1000 resultados para Huston, Nancy, 1953- .Lettres parisiennes
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A propos de la mise à disposition de l'Opéra pour la représentation de retraite de l'acteur Dumaine
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Collection : Petits albums pour rire ; n° 47
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3 cartes de visite signées du "directeur de l'Académie Nationale de Musique" et une du "commissaire du gouvernement près les Théâtres subventionnés, Président de la Société des Compositeurs de Musique". - Première carte : l'informe que tout est arrangé pour les parties d'orchestre avec M. Bourdon et fustige un personnage comme "le méchant insulteur de tous les musiciens français". Deuxième carte : l'informe qu'il a heurté un meuble, s'est retrouvé allongé et lui exprime ses regrets de n'avoir pu assister aux débuts de Lillian Nordica-Norton : "elle ira loin ou je me trompe fort". Troisième carte : remercie son ami pour son cadeau, un beau livre, et lui présente ses voeux. Quatrième carte : Remerciements
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Lui recommande Monsieur Chotteau : "J'estime grandement cet homme si parfaitement méritant ; c'est un lettré digne de votre protection et j'ai pour lui une amitié reconnaissante et fidèle" (9 janvier 1903). Espère recevoir chez lui ses droits échus (7 avril). Évoque sa collaboration avec Paul Ginisty, relate son travail sur "Ariane" dont le poème de Catulle Mendès est "admirable de passion, de pittoresque et de sentiments humains." (9 octobre 1904). L'informe que dans quelques jours vont commencer les répétitions générales de "Chérubin" à Monte Carlo (25 janvier 1905). Regrette enfin d'avoir raté sa visite du Nouvel An : "j'avais juré que je serai le premier à vous voir." (2 janvier 1906)
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Au sujet du "Roi Candaule" : craint de ne pouvoir achever l'instrumentation dans les délai fixé s'il lui faut reconstruire un acte entier : "N'y aurait-il pas un moyen d'ajouter au quatre, après le grand ensemble et sans rien y changer ce que vous voulez faire dire au Roi - ce serait en ce cas assez bref - et amener là les danses et les chants de la Résurrection d'Atys pour lesquels la nuit n'est point indispensable." (30 juin 1914) L'informe également que la lettre de Carré est une "excellente amorce pour Candaule" et qu'il faudrait agir dès le retour de Donnay : "les réceptions vont être innombrables à l'Opéra Comique et il ne faudrait pas que février nous devançât" (25 octobre 1918). Lui fixe un rendez-vous pour la lecture du livret au vendredi 20 juin 1919. (16 juin 1919) Évoque un autre projet avec son librettiste : "Avec quelle joie je commencerai la partition de ce "Jean-Jacques" auquel je ne cesse de penser et qui me passionne de plus en plus. Je vous devrai encore de belles heures." (27 juillet 1921)
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3 février, 7 et 8 avril 1874 : À propos des droits de "Mignon" et de "Hamlet" pour des représentations en Angleterre, à Covent Garden, et en Italie : souhaite préserver ses intérêts et prie Heugel de faire valoir ses raisons auprès d'Ambroise Thomas (NLAS-214-1/3). - 9 juin 1874 : Enrage de ne pouvoir assister aux répétitions de "L'Esclave" d'Edmond Membrée et cherche à convaincre Heugel d'en éditer la partition, certain à l'avance de son succès : "Je voudrais bien aussi compter sur un éditeur. [...] Ne croyez-vous pas qu'il y a là une affaire sérieuse?" Le remercie également pour tout ce qu'il a fait pour "Mignon" et pour l'heureuse issue de ses démarches (NLAS-214-4). - 14 novembre 1874 : Lui envoie les paroles d'un air "Jérusalem! Jérusalem!" qui "s'adapte exactement aux paroles de l'édition Schlesinger" (NLAS-214-5). - 11 décembre 1874 : L'informe qu'il a saisi hier chez lui, en son absence, une partition de "Mignon" (NLAS-214-6). Lui demande de la lui céder
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3 août : Évoque ses malheurs et sollicite Heugel : "Tandis que vous vous promenez sur les grèves, je me promène de plus en plus sur l'étang de la mélasse. [...] Ayez foi en moi , je vous prie, et donnez-moi quelque chose sur l'avenir".. - 2 décembre : Réagit à un article du "Ménestrel" consacré à Ambroise Thomas et déplore la position subalterne dans laquelle la presse tient les librettistes. - Papier à en-tête : "Au Ménestrel, 2 bis, rue Vivienne, Paris.
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2 février : Lui adresse son poème "Hommage à Auber" composé plusieurs strophes avec hendécasyllabes et lui explique qu'il a voulu "louer toutes les qualités distinctives du génie français : la clarté , la précision, le respect de la forme, l'inspiration mélodique, le goût sans lequel il n'y a pas de proportion. Et qui osera dire que c'est là une attaque contre Halévy, Thomas, Gounod, Massé, reyer et tant d'autres de mes illustres et chers collaborateurs, sans parler des musiciens étrangers qui, comme Meyerbeer, ont conquis leurs lettres de naturalisation en faisant de la musique vraiment française"?. - 3 février : Lui demande de publier "ne varietur" son poème à Auber accompagné de sa lettre "profession de foi" du 2 février. - 12 février : lui demande une avance et un premier paiement de "Françoise de Rimini" sans attendre la première représentation. - 8 avril : Au sujet de "Françoise de Rimini". Débat avec Heugel sur certaines modifications du texte : "c'est ingénieux, mais cela détruirait certainement l'équilibre du second acte qui marche admirablement dans sa forme actuelle". - 20 avril : Au sujet de "Françoise de Rimini" et du refus de Lassalle de chanter son grand air : "On croit gagner beaucoup à avoir de pareils interprètes et l'on ne s'aperçoit que trop tard quel préjudice énorme portent à un ouvrage ces personnalités encombrantes." Défend son travail de librettiste : "Est-ce que le livret n'a pas été aussi longuement médité, fouillé, retourné que la partition même?". - 24 avril 1882 : Au sujet de "Françoise de Rimini" dont le succès n'a pas été au rendez-vous le soir de la première. Ne voit pas l'opportunité de modifier le livret : "Vous avez pu voir depuis quelques mois combien je suis accessible à toutes les idées et avec quelle sincérité je cherche à les mettre en œuvre, tant qu'on est dans la période de la gestation, mais après que l'enfant est venu au monde, j'éprouve comme une immense lassitude qui me rend incapable de le recommencer sur [de] nouveaux frais. Aussi bien ne le trouvè-je ni tordu ni bossu, et ce ne sont pas les critiques inconsistantes ou de mauvaises foi qui me feront changer d'avis". - 13 septembre 1882 : Réagit à la mort du compositeur Edmond Membrée : "Quel coup affreux et imprévu! J'en suis plus frappé que je ne puis vous dire. Il y avait tant d'énergie et d'espérances dans ce pauvre grand artiste atteint par la mort avant de l'être par la vieillesse". - 26 octobre : Au sujet de la question des droits d'auteur : souhaite obtenir 250 francs par représentation. Lettre cosignée d'Ambroise Thomas.
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30 janvier 1884 : Lui demande de remettre son billet à la fin du mois suivant. - 18 mars 1884 : Lui demande une avance de 1000 francs pour "Loreley"