974 resultados para Government relations
Resumo:
The IPERB newsletter is published by the Public Employment Relations Board. The opinions expressed should not be considered official opinions of the Iowa PERB.
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The IPERB newsletter is published by the Public Employment Relations Board. The opinions expressed should not be considered official opinions of the Iowa PERB.
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The IPERB newsletter is published by the Public Employment Relations Board. The opinions expressed should not be considered official opinions of the Iowa PERB.
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The IPERB newsletter is published by the Public Employment Relations Board. The opinions expressed should not be considered official opinions of the Iowa PERB.
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The State Government Reorganization Commission asked the Department of Administrative Services (DAS) to provide answers to questions pertaining to process improvements, and efficiencieswith the intent of reducing costs and discovering greater government efficiency.
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Final Report of the Governor's Committee on Government Spending, 1996. The Governor reconvened the Fisher Commission to see what could be done to maintain the fiscal discipline that had been evident since the State spending reforms were put in place, 1992.
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The objective of this paper is to explore the relative importance of each of Marshall's agglomeration mechanisms by examining the location of new manufacturing firms in Spain. In particular, we estimate the count of new firms by industry and location as a function of (pre-determined) local employment levels in industries that: 1) use similar workers (labor market pooling); 2) have a customer- supplier relationship (input sharing); and 3) use similar technologies (knowledge spillovers). We examine the variation in the creation of new firms across cities and across municipalities within large cities to shed light on the geographical scope of each of the three agglomeration mechanisms. We find evidence of all three agglomeration mechanisms, although their incidence differs depending on the geographical scale of the analysis.
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[spa] El objetivo de este trabajo es analizar si los municipios españoles se ajustan en presencia de un shock presupuestario y (si es así) qué elementos del presupuesto son los que realizan el ajuste. La metodología utilizada para contestar estas preguntas es un mecanismo de corrección del error, VECM, que estimamos con un panel de datos de los municipios españoles durante el período 1988-2006. Nuestros resultados confirman que, en primer lugar, los municipios se ajustan en presencia de un shock fiscal (es decir, el déficit es estacionario en el largo plazo). En segundo lugar, obtenemos que cuando el shock afecta a los ingresos el ajuste lo soporta principalmente el municipio reduciendo el gasto, las transferencias tienen un papel muy reducido en este proceso de ajuste. Por el contrario, cuando el shock afecta al gasto, el ajuste es compartido en términos similares entre el municipio – incrementado los impuestos – y los gobiernos de niveles superiores – incrementando las transferencias. Estos resultados sugieren que la viabilidad de las finanzas pública locales es factible con diferentes entornos institucionales.
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[cat] Diversos arguments derivats de la teoria del federalisme fiscal suggereixen que la descentralització pot portar a majors nivells d’eficiència en la provisió de béns i serveis publics. L’objectiu d’aquest estudi és contrastar aquesta hipòtesi mitjançant l’avaluació dels efectes de la descentralització sobre els resultats educatius a Espanya. Els resultats educatius es mesuren d’acord amb la taxa de supervivència, que es defineix com el nombre d’estudiants que es matricula en educació secundària no obligatòria en relació als alumnes matriculats a l’últim curs d’educació obligatòria durant l’any acadèmic anterior.
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Report of recommendations to the Public Employment Relations Board for the year ending, June 30, 2010
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Résumé Cette recherche analyse les transformations de la gouvernance d'entreprise et des relations industrielles entre 1970 et 2008 dans le contexte suisse, en mettant l'accent sur les changements survenus depuis les années 1990. Elle se centre sur le secteur de l'industrie des machines, de l'électrotechnique et de la métallurgie -noyau historique du capitalisme helvétique et principal employeur et exportateur industriel du pays - et discute l'hypothèse de la convergence des économies coordonnées vers le modèle libéral. Elle examine d'abord les formes de coordination hors-marché qui se sont consolidées entre les élites économiques suisses au cours de la période d'après-guerre. Les stratégies d'innovation incrémentale des grandes sociétés étaient soutenues par une gouvernance marquée par la faible pression des marchés des capitaux, en raison notamment de la forte concentration de l'actionnariat, de mécanismes protectionnistes en matière d'accès au contrôle des sociétés, ainsi que d'une grande interdépendance entre banques et entreprises. Cette interdépendance apparaît dans la forte densité du réseau d'interconnexions des Conseils d'administration, où les principales banques tiennent une place centrale. Le réseau met également en relation les sociétés du secteur entre elles, ainsi qu'avec des firmes actives sur d'autres marchés, ce qui témoigne de l'irréductibilité des stratégies industrielles à une pure logique de compétition centrée sur les marchés. Les stratégies à long terme du management peuvent également s'appuyer sur un système pacifié de relations industrielles, caractérisé par l'autorégulation des acteurs privés dans le cadre d'un partenariat social de branche entre des associations aux stratégies modérées, « néocorporatistes ». Nous analysons alors l'impact de la libéralisation et de la financiarisation de l'économie suisse sur la coordination des élites économiques durant les années 1990. Nous montrons que l'affirmation des fonds d'investissement a déstabilisé le système traditionnel de gouvernance d'entreprise. Ce dernier a ainsi été marqué par l'émergence d'un marché pour le contrôle de l'entreprise -fin du «capital patient » -, la dissolution de l'interdépendance entre banques et industries et plus globalement des formes de coordination hors-marché reposant sur le réseau d'interconnexions des Conseils d'administration, ainsi que par de profondes restructurations des grandes sociétés orientées vers la création de richesse pour les actionnaires. La recherche explore alors les logiques d'interactions entre la sphère de la gouvernance d'entreprise et celle des relations industrielles, l'affirmation du capital financier faisant pression sur le partenariat social dans le sens d'une flexibilisation et déréglementation du marché du travail. Par ailleurs, nous mettons en perspective le rôle central des élites dans le changement institutionnel. Loin de subir la pression des actionnaires, les préférences d'une nouvelle élite managériale au profil financier ont convergé avec les intérêts des investisseurs dans le processus de financiarisation. Ces préférences ont également participé à l'érosion du partenariat social de branche. Du côté syndical, l'émergence -ici aussi - d'une nouvelle élite, académique et issue de la gauche politique, au cours des années 1990, a remis en cause les recettes de l'ancienne génération de syndicalistes ouvriers. La principale association du secteur a ainsi diversifié ses registres d'action en investissant la sphère politique et en relativisant la paix absolue du travail, deux stratégies activement rejetées par le syndicat au cours du régime de croissance d'après-guerre. Tout en mettant la sociologie des élites au service d'une meilleure compréhension des processus de changement institutionnel dans les capitalismes contemporains, cette recherche souligne des logiques de changement différentes dans les sphères sous revue :changement disruptif dans la gouvernance d'entreprise, incrémentai dans les relations industrielles. L'analyse s'est appuyée sur le croisement de différentes méthodes : analyse documentaire, entretiens semi-directifs, analyse du parcours et profil des élites, analyse de réseau, études de cas.