and long-term NK and NK-like T cells from blood of ovarian neoplasia patients. Blood from patients with adnexal benign alterations (n = 10) and ovarian cancer (grade I-IV n = 14) were collected after signed consent. Effector cells activation was evaluated by the expression of the CD107a molecule. Short-term culture was conducted overnight with IL-2 and long-term culture for 21 days, by a method designed to expand CD56(+) lymphocytes. Short-term culture significantly increased NK cells activation compared to resting NK cells (p<0.05), however, the long-term procedure supported an even higher increase (p<0.001). Resting NK-like T cells showed poor activation, which was not altered by the culture procedures. The long-term culture effectively increased the expression of the activating receptors on NK and NK-like T cells, either by increasing the number of cells expressing a given receptor and/or by up-regulating their expression intensity. As a conclusion, the long-term culture system employed, resulted in a high number of functional NK cells. The culture system was particularly efficient on the up-regulation of NKp30 and DNAM-1 receptors on NK cells.

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To verify whether fluorescence in situ hybridization (FISH) of cells from the buccal epithelium could be employed to detect cryptomosaicism with a 45,X lineage in 46,XY patients. Samples of nineteen 46,XY healthy young men and five patients with disorders of sex development (DSD), four 45,X/46,XY and one 46,XY were used. FISH analysis with X and Y specific probes on interphase nuclei from blood lymphocytes and buccal epithelium were analyzed to investigate the proportion of nuclei containing only the signal of the X chromosome. The frequency of nuclei containing only the X signal in the two tissues of healthy men did not differ (p = 0.69). In all patients with DSD this frequency was significantly higher, and there was no difference between the two tissues (p = 0.38), either. Investigation of mosaicism with a 45,X cell line in patients with 46,XY DSD or sterility can be done by FISH directly using cells from the buccal epithelium.

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The Ophira Mini Sling System involves anchoring a midurethral, low-tension tape to the obturator internus muscles bilaterally at the level of the tendinous arc. Success rates in different subsets of patients are still to be defined. This work aims to identify which factors influence the 2-year outcomes of this treatment. Analysis was based on data from a multicenter study. Endpoints for analysis included objective measurements: 1-h pad-weight (PWT), and cough stress test (CST), and questionnaires: International Consultation on Incontinence Questionnaire-Short Form (ICIQ-SF) and Urinary Distress Inventory (UDI)-6. A logistic regression analysis evaluated possible risk factors for failure. In all, 124 female patients with stress urinary incontinence (SUI) underwent treatment with the Ophira procedure. All patients completed 1 year of follow-up, and 95 complied with the 2-year evaluation. Longitudinal analysis showed no significant differences between results at 1 and 2 years. The 2-year overall objective results were 81 (85.3%) patients dry, six (6.3%) improved, and eight (8.4%) incontinent. A multivariate analysis revealed that previous anti-incontinence surgery was the only factor that significantly influenced surgical outcomes. Two years after treatment, women with previous failed surgeries had an odds ratio (OR) for treatment failure (based on PWT) of 4.0 [95% confidence interval (CI) 1.02-15.57). The Ophira procedure is an effective option for SUI treatment, with durable good results. Previous surgeries were identified as the only significant risk factor, though previously operated patients showed an acceptable success rate.