995 resultados para Iberian massif


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Forma part de: "Un conjunt de materials d'època tardo-republicana de la ciutat romana de Pollentia (Alcúdia, Mallorca)"

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El objetivo de este trabajo es la edición de una nueva inscripción funeraria ibérica hallada en Civit (Tarragona). El estudio de la estructura formular del texto permite postular una hipótesis provisional de interpretación de su contenido: el nombre del muerto con mención a la filiación, una referencia tal vez a su edad y finalmente al nombre del dedicante.

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The purpose of this work is to analyze a false Iberian inscription found in the MNAT. The study of archaeological, epigraphical and palaeographical elements shows that the inscription is a xmth Century falsification.

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L'objectiu d'aquest treball és reivindicar l'autenticitat d'una inscripció ibèrica conservada al MNAT des de temps antic i condemnada sense causa justificada.

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Los trabajos de Joan Maluquer de Motes dedicados directamente a las lenguas y epigrafías paleohispánicas son relativamente poco numerosos, sobre todo si se ponen en comparación con la abundancia de su producción científica en otros dominios. Además, muy raras veces entran de lleno en el ámbito de la lingüística, aspecto poco menos que fundamental cuando se trata, como es el caso, de lenguas in descifradas o de conocimiento muy deficiente. Y, pese a lo dicho, más de treinta años después de publicada la Epigrafía prelatina de la Península Ibérica, pocas contribuciones a los estudios paleohispánicos pueden considerarse tan lúcidas para su tiempo y, lo que es más importante, tan vigentes todavía en el nuestro.

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A new species of janiridean isopod, Austrofilius mediterraneus sp. nov., from the Columbretes Islands (Castellón de la Plana), Mediterranean coast of the Iberian Peninsula, is described, given it is the first record of the genus in the Northern Hemisphere. It is mainly distinguished from the other two species of the genus by the male pleopod 1, which is wider at the apex and with hooked lateral lobes, curved and nearly surpassing medial lobes. Furthermore, the female operculum shows only four distolateral setae. The rostrum of Austrofilius mediterraneus sp. nov. is extended into single frontolateral tips but is shorter than in A. furcatus Hodgson, 1910.

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Se han medido las variables métricas de la dentición del yacimiento de época mesolítica (7500-6500 a.C.), procedentes del yacimiento de La Oliva (Valencia) y se han comparado con las de otras poblaciones prehistóricas. Estas variables permiten situar esta población en el contexto europeo y extrapolar, mediante el análisis de árboles filogenéticos, los movimientos y relaciones poblacionales del Neolítico en Europa. De esta forma se observa que La Oliva forma parte de un antiguo grupo poblacional ancestral, bastante distanciado de las poblaciones mesolíticas contemporáneas del resto de Europa y de las poblaciones neolíticas posteriores. Parece, a su vez, que estas poblaciones neolíticas las substituirían casi completamente sin mestizaje aparente. Estos resultados se han contrastado y contrastado mediante análisis de variables métricas craneales.

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La pierre et l'image. Etude monographique de l'église de Saint-Chef en Dauphiné: L'ancienne abbatiale de Saint-Chef-en-Dauphiné est située dans l'Isère, à 10 km de Bourgoin-Jallieu et à 2 km de l'ancienne voie romaine qui joignait Vienne à Aoste par le col du Petit-Saint-Bernard. L'abbaye dépendait, dès sa fondation, des archevêques de Vienne, dont la cité se trouvait à 70 km plus à l'ouest. Selon le récit de l'archevêque Adon de Vienne, écrit à la fin du IXe siècle, l'abbaye de Saint-Chef aurait été fondée au cours du VIe siècle par saint Theudère sur un territoire appartenant à sa famille, le Val Rupien. D'abord dédié à la Vierge le monastère est placé, dès l'époque carolingienne, sous le double patronage de la Vierge et du saint fondateur, dont les reliques furent déposées dans l'église. Sans doute détruite et abandonnée lors des guerres bosonides qui provoquèrent la ruine de Vienne (882), l'abbaye est restaurée quelques années plus tard par des moines venus de Champagne : en 887 les moines de Montier-en-Der, fuyant leur abbaye menacée par les invasions normandes, trouvent refuge à Saint-Chef. Afin de promouvoir la reconstruction de l'abbaye, l'archevêque Barnoin, soutenu par Louis l'Aveugle, roi de Bourgogne, lui offrent des privilèges d'exemption et plusieurs donations. Signe de la renommée et de la prospérité dont bénéficiait alors le monastère, Hugues, héritier de Louis l'Aveugle, y reçoit son éducation. Vers 925 ou 926, alors que la Champagne est à. nouveau pacifiée, les moines de Montier-en-Der regagnent leur abbaye d'origine après avoir reconstruit, selon les sources, le « petit monastère de Saint-Chef ». L'abbaye dauphinoise n'est pas pour autant abandonnée et reste vraisemblablement en contact avec les moines champenois : en 928, Hugues de Provence fait des donations importantes d l'abbaye qui est alors formellement placée sous la juridiction de l'Eglise de Vienne. En 962, le Viennois est intégré au royaume de Bourgogne puis, en 1032, au domaine impérial. Construction de l'abbaye : Après le départ des moines de Montier-en-Der, l'église dauphinoise a vraisemblablement été reconstruite par saint Thibaud, archevêque de Vienne entre 970 et l'an mil. Ayant peut-être reçu son éducation dans l'abbaye dauphinoise, il est enterré dans l'église qui, selon certaines sources, associe dès lors son patronage à celui du saint fondateur. Elevée en petit appareil irrégulier, la nef actuelle de l'église de Saint-Chef pourrait appartenir à cette phase de construction de l'église. Fils du comte Hugues de Vienne qui possédait d'importants territoires autour de Saint-Chef, Thibaud était aussi lié aux comtes de Troyes et de Champagne : ce sont ces liens qui expliquent la présence répétée de l'archevêque en Champagne et dans la région de Montier-en-Der. Or, à la même époque, l'église champenoise est reconstruite par le célèbre Adson, abbé de 968 à 992. Des ressemblances entre cette construction et celle de Saint-Chef suggèrent la réalisation, au Xe siècle, de deux églises-soeurs. L'église préromane de Montier-en-Der possédait, à. l'ouest, un massif à double étage et l'est, des tours jumelles s'élevant au-dessus des deux chapelles latérales entourant l'abside. Ce plan présente plusieurs points de comparaison avec l'église actuelle de Saint-Chef : on constate en particulier une équivalence au niveau des dimensions (largeur-longueur des nefs et le diamètre de l'abside), un choix identique pour l'emplacement du choeur et des entrées secondaires : à l'extrémité ouest du bas-côté nord et à l'extrémité orientale du bas-côté sud. Ces analogies nous aident à. restituer le plan de Saint-Chef, tel qu'il pouvait apparaître du temps de Thibaud : la partie orientale de l'église, alors élevée en petit appareil irrégulier comme la nef actuelle, était sans doute dépourvue de transept ; à l'image de l'église champenoise, des tours jumelles pouvaient toutefois s'élever au-dessus des deux chapelles orientales. Si notre hypothèse est exacte, le parti architectural adopté à Saint-Chef comme à Montier¬en-Der correspond au plan des églises monastiques réformées au Xe siècle par les abbayes de Fleury et de Gorze (dès 934). Dans ce type d'églises que l'on rencontre essentiellement dans l'ancienne Lotharingie, mais aussi dans une région proche de Saint-Chef, en Savoie, les tours orientales possédaient, à l'étage, des tribunes qui donnaient sur le choeur. La forme caractéristique de ces églises est déterminée par l'observance de coutumes liturgiques communes aux abbayes réformées. Ainsi, la règle établie par la réforme indiquait la nécessité d'espaces surélevés situés à l'est et à l'ouest de l'église : ces espaces avaient pour fonction d'accueillir les choeurs des moines dont les chants alternaient avec ceux des moines réunis au niveau inférieur, devant le sanctuaire. Par la suite, sans doute en raison de nouvelles pratiques liturgiques, la partie orientale de l'église de Saint-Chef, reconstruite en moyen appareil régulier, est augmentée d'un transept à quatre chapelles latérales. Les deux tours, si elles existaient, sont détruites pour être reconstruites aux extrémités du transept, abritant des chapelles hautes qui donnaient sur les bras du transept et le choeur. La vision latérale entre les deux tribunes est alors favorisée par l'alignement des baies des tribunes et des arcades du transept. Grâce à ce système d'ouverture, les choeurs des moines se voyaient et s'entendaient parfaitement. Ce système de tribunes orientales apparaît dans certaines églises normandes du XIe siècle ou dans d'autres églises contemporaines qui semblent s'en inspirer, telles que la cathédrale du Puy ou l'abbatiale de Saint-Sever-sur-l'Adour. L'importance croissante des chants alternés dans les offices semble avoir favorisé l'émergence d'une telle architecture. L'étude du décor sculpté, et notamment des chapiteaux ornant les différentes parties de l'édifice, permet de dater les étapes de transformation de l'abbatiale. L'aménagement des chapelles orientales semble remonter à la première moitié du XIe siècle ; l'installation des piliers soutenant le transept et les deux tours de l'édifice est datable des années 1060-1080. Par la suite, sans doute du temps de Guillaume de la Tour-du-Pin, archevêque de Vienne entre 1165 et 1170, le transept et la croisée sont surélevés et voûtés et des fenêtres viennent ajourer le mur pignon oriental. Les indices de datation tardives, rassemblés au niveau supérieur du transept, ont été utilisés par les spécialistes de l'architecture, tels Raymond Oursel et Guy Barruol, pour dater l'ensemble de l'église du XIIe siècle. Pourtant, dans d'autres études, Otto Demus, Paul Deschamp et Marcel Thiboud dataient les peintures de Saint-Chef de la seconde moitié du XIe siècle, soit un demi-siècle au moins avant la datation proposée pour l'élévation architecturale. Cette contradiction apparente se trouve désormais résolue par la mise en évidence de phases distinctes de construction et de transformations de l'édifice. Les peintures : Le décor peint de l'abbatiale est conservé dans trois chapelles du transept : dans la chapelle Saint-Theudère, à l'extrémité sud du transept, dans la chapelle Saint-Clément, à son autre extrémité, et dans la chapelle haute s'élevant au-dessus de celle-ci. Selon une dédicace peinte derrière l'autel, cette chapelle est dédiée au Christ, aux archanges et à saint Georges martyr. L'analyse stylistique permet de dater les peintures du troisième ou du dernier quart du XIe siècle : leur réalisation semble donc succéder immédiatement à l'élévation du transept et des deux tours que l'on situe, on l'a vu, dans les années 1060-1080. Au cours de cette étude, on a aussi relevé la parenté des peintures avec des oeuvres normandes et espagnoles : ces ressemblances s'affirment par certaines caractéristiques de style, mais aussi par le traitement de l'espace. Par exemple, l'alignement des anges sur la voûte, ou des élus sur le mur ouest de la chapelle haute de Saint-Chef, rappellent certains Beatus du XIe siècle, tels que celui de Saint-Sever antérieur à 1072. Dans la chapelle haute, la hiérarchie céleste est distribuée par catégories autour du Christ, représenté au centre de la voûte ; cette disposition se retrouve à Saint-Michel d'Aiguilhe au Xe siècle, ainsi que dans le premier quart du XIIe siècle à Maderuelo en Catalogne et à Fenouilla en Roussillon. D'autres rapprochements avec des oeuvres ottoniennes et carolingiennes ont aussi été observés, ainsi qu'avec certaines enluminures d'Ingelard, moine à Saint-Germain des Prés entre 1030 et 1060. L'iconographie: Le sens de l'image avait donné lieu à quelques études ponctuelles. Cette thèse a permis, d'une part, la mise en évidence d'un unique programme iconographique auquel participent les peintures des trois chapelles de l'abbatiale et, d'autre part, la découverte des liens entre le choix iconographique de Saint-Chef et certaines sources littéraires. Ces rapports ont par exemple été relevés pour la figure de l'ange conduisant saint Jean à la Jérusalem céleste, sur le voûtain ouest de la chapelle haute. La figure très soignée de l'ange, portant les mêmes vêtements que le Christ peint au centre de la voûte, présente sur son auréole quelques traces sombres qui devaient à l'origine dessiner une croix : ce détail fait de l'ange une figure du Christ, figure qui apparaît dans certaines exégèses apocalyptiques telles que le Commentaire d'Ambroise Autpert au Ville siècle, celui d'Haymon d'Auxerre au IXe siècle ou, au début du XIIe siècle, de Rupert de Deutz. Pour Ambroise Autpert, l'ange guidant saint Jean est une image du Christ amenant l'Eglise terrestre à la Jérusalem céleste, à laquelle elle sera unie à la fin des temps. Les deux figures symboliquement unies par le geste du Christ empoignant la main de saint Jean est une image du corps mystique de Jésus, le corps étant l'Eglise et la tête, le Christ qui enseigne aux fidèles. L'iconographie des peintures de la chapelle haute est centrée autour de l'oeuvre de Rédemption et des moyens pour gagner le salut, la Jérusalem céleste étant le lieu de destination pour les élus. Au centre de la voûte, le Christ présente ses deux bras écartés, en signe d'accueil. Sur le livre ouvert qu'il tient entre les genoux, les mots pax vobis - ego sum renvoient aux paroles prononcées lors de son apparition aux disciples, après sa Résurrection et au terme de son oeuvre de Rédemption. A ses pieds, sur le voûtain oriental, la Vierge en orante, première médiatrice auprès de son Fils, intercède en faveur des humains. Grâce au sacrifice du Christ et à travers la médiation de la Vierge, les hommes peuvent accéder à la Jérusalem céleste : les élus sont ici représentés sur le dernier registre du mur ouest, directement sous la Jérusalem ; un cadre plus sombre y indique symboliquement l'accès à la cité céleste. A l'autre extrémité du voûtain, Adam et Eve sont figurés deux fois autour de l'arbre de la connaissance : chassés du paradis, ils s'éloignent de la cité ; mais une fois accomplie l'oeuvre de Rédemption, ils peuvent à nouveau s'acheminer vers elle. Les peintures de la chapelle inférieure participent elles aussi au projet iconographique de la Rédemption. Sur la voûte de la chapelle, les quatre fleuves paradisiaques entouraient à l'origine une colombe. Selon l'exégèse médiévale, ces fleuves représentent les quatre temps de l'histoire, les vertus ou les quatre évangiles, diffusés aux quatre coins de la terre. Selon une tradition littéraire et iconographique d'origine paléochrétienne, ce sont aussi les eaux paradisiaques qui viennent alimenter les fonts baptismaux : l'association de la colombe, figure du Saint-Esprit et des fleuves du paradis suggère la présence, au centre de la chapelle, des fonts baptismaux. L'image de la colombe se trouve, on l'a vu, dans le prolongement vertical du Christ ressuscité, représenté au centre de la voûte supérieure. Or, selon une tradition qui remonte à Philon et Ambroise de Milan, la source des quatre fleuves, de la Parole divine diffusée par les quatre Evangiles, c'est le Christ. Dans son traité sur le Saint-Esprit, l'évêque de Milan place à la source de l'Esprit saint l'enseignement du Verbe fait homme. Il ajoute que lorsqu'il s'était fait homme, le Saint-Esprit planait au-dessus de lui ; mais depuis la transfiguration de son humanité et sa Résurrection, le Fils de Dieu se tient au-dessus des hommes, à la source du Saint-Esprit : c'est la même logique verticale qui est traduite dans les peintures de Saint-Chef, le Christ ressuscité étant situé au-dessus du Saint-Esprit et des eaux paradisiaques, dans la chapelle haute. Si les grâces divines se diffusent de la source christique aux hommes selon un mouvement descendant, l'image suggère aussi la remontée vers Dieu : en plongeant dans les eaux du baptême, le fidèle initie un parcours qui le ramènera à la source, auprès du Christ. Or, cet ascension ne peut se faire qu'à travers la médiation de l'Eglise : dans la chapelle Saint-Clément, autour de la fenêtre nord, saint Pierre et Paul, princes de l'Eglise, reçoivent la Loi du Christ. Dans la chapelle supérieure, ici aussi autour de la fenêtre septentrionale, deux personnifications déversaient les eaux, sans doute contenues dans un vase, au-dessus d'un prêtre et d'un évêque peints dans les embrasures de la fenêtre : c'est ce dont témoigne une aquarelle du XIXe siècle. Ainsi baignés par l'eau vive de la doctrine, des vertus et des grâces issue de la source divine, les représentants de l'Eglise peuvent eux aussi devenir sources d'enseignement pour les hommes. Ils apparaissent, en tant que transmetteurs de la Parole divine, comme les médiateurs indispensables entre les fidèles et le Christ. C'est par les sacrements et par leur enseignement que les âmes peuvent remonter vers la source divine et jouir de la béatitude. Si l'espace nord est connoté de manière très positive puisqu'il est le lieu de la représentation théophanique et de la Rédemption, les peintures de la chapelle sud renvoient à un sens plus négatif. Sur l'intrados d'arc, des monstres marins sont répartis autour d'un masque barbu aux yeux écarquillés, dont les dents serrées laissent échapper des serpents : ce motif d'origine antique pourrait représenter la source des eaux infernales, dont le « verrou » sera rompu lors du Jugement dernier, à la fin des temps. La peinture située dans la conque absidale est d'ailleurs une allusion au Jugement. On y voit le Christ entouré de deux personnifications en attitude d'intercession, dont Misericordia : elle est, avec Pax, Justifia et Veritas, une des quatre vertus présentes lors du Jugement dernier. Sur le fond de l'absidiole apparaissent des couronnes : elles seront distribuées aux justes en signe de récompense et de vie éternelle. L'allusion au Jugement et à l'enfer est la vision qui s'offre au moine lorsqu'il gagnait l'église en franchissant la porte sud du transept. S'avançant vers le choeur où il rejoignait les stalles, le moine pouvait presque aussitôt, grâce au système ingénieux d'ouvertures que nous avons mentionné plus haut, contempler les peintures situées sur le plafond de la chapelle haute, soit le Christ en attitude d'accueil, les anges et peut-être la Jérusalem céleste ; de là jaillissaient les chants des moines. De façon symbolique, ils se rapprochaient ainsi de leurs modèles, les anges. Dans ce parcours symbolique qui le conduisait de la mer maléfique, représentée dans la chapelle Saint¬Theudère, à Dieu et aux anges, les moines pouvaient compter sur les prières des intercesseurs, de la Vierge, des anges et des saints, tous représentés dans la chapelle haute. A Saint-Chef, l'espace nord peut-être assimilé, pour plusieurs aspects, aux Westwerke carolingiens ou aux galilées clunisiennes. Les massifs occidentaux étaient en effet le lieu de commémoration de l'histoire du salut : sites Westwerke étaient surtout le lieu de la liturgie pascale et abritaient les fonts baptismaux, les galilées clunisiennes étaient réservées à la liturgie des morts, les moines cherchant, par leurs prières, à gagner le salut des défunts. A l'entrée des galilées comme à Saint-Chef, l'image du Christ annonçait le face à face auquel les élus auront droit, à la fin des temps. Elevée au Xe siècle et vraisemblablement transformée dans les années 1060-1080, l'église de Saint-Chef reflète, par son évolution architecturale, celle des pratiques liturgiques ; son programme iconographique, qui unit trois espaces distincts de l'église, traduit d'une manière parfois originale les préoccupations et les aspirations d'une communauté monastique du XIe siècle. On soulignera toutefois que notre compréhension des peintures est limitée par la perte du décor qui, sans doute, ornait l'abside et d'autres parties de l'église ; la disparition de la crypte du choeur nuit aussi à l'appréhension de l'organisation liturgique sur cette partie de l'édifice. Seules des fouilles archéologiques ou la découverte de nouvelles peintures pourront peut-être, à l'avenir, enrichir l'état de nos connaissances.

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We sequenced 998 base pairs (bp) of mitochondrial DNA cytochrome b and 799 bp of nuclear gene BRCA1 in the Lesser white-toothed shrew (Crocidura suaveolens group) over its geographic range from Portugal to Japan. The aims of the study were to identify the main clades within the group and respective refugia resulting from Pleistocene glaciations. Analyses revealed the Asian lesser white-toothed shrew (C. shantungensis) as the basal clade, followed by a major branch of C. suaveolens, subdivided sensu stricto into six clades, which split-up in the Upper Pliocene and Lower Pleistocene (1.9-0.9 Myr). The largest clade, occurring over a huge range from east Europe to Mongolia, shows evidence of population expansion after a bottleneck. West European clades originated from Iberian and Italo-Balkanic refugia. In the Near East, three clades evolved in an apparent hotspot of refugia (west Turkey, south-west and south-east of the Caucasus). Most clades include specimens of different morphotypes and the validity of many taxa in the C. suaveolens group has to be re-evaluated.

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Se estudia la variabilidad de los caracteres utilizados tradicionalmente en la taxonomía de los afínes Verbascum blattaria L. y V. virgatum Stokes, sobre la base de materiales procedentes de la Península Ibérica. El estudio comparado de ambas entidades ha comportado la creación de un nuevo taxon: V. virgatum Stokes subsp. dertosense Benedí and Rovira, restringido por ahora a las montañas tarraconenses de los Ports de Beseit (Horta de Sant Joan, Tarragona).

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Els resultats de l'estudi arqueobotànic realitzat sobre diferents àmbits de l'assentament de Sant Jaume aporta noves dades al coneixement de la gestió dels recursos vegetals de la protohistòria del nordest peninsular. El registre arqueològic constata una certa homogeneïtzació en la funcionalitat dels àmbits, que s'interpreten com a magatzems en el pis superior i espais d'estabulació a l'inferior. L'àmbit millor representat és l'A4, que conserva com a fet singular un elevat nombre de restes de llavors i fruits amb molt bon estat de conservació. Els tàxons conreats més importants són la pisana (Triticum dicoccum) i les guixes i guixols (Lathyrus sativus i Lathyrus cicera), seguits d¿una menor proporció d'ordi vestit (Hordeum vulgare), blat nu (comú/dur) (Triticum aestivum/durum), pèsol (Pisum sativum), llentia (Lens culinaris) i erb (Vicia ervilia). D'altra banda, el registre arqueobotànic del pis inferior de l'àmbit A4 sembla posar en evidència la presència de l¿associació de pisana i guixa, destinada a l'alim.

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A very accurate archaeological dating of a Roman site in NE Spain (El Vila-sec) was made based on the typology of pottery artifacts. Three different phases were identifi ed with activity ranging from the mid- 1st century BC to the early-3rd century AD. Analyses of bricks from kilns at El Vila-sec produced data on their stored archaeomagnetic vector. These data were compared with the secular variation curve for the Iberian Peninsula and the SCHA.DIF.3K regional archaeomagnetic model. Both, the reference curve and the model, produced probability distributions for the final period of use for two kilns from the second archaeological phase that were not used during the third phase. At a 95% con fidence level, both time distributions cover a wide chronological range including the presumed archaeological age. Both the Iberian secular variation curve and the SCHA.DIF.3K regional model proved to be suitable models for dating the site, although on their own they do not produce a single unambiguous solution. This archaeomagnetic approach could also be applied to neighbouring archaeological sites that have an imprecise archaeological age.

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Feeding of the different developmental stages of Calanipeda aquaedulcis on natural particles (bacterio-, phyto- and microzooplankton) was measured in a Mediterranean salt marsh (Empordà wetlands, NE Iberian Peninsula). Bottle incubations were performed in the field both in autumn and spring. The results showed differences in the diet of the different developmental stages due to both prey type and size. In general, the size of the ingested prey increased with increasing size of the C. aquaedulcis stage. While C. aquaedulcis adults had high ingestion rates and selection coefficients for large prey (micro- and nanoplankton), nauplii preferentially consumed smaller prey items (picoplankton). Copepodites showed the widest prey size range, including pico-, nano- and microplankton. Nevertheless, the lower size limit for particle capture was similar for all stages, i.e. between 1.7 and 2.1 μm. Omnivory was observed in all stages of C. aquaedulcis. Heterotrophic prey (picoplankton, dinoflagellates and ciliates) were the most ingested items. The ability to partition the available food among the different developmental stages could represent an advantage in times of ood scarcity because it may reduce intraspecific competition. This may explain how C. aquaedulcis is able to predominate in the zooplankton community for several weeks during spring and summer ven in situations of low food availability

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Aquest article estudia la recepció a Catalunya d’una de les fundadores del pensament feminista contemporani: Juliet Mitchell. Les contribucions d’aquesta autora van ser fonamentals per a establir els límits de la relació entre el feminisme, el socialisme i la psicoanàlisi als anys setanta. Un dels seus llibres més importants, Woman’s State, es va publicar l’any 1971. En disposem d’una traducció catalana realitzada per Josep Vallverdú, sis anys després: La condició de la dona; el mateix any es va publicar La condición de la mujer, amb traducció de Julieta Diéguez Garza (es tracta d’una reedició per a la península d’una primera edició realitzada a Mèxic l’any 1974). En aquest estudi s’analitza la traducció catalana i es reflexiona sobre la seva importància en un context en què calia abastir de clàssics l’incipient teixit associatiu feminista.

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En aquest treball s'exposen els resultats obtinguts en la campanya 1994 d'anellament d'ocells inclosa dins del projecte italià Piccole Isole. Es demostra que el factor meteorològic afecta directament la fenologia migratòria de diferents espècies d'ocells. Es pretén també estudiar la influència dels diferents hàbitats en el nombre i en la diversitat de captures. Es recullen també en aquest treball les principals espècies visualitzades durant la campanya, com també l'elevat nombre de controls estrangers recuperats. Dintre de les captures i l'anellament posterior, destaca sobretot la d'un becadell gros (Gallinago media) fets per primera vegada a la peninsula Ibèrica