627 resultados para NONKETOTIC HYPERGLYCEMIA
Resumo:
Dissertação de Mestrado Integrado em Medicina Veterinária
Resumo:
Objectives: To determine the frequency of metabolic syndrome (MS) in patients with menopause, and to compare the incidence of MS between surgical and natural menopause. Methods: This was an observational, longitudinal, descriptive, retrospective, unblinded study of cases seen at the Menopause Clinic of the University Hospital “Dr. José eleuterio González” of the Universidad Autónoma de Nuevo León from March 2009 to December 2011. The frequency of MS was determined based on Adult Treatment Panel III (ATPIII) classiication. Results: at the end of the study, 391 patients were evaluated. The mean age was 50.1 years. We found a frequency of MS of 38.1%, the risk factor most often found was low HDL cholesterol (62.5%), followed by obesity (46.5%), hypercholesterolemia (42.3%), hyperglycemia (11.5%), and hypertension (7.7%). The incidence of natural and surgical menopause was 37.6% vs. 39.2% respectively; however, the result was not statistically signiicant (p = 0.093). Conclusions: Patients with menopause are at increased risk of developing MS. it is important to detect MS early in this of patients, when they have one risk factor to avoid complications which may trigger the syndrome. We recommend screening for MS during perimenopause, in order to detect and try to delay it in a timely manner and recommend primary prevention (diet and exercise), or secondary prevention in cases with one or more risk factors.
Resumo:
Objectives: To determine the frequency of metabolic syndrome (MS) in patients with menopause, and to compare the incidence of MS between surgical and natural menopause. Methods: This was an observational, longitudinal, descriptive, retrospective, unblinded study of cases seen at the Menopause Clinic of the University Hospital “Dr. José eleuterio González” of the Universidad Autónoma de Nuevo León from March 2009 to December 2011. The frequency of MS was determined based on Adult Treatment Panel III (ATPIII) classiication. Results: at the end of the study, 391 patients were evaluated. The mean age was 50.1 years. We found a frequency of MS of 38.1%, the risk factor most often found was low HDL-cholesterol (62.5%), followed by obesity (46.5%), hypercholesterolemia (42.3%), hyperglycemia (11.5%), and hypertension (7.7%). The incidence of natural and surgical menopause was 37.6% vs. 39.2% respectively; however, the result was not statistically signiicant (p = 0.093). Conclusions: Patients with menopause are at increased risk of developing MS. it is important to detect MS early in this of patients, when they have one risk factor to avoid complications which may trigger the syndrome. We recommend screening for MS during perimenopause, in order to detect and try to delay it in a timely manner and recommend primary prevention (diet and exercise), or secondary prevention in cases with one or more risk factors.
Resumo:
L’insuffisance rénale chronique (IRC) est caractérisée par de multiples déséquilibres homéostatiques tels que la résistance à l’insuline. Peu d’études se sont intéressées aux mécanismes sous-jacents à cette résistance à l’insuline en IRC. De plus, il est méconnu si cette résistance à l’insuline peut mener au développement d’un diabète de type II chez des patients prédisposés. Dans un modèle d’IRC, le rat Sprague-Dawley (CD) néphrectomisé 5/6e, on observe une corrélation entre la gravité de l’atteinte rénale, évaluée par la créatinine sérique, et l’hyperglycémie, évaluée par la fructosamine sérique (R2 = 0.6982, p < 0.0001). Cependant, cet état hyperglycémique n’est pas observable lors d’une glycémie à jeun. Lors d’un test de tolérance au glucose, on observe une plus grande élévation de la glycémie (AUC 1.25 fois, p < 0.0001) chez le rat atteint d’IRC. Par contre, la sécrétion d’insuline au cours de ce même test n’augmente pas significativement (AUC ≈ 1.30 fois, N.S.) en comparaison aux rats témoins. Malgré une élévation des taux d’insuline en IRC suivant un bolus de glucose, les tissus périphériques ne montrent pas d’augmentation de la captation du glucose sanguin suggérant un défaut d’expression et/ou de fonction des transporteurs de glucose chez ces rats. En effet, on observe une diminution de ces transporteurs dans divers tissus impliqués dans le métabolisme du glucose tel que le foie (≈ 0.60 fois, p < 0.01) et le muscle (GLUT1 0.73 fois, p < 0.05; GLUT4 0.69 fois, p < 0.01). En conséquence, une diminution significative du transport insulinodépendant du glucose est observable dans le muscle des rats atteint d’IRC (≈ 0.63 fois, p < 0.0001). Puisque les muscles sont responsables de la majorité de la captation insulinodépendante du glucose, la diminution de l’expression du GLUT4 pourrait être associée à la résistance à l’insuline observée en IRC. La modulation de l’expression des transporteurs de glucose pourrait être à l’origine de la résistance à l’insuline en IRC. Cela dit, d’autres mécanismes peuvent aussi être impliqués. En dépit de cette importante perturbation du transport du glucose, nous n’avons pas observé de cas de diabète de type II chez le rat CD atteint d’IRC. Dans un modèle de rat atteint d’un syndrome métabolique, le rat Zucker Leprfa/fa, l’IRC provoque une forte hyperglycémie à jeun (1.5 fois, p < 0.0001). De plus, l’IRC chez le rat Zucker provoque une réponse glycémique (AUC 1.80 fois, p < 0.0001) exagérée lors d’un test de tolérance au glucose. Une forte résistance à l’insuline est mesurée au niveau des muscles puisque la dose usuelle d’insuline (2mU/mL) n’est pas suffisante pour stimuler la captation du glucose chez le rat Zucker atteint d’IRC. De plus, une modulation similaire des transporteurs de glucose peut être observée chez ces deux espèces. Par contre, environ 30% (p < 0.001) des rats Zucker atteints d’IRC avaient une glycosurie. L’IRC en soi ne mènerait donc pas au développement d’un diabète de type II. Par contre, lorsqu’une résistance à l’insuline est présente antérieurement au développement d’une IRC, cela pourrait précipiter l’apparition d’un diabète de type II chez ces patients prédisposés.
Resumo:
L’insuffisance rénale chronique (IRC) est caractérisée par de multiples déséquilibres homéostatiques tels que la résistance à l’insuline. Peu d’études se sont intéressées aux mécanismes sous-jacents à cette résistance à l’insuline en IRC. De plus, il est méconnu si cette résistance à l’insuline peut mener au développement d’un diabète de type II chez des patients prédisposés. Dans un modèle d’IRC, le rat Sprague-Dawley (CD) néphrectomisé 5/6e, on observe une corrélation entre la gravité de l’atteinte rénale, évaluée par la créatinine sérique, et l’hyperglycémie, évaluée par la fructosamine sérique (R2 = 0.6982, p < 0.0001). Cependant, cet état hyperglycémique n’est pas observable lors d’une glycémie à jeun. Lors d’un test de tolérance au glucose, on observe une plus grande élévation de la glycémie (AUC 1.25 fois, p < 0.0001) chez le rat atteint d’IRC. Par contre, la sécrétion d’insuline au cours de ce même test n’augmente pas significativement (AUC ≈ 1.30 fois, N.S.) en comparaison aux rats témoins. Malgré une élévation des taux d’insuline en IRC suivant un bolus de glucose, les tissus périphériques ne montrent pas d’augmentation de la captation du glucose sanguin suggérant un défaut d’expression et/ou de fonction des transporteurs de glucose chez ces rats. En effet, on observe une diminution de ces transporteurs dans divers tissus impliqués dans le métabolisme du glucose tel que le foie (≈ 0.60 fois, p < 0.01) et le muscle (GLUT1 0.73 fois, p < 0.05; GLUT4 0.69 fois, p < 0.01). En conséquence, une diminution significative du transport insulinodépendant du glucose est observable dans le muscle des rats atteint d’IRC (≈ 0.63 fois, p < 0.0001). Puisque les muscles sont responsables de la majorité de la captation insulinodépendante du glucose, la diminution de l’expression du GLUT4 pourrait être associée à la résistance à l’insuline observée en IRC. La modulation de l’expression des transporteurs de glucose pourrait être à l’origine de la résistance à l’insuline en IRC. Cela dit, d’autres mécanismes peuvent aussi être impliqués. En dépit de cette importante perturbation du transport du glucose, nous n’avons pas observé de cas de diabète de type II chez le rat CD atteint d’IRC. Dans un modèle de rat atteint d’un syndrome métabolique, le rat Zucker Leprfa/fa, l’IRC provoque une forte hyperglycémie à jeun (1.5 fois, p < 0.0001). De plus, l’IRC chez le rat Zucker provoque une réponse glycémique (AUC 1.80 fois, p < 0.0001) exagérée lors d’un test de tolérance au glucose. Une forte résistance à l’insuline est mesurée au niveau des muscles puisque la dose usuelle d’insuline (2mU/mL) n’est pas suffisante pour stimuler la captation du glucose chez le rat Zucker atteint d’IRC. De plus, une modulation similaire des transporteurs de glucose peut être observée chez ces deux espèces. Par contre, environ 30% (p < 0.001) des rats Zucker atteints d’IRC avaient une glycosurie. L’IRC en soi ne mènerait donc pas au développement d’un diabète de type II. Par contre, lorsqu’une résistance à l’insuline est présente antérieurement au développement d’une IRC, cela pourrait précipiter l’apparition d’un diabète de type II chez ces patients prédisposés.
Resumo:
A Diabetes Mellitus é conhecida por uma doença metabólica caracterizada por um défice na ação ou secreção da insulina, na qual a consequência direta é o aparecimento de hiperglicemia, isto é, o nível de glicose apresentar valores elevados (Kidambi, 2008; Silva-Sousa, 2003). A DM1, especificamente, é apresentada como uma doença que é resultado da destruição das células beta do pâncreas, desenvolvendo assim, um défice na produção de insulina (Raymond et al., 2001). As complicações orais da DM1 incluem xerostomia, doença periodontal (gengivite e periodontite), abcessos dentários, perda de dentes, lesões de tecidos moles e síndrome de ardência oral. A complicação oral mais frequente da DM1 nas crianças é o aumento da sensibilidade à doença periodontal. A doença periodontal é caracterizada como uma reação inflamatória infecciosa dos tecidos gengivais (gengivite) ou do suporte dos dentes, ou seja, ligamento periodontal, cemento e osso alveolar (periodontite), podendo induzir um certo grau de resistência à insulina. Ambas as doenças resultam da interação entre microorganismos periodontais patogénicos. A avaliação e influência do controlo da doença é expressa pelos valores médios de hemoglobina glicosada (Hba1c) na saúde oral nas crianças e adolescentes com DM1. Vários estudos demonstraram que o controlo glicémico teve uma influencia sobre a saúde oral de crianças e adolescentes com DM1. Assim uma avaliação oral, deve fazer parte de procedimentos de rotina no atendimento de crianças e adolescentes com DM1. O dentista deve ser parte da equipa multidisciplinar que auxilia os indivíduos com DM1. O tratamento precoce numa população infantil com DM1, pode diminuir a severidade da doença periodontal. O presente trabalho tem por objectivo realizar uma revisão bibliográfica sobre a importância do estudo em crianças e adolescentes portadores de DM1 e doenças da cavidade oral, nomeadamente, a periodontite, e respetivas implicações.
Resumo:
Das Gesundheitsmanagement von Milchkühen hat in den vergangenen Jahren auf den landwirtschaftlichen Betrieben an Bedeutung gewonnen. Neben Präventionsmaßnahmen zur Gesunderhaltung der Tiere ist die frühzeitige und systematische Erkennung von Erkrankungen hierbei der Hauptbestandteil. Es zeigt sich vermehrt, dass vor allem Transitkühe verstärkt an Stoffwechselerkrankungen in sowohl klinischer als auch subklinischer Form erkranken. Letztere stellen ein hohes Risiko dar, zum einen weil subklinische Erkrankungen oftmals nur schwer oder gar nicht erkannt werden und zum anderen, weil sie in vielen Fällen die Grundlage für meist schwerwiegendere Folgeerkrankungen sind. In der vorliegenden Studie wird das Thema der Früherkennung von subklinischen Ketosen und der subakuten Pansenazidose behandelt. Verschiedene Methoden wurden unter praktischen Versuchsbedingungen auf ihre Tauglichkeit zur Krankheitserkennung hin geprüft. In einer ersten Studie wurde auf einem konventionellen Milchviehbetrieb ein Ketose-Monitoring bei frischlaktierenden Kühen ab Tag 3 postpartum durchgeführt. Insgesamt 15 Tiere waren an einer subklinischen Ketose erkrankt, was eine Aufkommensrate von 26% in den untersuchten Tieren bedeutete. Die Blutproben von insgesamt 24 Tieren wurden auf ihren IL-6-Gehalt untersucht. Von den untersuchten Tieren waren 14 Tiere erkrankt, 10 Tiere bildeten die gesunde Kontrollgruppe. Interleukin-6 wurde bestimmt, da dem Zytokin IL-6 in anderen Studien in Bezug auf Ketosen eine Rolle zugesprochen wurde. Die erwartete Erhöhung von IL-6 bei erkrankten Tieren konnte nicht festgestellt werden; die erkrankten Kühe zeigten vielmehr die niedrigsten IL-6 Werte der Studiengruppe. Insgesamt waren die IL-6 Konzentrationen auf einem niedrigen Niveau mit 27.2 pg/m l± 10.2. Es zeigte sich, dass die IL-6 Bestimmung im Blut hinsichtlich der Erkennung von subklinischen Ketosen nur eingeschränkt nutzbar ist. Es konnte ausschließlich eine schwache negative Korrelation zwischen Beta- Hydroxybutyrat (BHBA, Goldstandard für den Nachweis einer Ketose) und IL-6 detektiert werden. Zusätzlich zu den Blutanalysen wurde ebenfalls die tägliche Wiederkauaktivität mit dem „DairyCheck“ System bestimmt, welches kontinuierlich die charakteristischen Kaumuskelkontraktionen aufzeichnet und somit die Dauer des Wiederkäuens bestimmt werden kann. Es wurde geprüft, ob sich ketotische Tiere von nicht ketotischen Tieren hinsichtlich der täglichen Wiederkäuzeit unterscheiden. Milchkühe mit einer Ketose kauten im Schnitt 475 min/d ± 56 wieder, nach Genesung 497 min/d ± 48. Sie befanden sich somit im Durchschnitt immer unterhalb der gesunden Kontrollgruppe, welche 521 min/d ± 76 wiederkaute. Eine Korrelation zwischen der Wiederkauzeit und dem BHBA- Gehalt im Blut war nur sehr schwach ausgeprägt, nicht zuletzt da die Tiere generell eine hohe Variabilität in der Wiederkauaktivität zeigten. Bei einer weiteren Studie, ebenfalls auf einem Praxisbetrieb durchgeführt, wurde auf die Erkennung der subakuten Pansensazidose (SARA) fokussiert. Hierbei kam ein drahtloses, kommerziell verfügbares Bolussystem zum Einsatz, welches den pH Wert kontinuierlich im Retikulorumen misst. Es macht die Erkennung einer SARA auch unter Praxisbedingungen ohne invasive Methoden wie der Punktion möglich. Das Bolussystem wurde 24 Milchkühen kurz vor der Abkalbung oral eingegeben, um den pH-Wert während der gesamten Transitphase messen und überwachen zu können. Während in der Trockenstehphase nur vereinzelte SARA Fälle auftraten, erlitt ein Großteil der untersuchten Tiere in der Frühlaktation eine SARA. Auf Grundlage von pH-Werten von laktierenden Milchkühen, wurde zusätzlich eine Sensitivitätsanalyse von verschieden, bereits eingesetzten Nachweismethoden durchgeführt, um die Tauglichkeit für die SARA-Diagnostik zu untersuchen. Es handelte sich hierbei zum einen um einen SARA-Nachweis unter Heranziehung von Einzelwerten, Fress- und Wiederkäuzeiten, sowie ausgewählten Milchinhaltsstoffen und der Milchmenge. Die Analyse ergab, dass nahezu alle Nachweismethoden im Vergleich zur Langzeitmessung nur eingeschränkt zur SARA-Diagnostik nutzbar sind. In einem weiteren Teil der Studie wurde eine Kotfraktionierung bei den gleichen Tieren durchgeführt, um damit SARA-Tiere auch mittels der Kotanalyse erkennen kann. Es konnte gezeigt werden, dass zum einen die Ration einen Einfluss auf die Kotzusammensetzung hat (Trockensteherration versus Ration für Laktierende) zum anderen aber auch, dass eine SARA die Zusammensetzung des Kotes verändert. Hierfür wurden Kotproben ausschließlich von laktierenden Kühen untersucht, sodass der Einfluss der Ration ausgeschlossen werden konnte. Erhöhte Faseranteile im Kot von SARA - Kühen gaben Hinweis auf eine verminderte Verdaulichkeit. Dabei erwies sich vor allem die Hemizellulose als guter Parameter, um auf eine SARA schließen zu können. Die Versuchsbedingungen ließen es ebenfalls zu, die pH-Verläufe der Tiere in der Frühlaktation zu untersuchen. Eine Clusteranalyse von pH-Werten der ersten 12 Tage postpartum zeigte, dass die untersuchten Tiere trotz gleicher Haltungs- und Fütterungsbedingungen unterschiedliche pH-Wert Verläufe entwickelten. So gab es eine Gruppe von Milchkühen, die den pH-Wert stabil halten konnte, während die restlichen pH-Abfälle in verschiedenen Verläufen und Intensitäten aufzeigten. Es konnte ebenfalls aufgezeigt werden, dass Tiere innerhalb der Testherde unterschiedliche Schweregrade der SARA entwickelten. Auch in dieser Studie wurde deutlich, dass Tiere scheinbar unterschiedliche Möglichkeiten haben, auf ihre Umwelt zu reagieren, bzw. suboptimalen Bedingungen entgegenwirken zu können. Zusammengefasst wurden verschiedene Methoden zur Ketose- und SARA- Erkennung geprüft, von denen nur einzelne für die Praxis zu empfehlen sind. Die Variabilität der Tiere, sowohl bei der Ausprägung der Erkrankungen als auch bei den gemessenen Parametern verdeutlicht die Notwendigkeit, diese im Herden- und Gesundheitsmanagement in Zukunft stärker zu berücksichtigen.
Resumo:
In contrast to the definition of metabolic syndrome (MetS) in adults, there is no standard definition of MetS in pediatric populations. We aimed to assess the differences in the prevalence of MetS in children and adolescents aged 9–17 years in the city of Bogota (Colombia) using four different operational definitions for these age groups and to examine the associated variables. A total of 673 children and 1,247 adolescents attending public schools in Bogota (54.4% girls; age range 9–17.9 years) were included. The prevalence of MetS was determined by the definitions provided by the International Diabetes Federation (IDF) and three published studies by Cook et al., de Ferranti et al., and Ford et al. The prevalence of MetS was 0.3%, 6.3%, 7.8%, and 11.0% according to the IDF, Cook et al., Ford et al., and de Ferranti et al. definitions, respectively. The most prevalent components were low high-density lipoprotein cholesterol and high triglyceride levels, whereas the least prevalent components were abdominal obesity and hyperglycemia. Overall, the prevalence of MetS was higher in obese than in non-obese schoolchildren. In conclusion, MetS diagnoses in schoolchildren strongly depend on the definition chosen. These findings may be relevant to health promotion efforts for Colombian youth to develop prospective studies and to define which cut-offs are the best indicators of future morbidity.
Resumo:
El objetivo del presente estudio fue cuantificar la contribución del sobrepeso en la magnitud de la lipemia posprandial en sujetos normolipídicos. Se incluyeron 33 adultos normolipídicos en dos grupos (n=20, sobrepeso y (n=13 eutróficos, 66% hombres, edad media 31,2±7,6 años). Se midió la vasodilatación mediada por flujo (VMF), la velocidad de onda de pulso (VOP), el perfil lipídico, el cociente Log TG/c-HDL, la glucosa y presión arterial tras una ingesta estándar con alto contenido de grasa (79% Kcal/grasa). Se calculó, el Z-score de riesgo cardiovascular a partir de la suma de los residuos tipificados (Z) de las variables de riesgo cardiovascular. El estado de lipemia posprandial se midió en ayuno (0 min) y a los (60, 120, 180, y 240 min) posprandiales. El valor basal de la VMF y la VOP fue de 6,9±5,9% y 7.0±0.8 m/s, respectivamente. Se identificó que la lipemia posprandial reducía la WMF en 19,2% a los 60 min (5,9±1,5%) y a los 240 min (3,7±1,2%) (p<0,04), respectivamente. Este hallazgo se acompañó con un aumento en la VOP (p<0,05). Al dividir los sujetos en dos grupos según el IMC, los participantes en sobrepeso muestran cifras más elevadas en el Z-score de riesgo cardiovascular, la VOP, el Log TG/c-HDL y el Δ-VOP, (p<0,001). En conclusión los sujetos clasificados en sobrepeso muestran un perfil cardiometabolico asociado con un mayor riesgo cardiovascular.
Resumo:
Los cambios epigenéticos son responsables de la aparición de muchas patologías humanas y sus causas son debido a factores ambientales como genéticos. Se ha descrito en enfermedades crónicas como la Diabetes Mellitus tipo 2 (T2DM) que se caracteriza por los estados de hiperglucemia y el incremento en el estrés oxidativo que conlleva a complicaciones micro y macro vasculares, asociado a una desmetilación global del genoma. Nuestra hipótesis corresponde a que los órganos diana son afectados por las alteraciones como la metilación e hidroximetilación como consecuencia del estrés oxidativo que luego repercuten en la persistencia de la enfermedad. Métodos: A partir de sangre periférica se analizaron los cambios globales en la metilación del DNA que son afectados por el estado metabólico de 60 individuos (40 pacientes, 20 controles sanos). Por técnicas de cuantificación se compararon los resultados obtenidos con los de la expresión de las enzimas involucradas. Por último, se realizó un estudio de microarreglos de metilación del DNA y de expresión obtenidos de la base de datos GEO para así comparar los resultados con nuestros datos experimentales. Resultados: Los pacientes diabéticos con pobre control metabólico presentaron mayores niveles de metilación que el grupo control y no se encontró alteración en las enzimas involucradas en este proceso. Los resultados fueron concordantes con el estudio de microarreglos. Conclusión: Los estudios experimentales y de microarreglos demostraron que la metilación es tejido específico y que existe una mayor oxidación en pacientes. Por ello proponemos una vía alterna de desmetilación no enzimática, basada en la oxidación directa de los grupos metilos generados por los estados oxidativos característicos de esta enfermedad.
Resumo:
Introducción: El tiempo promedio del efecto máximo de la insulina regular rápida en la glucemia postprandial ha sido considerado durante años de 120 minutos. En pacientes con Diabetes Mellitus (DM) que usan insulinas análogas este tiempo y los factores asociados no se encuentran reportados para ser aplicados en el automonitoreo. El objetivo de este estudio fue calcular el tiempo y factores relacionados al efecto máximo de la insulina en la glucemia postprandial. Metodología: Se desarrolló un estudio longitudinal retrospectivo a partir de una fuente secundaria donde se realizó un análisis descriptivo y bivariado con las variables demográficas y clínicas presentes en la población. Resultados: El tiempo promedio del pico máximo de insulina en pacientes con DM1 fue de 78.4 (DE± 16.512) y DM2 75.01(DE± 12.02) minutos. El 75% de la población con DM1 y el 54.2% en DM2 era de sexo femenino, la edad promedio en DM1 era 42.38 años y en DM2 68 años, en cuanto a la categorización del IMC el 50% de la población en DM1 y el 37.5% en DM2 estaban dentro del rango de obesidad y se encontró una relación con respecto al tipo de comida “desayuno-cena” vs el tiempo promedio del efecto máximo de la insulina calculado para ambos grupos (p:0.010). Conclusiones: El tiempo promedio del efecto máximo de la insulina calculado fue menor al tiempo reportado en la literatura clínica de 120 minutos. El tipo de comida principal mostró una relación con el tiempo promedio del efecto máximo en ambos grupos.
Resumo:
O presente relatório foi realizado no âmbito do Mestrado Integrado de Medicina Veteri-nária, estando divido em duas partes. A primeira parte refere-se à casuística acompanhada ao longo do estágio curricular, realizado no Centro Hospitalar Veterinário do Porto, no período de-corrido entre 1 de setembro de 2015 e 29 de fevereiro de 2016. A segunda parte engloba uma monografia sobre o tema “Cetoacidose Diabética em canídeos”, incluindo ainda o relato de três casos clínicos acompanhados no decorrer do estágio. A cetoacidose diabética (CAD) é uma complicação urgente do diabetes mellitus, ocorrendo principalmente em animais nunca antes tratados com insulina de longa ação. O diagnóstico de CAD passa pela anamnese, sinais clínicos e deteção de hiperglicemia severa, glicosúria e cetonúria. O diagnóstico e tratamento de doenças concomitantes constituem o passo mais desafiante. O prognóstico depende da severidade da acidose, das doenças concomitantes e das limitações financeiras dos proprietários; Abstract: Small Animal Practice This report was carried out for the completion of the Master degree in veterinary medicine and is divided in two parts. The first part includes the accompanied cases throughout the train-eeship, which was held at the Centro Hospitalar Veterinário of Porto, between September 1st 2015 and February 29th 2016. The second part includes a monograph on "Diabetic Ketoacidosis in dogs ", including the report of three clinical cases followed during the internship. Diabetic ke-toacidosis (DKA) is an urgent complication of diabetes mellitus, occurring mainly in animals that were never treated with long-action insulin. The diagnosis of DKA involves the history, clinical signs and detection of severe hyperglycemia, glycosuria and ketonuria. The diagnosis and treat-ment of concomitant diseases are the most challenging steps. The prognosis depends on the severity of acidosis and concomitant diseases, as well as the financial restrictions of the owners.