993 resultados para perfusion cérébrale


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BACKGROUND Renal ischemia/reperfusion (I/R) injury is manifested by acute renal failure (ARF) and acute tubular necrosis (ATN). The aim of this study was to evaluate the effectiveness of preconditioning with 3, 3, 5 triiodothyronine (T3) to prevent I/R renal injury. METHODOLOGY/PRINCIPAL FINDINGS THE RATS WERE DIVIDED INTO FOUR GROUPS: sham-operated, placebo-treated (SO-P), sham-operated T3- treated (SO- T3), I/R-injured placebo-treated (IR-P), and I/R-injured T3-treated (IR- T3) groups. At 24 h before ischemia, the animals received a single dose of T3 (100 μg/kg). Renal function and plasma, urinary, and tissue variables were studied at 4, 24, and 48 h of reperfusion, including biochemical, oxidative stress, and inflammation variables, PARP-1 immunohistochemical expression, and ATN morphology. In comparison to the SO groups, the IR-P groups had higher plasma urea and creatinine levels and greater proteinuria (at all reperfusion times) and also showed: increased oxidative stress-related plasma, urinary, and tissue variables; higher plasma levels of IL6 (proinflammatory cytokine); increased glomerular and tubular nuclear PARP-1 expression; and a greater degree of ATN. The IR-T3 group showed a marked reduction in all of these variables, especially at 48 h of reperfusion. No significant differences were observed between SO-P and SO-T3 groups. CONCLUSIONS This study demonstrates that preconditioning rats with a single dose of T3 improves the clinical signs and ATN of renal I/R injury. These beneficial effects are accompanied by reductions in oxidative stress, inflammation, and renal PARP-1 expression, indicating that this sequence of factors plays an important role in the ATN induced by I/R injury.

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 En situation post-­‐opératoire, les complications de type accident vasculaire cérébral (AVC), délires et confusions sont plus fréquemment observées chez les personnes âgées que chez les jeunes. L'âge a d'ailleurs été défini comme un facteur de risque d'atteinte cognitive post-­‐opératoire [14, 15]. Il a également été montré que pour diverses raisons expliquées ci-­‐dessus, le mécanisme d'AC était perturbé sous anesthésie générale par volatils [12]. Ainsi, l'AC étant moins fiable sous sédation, le DSC est moins constant et les variations de PPC peuvent être à l'origine d'épisodes ischémiques cliniquement silencieux. Il est alors légitime de se demander si l'atteinte du système d'AC sous anesthésie générale par volatil ne serait pas en lien avec les complications post-­‐ opératoires observées chez la personne âgée. L'objectif de l'étude est de déterminer le comportement du système d'AC et ses valeurs seuils sous anesthésie générale par volatil, chez la personne âgée comparativement au sujet jeune. Si une différence de seuil d'AC peut-­‐être mise en évidence entre les deux populations, il sera intéressant de voir si elle est applicable en clinique, ceci afin de prévenir les complications post-­‐opératoires. Peu de travaux ont été menés sur le lien entre le système d'AC et l'âge, qui plus est sous sédation par volatil. Et pourtant, avec le vieillissement de la population, le nombre d'anesthésie générale chez des patients âgés est en constante augmentation. Les AVC, à l'origine d'handicaps physiques et cognitifs majeurs, et leur prise en charge représentent un coût certain pour l'assurance maladie. Il devient donc de plus en plus urgent de comprendre le comportement du système d'AC chez la personne âgée sous anesthésie générale. Plus qu'un simple intérêt scientifique, cette étude est directement appliquée à la clinique et est pleinement d'actualité.

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Critical limb ischemia in diabetic patients is associated with high rates of morbidity and mortality. Suboptimal responses to the available medical and surgical treatments are common in these patients, who also demonstrate limited vascular homeostasis. Neovasculogenesis induced by stem cell therapy could be a useful approach for these patients. Neovasculogenesis and clinical improvement were compared at baseline and at 3 and 12 months after autologous bone marrow-derived mononuclear cell (BMMNC) transplantation in diabetic patients with peripheral artery disease. We conducted a prospective study to evaluate the safety and efficacy of intra-arterial administration of autologous BMMNCs (100-400 × 10(6) cells) in 20 diabetic patients with severe below-the-knee arterial ischemia. Although the time course of clinical effects differed among patients, after 12 months of follow-up all patients presented a notable improvement in the Rutherford-Becker classification, the University of Texas diabetic wound scales, and the Ankle-Brachial Index in the target limb. The clinical outcome was consistent with neovasculogenesis, which was assessed at 3 months by digital subtraction angiography and quantified by MetaMorph software. Unfortunately, local cell therapy in the target limb had no beneficial effect on the high mortality rate in these patients. In diabetic patients with critical limb ischemia, intra-arterial perfusion of BMMNCs is a safe procedure that generates a significant increase in the vascular network in ischemic areas and promotes remarkable clinical improvement.

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Mice infected with Schistosoma mansoni were treated with oxamniquine, praziquantel, artesunate at the pre-patent phase, aiming at observing schistogram alterations. Half of the animals were perfused five days post-treatment for counting and classification of immature worms, based on pre-established morphological criteria (schistogram); the remaining animals were evaluated 42 or 100 days after infection and perfusion of the portal-system was performed for collection and counting of adult worms and oogram. It was observed that oxamniquine and artesunate treatment administered at the pre-postural phase causes significant reduction in the number of immature and adult worms. However, there was little reduction with praziquantel when used at the dose of 400 mg/kg for treatments administered 14, 15, 21 or 23 days post-infection. Artesunate was responsible for significant alterations in development of young worms, as well as for a higher number of worms presenting intestinal damages. Immature adult worms were detected in mice treated with artesunate or oxamniquine at the pre-patent phase of infection and recovered by perfusion 100 days after infection. Schistogram proved to be a very useful tool for experimental evaluation of the activity of antischistosomal drugs and a good model to identify the most sensitive stages to drugs.

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La peau est sujette à un vieillissement intrinsèque (processus naturel et chronologique) et extrinsèque (processus induit par l'environnement et notamment les rayons UV). Plusieurs études ont montré que le vieillissement cutané s'accompagne d'une réduction de la densité capillaire au sein du derme et d'une dégradation de plusieurs protéines de la matrice extracellulaire. Cette atteinte morphologique est associée à une diminution de la capacité vasodilatatrice maximale de la microcirculation dermique et en particulier, de la réponse maximale du flux sanguin cutané à un échauffement local de la surface cutanée à des températures avoisinant les 43-44°C. Cette réponse, appelée hyperémie locale induite par la chaleur (local thermal hyperemia), est facilement mesurable par des investigations non invasives, telles que le laser Doppler. Nous avons entrepris cette étude afin d'investiguer les effets de l'âge sur la réactivité de la microcirculation dermique dans des zones cutanées exposées différemment aux rayons UV. Pour ce faire, nous avons étudié, chez des patients jeunes (18 à 30 ans, n=13) et des patients âgés (> 60 ans, n=13), la vasodilatation cutanée induite par réchauffement local de la peau, au niveau de 3 sites anatomiques différents (la cuisse, l'avant- bras et le front). Les mesures ont été effectuées au moyen d'un laser Doppler. Pour chaque sujet et chaque site, la température cutanée fut tout d'abord amenée à 34°C par 2 corps de chauffe (A et B), disposés de manière adjacente sur la peau. La température fut ensuite augmentée à 39°C (corps de chauffe A) et à 41°C (corps de chauffe B) pour une durée de 30 minutes, dans l'optique d'induire une vasodilatation sous- maximale. Ensuite, la température fut augmentée à 43 °C (corps de chauffe A et B) pour 15 minutes supplémentaires. Enfin, la vasodilatation maximale a été induite par un échauffement local à 44°C pour 15 minutes supplémentaires (corps de chauffe A et B). L'enregistrement séquentiel du flux sanguin cutané, effectué chaque minute par laser Doppler imager, donne des images sur lesquelles peut être calculé le flux sanguin cutané (unités de perfusion, PU). Par la suite, nous avons calculé les conductances vasculaires cutanées (CVC), en divisant le flux sanguin (PU) par la tension artérielle moyenne (mmHg), afin de permettre une normalisation entre les différents sujets. Les CVC, évaluées au temps de départ (température 34°C) et après vasodilatation maximale (température 44°C), étaient plus hautes au niveau du front qu'au niveau des 2 autres sites anatomiques. Sur les 3 sites, la CVC maximale (température 44°C) diminuait avec l'âge mais de façon moins importante au niveau du front, en comparaison avec les 2 autres sites. La réponse aux températures sous-maximales (température 39 et 41°C), exprimée en pourcentage de la CVC maximale, ne variait pas avec l'âge ni en fonction du site anatomique étudié. En conclusion, cette étude est la première à étudier simultanément l'hyperémie locale induite par la chaleur sur 3 sites ayant une exposition différente aux rayons UV. Le processus utilisé (laser Doppler imager) est également unique dans la littérature concernant les altérations de la microcirculation cutanée en lien avec l'âge. Cette étude confirme ainsi que le vieillissement cutané intrinsèque et/ou extrinsèque réduit la capacité vasodilatatrice maximale de la microcirculation dermique. Par contre, la réactivité à réchauffement local à des températures moindres ne semble pas être affectée.

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RÉSUMÉ : Le traitement répété à la phencyclidine (PCP), un bloqueur du récepteur NMDA (NMDAR), reproduit chez les rongeurs une partie de la symptomatologie typique de la schizophrénie. Le blocage prolongé du NMDAR par la PCP mime une hypofunction du NMDAR, une des principales altérations supposées exister dans les cerveaux des patients schizophréniques. Le but de notre étude était d'examiner les conséquences neurochimiques, métaboliques et fonctionnelles du traitement répété à la phencyclidine in vivo, au niveau du cortex préfrontal (cpf), une région cérébrale qui joue un rôle dans les déficits cognitifs observés chez les patients schizophréniques. Pour répondre à cette question, les rats ou les souris ont reçu chaque jour une injection soit de PCP (5 mg/kg), soit de solution saline, pendant 7 ou 14 jours. Les animaux ont ensuite été sacrifiés au moins 24 heures après le dernier traitement. Des tranches aiguës du cpf ont été préparées rapidement, puis stimulées avec une concentration élevée de KCI, de manière à induire une libération de glutamate à partir des terminaisons synaptiques excitatrices. Les résultats montrent que les tranches du cpf des animaux traités à la PCP ont libéré une quantité de glutamate significativement inférieure par rapport à celles des animaux contrôle. Ce déficit de libération a persisté 72 heures après la fin du traitement, tandis qu'il n'était pas observé dans le cortex visuel primaire, une autre région corticale. En outre, le traitement avec des antipsychotiques, l'halopéridol ou l'olanzapine, a supprimé le déficit induit par la PCP. Le même déficit de libération a été remarqué sur des synaptosomes obtenus à partir du cpf des animaux traités à la phenryclidine. Cette observation indique que la PCP induit une modification plastique adaptative du mécanisme qui contrôle la libération du glutamate dans les terminaisons synaptiques. Nous avons découvert que cette modification implique la sous-régulation d'un NMDAR présynaptique, qui serait doué d'un rôle d'autorécepteur stimulateur de la libération du glutamate. Grâce à des tests comportementaux conduits en parallèle et réalisés pour évaluer la fonctionnalité du cpf, nous avons observé chez les souris traitées à la PCP une flexibilité comportementale réduite lors d'un test de discrimination de stimuli visuels/tactiles. Le déficit cognitif était encore présent 4 jours après la dernière administration de PCP. La technique de l'autoradiographie quantitative du [14C]2-deoxyglucose a permis d'associer ce déficit à une réduction de l'activité métabolique cérébrale pendant le déroulement du test, particulièrement au niveau du cpf. Dans l'ensemble, nos résultats suggèrent que le blocage prolongé du NMDAR lors de l'administration répétée de PCP produit un déficit de libération du glutamate au niveau des terminaisons synaptiques excitatrices du cpf. Un tel déficit pourrait être provoqué par la sousrégulation d'un NMDAR présynaptique, qui aurait une fonction de stimulateur de libération; la transmission excitatrice du cpf s'en trouverait dans ce cas réduite. Ce résultat est en ligne avec l'activité métabolique et fonctionnelle réduite du cpf et l'observation de déficits cognitifs induits lors de l'administration de la PCP. ABSTRACT : Sub-chronic treatment with phencyclidine (PCP), an NMDA receptor (NMDAR) channel blocker, reproduces in rodents part of the symptomatology associated to schizophrenia in humans. Prolonged pharmacological blockade of NMDAR with PCP mimics NMDAR hypofunction, one of the main alterations thought to take place in the brains of schizophrenics. Our study was aimed at investigating the neurochemical, metabolic and behavioral consequences of repeated PCP administration in vivo, focusing on the functioning of the prefrontal cortex (pfc), a brain region highly relevant for the cognitive deficits observed in schizophrenic patients. Rats or mice received a daily administration of either PCP (5 mg/kg) or saline for 7 or 14 days. At least 24 hours after the last treatment the animals were sacrificed. Acute slices of the pfc were quickly prepared and challenged with high KCl to induce synaptic glutamate release. Pfc slices from PCP-treated animals released significantly less glutamate than slices from salinetreated animals. The deficit persisted 72 hours after the end of the treatment, while it was not observed in another cortical region: the primary visual cortex. Interestingly, treatment with antipsychotic drugs, either haloperidol or olanzapine, reverted the glutamate release defect induced by PCP treatment. The same release defect was observed in synaptosomes prepared from the pfc of PCP-treated animals, indicating that PCP induces a plastic adaptive change in the mechanism controlling glutamate release in the glutamatergic terminals. We discovered that such change most likely involves the down-regulation of a newly identified, pre-synaptic NMDAR with stimulatory auto-receptor function on glutamate release. In parallel sets of behavioral experiments challenging pfc function, mice sub-chronically treated with PCP displayed reduced behavioral flexibility (reversal learning) in a visual/tactile-cued discrimination task. The cognitive deficit was still evident 4 days after the last PCP administration and was associated to reduced brain metabolic activity during the performance of the behavioral task, notably in the pfc, as determined by [14C]2-deoxyglucose quantitative autoradiography. Clverall, our findings suggest that prolonged NMDAR blockade by repeated PCP administration results in a defect of glutamate release from excitatory afferents in the pfc, possibly ascribed to down-regulation of apre-synaptic stimulatory NMDAR. Deficient excitatory neurotransmission in the pfc is consistent with the reduced metabolic and functional activation of this area and the observed PCP-induced cognitive deficits.

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RESUME : La raréfaction des vaisseaux capillaires est une caractéristique de l'hypertension artérielle non traitée. Des données récentes indiquent que cette raréfaction peut être renversée par un traitement antihypertenseur chez les patients hypertendus non diabétiques. Malgré la fréquente association du diabète et de l'hypertension, on ne sait rien de la densité capillaire de patients diabétiques traités, souffrant d'hypertension artérielle. Nous avons dès lors recruté 21 patients normotendus (groupe contrôle), 25 patients souffrant uniquement d'hypertension artérielle , et 21 patients diabétiques (Diabète de type 2) souffrant également d'hypertension artérielle. Tous les patients hypertendus ont été traités avec un inhibiteur du système rénine-angiotensine, et une majorité présentait une tension artérielle moyenne en auto-contrôle à domicile de 135/85 mmHg ou moins. La densité capillaire a été évaluée par vidéomicroscopie sur la peau du dos des doigts et avec laser Doppler sur la peau de l'avant-bras (vasodilatation maximale induite par le chauffage local). Au final, il n'y avait pas de différence entre les groupes de l'étude, que ce soit lors des mesures de la densité capillaire sur le dos du doigt (groupe contrôle 101 ±11 capillaires, groupe des patients non- diabétiques hypertendus 99 ± 16, groupe des patients hypertendus et diabétiques 96 ± 18, p>0,5) ou lors des mesures de débit sanguin maximal sur la peau de l'avant-bras, un témoin indirect de la densité capillaire dans ce territoire (contrôles 666 ±114 unités de perfusion, non diabétique hypertendu 612 ± 126, hypertendus diabétiques 620 ±103, p> 0,5). En conclusion, notre étude est la première à démontrer que indépendamment de la présence ou non d'un diabète de type 2, la densité capillaire est normale chez les patients hypertendus présentant un contrôle raisonnable de la pression artérielle obtenue avec un bloqueur du système rénine-angiotensine.

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BACKGROUND Migraine is a chronic neurologic disease that can severely affect the patient's quality of life. Although in recent years many randomised studies have been carried out to investigate the effectiveness of acupuncture as a treatment for migraine, it remains a controversial issue. Our aim is to determine whether acupuncture, applied under real conditions of clinical practice in the area of primary healthcare, is more effective than conventional treatment. METHODS/DESIGN The design consists of a pragmatic multi-centre, three-armed randomised controlled trial, complemented with an economic evaluation of the results achieved, comparing the effectiveness of verum acupuncture with sham acupuncture, and with a control group receiving normal care only. Patients eligible for inclusion will be those presenting in general practice with migraine and for whom their General Practitioner (GP) is considering referral for acupuncture. Sampling will be by consecutive selection, and by randomised allocation to the three branches of the study, in a centralised way following a 1:1:1 distribution (verum acupuncture; sham acupuncture; conventional treatment). Secondly, one patient in three will be randomly selected from each of the acupuncture (verum or sham) groups for a brain perfusion study (by single photon emission tomography). The treatment with verum acupuncture will consist of 8 treatment sessions, once a week, at points selected individually by the acupuncturist. The sham acupuncture group will receive 8 sessions, one per week, with treatment being applied at non-acupuncture points in the dorsal and lumbar regions, using the minimal puncture technique. The control group will be given conventional treatment, as will the other two groups. DISCUSSION This trial will contribute to available evidence on acupuncture for the treatment of migraine. The primary endpoint is the difference in the number of days with migraine among the three groups, between the baseline period (the 4 weeks prior to the start of treatment) and the period from weeks 9 to 12. As a secondary aspect, we shall record the index of laterality and the percentage of change in the mean count per pixel in each region of interest measured by the brain perfusion tomography, performed on a subsample of the patients within the real and sham acupuncture groups. TRIAL REGISTRATION Current Controlled Trials ISRCTN98703707.

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Measurement of the hepatic oxygenation index by near infrared spectroscopy is a suitable method to estimate the oxygenation and can be a non-invasive means to continuously monitor tissue perfusion and to detect early haemodynamic disturbances in critically ill children.

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Introduction et objectif: Lors d'essais cliniques, le pharmacien est responsable de la préparation et de la dispensation des médicaments à évaluer. Un article récent a toutefois montré que les aspects pharmaceutiques liés au contrôle de la dose administrée in fine étaient souvent mal contrôlés. Il peut exister une différence entre la dose nominale fournie par le certificat d'analyse du fabricant et la dose réellement administrée au sujet, biais qui se reporte en cascade sur l'estimation des paramètres pharmaco¬cinétiques (PK), comme la clairance ou le volume de distribution. Ce travail visait à évaluer les biais entachant la quantité de médicament réellement injectée (iv/sc) aux volontaires d'un essai clinique étudiant la PK et la relation dose-réponse d'un nouveau produit biotechnologique. Méthode: La dose de médicament administrée lors de l'essai clinique (D) a été calculée de la manière suivante: D = C ? V - pertes. La concentration du produit (C; titre nominal du fabricant) a été vérifiée par immuno-essai. Le volume de médicament injecté (V) a été déterminé pour chaque injection par pesée (n=72), en utilisant la masse de la seringue avant et après injection et la densité du produit. Enfin, une analyse in vitro a permis d'évaluer les pertes liées à l'adsorption du produit dans les lignes de perfusion et de choisir le dispositif adéquat in vivo. Résultats: La concentration du médicament s'est révélée proche du titre nominal (96 ± 7%), et a été utilisée comme référence. Le volume injecté était quant à lui entaché d'un biais systématique par rapport à la valeur théorique correspondant à 0.03 mL pour la dose minimale (i.e. 75% du volume à injecter à cette dose). Une analyse complémentaire a montré que cela s'expliquait par une réaspiration partielle de la solution médica-menteuse avant le retrait de la seringue après injection sc, due à l'élasticité du piston. En iv, le biais était par contre provoqué par une réaspiration du soluté de perfusion co-administré. Enfin, la mesure des quantités de médicament récupérées après injection dans le dispositif de perfusion a démontré des pertes minimales par adsorption. Discussion-conclusion: Cette étude confirme l'existence de biais inversement corrélés au volume et à la concentration du médicament administré, pouvant provoquer des erreurs importantes sur les paramètres PK. Ce problème est négligé ou insuffisamment considéré dans les protocoles de Phase I et nécessiterait une planification rigoureuse. Les procédures opératoires devraient attirer l'attention sur ce point crucial.

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Critical limb ischemia in diabetic patients is associated with high rates of morbidity and mortality. Suboptimal responses to the available medical and surgical treatments are common in these patients, who also demonstrate limited vascular homeostasis. Neovasculogenesis induced by stem cell therapy could be a useful approach for these patients. Neovasculogenesis and clinical improvement were compared at baseline and at 3 and 12 months after autologous bone marrow-derived mononuclear cell (BMMNC) transplantation in diabetic patients with peripheral artery disease. We conducted a prospective study to evaluate the safety and efficacy of intra-arterial administration of autologous BMMNCs (100-400 × 10(6) cells) in 20 diabetic patients with severe below-the-knee arterial ischemia. Although the time course of clinical effects differed among patients, after 12 months of follow-up all patients presented a notable improvement in the Rutherford-Becker classification, the University of Texas diabetic wound scales, and the Ankle-Brachial Index in the target limb. The clinical outcome was consistent with neovasculogenesis, which was assessed at 3 months by digital subtraction angiography and quantified by MetaMorph software. Unfortunately, local cell therapy in the target limb had no beneficial effect on the high mortality rate in these patients. In diabetic patients with critical limb ischemia, intra-arterial perfusion of BMMNCs is a safe procedure that generates a significant increase in the vascular network in ischemic areas and promotes remarkable clinical improvement.

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BACKGROUND: Early detection is a major goal in the management of malignant melanoma. Besides clinical assessment many noninvasive technologies such as dermoscopy, digital dermoscopy and in vivo laser scanner microscopy are used as additional methods. Herein we tested a system to assess lesional perfusion as a tool for early melanoma detection.¦METHODS: Laser Doppler flow (FluxExplorer) and mole analyser (MA) score (FotoFinder) were applied to histologically verified melanocytic nevi (33) and malignant melanomas (12).¦RESULTS: Mean perfusion and MA scores were significantly increased in melanoma compared to nevi. However, applying an empirically determined threshold of 16% perfusion increase only 42% of the melanomas fulfilled the criterion of malignancy, whereas with the mole analyzer score 82% of the melanomas fulfilled the criterion of malignancy.¦CONCLUSION: Laser Doppler imaging is a highly sensitive technology to assess skin and skin tumor perfusion in vivo. Although mean perfusion is higher in melanomas compared to nevi the high numbers of false negative results hamper the use of this technology for early melanoma detection.

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OBJECTIVE: To investigate the influence of obesity on the regulation of myocardial glucose metabolism following protein kinase C (PKC) activation in obese (fa/fa) and lean (Fa/?) Zucker rats. DESIGN: Isolated hearts obtained from 17-week-old lean and obese Zucker rats were perfused with 200 nM phorbol 12-myristate 13-acetate (PMA) for different time periods prior to the evaluation of PKC and GLUT-4 translocation. For metabolic studies isolated hearts from 48 h starved Zucker rats were perfused with an erythrocytes-enriched buffer containing increased concentrations (10-100 nM) of PMA. MEASUREMENTS: Immunodetectable PKC isozymes and GLUT-4 were determined by Western blots. Glucose oxidation and glycolysis were evaluated by measuring the myocardial release of 14CO2 and 3H2O from [U-14C]glucose and [5-3H]glucose, respectively. RESULTS: PMA (200 nM) induced maximal translocation of ventricular PKCalpha from the cytosol to the membranes within 10 min. This translocation was 2-fold lower in the heart from obese rats when compared to lean rats. PMA also induced a significant translocation of ventricular GLUT-4 from the microsomal to the sarcolemmal fraction within 60 min in lean but not in obese rats. Rates of basal cardiac glucose oxidation and glycolysis in obese rats were approximately 2-fold lower than those of lean rats. Perfusion with increasing concentrations of PMA (10-100 nM) led to a significant decrease of cardiac glucose oxidation in lean but not in obese rats. CONCLUSION: Our results show that in the heart of the genetically obese Zucker rat, the impairment in PKCalpha activation is in line with a diminished activation of GLUT-4 as well as with the lack of PMA effect on glucose oxidation.

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Résumé : Objectif: Analyse d'un traitement de chimiothérapie à base de cisplatine de type néoadjuvant en comparaison à un traitement de radio-chimiothérapie suivi de la résection chirurgicale chez des patients présentant un carcinome pulmonaire non à petites cellules de stade Ill (N2) prouvé histologiquement par médiastinoscopie. Evaluation de la morbidité postopératoire, du down-staging ganglionnaire, des taux de survie globale et sans récidive ainsi que du site de récidive. Matériel et méthodes : 82 patients ont été inclus dans l'étude entre Janvier 1994 et Juin 2003, parmi eux 36 ont été traités avec une chimiothérapie néoadjuvante à base de cisplatine et doxétacel (groupe l). Les autres 46 patients ont été soumis à une radio-chimiothérapie néoadjuvante avec administration de 44 Gy (groupe II), soit de façon séquentielle (25 cas) soit concomitante (21 cas). Dans tous les cas des métastases à distance ont été exclues par une évaluation préopératoire comprenant une scintigraphie osseuse, un Ct scan thoraco-abdominal, ou un examen PET scan ainsi qu'une IRM cérébrale. La médiastinoscopie effectuée avant le traitement d'induction chez la totalité des patients, de même que la résection chirurgicale de la tumeur pulmonaire et la lymphadenectomie médiastinale ont été effectuées par le même chirurgien. Résultats : La tumeur pulmonaire était de stade Ti à T2 dans respectivement 47% et 28% des patients des groupes (e II, T3 dans 45% et 41% et T4 dans 8% et 31% des cas. Le type de résection effectué (lobectomie, lobectomie en manchon, pneumonectomie) était comparable dans les deux collectifs (p=0.03) Le taux de mortalité postopératoire à 90 jours était de respectivement 3% et 4 "Vo (p=0.6). Une résection complète (RO) a pu être obtenue dans 92% et 94% des cas (p=0.6) avec un downstaging ganglionnaire médiastinal dans 61% et 78% des patients respectivement (p<0.001). Les taux de survie globale à 5 ans et de survie sans récidive à 5 ans s'élevaient à 40% et à 36% respectivement, sans différence significative entre des tumeurs de stade Ti à T3 et T4. Le taux de survie globale n'était pas significativement différent entre les deux modalités de traitement d'induction, toutefois après radio-chimiothérapie on observait une plus longue survie sans récidive (p.0.04). Il n'y avait par ailleurs pas de différence significative, en termes de morbidité post-opératoire, résecabilité, downstaging ganglionnaire, survie globale et sans récidive, entre les patients traités par radio-chimiothérapie séquentielle ou concomitante. Conclusions : En cas de carcinome pulmonaire non à petites cellules de stade III (N2) un traitement d'induction par radio chimiothérapie suivi de la résection chirurgicale est associé avec un meilleur downstaqing médiastinal ainsi qu'une plus longue survie sans récidive en comparaison au traitement d'induction par chimiothérapie seule. Abstract : Objective: Comparison of prospectively treated patients with neoadjuvant cisplatin-based chemotherapy vs radiochemotherapy followed by resection for mediastinoscopically proven stage III NZ non-small cell lung cancer with respect to postoperative morbidity, pathological nodal downstaging, overall and disease-free survival, and site of recurrence. Methods: Eighty-two patients were enrolled between January 1994 to June 2003, 36 had cisplatin and doxetacel-based chemotherapy (group I) and 46 cisplatin-based radiochemotherapy up to 44 Gy (group II), either as sequential (25 patients) or concomitant (21 patients) treatment. All patients had evaluation of absence of distant metastases by bone scintigraphy, thoracoabdominal CT scan or PET scan, and brain MRI, and all underwent pre-induction mediastinoscopy, resection and mediastinal lymph node dissection by the same surgeon. Results: Group I and II comprised T1/2 tumors in 47 and 28%, 13 tumors in 45 and 41%, and 14 tumors in 8 and 31% of the patients, respectively (P=0.03). There was a similar distribution of the extent of resection (lobectomy, sleeve lobectomy, left and right pneumonectomy) in both groups (P=0.9). Group I and II revealed a postoperative 90-d mortality of 3 and 4% (P=0.6), a RO-resection rate of 92 and 94% (P=0.9), and a pathological mediastinal downstaging in 61 and 78% of the patients (P<0.01), respectively. 5y-overall survival and disease-free survival of all patients were 40 and 36%, respectively, without significant difference between T1-3 and T4 tumors. There was no significant difference in overall survival rate in either induction regimens, however, radiochemotherapy was associated with a longer disease-free survival than chemotherapy (P=0.04). There was no significant difference between concurrent vs sequential radiochemotherapy with respect to postoperative morbidity, resectability, pathological nodal downstaging, survival and disease-free survival. Conclusions: Neoadjuvant cisplatin-based radiochemotherapy was associated with a similar postoperative mortality, an increased pathological nodal downstaging and a better disease-free survival as compared to cisplatin doxetacel-based chemotherapy in patients with stage III (N2) NSCLC although a higher number of 14 tumors were admitted to radiochemotherapy.