968 resultados para Le Roman comique


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«Le souper» constitue le XIIème chapitre du roman de Voltaire, Zadig – Le monde comme il va (1747). On y trouve plusieurs aspects qui font le charme des contes de l’époque, tels que la fantaisie, l’imagination, le voyage, la couleur locale, l’humour, la satire… Le héros, Zadig, se mouvemente dans un cadre exotique (l’Arabie), il vit des situations bizarres, comiques et parodiques. Mais Voltaire ne veut pas tout simplement amuser le lecteur, il a une thèse à défendre, par conséquent il invite le lecteur à lire dans les entre-lignes. Voltaire essaie de montrer satiriquement que l’homme croit dominer les événements, mais en effet, il n’est qu’un jouet des forces qui le dépassent. Zadig est toujours dans la quête du bonheur qui semble impossible: quand il croit que finalement il est heureux, la destinée lui tend un piège. Dans «Le souper», Voltaire continue à exposer ses philosophies et c’est pourquoi il choisit le banquet qui est très propre à la confrontation d’idées. Il y rassemble plusieurs hommes de différentes nationalités et cultures et qui ont une grande diversité de points de vue, en ce qui concerne les superstitions et les préjugés. La discussion devient animée et anecdotique et elle sert à illustrer la thèse de Voltaire, selon laquelle l’homme est médiocre et ignorant, le fanatisme est dangereux et mène à la violence, et le hasard joue un rôle primordial dans notre vie. Dans «Le souper», chaque convive tente d’imposer ses convictions, en méprisant celles des autres, ce qui donne une image accablante de la condition humaine. Cependant, Zadig, en faisant usage de sa raison et de son esprit critique, réussit à réconcilier tout le monde, et quand il semble que «tout va bien dans le meilleur des mondes», il lui arrive une catastrophe: on veut brûler Zadig à petit feu, car il venait de détruire une ancienne tradition- «le bûcher du veuvage», ce qui illustre et justifie le scepticisme de Voltaire par rapport à la Providence.

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Après avoir situé la question de la dangerosité dans les perspectives psychiatriques actuelles, l'auteur propose de penser cette notion complexe dans un renversement du paradigme couramment admis : ainsi la référence à la dangerosité témoignerait-elle, au premier plan, de la part non symbolisée de la rencontre de la violence. Cette proposition prend appui dans un premier temps sur les propositions esquissées par M. Foucault dans sa compréhension du rapport à la violence et à la dangerosité. Puis, le recours au concept psychanalytique d'identification projective permet de proposer une modélisation clinique de la dangerosité, qui sera discutée à partir de deux observatoires dans le champ des violences sexuelles : celui d'une recherche menée auprès d'adolescents engagés dans des agirs sexuels violents et celui d'une pratique d'expertise judiciaire. First the author proposes to situate dangerousness's question in actual psychiatric field. Then, he proposes to think this complex notion into a reversal of dangerousness's paradigm: the reference to dangerousness will be thought as the expression of non-symbolized part through violence's meeting. This proposition relies in a first time on M. Foucault's propositions about a comprehension of the relation with violence and dangerousness. In a second time, the psychoanalytic concept of projective identification allows to propose clinical comprehension of dangerousness's notion. Two clinical situations about sexual violences will be asked in this plan: a research with Young sexual offenders and practice of judiciary evaluation.

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Collection : Collection le Petit livre ; 120

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Contient : Vie de Bertrand Du Guesclin, incomplète des 40 premiers chapitres. « [Et plus furent Anglois que François n'estoient trois fois, mais la] bataille aloient redoubtant. B. ordonna ses batailles. ; « ... Et de vie à trespassement ala le bon roy Charles, qui tant fut saiges, ou moys de septembre ensuyvant, après son bon connestable, en l'an mil CCCIIIIxx ans de la Resurrection Nostre Seigneur Jhesucrist, qui les ames de eulx vueille recevoir en sa gloire perdurable. Amen. Et sic est finis. Deo gratias. Finis » ; Vers sur Bertrand Du Guesclin. « Cy après ensuyvent les armes lesquelles portoit monseigneur B. Duguesclin. — L'escu d'argent à ung aigle de sable, Ou à deux testes et ung rouge baston, Portoit le preux, le gentil connestable... » ; «... Cy est la fin du livre de messire Bertran Duguesc[l]in, lequel a traicté par avant de ces faiz et vaillances, et a esté acomply le tiers jour d'octobre mil IIIIe soixante » ; « Roman de Parthenay » ou de Lusignan, ou de Mélusine, en vers, par COULDRETTE ; « Cy après ensuyvent les hystoires de Raymond, conte de Poitiers, et de Mellusigne, sa femme, et de leurs enfans, cy après, come il aparaistra plus aplain » ; « Le philozophe fut bien sage, Qui dist en la première page, De la noble métaphisique... » ; «... Toute l'ouvraige sera faitte, Adonc se taira Couldrette » ; Prière pour la famille de Lusignan, en vers : « O glorieuse Trinité, Incomprenable [deité], Troys personnes en Unité... » ; «... Après noustre jour derrenier, Pardurable félicité. Amen. Et sic est finis. Deo gratias. Priez tous Dieu pour l'escripvain, Qui a escript cestuy romain »

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Contient : IRoman des Sept sages ; « Ci commance li livres des VII sages de Rome... Il ot jadis I emperere à Rome, qui ot non Diocliciens ; il ot eu famme... » ; «... aprés l'ampereour fu son fill ampereres tant coume il vesqui. Explicit. Explicit » ; IIMarqués de Rome ; « Ci commance li romanz de Marqués, le filz Chaton. Jadis out I empereeur à Rome, qui avoit non Diocliciens ; li empereres fu mult vieuz hom... » ; « ... et vesquirent ainsint en samble toutes leurs vies. Ici faut li rommanz de Marqués et des VII sages de Rome » ; IIIMiracles de Notre-Dame, en vers, par GAUTIER DE COINCY, incomplets du début. Exemplaire non cité dans l'édition de l'abbé Poquet ; Fragments du Prologue ; Les Miracles de la sainte Vierge, publiés par l'abbé Poquet, 1857, vers 25-30, 62-69, 99-106, 138-142 ; Suite du Prologue, à partir du vers 143 ; Fin du Prologue : « ... La langue GAUTIER DE CHOISI (sic), Qui por s'amor commance einsi » ; Miracle de Théophile : « Por ceus esbatre et deporter... » ; Les Miracles de la sainte Vierge, col. 50 ; « Un biau miracle vos récite... » ; Les Miracles de la sainte Vierge, col. 423 ; « Tenez silence, bones genz... » ; Les Miracles de la sainte Vierge, col. 355 ; « Un biau miracle vos weil dire... » ; Les Miracles de la sainte Vierge, col. 291 ; « [M]es livres me dit et revelle... » ; Les Miracles de la sainte Vierge., col. 475 ; « Ci aprés vell metre en brief... » ; Les Miracles de la sainte Vierge, col. 501 ; « Queque talant avez d'oïr... » ; Les Miracles de la sainte Vierge, col. 511 ; « De l'abesse qui fu enceinte, que Nostre Dame délivra de son enfant en dormant. Une abesse fu jadis, Qui la dame de Paradis... » ; Ulrich, dans Zeitschrift für romanische Philologie, t. VI (1882), p. 334 ; « Un miracle truis d'un provoire... » ; édit. Poquet, col. 323 ; « Un moine fu d'une abahie... » ; édit. Poquet, col. 327 ; « Por plusors cuers plus enflammer... » ; édit. Poquet, col. 341 ; « Un arcevesque ot à Touleste... », texte très abrégé ; édit. Poquet, col. 77 ; « Tuit li miracle Nostre Dame... » ; édit. Poquet, col. 429 ; « Entendez tuit, et cler et lai... » ; édit. Poquet, col. 517 ; « Tant convolante me semont... » ; édit. Poquet, col. 303 ; « Pour ce qu'oiseuse est mort à l'ame... » ; édit. Poquet, col. 523 ; « [C]i fu un clers, un damoisiaux... » ; édit. Poquet, col. 363 ; « Entendez tuit, faites silence... » ; édit. Poquet, col. 443 ; « Des V siaumes de Maria. Un brief miracle vos veil dire, Conter vos veil d'un simple moinne... » ; édit. Poquet, col. 359 ; « Si com mes [livres] me tesmoigne... » ; édit. Poquet, col. 455 ; « A ceus qui aiment doucement... » ; édit. Poquet, col. 493 ; « A la loange de la Virge... » ; texte abrégé, comprenant seulement les 114 premiers vers ; édit. Poquet, col. 481 ; « Queque d'oïr estes en grant... » ; édit. Poquet, col. 505 ; « A Chartres fu ce truis uns clers... » ; édit. Poquet, col. 297 ; « Bien est que nos le bien dions... » ; édit. Poquet, col. 347 ; « Cele en cui prist humanité... », texte incomplet ; édit. Poquet, col. 461 ; « De la nonnein que li chevalliers espoussa. A la gloire la glorieuse, Une merveille merveilleuse... » ; Ulrich, dans Zeitschrift für romanische Philologie, t. VI (1882), p. 339 ; « ... Et serront tant com Dieux dura, Beneoiz soit qui l'endurra. Amen. Amen. Explicit les miracles de Nostre Dame sainte Marie, la douce dame et la beningne » ; IVLa Conception de Notre-Dame, par WACE ; « Ci commance la vie Nostre Damne. El non Dieu, qui nous doint sa grace, Oiiez que nos dit mestre GASCE... » — Le texte est incomplet des 18 derniers vers, et s'arrête (fol. 200 v°, col. 2) à ces mots : « ... Si Jonas en la mer sauva, Les IIII enfanz el feu garda, Bien pout donques [resusciter...] » ; cf La vie de la vierge Marie, de maître Wace, p. p. V. Luzarche, Tours, 1859, p. 90

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Contient : Roman de Melibée et Prudence, en prose. « Proheme... Après ce, ma treschiere dame, j'ay fait le romant sur Boece de Consolation à vostre service... Ung jouvencel appellé Melibée, puissans et riches... — ... nous veuille pardonner les nostres. Amen » ; « L'istore de Appollonius, roy d'Antyoche, de Tir et de Ciresne. Un roy fu jadis appellé Antioche... — ... ou temple de Diane à Ephese et laissa l'aultre en sa librairie » ; « Le rommant de Grisillidis. Auprès des mons en un costé d'Ytalie est la terre de Saluces... — ... et endura cette povre femmelette » ; « La vie de saincte Marguerite, emprosse, [par « Theophimus »]. Après la saincte resurrection de nostre seigneur Jhesucrist... — ... avoir memoire de vous devant nostre Seigneur, à qui est honneur, » etc ; Souscription du copiste : « Majoris scripsit istum librum anno Domini M° CCCC° XXXVJ° » ; et plus bas : « A Loise de La Tour, dame de Crequy, est cest livre »