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Colbertinus
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Puteanus
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Colbertinus, antea Jacobi Augusti Thuani
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Rançon du roi René, n os 31-49, 51-54, 56-61. — Voy. Bibl. nat., ms. fr. 4884, pp. 9522-9528 et 9505-9508.
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Comprend : Lettres de M. Racine à M. D.*** à Lyon
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Introduction et but de l'étude. - Le Nutrition Day 2010 réalisédans le service de dialyse aiguë de notre CHU a montré un taux dedénutrition de 64 % chez le patient dialysé hospitalisé avec un déficitnutritionnel moyen le jour de dialyse de 1 000 kcal et 45 g deprotéines. Les horaires de repas dans l'unité d'hospitalisation et dedialyse au centre de dialyse se chevauchent. Le but de cette étude estd'évaluer l'impact de l'organisation institutionnelle sur l'apportprotéino-énergétique du patient hémodialysé hospitalisé.Matériel et Méthodes. - Étude exploratoire et transversale. Laconsommation alimentaire et les obstacles potentiels à l'alimentationd'origine logistique ont été relevés durant deux jours consécutifs,un jour de dialyse (JD) et un jour sans dialyse (JSD). Les motifsde non consommation ou de consommation partielle des repas etcollations ont été relevés auprès des patients immédiatement aprèsles repas principaux, au moyen d'entretiens semi-dirigés. Lesingesta ont été comparés aux besoins protéino-énergétiques pour lespatients hémodialysés (ESPEN, 2006). Une évaluation nutritionnellea été réalisée chez tous les patients.Résultats. - Vingt-six patients (85 % d'hommes) ont été inclus,âgés de 65,7 ± 10,6 ans (moy ± ET). Le BMI moyen est de 24,9± 5,9 kg/m2, le score de Charlson de 7,2 ± 2,7 et 54 % ont un NRS-2002 ≥ 3. Plus de deux tiers des patients (68 %) ont perdu du poidset 64 % sont dénutris. Au total, 147 repas et 56 collations ont été étudiés,dont 74 repas et 32 collations pour le JD. Le JD, 56 % des collationsne sont pas consommées contre 21 % le JSD. La couverturemoyenne des besoins énergétiques et protéiques le JD est respectivementde 48 % et 57 %, sans différence avec le JSD. Les motifs denon consommation les plus fréquemment cités sont, par ordredécroissant : satiété précoce, inappétence, dégoût des mets proposés,peurs et représentations alimentaires et mises à jeun pour procéduresmédicales. Ils sont identiques les JD et les JSD. Lesobstacles à l'alimentation inhérents au patient sont 2,6 fois plus fréquentsque ceux liés à l'organisation hospitalière. Une douleur(légère à modérée), une dyspnée et une xérostomie affectent respectivement100 %, 54 % et 48 % des patients, qui ne considèrent pasces symptômes comme une cause de non consommation alimentaire.Conclusion. - Les apports protéino-énergétiques sont insuffisantset près de deux tiers des sujets sont dénutris. L'organisationhospitalière n'est pas identifiée par les patients comme un obstacleexpliquant le déficit énergétique et protéique quotidien. Les obstaclesà l'alimentation orale sont principalement inhérents à l'état desanté des patients. L'instauration d'une alimentation spécifique auxpatients dialysés hospitalisés (« humide », fractionnée, enrichie enprotéines et en énergie) de même que la prescription plus systématiqued'un support nutritionnel devraient contribuer à la couverturede leurs besoins nutritionnels.
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Phytochromes are red/far-red photosensors that regulate numerous developmental programs in plants. Among them, phytochrome A (phyA) is essential to enable seedling de-etiolation under continuous far-red (FR) light, a condition that mimics the environment under a dense canopy. The ecological relevance of this response is demonstrated by the high mortality rate of phyA mutant plants that germinate in deep vegetational shade. phyA signaling involves direct interaction of the photoreceptor with phytochrome-interacting factors PIF1 and PIF3, members of the bHLH transcription factor family. Here we investigated the involvement of PIF4 and PIF5 in phyA signaling, and found that they redundantly control de-etiolation in FR light. The pif4 pif5 double mutant is hypersensitive to low fluence rates of FR light. This phenotype is dependent on FR light perception by phyA, but does not rely on alterations in the phyA level. Our microarray analysis shows that PIF4 and PIF5 are part of an inhibitory mechanism that represses the expression of some light-responsive genes in the dark, and that they are also needed for full expression of several growth-related genes in the light. Unlike PIF1 and PIF3, PIF4 and PIF5 are not degraded in response to FR light, indicating that they are light-regulated by a different mechanism. Our genetic analysis suggests that this is achieved through sequestration of these PIFs by the closely related bHLH transcription factor HFR1 (long hypocotyl in FR light).
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Destinataire non identifié. - En français