806 resultados para Cronic kidney disease
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Background: Renal cystic diseases are important causes of chronic kidney disease (CKD). Objectives: We report the pattern of renal cystic disease in children and evaluate the outcome of children with multicystic dysplastic kidney (MCDK). Patients and Methods: Retrospective study of all children with cystic kidney diseases at King Abdulaziz University hospital from 2006 to 2014. Results: Total of 55 children (30 males); 25 MCDK, 22 polycystic kidney diseases (PKD), 4 nephronophthises and 4 renal cysts. Consanguinity was positive in 96.2%. MCDK and simple renal cyst patients had good renal function while PKD and nephronophthisis developed renal impairment. Most MCKD were diagnosed ante-natally, 16 of them were followed up for 3.4 (1.97) year. Their last creatinine was 33.9 (13.5) umol/L. MCDK was spontaneously involuted at mean age of 2.6 (1.3) years in 56%. Conclusions: MCDK is the commonest cystic renal disease and diagnosed ante-natally in the majority of cases. It has a good prognosis.
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Le rôle de l'inflammation dans le développement et la progression des maladies rénales chroniques (MRC) chez le chat a été peu étudié. L'hepcidine est une protéine de la phase aigue (PPA) de l'inflammation qui contribue au développement des anémies lors de MRC chez l'homme. Les objectifs de cette étude sont de comparer les concentrations en PPAs, en erythropoietine (EPO) ainsi que le statut en fer entre un groupe de chats sains et en MRC. 18 chats sains et 38 chats en MRC ont été recrutés de façon prospective. Les examens réalisés incluaient hématologie, biochimie, analyse d'urine, Serum amyloid A (SAA), haptoglobine (HAP), EPO, hepcidine,fer, TIBC et ferritinne. Nous avons observé une augmentation significative des concentrations en SAA et en hepcidine ainsi qu'une diminution significative du fer et du TIBC dans le groupe MRC (P < .05). Une corrélation positive entre la créatinine et certaines PPAs (SAA and hepcidin; P < .05) était présente. L'augmentation de SAA et hepcidine était significativement associé avec une diminution du TIBC et de l'hématocrite dans le groupe MRC. Les 14 (37%) chats anémiques du groupe MRC avaient une concentration significativement plus basse en fer et en TIBC (P < .05), changements compatibles avec une déficience fonctionelle en fer. Aucun chat n'avait un panel de fer compatible avec une carence en fer absolue. En conclusion, les résultats de cette étude suggèrent que les MRC chez le chat sont des conditions pro-inflammatoires, ayant un impact sur le métabolisme du fer.
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Les maladies cardiovasculaires ont un impact considérable sur la vie des Canadiens, et de nombreux efforts ont permis d’identifier différents facteurs de risque associés à cette condition. L’hypertension artérielle représente un de ces facteurs modifiables les plus importants. Quoique l’hypertension est définie à l’aide de mesures de pression artérielle en périphérie, il devient de plus en plus apparent que la mesure de pression centrale et de ses composantes auraient des avantages au niveau de la prédiction de la survenue d’événements cardiovasculaires. Le présent mémoire vise à mieux caractériser deux déterminants de cette pression centrale, le traitement antihypertenseur à base de bêtabloqueurs et l’insuffisance rénale chronique précoce. En utilisant les données recueillies dans la banque de données populationnelle CARTaGENE, il a été possible à l’aide d’analyses statistiques par appariement basé sur le coefficient de propension de démontrer que l’utilisation d’agents antihypertensifs de type bêtabloqueurs était associée à un profil hémodynamique central défavorable. Ainsi, les individus recevant ces agents avaient une pression centrale et une amplification artérielle plus élevées que des individus du groupe contrôle apparié et ce, malgré une pression périphérique identique. Cet effet semblait être incomplètement expliqué par la réduction du rythme cardiaque associé à l’utilisation de bêtabloqueurs. Aussi, il a été démontré que l’insuffisance rénale chronique de stade 3 (débit de filtration glomérulaire estimé entre 30 et 60 mL/min/1.73m2) n’était pas associée à une élévation des paramètres hémodynamiques centraux, contrairement à ce qui avait déjà été décrit chez des individus avec insuffisance rénale chronique plus avancée. De plus, le niveau d’albuminurie ne serait également pas associé à un changement du profil central dans un sous-groupe de la cohorte CARTaGENE.
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L’insuffisance rénale chronique (IRC) se définit par un défaut de filtration glomérulaire et est associée à plusieurs désordres. La perturbation de l’homéostasie glucidique en fait partie. L’homéostasie glucidique est contrôlée principalement par l’insuline, soit l’hormone sécrétée en réponse au glucose par les cellules bêta-pancréatiques contenues dans les îlots de Langerhans. La préservation de la fonction de la cellule bêta est essentielle au maintien de l’homéostasie glucidique. Il a été démontré que la sécrétion de l'insuline est altérée au cours l'IRC, cependant les mécanismes demeurent peu connus. Au cours de l’IRC, l’accumulation chronique de toxines urémiques pourrait contribuer à la défaillance de la cellule bêta. L’urée est une toxine urémique majeure et sa toxicité a été récemment rapportée dans plusieurs tissus. Le but de ce mémoire était donc de vérifier le rôle de l’urée dans la dysfonction de la cellule bêta-pancréatique au cours de l’IRC. Nous avons démontré que l’exposition des îlots de souris à des concentrations pathologiques d’urée entraîne une diminution de la sécrétion d’insuline via l’augmentation du stress oxydant et des O-glycosylations. Ce défaut est dû à une perturbation du métabolisme intracellulaire du glucose. Entre autres, nous avons observé une baisse de la glycolyse associée à la réduction de l’activité enzymatique de la phosphofructokinase-1. Ces résultats démontrent un effet toxique direct de l’urée sur la sécrétion d’insuline et permettent de mieux comprendre le mécanisme de dysfonction de la cellule bêta-pancréatique au cours de l’IRC.
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Les modalités de dialyse à domicile, soit la dialyse péritonéale (DP) et l’hémodialyse à domicile (HDD), offrent plusieurs avantages aux patients avec insuffisance rénale terminale (IRT), que ce soit par rapport à la qualité de vie ou à une diminution des complications liées à l’IRT. Peu de données sont toutefois disponibles quant aux répercussions cliniques de l’initiation de la thérapie de suppléance rénale via la DP ou l’HDD et de l’optimisation subséquente du traitement à domicile. Le présent mémoire visait donc à répondre aux trois questions suivantes soit (1) la comparaison entre la survie des patients débutant la thérapie de suppléance rénale par une ou l’autre des modalités à domicile, (2) l’évaluation du modèle de dialyse à domicile intégrée (c’est la dire l’initiation de la suppléance rénale en DP avec un transfert subséquent en HDD) et (3) l’évaluation des prédicteurs dudit modèle de dialyse à domicile intégrée. L’évaluation de 11 416 patients ayant débuté la suppléance rénale en Australie et Nouvelle-Zélande entre 2000 et 2012 a montré une association entre une mortalité globale inférieure chez les patients traités par HDD comparativement à ceux traités par DP (rapport des risques [hazard ratio - HR] 0.47, intervalle de confiance [IC] de 95%, 0.38-0.59). Par contre, les patients ayant débuté la suppléance rénale en DP et ayant ensuite été transférés en HDD (modèle de dialyse à domicile intégrée) avaintt une survie en dialyse à domicile similaire à ceux directement traités par l’HDD (HR 0.92, IC de 95%, 0.52-1.62). Finalement, les caractéristiques démographiques de base (jeune âge, sexe masculin, ethnie), les comorbidités, la cause de l’insuffisance rénale terminale, la durée du traitement et la raison de l’arrêt de la DP étaient des prédicteurs du modèle de dialyse à domicile intégrée.
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Type 1 diabetes affects over 108,000 children, and this number is steadily increasing. Current insulin therapies help manage the disease but are not a cure. Over a child’s lifetime they can develop kidney disease, blindness, cardiovascular disease and many other issues due to the complications of type 1 diabetes. This autoimmune disease destroys beta cells located in the pancreas, which are used to regulate glucose levels in the body. Because there is no cure and many children are affected by the disease there is a need for alternative therapeutic options that can lead to a cure. Human mesenchymal stem cells (hMSCs) are an important cell source for stem cell therapeutics due to their differentiation capacity, self-renewal, and trophic activity. hMSCs are readily available in the bone marrow, and act as an internal repair system within the body, and they have been shown to differentiate into insulin producing cells. However, after isolation hMSCs are a heterogeneous cell population, which requires secondary processing. To resolve the heterogeneity issue hMSCs are separated using fluorescent- and magnetic-activate cell sorting with antigen labeling. These techniques are efficient but reduce cell viability after separation due to the cell labeling. Therefore, to make hMSCs more readily available for type 1 diabetes therapeutics, they should be separated without diminishing there functional capabilities. Dielectrophoresis is an alternative separation technique that has the capability to separated hMSCs. This dissertation uses dielectrophoresis to characterize the dielectric properties of hMSCs. The goal is to use hMSCs dielectric signature as a separation criteria rather than the antigen labeling implemented with FACS and MACS. DEP has been used to characterize other cell systems, and is a viable separation technique for hMSCs.
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Background: Diabetes mellitus is the most common cause of end-stage renal disease, which is associated with increased morbidity and mortality. The impact of bariatric surgery on chronic kidney disease is unclear. Objectives: Our primary aim was to assess the impact of bariatric surgery on estimated glomerular filtration rate (eGFR) in type 2 diabetes (T2D) patients. Our secondary aim was to compare the impact of bariatric surgery versus routine care on eGFR in patients with T2D. Setting: University Hospital, United Kingdom. Methods: A retrospective cohort analysis of adults with T2D who underwent bariatric surgery at a single center between January 2005 and December 2012. Data regarding eGFR were obtained from electronic patients records. eGFR was calculated using the Modification of Diet in Renal Disease formula. Data regarding patients with T2D who did not undergo bariatric surgery ("routine care") were obtained from patients attending the diabetes clinic at the same center from 2009 to 2011. Results: One hundred sixty-three patients were included (mean age 48.5±8.8 yr; baseline body mass index 50.8±9.1 kg/m2) and were followed for 3.0±2.3 years. Bariatric surgery resulted in an improvement in eGFR (median [interquartile range] 86.0 [73.0-100.0] versus 92.0 [77.0-101.0] mL/min/1.73 m2 for baseline versus follow-up, respectively; P = .003), particularly in patients with baseline eGFR≤60 mL/min/1.73 m2 (48.0 [42.0-57.0] versus 61.0 [55.0-63.0] mL/min/1.73 m2; P = .004). After adjusting for baseline eGFR, glycated hemoglobin (HbA1C), body mass index, age, and gender, bariatric surgery was associated with higher study-end eGFR compared with routine care (B = 7.787; P< .001). Conclusion: Bariatric surgery results in significant improvements in eGFR in T2D patients, particularly those with an eGFR≤60 mL/min/1.73 m2, while routine care was associated with a decline in eGFR.
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Le rôle de l'inflammation dans le développement et la progression des maladies rénales chroniques (MRC) chez le chat a été peu étudié. L'hepcidine est une protéine de la phase aigue (PPA) de l'inflammation qui contribue au développement des anémies lors de MRC chez l'homme. Les objectifs de cette étude sont de comparer les concentrations en PPAs, en erythropoietine (EPO) ainsi que le statut en fer entre un groupe de chats sains et en MRC. 18 chats sains et 38 chats en MRC ont été recrutés de façon prospective. Les examens réalisés incluaient hématologie, biochimie, analyse d'urine, Serum amyloid A (SAA), haptoglobine (HAP), EPO, hepcidine,fer, TIBC et ferritinne. Nous avons observé une augmentation significative des concentrations en SAA et en hepcidine ainsi qu'une diminution significative du fer et du TIBC dans le groupe MRC (P < .05). Une corrélation positive entre la créatinine et certaines PPAs (SAA and hepcidin; P < .05) était présente. L'augmentation de SAA et hepcidine était significativement associé avec une diminution du TIBC et de l'hématocrite dans le groupe MRC. Les 14 (37%) chats anémiques du groupe MRC avaient une concentration significativement plus basse en fer et en TIBC (P < .05), changements compatibles avec une déficience fonctionelle en fer. Aucun chat n'avait un panel de fer compatible avec une carence en fer absolue. En conclusion, les résultats de cette étude suggèrent que les MRC chez le chat sont des conditions pro-inflammatoires, ayant un impact sur le métabolisme du fer.
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Les maladies cardiovasculaires ont un impact considérable sur la vie des Canadiens, et de nombreux efforts ont permis d’identifier différents facteurs de risque associés à cette condition. L’hypertension artérielle représente un de ces facteurs modifiables les plus importants. Quoique l’hypertension est définie à l’aide de mesures de pression artérielle en périphérie, il devient de plus en plus apparent que la mesure de pression centrale et de ses composantes auraient des avantages au niveau de la prédiction de la survenue d’événements cardiovasculaires. Le présent mémoire vise à mieux caractériser deux déterminants de cette pression centrale, le traitement antihypertenseur à base de bêtabloqueurs et l’insuffisance rénale chronique précoce. En utilisant les données recueillies dans la banque de données populationnelle CARTaGENE, il a été possible à l’aide d’analyses statistiques par appariement basé sur le coefficient de propension de démontrer que l’utilisation d’agents antihypertensifs de type bêtabloqueurs était associée à un profil hémodynamique central défavorable. Ainsi, les individus recevant ces agents avaient une pression centrale et une amplification artérielle plus élevées que des individus du groupe contrôle apparié et ce, malgré une pression périphérique identique. Cet effet semblait être incomplètement expliqué par la réduction du rythme cardiaque associé à l’utilisation de bêtabloqueurs. Aussi, il a été démontré que l’insuffisance rénale chronique de stade 3 (débit de filtration glomérulaire estimé entre 30 et 60 mL/min/1.73m2) n’était pas associée à une élévation des paramètres hémodynamiques centraux, contrairement à ce qui avait déjà été décrit chez des individus avec insuffisance rénale chronique plus avancée. De plus, le niveau d’albuminurie ne serait également pas associé à un changement du profil central dans un sous-groupe de la cohorte CARTaGENE.
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L’insuffisance rénale chronique (IRC) se définit par un défaut de filtration glomérulaire et est associée à plusieurs désordres. La perturbation de l’homéostasie glucidique en fait partie. L’homéostasie glucidique est contrôlée principalement par l’insuline, soit l’hormone sécrétée en réponse au glucose par les cellules bêta-pancréatiques contenues dans les îlots de Langerhans. La préservation de la fonction de la cellule bêta est essentielle au maintien de l’homéostasie glucidique. Il a été démontré que la sécrétion de l'insuline est altérée au cours l'IRC, cependant les mécanismes demeurent peu connus. Au cours de l’IRC, l’accumulation chronique de toxines urémiques pourrait contribuer à la défaillance de la cellule bêta. L’urée est une toxine urémique majeure et sa toxicité a été récemment rapportée dans plusieurs tissus. Le but de ce mémoire était donc de vérifier le rôle de l’urée dans la dysfonction de la cellule bêta-pancréatique au cours de l’IRC. Nous avons démontré que l’exposition des îlots de souris à des concentrations pathologiques d’urée entraîne une diminution de la sécrétion d’insuline via l’augmentation du stress oxydant et des O-glycosylations. Ce défaut est dû à une perturbation du métabolisme intracellulaire du glucose. Entre autres, nous avons observé une baisse de la glycolyse associée à la réduction de l’activité enzymatique de la phosphofructokinase-1. Ces résultats démontrent un effet toxique direct de l’urée sur la sécrétion d’insuline et permettent de mieux comprendre le mécanisme de dysfonction de la cellule bêta-pancréatique au cours de l’IRC.
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Les modalités de dialyse à domicile, soit la dialyse péritonéale (DP) et l’hémodialyse à domicile (HDD), offrent plusieurs avantages aux patients avec insuffisance rénale terminale (IRT), que ce soit par rapport à la qualité de vie ou à une diminution des complications liées à l’IRT. Peu de données sont toutefois disponibles quant aux répercussions cliniques de l’initiation de la thérapie de suppléance rénale via la DP ou l’HDD et de l’optimisation subséquente du traitement à domicile. Le présent mémoire visait donc à répondre aux trois questions suivantes soit (1) la comparaison entre la survie des patients débutant la thérapie de suppléance rénale par une ou l’autre des modalités à domicile, (2) l’évaluation du modèle de dialyse à domicile intégrée (c’est la dire l’initiation de la suppléance rénale en DP avec un transfert subséquent en HDD) et (3) l’évaluation des prédicteurs dudit modèle de dialyse à domicile intégrée. L’évaluation de 11 416 patients ayant débuté la suppléance rénale en Australie et Nouvelle-Zélande entre 2000 et 2012 a montré une association entre une mortalité globale inférieure chez les patients traités par HDD comparativement à ceux traités par DP (rapport des risques [hazard ratio - HR] 0.47, intervalle de confiance [IC] de 95%, 0.38-0.59). Par contre, les patients ayant débuté la suppléance rénale en DP et ayant ensuite été transférés en HDD (modèle de dialyse à domicile intégrée) avaintt une survie en dialyse à domicile similaire à ceux directement traités par l’HDD (HR 0.92, IC de 95%, 0.52-1.62). Finalement, les caractéristiques démographiques de base (jeune âge, sexe masculin, ethnie), les comorbidités, la cause de l’insuffisance rénale terminale, la durée du traitement et la raison de l’arrêt de la DP étaient des prédicteurs du modèle de dialyse à domicile intégrée.
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Background: Raised blood pressure is an important risk factor for cardiovascular diseases and chronic kidney disease. We estimated worldwide trends in mean systolic and mean diastolic blood pressure, and the prevalence of, and number of people with, raised blood pressure, defined as systolic blood pressure of 140 mm Hg or higher or diastolic blood pressure of 90 mm Hg or higher. Methods: For this analysis, we pooled national, subnational, or community population-based studies that had measured blood pressure in adults aged 18 years and older. We used a Bayesian hierarchical model to estimate trends from 1975 to 2015 in mean systolic and mean diastolic blood pressure, and the prevalence of raised blood pressure for 200 countries. We calculated the contributions of changes in prevalence versus population growth and ageing to the increase in the number of adults with raised blood pressure. Findings: We pooled 1479 studies that had measured the blood pressures of 19·1 million adults. Global age-standardised mean systolic blood pressure in 2015 was 127·0 mm Hg (95% credible interval 125·7–128·3) in men and 122·3 mm Hg (121·0–123·6) in women; age-standardised mean diastolic blood pressure was 78·7 mm Hg (77·9–79·5) for men and 76·7 mm Hg (75·9–77·6) for women. Global age-standardised prevalence of raised blood pressure was 24·1% (21·4–27·1) in men and 20·1% (17·8–22·5) in women in 2015. Mean systolic and mean diastolic blood pressure decreased substantially from 1975 to 2015 in high-income western and Asia Pacific countries, moving these countries from having some of the highest worldwide blood pressure in 1975 to the lowest in 2015. Mean blood pressure also decreased in women in central and eastern Europe, Latin America and the Caribbean, and, more recently, central Asia, Middle East, and north Africa, but the estimated trends in these super-regions had larger uncertainty than in high-income super-regions. By contrast, mean blood pressure might have increased in east and southeast Asia, south Asia, Oceania, and sub-Saharan Africa. In 2015, central and eastern Europe, sub-Saharan Africa, and south Asia had the highest blood pressure levels. Prevalence of raised blood pressure decreased in high-income and some middle-income countries; it remained unchanged elsewhere. The number of adults with raised blood pressure increased from 594 million in 1975 to 1·13 billion in 2015, with the increase largely in low-income and middle-income countries. The global increase in the number of adults with raised blood pressure is a net effect of increase due to population growth and ageing, and decrease due to declining age-specific prevalence. Interpretation: During the past four decades, the highest worldwide blood pressure levels have shifted from high-income countries to low-income countries in south Asia and sub-Saharan Africa due to opposite trends, while blood pressure has been persistently high in central and eastern Europe.
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The aim of this study is to describe the characteristics of infective endocarditis (IE) after transcatheter aortic valve implantation (TAVI). This study was performed using the GAMES database, a national prospective registry of consecutive patients with IE in 26 Spanish hospitals. Of the 739 cases of IE diagnosed during the study, 1.3% were post-TAVI IE, and these 10 cases, contributed by five centres, represented 1.1% of the 952 TAVIs performed. Mean age was 80 years. All valves were implanted transfemorally. IE appeared a median of 139 days after implantation. The mean age-adjusted Charlson comorbidity index was 5.45. Chronic kidney disease was frequent (five patients), as were atrial fibrillation (five patients), chronic obstructive pulmonary disease (four patients), and ischaemic heart disease (four patients). Six patients presented aortic valve involvement, and four only mitral valve involvement; the latter group had a higher percentage of prosthetic mitral valves (0% vs. 50%). Vegetations were found in seven cases, and four presented embolism. One patient underwent surgery. Five patients died during follow-up: two of these patients died during the admission in which the valve was implanted. Conclusions: IE is a rare but severe complication after TAVI which affects about 1% of patients and entails a relatively high mortality rate. IE occurred during the first year in nine of the 10 patients.
New prophylactic and therapeutic treatments to combat pathogenic Enterohaemorrhagic Escherichia coli
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Bacterial diarrhoeal diseases have significant influence on global human health, and are a leading cause of preventable death in the developing world. Enterohaemorrhagic Escherichia coli (EHEC), pathogenic strains of E. coli that carry potent toxins, have been associated with a high number of large-scale outbreaks caused by contaminated food and water sources. This pathotype produces diarrhoea and haemorrhagic colitis in infected humans, and in some patients leads to the development of haemolytic uremic syndrome (HUS), which can result in mortality and chronic kidney disease. A major obstacle to the treatment of EHEC infections is the increased risk of HUS development that is associated with antibiotic treatment, and rehydration and renal support are often the only options available. New treatments designed to prevent or clear E. coli infections and reduce symptoms of illness would therefore have large public health and economic impacts. The three main aims of this thesis were: to explore mouse models for pre-clinical evaluation in vivo of small compounds that inhibit a major EHEC colonisation factor, to assess the production and role of two proteins considered promising candidates for a broad-spectrum vaccine against pathogenic E. coli, and to investigate a novel compound that has recently been identified as a potential inhibitor of EHEC toxin production. As EHEC cannot be safely tested in humans due to the risk of HUS development, appropriate small animal models are required for in vivo testing of new drugs. A number of different mouse models have been developed to replicate different features of EHEC pathogenesis, several of which we investigated with a focus on colonisation mediated by the Type III Secretion System (T3SS), a needle-like structure that translocates bacterial proteins into host cells, resulting in a tight, intimate attachment between pathogen and host, aiding colonisation of the gastrointestinal tract. As E. coli models were found not to depend significantly on the T3SS for colonisation, the Citrobacter rodentium model, a natural mouse pathogen closely related to E. coli, was deemed the most suitable mouse model currently available for in vivo testing of T3SS-targeting compounds. Two bacterial proteins, EaeH (an outer membrane adhesin) and YghJ (a putative secreted lipoprotein), highly conserved surface-associated proteins recently identified as III protective antigens against E. coli infection of mice, were explored in order to determine their suitability as candidates for a human vaccine against pathogenic E. coli. We focused on the expression and function of these proteins in the EHEC O157:H7 EDL933 strain and the adherent-invasive E. coli (AIEC) LF82 strain. Although expression of EaeH by other E. coli pathotypes has recently been shown to be upregulated upon contact with host intestinal cells, no evidence of this upregulation could be demonstrated in our strains. Additionally, while YghJ was produced by the AIEC strain, it was not secreted by bacteria under conditions that other YghJ-expressing E. coli pathotypes do, despite the AIEC strain carrying all the genes required to encode the secretion system it is associated with. While our findings indicate that a vaccine that raises antibodies against EaeH and YghJ may have limited effect on the EHEC and AIEC strains we used, recent studies into these proteins in different E. coli pathogens have suggested they are still excellent candidates for a broadly effective vaccine against E. coli. Finally, we characterised a small lead compound, identified by high-throughput screening as a possible inhibitor of Shiga toxin expression. Shiga toxin production causes both the symptoms of illness and development of HUS, and thus reduction of toxin production, release, or binding to host receptors could therefore be an effective way to treat infections and decrease the risk of HUS. Inhibition of Shiga toxin production by this compound was confirmed, and was shown to be caused by an inhibitory effect on activation of the bacterial SOS response rather than on the Shiga toxin genes themselves. The bacterial target of this compound was identified as RecA, a major regulator of the SOS response, and we hypothesise that the compound binds covalently to its target, preventing oligomerisation of RecA into an activated filament. Altogether, the results presented here provide an improved understanding of these different approaches to combating EHEC infection, which will aid the development of safe and effective vaccines and anti-virulence treatments against EHEC.