991 resultados para Nava, Pedro, 1903-1984 Simbolismo


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Le présent mémoire est consacré à l'étude de l'obligation faite à l'Ãtat canadien de consulter les autochtones lorsqu'il envisage de prendre des mesures portant atteinte à leurs droits et intérêts. On s'y interroge sur le sens que peut avoir cette obligation, si elle n'inclut pas celle de s'entendre avec les autochtones. Notre étude retrace d'abord l'évolution de l'obligation de consulter dans la jurisprudence de la Cour suprême du Canada, pour se pencher ensuite sur l'élaboration d'un modèle théorique du processus consultatif. En observant la manière dont la jurisprudence relative aux droits ancestraux a donné naissance à l'obligation de consulter, on constate que c'est en s'approchant au plus près de l'idée d'autonomie gouvernementale autochtone - soit en définissant le titre ancestral, droit autochtone à la terre elle-même - que la Cour a senti le besoin de développer la consultation en tant que véritable outil de dialogue entre l'Ãtat et les Premières nations. Or, pour assurer la participation réelle des parties au processus de consultation, la Cour a ensuite dû balancer leur rapport de forces, ce qu'elle a fait en admettant le manque de légitimité du pouvoir étatique sur les autochtones. C'est ainsi qu'après avoir donné naissance au processus de consultation, la jurisprudence relative aux droits ancestraux pourrait à son tour être modifiée substantiellement par son entremise. En effet, l'égalité qu'il commande remet en question l'approche culturaliste de la Cour aux droits ancestraux, et pourrait l'amener à refonder ces droits dans le principe plus égalitaire de continuité des ordres juridiques autochtones. Contrairement à l'approche culturaliste actuelle, ce principe fait place à la reconnaissance juridique de l'autonomie gouvernementale autochtone. La logique interne égalitaire du processus de consultation ayant ainsi été exposée, elle fait ensuite l'objet d'une plus ample analyse. On se demande d'abord comment concevoir cette logique sur le plan théorique. Ceci exige d'ancrer la consultation, en tant qu'institution juridique, dans une certaine vision du droit. Nous adoptons ici celle de Lon Fuller, riche de sens pour nos fins. Puis, nous explicitons les principes structurants du processus consultatif. Il appert de cette réflexion que l'effectivité de la consultation dépend de la qualité du dialogue qu'elle engendre entre les parties. Si elle respecte sa morale inhérente, la consultation peut générer une relation morale unique entre les autochtones et l'Ãtat canadien. Cette relation de reconnaissance mutuelle est une relation de don.

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Tesis (Doctor en Ciencias con Especialidad en Ecología Acúatica y Pesca) U.A.N.L.

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Tesis (Doctorado en Ciencias Acentuación en Manejo de Vida Silvestre y Desarrollo Sustentable) UANL, 2013.

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La plupart des philosophes sâentendent aujourdâhui pour affirmer quâil y a une crise de sens en Occident. J.-F. Mattéi lâa démontré sans équivoque dans son ouvrage intitulé La crise de sens (2006). Selon lui, la crise se traduirait par cinq aspects: crise spirituelle, crise religieuse, crise de lâart, crise économique et finalement, crise de la culture. à notre avis, cela est exact, mais incomplet, car Mattéi néglige dâévoquer la crise la plus importante : la crise écologique. Lâargument qui nous amène à en postuler la plus haute importance est simple : sâil nây a plus dâenvironnement favorable au maintien de la vie humaine, câest la fin de lâhumanité. Lâaspect environnemental de la crise ne peut donc pas être occulté de la réflexion concernant son ensemble, car pour nous, elle est lâoccasion dâun questionnement philosophique appelé à répondre à cette crise. Dans un livre intitulé Ãcologie, éthique et création (1994), Dominique Jacquemin nous oriente en ce sens en y posant les trois questions suivantes : 1. Est-il possible de qualifier éthiquement ce à quoi nous convie aujourdâhui la préoccupation écologique? 2. Quel rapport au monde et à lâavenir la préoccupation écologique est-elle à même dâinstaurer? 3. Quelles sont les possibilités pour que la démarche écologique devienne un lieu éthique à même dâinstaurer un rapport homme-nature dans le présent et lâavenir? Ainsi, le questionnement que soulève la crise écologique amène à réfléchir sur le sens et la finalité de la vie humaine et sur la conception même de lâêtre humain dans son rapport au monde. Le propos de ce mémoire est de répondre à ces dernières questions en nous inspirant des principes éthiques mis en avant dans Le Principe Responsabilité (1990) de Hans Jonas, et cela, dans le but dâen faire ressortir sa pertinence face au défi environnemental actuel. En dâautres termes, nous tâcherons de répondre à la question suivante : Pour la société actuelle et son prolongement, quels sont les aspects les plus pertinents de la thèse de Hans Jonas (1903 â 1993) dans son Principe Responsabilité (1990) concernant la résolution de la crise de sens? à cette fin, le mémoire comporte deux chapitres dont le premier, qui forme le cÅur du mémoire, comporte trois parties principales liées aux trois questions posées précédemment. Le deuxième et dernier chapitre comporte premièrement une analyse critique du Principe responsabilité et par la suite son appréciation critique. Méthodologiquement, nous entendons éclairer la nécessité de la responsabilité éthique face à la crise écologique en mettant lâaccent sur les thèmes de lâaltérité et de la solidarité. Câest de cette manière que nous espérons montrer que la crise écologique actuelle ouvre des avenues possibles à la résolution, au moins partielle, de la crise de sens à laquelle nous sommes actuellement confrontés.

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Comprendre les présupposés qui fondent les rapports au monde des individus selon leur appartenance civilisationnelle nécessite des outils et une méthode permettant de répondre à trois questions principales. Dâabord, comment aborder le rapport que des individus et leurs collectivités entretiennent avec le monde et avec lâAutre selon leur propre système dâinterprétations et dâexplications de ces réalités? Ensuite, comment penser la diversité des collectivités humaines qui établissent de tels rapports? Finalement, comment aborder les dimensions collectives à travers les discours limités dâindividus? Deux outils mâont permis de prendre du recul face à ma subjectivité et dâaccéder à un certain niveau de réalité et de validité quant aux faits rapportés et aux résultats atteints. Dans un premier temps, le réseau notionnel articulant les conceptions du monde (Ikenga-Metuh, 1987) comme phénomènes de civilisations (Mauss, 1929) accessibles par lâanalyse des représentations sociales (Jodelet, 1997) permet de définir et dâétudier lâinterface entre lâindividuel et le collectif. Dans un deuxième temps, lâopérationnalisation de la recherche permet de cerner le XVIe siècle comme moment de rencontre propice à lâétude des civilisations andines et occidentales à travers les représentations du Soi espagnol et de lâAutre inca du chroniqueur Pedro Sarmiento de Gamboa. Finalement, la méthode dâanalyse de discours (Sabourin, 2009) lève le voile sur une grammaire sociale polarisante entre le Soi et lâAutre, laquelle traverse les trois univers de sens (religieux, intellectuel et politique) observés dans le discours de Sarmiento. La mise à jour des positions théologiques, intellectuelles et politiques de lâauteur ouvre à son tour sur les récits et discours collectifs propres aux civilisations occidentales et andines de son époque, et permet un questionnement nouveau : cette polarisation est-elle unique à la localisation sociale de Sarmiento ou constitue-t-elle un phénomène civilisationnel proprement occidental ?

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Lâhistoire identitaire du Québec a constamment été marquée par des enjeux dâordre «linguistique». En effet, de par lâisolement de cette province majoritairement francophone, entourée de provinces et dâun pays anglophones, nous avons été témoins de plusieurs débats passionnés sur lâavenir du français au Québec. Mais quâen est-il réellement de la situation linguistique et plus particulièrement de la fécondité au Québec? Avec le constat que le Québec, tout comme la plupart des pays occidentaux, nâassure plus le remplacement de ses générations par son accroissement naturel, lâimmigration devient la seule alternative. Certains se sont alors interrogés sur la représentativité future des francophones au sein de leur province. Axée essentiellement sur la langue dâusage, nous avons effectué plusieurs analyses comparatives de lâindice synthétique de fécondité (ISF) selon les groupes linguistiques, mais également selon les régions. Trois facteurs importaient : déterminer les différences de fécondité entre les groupes linguistiques; déterminer les différences de fécondité entre lâensemble du Québec, lâîle de Montréal et le reste du Québec; et déterminer quel jeu dâhypothèses de construction de lâISF se rapproche le plus de la réalité. Câest à lâaide de six combinaisons dâhypothèses que nous avons effectué lâanalyse de la fécondité des groupes linguistiques, soit trois hypothèses de redistribution des naissances dont la langue dâusage de la mère est inconnue, et deux hypothèses de distribution des effectifs, soit la population féminine âgée de 15 à 49 ans. Lâanalyse annuelle de la fécondité des groupes linguistiques au Québec nous a permis dâobserver des variations pour le moins importantes au cours des deux dernières décennies, ce que des analyses de la fécondité limitées aux années censitaires seulement ont en quelque sorte atténué. Bien que les allophones aient des ISF plus «instables» que les deux autres groupes linguistiques, à cause de leurs faibles effectifs, il appert que leur ISF est en-deçà du seuil de remplacement depuis 1996, pour progressivement se rapprocher de celui des deux autres groupes linguistiques.