1000 resultados para Bibliothèques universitaires


Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

« Notices sur quelques manuscrits arabes, par M. Woepke (fol. 1) ; — Notices sur quelques mss. sanscrits, par M. Fauriel (fol. 6) ; — Notices sur quelques mss. sanscrits (fol. 40) ; — Notices sur quelques mss. sanscrits en caractère bengali, par M. Loiseleur Deslongchamps (fol. 58) ; — Notices sur quelques mss. arabes, par M. Hassler (fol. 94) ; — Notices sur quelques mss. arabes, par M. Reinaud (fol. 99) ; — Catalogue des mss. orientaux de l'ancienne maison de la Sorbonne, par M. Reinaud (fol. 126) ; — Catalogue des mss. orientaux de l'ancien couvent de l'Oratoire, par M. Reinaud (fol. 136) ; — Catalogue des mss. orientaux des différentes bibliothèques publiques de Paris (fol. 146) ; — Liste des livres et des mss. orientaux venus d'Alger et adressés à la Bibliothèque royale, le 30 nov. 1832 (fol. 152) ; — Note de quelques mss. orientaux appartenant à M. Wahl (fol. 156) ; — Mss. orientaux provenant de feu M. Schultz (fol. 157 et 159) ; — Mss., papiers et autres objets provenant de feu M. Schultz (fol. 163) ; — Collection Asselin (fol. 165 et 270) ; — Lettres et pièces relatives au fonds Asselin (fol. 263) ; — Mss. arabes, persans, samskrits et hindous tanys, cédés à la Bibliothèque du Roi par M. de Polier (fol. 291 et 293) ; — Évaluation de 47 mss. arabes, persans, maures, bengalis, etc., provenant de feu Ouessant, interprète de la Compagnie de Pondichéry (fol. 295) ; — Mss. arabes, turcs et persans de M. Ducaurroy (fol. 298) ; — Collection des mss. orientaux appartenant à la succession de feu M. le baron Rousseau, consul général à Tripoly de Barbarie (fol. 303) ; — Liste des mss. tamouls cédés à la Bibliothèque du Roi par M. Ducler (fol. 309) ; — Liste des mss. tamouls donnés à la Bibliothèque du Roi par M. Reydelet (fol. 311) ; — Mss, arabes et berbères de M. Delaporte père, 4848 (fol. 314) ; — État sommaire de quelques mss. réputés venir de feu M. Huet,... trouvés dans la maison Kerboeuf (fol. 323) ; — Mss. orientaux distraits du fonds Renaudot (fol. 324) ; — Mss. arabes rapportés d'Égypte par le citoyen Raiye (fol. 325) ; — Cinq volumes arabes mss. offerts à la Bibliothèque royale par S. A. R. Mgr le duc de Nemours (fol. 326) ; — Liste des livres qu'on a envoyés à Mrs de la Compagnie, en tamoul, 14 déc. 1729 (fol. 327) ; — Catalogue des mss. indiens de la Bibliothèque du Roi (fol. 328) ; — « Mémoire concernant l'acquisition des mss. persiens qu'il conviendroit de faire aux Indes pour la Bibliothèque du Roy » (fol. 362) ; — Mémoire de livres à rechercher dans le Levant pour la Bibliothèque du Roy (fol. 366) ; — État des mss. à rechercher à Constantinople pour la Bibliothèque impériale (fol. 384) ; — Catalogue des mss. orientaux appartenant à M. R. Johnson, 1806 (fol. 386) ; — Liste des mss. orientaux de la bibliothèque de sir Thomas Phillipps à Middlehill, 1829 (fol. 396) ; — Indication des mss. arabes les plus importants de la bibliothèque d'Alger (fol. 398) ; — Liste des livres et mss. venus d'Alger (fol. 402) ; — Liste des bibliothèques turques de Constantinople, 1854 (fol. 404) ; — Bibliothèque du sultan Ahmet III, au vieux sérail : catalogue des livres d'histoire, 1854 (fol. 408) ; — Note des mss. orientaux extraits de la bibliothèque de Vienne, que le conservatoire de la Bibliothèque impériale juge entièrement inutiles (fol. 416) ; — Notice par Ascari de l'ancien ms. syriaque 13 (fol. 418) ; — Manuscrits persans historiques de l'Indoustan, et livres en langue samscretam, apportés à la Bibliothèque du Roi en 1778 » (fol. 420).

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Le présent travail rend compte de la double articulation d'analyse pensée par Antoine Berman dans Pour une critique des traductions: John Donne (Gallimard, 1994). La méthode bermanienne s'attache tant à une histoire, événementielle et individuelle, des traductions qu'à une analyse des textes à la lumière de leurs entours (paratextes, projets de traduction, etc.). Dans une première partie, nous tenterons de décrire et de comprendre à l'aide d'un panorama historique l'importation de la poésie de Rilke en traduction française, des premières versions du début du XXe siècle aux dernières traductions des Élégies de Duino (2008, 2010). Reprenant la formule de Berman, nous « irons au traducteur », à sa façon de traduire et à la traduction qu'il livre. Nous nous pencherons ainsi sur l'identité de ces traducteurs (premiers ou bien nouveaux), sur leur statut socioculturel ainsi que sur les circonstances dans lesquelles ils furent amenés à traduire et virent leur travail publié. Il s'agira d'établir de façon synthétique ce que Berman, sous l'influence de H. R. Jauss, dénomme l' « horizon » d'une traduction qui, à une date donnée, prend en compte une pluralité de critères allant de traits propres au traducteur aux codes poétiques en vigueur dans le vaste champ des Lettres et la société. Nous replacerons ainsi la traduction dans le plus large contexte du transfert culturel et de l'importation et examinerons les traducteurs en présence : les universitaires, les poètes, les traducteurs à plein temps et, dans une moindre mesure, les philosophes. De ce panorama historique émergera l'idée d'une concurrence entre les multiples traducteurs de la poésie de Rilke, plus spécialement entre universitaires et poètes. Dans une seconde partie, reflet de l'autre facette de la pensée bermanienne, nous procèderons à la comparaison et à l'évaluation critique de plusieurs versions françaises de la première Élégie de Duino - opus poétique rilkéen le plus retraduit en français. Notre corpus se limitera à cette première Élégie et à une dizaine de versions françaises que nous faisons dialoguer ou s'opposer. Partant de premières considérations sur l'enveloppe prosodique et typographique du poème, qui nous permettent de saisir la diversité des entreprises et de cerner tant des lignes de force communes que la singularité d'expérimentations plus marginales, nous « confronterons » ensemble les quatre premières versions françaises de la première Élégie, accomplies quasi simultanément dans les années 1930 par des traducteurs d'horizons variés (un germaniste, J.F. Angelloz, une artiste-peintre, L. Albert-Lasard, un traducteur de métier, M. Betz, et un poète, A. Guerne). Il s'agira de saisir l'apport de chacune d'entre elles, ainsi que le type de lien qui les unit (ou les oppose). L'étude de la quatrième version, celle d'Armel Guerne, nous mènera presque naturellement vers la question de la perception de l'écart poétique et du caractère extra-ordinaire de l'original. A la lumière de cette problématique cardinale en poésie, nous procèderons à la comparaison de versions issues des cinquante dernières années et, en considérant plusieurs éléments de sens, nous tenterons de voir comment chaque traducteur, qui est aussi et avant tout un lecteur, a perçu et restitué dans son texte français la matière poétique propre de l'original. Au terme de ce parcours contrastif parmi différentes versions de la première Élégie, nous confronterons les résultats de notre analyse textuelle et le constat de concurrence qui se dégageait de la première partie. Il s'agira de voir alors si la pratique traductive, telle qu'elle se manifeste concrètement au niveau du texte, reflète un antagonisme particulier entre Poésie et Université, ou s'il convient au contraire de relativiser, voire démystifier cette dichotomie.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador: