997 resultados para Selby-Bigge, L. A. (Lewis Amherst), Sir, 1860-1951.
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Bibliografía e índices.
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First edition published 1694.
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Includes (p. [3]-6) an essay supporting John Reed to represent the district in congress.
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Includes bibliographical references (p. 431-443) and index.
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Title on cover: Return American business and labor to the bargaining table.
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Vols. 1-3 were written in collaboration with Auguste Laugel.
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Sachant que plusieurs maladies entrainent des lsions qui ne sont pas toujours observables à loeil, cette étude préliminaire en paléopathologie humaine utilise une approche complmentaire issue de limagerie médicale, le ct-scan, afin de fournir des diagnostics plus précis. Lobjectif est donc de tester ici lefficacité et les limites de lanalyse scanographique durant lanalyse de spécimens archéologiques. Un échantillon de 55 individus a été sélectionné à partir de la collection ostéologique provenant du cimetière protestant St. Matthew (ville de Québec, 1771 – 1860). Une analyse macroscopique et scanographique complte a alors été effectuée sur chaque squelette. Les observations macroscopiques ont consisté à enregistrer une dizaine de critères standardisés par la littérature de référence en lien avec des manifestations anormales à la surface du squelette. Les ct-scans ont été réalisés à lInstitut National de la Recherche Scientifique de la Ville de Québec avec un tomodensitomètre Somatom de Siemens (définition AS+ 128). Les données scanographiques ont permis d’enregistrer une série de critères complmentaires sur la structure interne de los (amincissement/épaississement de la corticale, variation de densité, etc.) Selon la méthode du diagnostic différentiel, des hypothèses ou diagnostics ont été proposés. Ils sont principalement basés sur les critères diagnostiques mentionnés dans les manuels de référence en paléopathologie, mais aussi à laide de la littérature clinique et lexpertise de médecins. Les résultats présentés ici supportent que: 1) Dans 43% des cas, les données scanographiques ont apporté des informations essentielles dans la diagnose pathologique. Cette tendance se confirme en fonction de certaines maladies, mais pas d’autres, car certains diagnostics ne peuvent se faire sans la présence de tissus mous. 2) La distribution spatiale de la plupart des lsions varie selon les régions anatomiques, aussi bien en macroscopie qu’en scanographie. 3) Certains types de maladie semblent associés à lâge et au sexe, ce qui est conforté par la littérature. 4) Cette recherche démontre aussi que le processus de diagnose nécessite, dans 38% des cas, une analyse complmentaire (ex. histologie, scintigraphie, radiographie) pour préciser le diagnostic final.
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Sachant que plusieurs maladies entrainent des lsions qui ne sont pas toujours observables à loeil, cette étude préliminaire en paléopathologie humaine utilise une approche complmentaire issue de limagerie médicale, le ct-scan, afin de fournir des diagnostics plus précis. Lobjectif est donc de tester ici lefficacité et les limites de lanalyse scanographique durant lanalyse de spécimens archéologiques. Un échantillon de 55 individus a été sélectionné à partir de la collection ostéologique provenant du cimetière protestant St. Matthew (ville de Québec, 1771 – 1860). Une analyse macroscopique et scanographique complte a alors été effectuée sur chaque squelette. Les observations macroscopiques ont consisté à enregistrer une dizaine de critères standardisés par la littérature de référence en lien avec des manifestations anormales à la surface du squelette. Les ct-scans ont été réalisés à lInstitut National de la Recherche Scientifique de la Ville de Québec avec un tomodensitomètre Somatom de Siemens (définition AS+ 128). Les données scanographiques ont permis d’enregistrer une série de critères complmentaires sur la structure interne de los (amincissement/épaississement de la corticale, variation de densité, etc.) Selon la méthode du diagnostic différentiel, des hypothèses ou diagnostics ont été proposés. Ils sont principalement basés sur les critères diagnostiques mentionnés dans les manuels de référence en paléopathologie, mais aussi à laide de la littérature clinique et lexpertise de médecins. Les résultats présentés ici supportent que: 1) Dans 43% des cas, les données scanographiques ont apporté des informations essentielles dans la diagnose pathologique. Cette tendance se confirme en fonction de certaines maladies, mais pas d’autres, car certains diagnostics ne peuvent se faire sans la présence de tissus mous. 2) La distribution spatiale de la plupart des lsions varie selon les régions anatomiques, aussi bien en macroscopie qu’en scanographie. 3) Certains types de maladie semblent associés à lâge et au sexe, ce qui est conforté par la littérature. 4) Cette recherche démontre aussi que le processus de diagnose nécessite, dans 38% des cas, une analyse complmentaire (ex. histologie, scintigraphie, radiographie) pour préciser le diagnostic final.
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v.7 (1860)