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Los mosquitos representan una amenaza para la salud del hombre y de los animales debido a que actúan como vectores de distintas enfermedades. Especies de peces nativos son potenciales candidatos a tenerse en cuenta para control biológico de poblaciones de culícidos. Experiencias de consumo de media hora y de 24 horas por Cnesterodon decemmaculatus (Jenyns, 1842) y Jenynsia multidentata (Jenyns, 1842) se llevaron a cabo con larvas de Culex pipiens (Linnaeus, 1758), midiéndose longitud estándar, ancho de boca y peso en individuos de las dos especies. En ambas pruebas, J. multidentata consumió más C. pipiens que C. decemmaculatus, consumiendo las hembras de esta última especie más que los machos (e igual a ambos sexos de J. multidentata en la prueba de 24 horas de duración). Estos resultados no variaron cuando se compararon tantos consumos absolutos o relativos para las pruebas de media hora, sin embargo cuando se compararon los consumos relativos al peso no se encontraron diferencias entre las especies para las pruebas de 24 horas. Análisis de regresión entre las tasas de consumo versus las variables morfométricas y el peso mostraron poco valor explicativo en las pruebas de media hora de duración, mientras que en las pruebas de 24 horas de duración los análisis de regresión tuvieron un mayor valor explicativo, especialmente con el ancho de la boca. Por último, pruebas de media hora de duración fueron llevadas a cabo exponiendo a hembras de C. decemmaculatus con larvas de C. pipiens y Aedes aegypti (Linnaeus, 1742) observándose una fuerte preferencia por las últimas. Este trabajo permitió evidenciar que las especies de peces en estudio presentan grandes diferencias en las tasas de consumo de C. pipiens en periodos cortos. Estas diferencias se atenuaron cuando las tasas de consumo se prolongaron y hasta llegar a desaparecer cuando el peso se tuvo en cuenta.
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Pimelodella taenioptera Miranda Ribeiro, 1914 and Imparfinis schubarti (Gomes, 1956) are two of the most common fish species in Bodoquena Plateau streams, Paraguay basin. These species have benthic habits and subaquatical observations suggested that they present differentiation in their preference for mesohabitat types. Pimelodella taenioptera shows preference for slow waters, such as pools, while I. schubarti is associated to riffles. In this study we investigated if the known patterns of mesohabitat use of P. taenioptera and I. schubarti can be predict by their ecomorphological and trophic traits. We described the dietary habits and ecomorphological attributes of P. taenioptera and I. schubarti individuals, captured in the Parque Nacional da Serra da Bodoquena (PNSB), Mato Grosso do Sul state, central Brazil. Pimelodella taenioptera presented a more generalist diet, consuming a total of 23 different food items. Imparfinis schubarti have a diet based exclusively on aquatic insects. The ecomorphological analysis revealed that the species differed in relation to five morphological traits associated to habitat use (p <0.01). The results of this study reveal a clear functional dissimilarity between P. taenioptera and I. shubarti. The observed trophic and ecomorphological patterns are congruent with the known habitat use for these species and probably reflect the spatial and temporal variability on conditions and resources present in riffles and pools. Therefore, as expected, the morphological and feeding attributes represent predictive information related to mesohabitat use.
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For over 40 years malacologists have been discussing the taxonomical status of Heleobia species, an enigmatic genus from Cochliopidae family (Caenogastropoda: Rissooidea). As with other rissooidean families, the considerable character convergence and the paucity of anatomical synapomorphies has proved to be a problem in resolving cochliopid phylogenetic relations and establishing the validity of several nominal cochliopid species. Here we present a molecular contribution to solve the taxonomical status of one of the most abundant Southern South America cochliopid genera which has many endemic species. We report molecular evidence that supports three of the four Heleobia groups described for this region, the "australis", "parchappii" and "piscium" groups. The fourth, the "hatcheri" group, belongs not to Heleobia but to a different genus which itself should not be considered as part of the family Cochliopidae but closely related to genus Potamolithus Pilsbry & Rush, 1896.
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ABSTRACT The genus Bostryx Troschel, 1847 is endemic to South America, extending from Ecuador to Chile and Argentina. The southernmost Argentinian species of the genus that inhabit San Luis, San Juan and Mendoza provinces, specially the pre-Andes, Andes and Sierras Pampeanas mountain ranges, were examined. This is the first time the anatomy of Bostryx pastorei (Holmberg, 1912), Bostryx reedi (Parodiz, 1947) and Bostryx strobeli (Parodiz, 1956) has been described.Bostryx cordillerae (Strobel, 1874) is re-described regarding shell and anatomy due to new morphological data. The main differences among the species examined are based on shell characters. The distribution ofBostryx mendozanus (Strobel, 1874) and Bostryx cuyanus (Pfeiffer, 1867), other species found in this region, was also discussed.
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Nous avons travaillé à Bello Horizonte, Etat de Minas, avec le venin de 4 espèces de Scorpions: Tityus bahiensis (C. L. KOCK, 1836). Tityus serrulatus (LUTZ-MELLO, 1922). Tityus dorsomaculatus (LUTZ MELLO, 1922). Bothriurus (espèce em étude), sur un total de 13.640 individus. Nous avons essayé et observe laction du venin sur 97 espèces differentes dêtres vivants depuis les chlamydozoaires jusquà l«Homo sapiens». Nous avons cherché à déterminer une unité toxique «plus précise, plus régulierè». Les étalons dits «unité vésicule», «unité morsure» sont inconstants et sans rigueur. Tout au plus, peuvent ils server à létude de laction générale du venin, et cela meme, dans certains cas seulement. Nous avons employé la pesée pour determiner lunité toxique. Ce qui est important pour qui étudie ces sujets ce nest pás lê nombre de vésicules, mais bien la quantité de venin humide ou desséché quelles contiennent. La balance, pour notre travail, est um moyen indicateur de bien plus grande précision que la «vésicule» ou la «morsure». Nous sommes parvenus à prouver quil existe une relation constante entre le poid brut des vésicules et la quantité de venin humide ou desséché quelles contiennent dans leur intérieur. Donc em pesant les vésicules, nous pesons indirectement le venin. Peu nous importe quil y ait 10 ou 100 vésicules. Il nous importe seulement de savoir combien elles pèsent, et de déterminer par ce fait, la quantité proportionnelle de vain pur. La technique générale est la suivante: Nous pesons um certain nombre de vésicules. Nous triturons ensuite, dans um mortier stérilisé et nous emulsionnons, par laddition consécutive deau distillée, stérilisée. Nous filtrons lémulsion sur le papier filtre employé em chimie, préalablement taré et desséché dans une atmosphere de chlorure de calcium. Après le filtrage on sèche à nouveau les papiers filtre employés d'abord à l'étuve et ensuite dans la même atmosphère de chlorure de calcium. Nous pesons plusieurs fois et on obtient la moyenne de ces pesées. On soustrait de cette dernière pesée le taux des substances non venimeuses, glandulaires, également dissoutes et calculées à 23 du poids brut et celles retenues par les papiers,-on obtient ainsi la moyenne réelle du venin pur contenu dans les vésicules utilisèés. Une simple divisiôn suffit pour fixer la moyenne de chacune. Ces données ont été vérifiées par les expériences faites avec du venin pur, largement obtenu dans notre Laboratoire. Nous avons trouvé de la sorte pour une vésicule de Tityus serrulatus: 0,gr.000,386 de T. bahiensis: 0,gr.001.261.24 de venin pur ce qui donne. 7/15,96 pour la 1ère. 1/8,36 pour la 2ème du poids sec de chaque vésicule. Le poids sec, pour une moyenne obtenue de 1.000 vésicules, fut de 0,gr.008,236 pour Tityus bahiensis. Maximum 0,gr.011. Minimum 0,gr.004.4 pour chacun. Pour Tityus serrulatus, en 1.049 vésicules le poids fut de 0,gr.006,08. Maximum 0,gr.014.03. Minimum 0,gr.003,1 pour chacun. C'est pour cette raison que l'unité-vésicule est incertaine. 2 poules A et B.; l'une, A, pesant 2 K.030 gr. reçoit dans une veinè, une émulsion en sèrum physiologique à 8,50/%, stérilisé, de 19 vésicules totales de Tityus serrulatus, et présence de légers phénomènes toxiques. L'autre, B, pesant 2 K.320 gr. meurt avec tous les phénomènes classiques de l'empoisonnement, par l'injection endoveineuse del'émulsion de 16 vésicules totales de venin de Tityus serrulatus! Les premières 19 vésicules pesaient 0,gr.58; les 16 derniéres-84 milligrammes. Les premières contenaient 0,gr.003. 634 et les secondes 0,gr.005.263 de venin pur! La moyenne obtenue de 6346 scorpions, (entre T. bahiensis et T. serrulatus) nous a fourni pour chacun: 0,gr.000,131,53 de venin pur, par piqûre. Si l'on spécifie: Pour 5.197 T. bahiensis. La moyenne pour une piqûre est 0,gr.000.106.15. Pour 1.149 T. serrulatus, la moyenne pour une piqûre est.......0,gr.000.246.30. La quantité a varié, selon les individus, de 0,gr.000.035.71, à 0,gr.000.436.01 de venin pur, pour une piqûre. D'après ce qui vient d'étre dit, on peut voir combien la quantité de venin éjaculé varie, chaque fois, chez les scorpions. L'unité-piqûre ne peut done pas ètre utiliseé pour des expériences dèlicates. Le mieux est de se servir de venin pur, et c'est ce que nous avons fait pour les expériences minutieuses. Quand on n'en possède pas, on peut établir pour chaque série des expériences à tenter-la dose minima mortelle en poids (grammes et fractions) de vésicules. D'après les bases ici consignées, et avec une trés petite erreur, on peut calculer la quantité de venin pur de cette dóse. Ce calcul est d'ailleurs dispensable. On peut s'en rapporter simplement au poids sec des vésicules totales et dire que la D. m. m. est de tant de milligr. secs. Comme le venin se conserve mal dans les vésicules, il faut, dans ce procédé, doser la D. m. m. toutes les fois que l'on veut procéder á une sériê d'expériences. Le venin desséché rappelle, d'après le temps de conservations au Laboratoire, celui de Crotatus terrificus et celui des Lachesis (quand il est vieux). Il est retenu au passage en partie, par les bougies Berkfeld et Chamberland. La conservation en état de dessication est la meilleure. Ainsi gardé, à l'abri de la lumierè, aux approches de 0,gr., pendant 8 mois, il perd à peine 1,2 à 1,4 de sa valeur primitive. L'echauffement à 100 gr. trouble une dissolution de venin dans l'eau distilleé; sans atteindre toutefois son pouvoir toxique, quand on l'injecte par la voie intra-cérébrale. Nous avons fait l'experience par 11 voies diverses. Sur des animaux sensibles, nous n'avons pas obtenu de phénomènes toxiques, apparemment, par les voies suivantes: 1) buccale; 2) gastrique; 3) rectale; 4) chambre oculaire antérieure; 5) cornéenne; 6) trachéenne; 7) meningée {sur; intra; 8) simple contact, bien que direct, avec le systemè nerveux central. La gravité des phènomènes décroît suivant l'échelle ci-dessous: 1) intra-cérébrale...
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v.2:no.8(1912)
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The authors carried on experiences in order to confirm the neurotoxic theory of gas gangrene explained by Pacheco & Costa, uning preparations of isolated cord-posterior train of Leptodactylus ocellatus as described by OZORIO DE ALMEIDA & Cols. Frogs were intoxicated 3 days before the test with parcially purified toxins of Cl. perfringens, Cl. oedematiens and Cl. septicum. The intoxication produced a shortening of spinal reflexes duration time of such preparations, showing a typical alteration of the reflex activity of the spinal cord.
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The progressive intoxication of dogs with Clostridium perfringens toxin promotes degenerative neural lesions analogous to that found in acute intoxication. In progressive intoxication, the neuroglia is more proliferative and the myeline sheats are altered. The alterations were not circunscribed to spinal cord and medulla but were extensive to other nervous organs.