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Rapport de synthèseLe syndrome d'apnées obstructives du sommeil (SAOS) est une pathologie respiratoire fréquente. Sa prévalence est estimée entre 2 et 5% de la population adulte générale. Ses conséquences sont importantes. Notamment, une somnolence diurne, des troubles de la concentration, des troubles de la mémoire et une augmentation du risque d'accident de la route et du travail. Il représente également un facteur de risque cardiovasculaire indépendant.Ce syndrome est caractérisé par la survenue durant le sommeil d'obstructions répétées des voies aériennes supérieures. L'arrêt ou la diminution d'apport en oxygène vers les poumons entraîne des épisodes de diminution de la saturation en oxygène de l'hémoglobine. Les efforts ventilatoires visant à lever l'obstacle présent sur les voies aériennes causent de fréquents réveils à l'origine d'une fragmentation du sommeil.La polysomnographie (PSG) représente le moyen diagnostic de choix. Il consiste en l'enregistrement dans un laboratoire du sommeil et en présence d'un technicien diplômé, du tracé électroencéphalographique (EEG), de l'électrooculogramme (EOG), de l'électromyogramme mentonnier (EMG), du flux respiratoire nasal, de l'oxymétrie de pouls, de la fréquence cardiaque, de l'électrocardiogramme (ECG), des mouvements thoraciques et abdominaux, de la position du corps et des mouvements des jambes. L'examen est filmé par caméra infrarouge et les sons sont enregistrés.Cet examen permet entre autres mesures, de déterminer les événements respiratoires obstructifs nécessaires au diagnostic de syndrome d'apnée du sommeil. On définit une apnée lors d'arrêt complet du débit aérien durant au moins 10 secondes et une hypopnée en cas, soit de diminution franche de l'amplitude du flux respiratoire supérieure à 50% durant au moins 10 secondes, soit de diminution significative (20%) de l'amplitude du flux respiratoire pendant au minimum 10 secondes associée à un micro-éveil ou à une désaturation d'au moins 3% par rapport à la ligne de base. La détection des micro-éveils se fait en utilisant les dérivations électroencéphalographiques, électromyographiques et électrooculographiques. Il existe des critères visuels de reconnaissance de ces éveils transitoire: apparition de rythme alpha (8.1 à 12.0 Hz) ou beta (16 à 30 Hz) d'une durée supérieure à 3 secondes [20-21].Le diagnostic de S AOS est retenu si l'on retrouve plus de 5 événements respiratoires obstructifs par heure de sommeil associés soit à une somnolence diurne évaluée selon le score d'Epworth ou à au moins 2 symptômes parmi les suivants: sommeil non réparateur, étouffements nocturne, éveils multiples, fatigue, troubles de la concentration. Le S AOS est gradué en fonction du nombre d'événements obstructifs par heure de sommeil en léger (5 à 15), modéré (15 à 30) et sévère (>30).La polysomnographie (PSG) comporte plusieurs inconvénients pratiques. En effet, elle doit être réalisée dans un laboratoire du sommeil avec la présence permanente d'un technicien, limitant ainsi son accessibilité et entraînant des délais diagnostiques et thérapeutiques. Pour ces mêmes raisons, il s'agit d'un examen onéreux.La polygraphie respiratoire (PG) représente l'alternative diagnostique au gold standard qu'est l'examen polysomnographique. Cet examen consiste en l'enregistrement en ambulatoire, à savoir au domicile du patient, du flux nasalrespiratoire, de l'oxymétrie de pouls, de la fréquence cardiaque, de la position du corps et du ronflement (par mesure de pression).En raison de sa sensibilité et sa spécificité moindre, la PG reste recommandée uniquement en cas de forte probabilité de SAOS. Il existe deux raisons principales à l'origine de la moindre sensibilité de l'examen polygraphique. D'une part, du fait que l'état de veille ou de sommeil n'est pas déterminé avec précision, il y a dilution des événements respiratoires sur l'ensemble de l'enregistrement et non sur la période de sommeil uniquement. D'autre part, en l'absence de tracé EEG, la quantification des micro-éveils est impossible. Il n'est donc pas possible dans l'examen poly graphique, de reconnaître une hypopnée en cas de diminution de flux respiratoire de 20 à 50% non associée à un épisode de désaturation de l'hémoglobine de 3% au moins. Alors que dans l'examen polysomnographique, une telle diminution du flux respiratoire pourrait être associée à un micro-éveil et ainsi comptabilisée en tant qu'hypopnée.De ce constat est né la volonté de trouver un équivalent de micro-éveil en polygraphie, en utilisant les signaux à disposition, afin d'augmenter la sensibilité de l'examen polygraphique.Or plusieurs études ont démontrés que les micro-éveils sont associés à des réactions du système nerveux autonome. Lors des micro-éveils, on met en évidence la survenue d'une vasoconstriction périphérique. La variation du tonus sympathique associée aux micro-éveils peut être mesurée par différentes méthodes. Les variations de l'amplitude de l'onde de pouls mesurée par pulsoxymétrie représentant un marqueur fiable de la vasoconstriction périphérique associée aux micro-réveils, il paraît donc opportun d'utiliser ce marqueur autonomique disponible sur le tracé des polygraphies ambulatoires afin de renforcer la sensibilité de cet examen.Le but de l'étude est d'évaluer la sensibilité des variations de l'amplitude de l'onde de pouls pour détecter des micro-réveils corticaux afin de trouver un moyen d'augmenter la sensibilité de l'examen polygraphique et de renforcer ainsi sont pouvoir diagnostic.L'objectif est de démontrer qu'une diminution significative de l'amplitude de l'onde pouls est concomitante à une activation corticale correspondant à un micro¬réveil. Cette constatation pourrait permettre de déterminer une hypopnée, en polygraphie, par une diminution de 20 à 50% du flux respiratoire sans désaturation de 3% mais associée à une baisse significative de l'amplitude de pouls en postulant que l'événement respiratoire a entraîné un micro-réveil. On retrouve par cette méthode les mêmes critères de scoring d'événements respiratoires en polygraphie et en polysomnographie, et l'on renforce la sensibilité de la polygraphie par rapport au gold standard polysomnographique.La méthode consiste à montrer en polysomnographie qu'une diminution significative de l'amplitude de l'onde de pouls mesurée par pulsoxymétrie est associée à une activation du signal électroencéphalographique, en réalisant une analyse spectrale du tracé EEG lors des baisses d'amplitude du signal d'onde de pouls.Pour ce faire nous avons réalisé une étude rétrospective sur plus de 1000 diminutions de l'amplitude de l'onde de pouls sur les tracés de 10 sujets choisis de manière aléatoire parmi les patients référés dans notre centre du sommeil (CIRS) pour suspicion de trouble respiratoire du sommeil avec somnolence ou symptomatologie diurne.Les enregistrements nocturnes ont été effectués de manière standard dans des chambres individuelles en utilisant le système d'acquisition Embla avec l'ensemble des capteurs habituels. Les données ont été par la suite visuellement analysées et mesurées en utilisant le software Somnologica version 5.1, qui fournit un signal de l'amplitude de l'onde de pouls (puise wave amplitude - PWA).Dans un premier temps, un technicien du sommeil a réalisé une analyse visuelle du tracé EEG, en l'absence des données du signal d'amplitude d'onde de pouls. Il a déterminé les phases d'éveil et de sommeil, les stades du sommeil et les micro¬éveils selon les critères standards. Les micro-éveils sont définis lors d'un changement abrupt dans la fréquence de l'EEG avec un pattern d'ondes thêta-alpha et/ou une fréquence supérieure à 16 Hz (en l'absence de fuseau) d'une durée d'au minimum trois secondes. Si cette durée excède quinze secondes, l'événement correspond à un réveil.Puis, deux investigateurs ont analysé le signal d'amplitude d'onde de pouls, en masquant les données du tracé EEG qui inclut les micro-éveils. L'amplitude d'onde de pouls est calculée comme la différence de valeur entre le zénith et le nadir de l'onde pour chaque cycle cardiaque. Pour chaque baisse de l'amplitude d'onde de pouls, la plus grande et la plus petite amplitude sont déterminées et le pourcentage de baisse est calculé comme le rapport entre ces deux amplitudes. On retient de manière arbitraire une baisse d'au moins 20% comme étant significative. Cette limite a été choisie pour des raisons pratiques et cliniques, dès lors qu'elle représentait, à notre sens, la baisse minimale identifiable à l'inspection visuelle. Chaque baisse de PWA retenue est divisée en 5 périodes contiguës de cinq secondes chacune. Deux avant, une pendant et deux après la baisse de PWA.Pour chaque période de cinq secondes, on a pratiqué une analyse spectrale du tracé EEG correspondant. Le canal EEG C4-A1 est analysé en utilisant la transformée rapide de Fourier (FFT) pour chaque baisse de PWA et pour chaque période de cinq secondes avec une résolution de 0.2 Hz. La distribution spectrale est catégorisée dans chaque bande de fréquence: delta (0.5 à 4.0 Hz); thêta (4.1 à 8.0Hz); alpha (8.1 à 12.0 Hz); sigma (12.1 à 16 Hz) et beta (16.1 à 30.0 Hz). La densité de puissance (power density, en μΥ2 ) pour chaque bande de fréquence a été calculée et normalisée en tant que pourcentage de la puissance totale. On a déterminé, ensuite, la différence de densité de puissance entre les 5 périodes par ANOVA on the rank. Un test post hoc Tukey est été utilisé pour déterminer si les différences de densité de puissance étaient significatives. Les calculs ont été effectués à l'aide du software Sigmastat version 3.0 (Systat Software San Jose, California, USA).Le principal résultat obtenu dans cette étude est d'avoir montré une augmentation significative de la densité de puissance de l'EEG pour toutes les bandes de fréquence durant la baisse de l'amplitude de l'onde de pouls par rapport à la période avant et après la baisse. Cette augmentation est par ailleurs retrouvée dans la plupart des bande de fréquence en l'absence de micro-réveil visuellement identifié.Ce résultat témoigné donc d'une activation corticale significative associée à la diminution de l'onde de pouls. Ce résulat pourrait permettre d'utiliser les variations de l'onde de pouls dans les tracés de polygraphie comme marqueur d'une activation corticale. Cependant on peut dire que ce marqueur est plus sensible que l'analyse visuelle du tracé EEG par un technicien puisque qu'on notait une augmentation de lactivité corticale y compris en l'absence de micro-réveil visuellement identifié. L'application pratique de ces résultats nécessite donc une étude prospective complémentaire.

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Atraumatic osteonecrosis of the talus can be extremely painful and lead to significant functional impairment. Although clinical, radiographic, and demographic characteristics of atraumatic osteonecrosis of the talus have been well documented, the diagnosis is frequently missed or delayed; the most common causes are use of corticosteroids and the presence of immune disorders. Operative treatment of large osteochondral lesions of the talus is difficult because the blood supply is poor in the talar dome. Microvascular reconstruction of the talar dome with iliac crest autografts is a complex but functionally excellent therapeutic option. We present a 48-year-old man, who developed an extensive atraumatic avascular necrosis of the talar dome without collapse. Except for insulin dependent diabetes mellitus no further comorbidities were known. A microvascular iliac crest bone flap was inserted into the talus. A follow-up 16 years postoperatively showed a clinically as well as radiographically stable reconstruction of the talar dome and an excellent mobility of the ankle joint. The AOFAS hindfoot scale had improved from initially 33 points to 100 on the last follow-up. Free microvascular bony reconstruction of the talar dome should not only be considered in younger patients but also for middle aged active patients, since our follow-up shows an excellent long term result. Early reconstruction can prevent collapse of the talar bone.

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BACKGROUND: The aim of our study was the investigation of a novel navigator-gated three-dimensional (3D) steady-state free-precession (SSFP) sequence for free-breathing renal magnetic resonance angiography (MRA) without contrast medium, and to examine the advantage of an additional inversion prepulse for improved contrast. METHODS: Eight healthy volunteers (mean age 29 years) and eight patients (mean age 53 years) were investigated on a 1.5 Tesla MR system (ACS-NT, Philips, Best, The Netherlands). Renal MRA was performed using three navigator-gated free-breathing cardiac-triggered 3D SSFP sequences [repetition time (TR) = 4.4 ms, echo time (TE) = 2.2 ms, flip angle 85 degrees, spatial resolution 1.25 x 1.25 x 4.0 mm(3), scanning time approximately 1 minute 30 seconds]. The same sequence was performed without magnetization preparation, with a non-slab selective and a slab-selective inversion prepulse. Signal-to-noise ratio (SNR), contrast-to-noise (CNR) vessel length, and subjective image quality were compared. RESULTS: Three-dimensional SSFP imaging combined with a slab-selective inversion prepulse enabled selective and high contrast visualization of the renal arteries, including the more distal branches. Standard SSFP imaging without magnetization preparation demonstrated overlay by veins and renal parenchyma. A non-slab-selective prepulse abolished vessel visualization. CNR in SSFP with slab-selective inversion was 43.6 versus 10.6 (SSFP without magnetization preparation) and 0.4 (SSFP with non-slab-selective inversion), P < 0.008. CONCLUSION: Navigator-gated free-breathing cardiac-triggered 3D SSFP imaging combined with a slab-selective inversion prepulse is a novel, fast renal MRA technique without the need for contrast media.

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Introduction: Diffuse large B-cell lymphomas (DLBCL) represent a heterogeneous disease with variable clinical outcome. Identifying phenotypic biomarkers of tumor cells on paraffin sections that predict different clinical outcome remain an important goal that may also help to better understand the biology of this lymphoma. Differentiating non-germinal centre B-cell-like (non-GCB) from Germinal Centre B-cell-like (GCB) DLBCL according to Hans algorithm has been considered as an important immunohistochemical biomarker with prognostic value among patients treated with R-CHOP although not reproducibly found by all groups. Gene expression studies have also shown that IgM expression might be used as a surrogate for the GCB and ABC subtypes with a strong preferential expression of IgM in ABC DLBCL subtype. ImmunoFISH index based on the differential expression of MUM-1, FOXP1 by immunohistochemistry and on the BCL6 rearrangement by FISH has been previously reported (C Copie-Bergman, J Clin Oncol. 2009;27:5573-9) as prognostic in an homogeneous series of DLBCL treated with R-CHOP. In addition, oncogenic MYC protein overexpression by immunohistochemistry may represent an easy tool to identify the consequences of MYC deregulation in DLBCL. Our aim was to analyse by immunohistochemistry the prognostic relevance of MYC, IgM, GCB/nonGCB subtype and ImmunoFISH index in a large series of de novo DLBCL treated with Rituximab (R)-chemotherapy (anthracyclin based) included in the 2003 program of the Groupe d'Etude des Lymphomes de l'Adulte (GELA) trials. Methods: The 2003 program included patients with de novo CD20+ DLBCL enrolled in 6 different LNH-03 GELA trials (LNH-03-1B, -B, -3B, 39B, -6B, 7B) stratifying patients according to age and age-adjusted IPI. Tumor samples were analyzed by immunohistochemistry using CD10, BCL6, MUM1, FOXP1 (according to Barrans threshold), MYC, IgM antibodies on tissue microarrays and by FISH using BCL6 split signal DNA probes. Considering evaluable Hans score, 670 patients were included in the study with 237 (35.4%) receiving intensive R-ACVBP regimen and 433 (64.6%) R-CHOP/R-mini-CHOP. Results: 304 (45.4%) DLBCL were classified as GCB and 366 (54.6%) as non-GCB according to Hans algorithm. 337/567 cases (59.4%) were positive for the ImmunoFISH index (i.e. two out of the three markers positive: MUM1 protein positive, FOXP1 protein Variable or Strong, BCL6 rearrangement). Immunofish index was preferentially positive in the non-GCB subtype (81.3%) compared to the GCB subtype (31.2%), (p<0.001). IgM was recorded as positive in tumor cells in 351/637 (52.4%) DLBCL cases with a preferential expression in non-GCB 195 (53.3%) vs GCB subtype 100(32.9%), p<0.001). MYC was positive in 170/577 (29.5%) cases with a 40% cut-off and in 44/577 (14.2%) cases with a cut-off of 70%. There was no preferential expression of MYC among GCB or non-GCB subtype (p>0.4) for both cut-offs. Progression-free Survival (PFS) was significantly worse among patients with high IPI score (p<0.0001), IgM positive tumor (p<0.0001), MYC positive tumor with a 40% threshold (p<0.001), ImmunoFISH positive index (p<0.002), non-GCB DLBCL subtype (p<0.0001). Overall Survival (OS) was also significantly worse among patients with high IPI score (p<0.0001), IgM positive tumor (p=0.02), MYC positive tumor with a 40% threshold (p<0.01), ImmunoFISH positive index (p=0.02), non-GCB DLBCL subtype (p<0.0001). All significant parameters were included in a multivariate analysis using Cox Model and in addition to IPI, only the GCB/non-GCB subtype according to Hans algorithm predicted significantly a worse PFS among non-GCB subgroup (HR 1.9 [1.3-2.8] p=0.002) as well as a worse OS (HR 2.0 [1.3-3.2], p=0.003). This strong prognostic value of non-GCB subtyping was confirmed considering only patients treated with R- CHOP for PFS (HR 2.1 [1.4-3.3], p=0.001) and for OS (HR 2.3 [1.3-3.8], p=0.002). Conclusion: Our study on a large series of patients included in trials confirmed the relevance of immunohistochemistry as a useful tool to identify significant prognostic biomarkers for clinical use. We show here that IgM and MYC might be useful prognostic biomarkers. In addition, we confirmed in this series the prognostic value of the ImmunoFISH index. Above all, we fully validated the strong and independent prognostic value of the Hans algorithm, daily used by the pathologists to subtype DLBCL.

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Annual Report for the Iowa Civil Rights Commission

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J Clin Hypertens (Greenwich). 2012;14:773-778. ©2012 Wiley Periodicals, Inc. Postmenopausal women are at greater risk for hypertension-related cardiovascular disease. Antihypertensive therapy may help alleviate arterial stiffness that represents a potential modifiable risk factor of hypertension. This randomized controlled study investigated the difference between an angiotensin receptor blocker and a calcium channel blocker in reducing arterial stiffness. Overall, 125 postmenopausal hypertensive women (age, 61.4±6 years; systolic blood pressure/diastolic blood pressure [SBP/DBP], 158±11/92±9 mm Hg) were randomized to valsartan 320 mg±hydrochlorothiazide (HCTZ) (n=63) or amlodipine 10 mg±HCTZ (n=62). The primary outcome was carotid-to-femoral pulse wave velocity (PWV) changes after 38 weeks of treatment. Both treatments lowered peripheral blood pressure (BP) (-22.9/-10.9 mm Hg for valsartan and -25.2/-11.7 mm Hg for amlodipine, P=not significant) and central BP (-15.7/-7.6 mm Hg for valsartan and -19.2/-10.3 mm Hg for amlodipine, P<.05 for central DBP). Both treatments similarly reduced the carotid-femoral PWV (-1.9 vs -1.7 m/s; P=not significant). Amlodipine was associated with a higher incidence of peripheral edema compared with the valsartan group (77% vs 14%, P<.001). BP lowering in postmenopausal women led to a reduction in arterial stiffness as assessed by PWV measurement. Both regimens reduced PWV to a similar degree after 38 weeks of treatment despite differences in central BP lowering, suggesting that the effect of valsartan on PWV is mediated through nonhemodynamic effects.

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BACKGROUND: Isolated lung perfusion (ILP) with free and a novel liposomal-encapsulated doxorubicin (Liporubicin, CT Sciences SA, Lausanne, Switzerland) was compared with respect to drug uptake and distribution in rat lungs bearing a sarcomatous tumor. METHODS: A single sarcomatous tumor was generated in the left lung of 39 Fischer rats, followed 10 days later by left-sided ILP (n = 36) with free and equimolar-dosed liposomal doxorubicin at doses of 100 microg (n = 9) and 400 microg (n = 9) for each doxorubicin formulation. In each perfused lung, the drug concentration and distribution were assessed in the tumor and in three areas of normal lung parenchyma by high-performance liquid chromatography (n = 6) and fluorescence microscopy (n = 3). Histologic assessment and immunostaining with von Willebrand factor was performed in 3 animals with untreated tumors. RESULTS: The sarcomatous tumors in controls were well vascularized with fine branching capillaries present throughout the tumors. Isolated lung perfusion resulted in a heterogeneous drug distribution within the perfused lung and a consistently lower drug uptake in tumors than in lung parenchyma for both doxorubicin formulations and both drug doses applied. Isolated lung perfusion with free doxorubicin resulted in a significantly higher drug uptake than Liporubicin in both the tumor and lung tissue for both drug doses applied (p < 0.01). However, the tumor/normal tissue drug ratio was lower for free than for liposomal doxorubicin at a drug dose of 100 microg (0.27 +/- 0.1 vs 0.53 +/- 0.5; p = 0.225) and similar for both doxorubicin formulations at a drug dose of 400 microg (0.67 +/- 0.2 vs 0.54 +/- 0.2; p = 0.335). Both doxorubicin formulations resulted in fluorescence signaling emerging from all tissue compartments of normal lung parenchyma but only in weak and sporadic signaling from the tumors confined to the tumor periphery and vessels situated within the tumor for both drug doses assessed. CONCLUSIONS: Isolated lung perfusion with free and liposomal doxorubicin resulted in a heterogeneous drug distribution within the perfused lung and in a lower drug uptake in tumors than in lung tissue for both doxorubicin formulations and drug doses applied.

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During conventional x-ray coronary angiography, multiple projections of the coronary arteries are acquired to define coronary anatomy precisely. Due to time constraints, coronary magnetic resonance angiography (MRA) usually provides only one or two views of the major coronary vessels. A coronary MRA approach that allowed for reconstruction of arbitrary isotropic orientations might therefore be desirable. The purpose of the study was to develop a three-dimensional (3D) coronary MRA technique with isotropic image resolution in a relatively short scanning time that allows for reconstruction of arbitrary views of the coronary arteries without constraints given by anisotropic voxel size. Eight healthy adult subjects were examined using a real-time navigator-gated and corrected free-breathing interleaved echoplanar (TFE-EPI) 3D-MRA sequence. Two 3D datasets were acquired for the left and right coronary systems in each subject, one with anisotropic (1.0 x 1.5 x 3.0 mm, 10 slices) and one with "near" isotropic (1.0 x 1.5 x 1.0 mm, 30 slices) image resolution. All other imaging parameters were maintained. In all cases, the entire left main (LM) and extensive portions of the left anterior descending (LAD) and the right coronary artery (RCA) were visualized. Objective assessment of coronary vessel sharpness was similar (41% +/- 5% vs. 42% +/- 5%; P = NS) between in-plane and through-plane views with "isotropic" voxel size but differed (32% +/- 7% vs. 23% +/- 4%; P < 0.001) with nonisotropic voxel size. In reconstructed views oriented in the through-plane direction, the vessel border was 86% more defined (P < 0.01) for isotropic compared with anisotropic images. A smaller (30%; P < 0.001) improvement was seen for in-plane reconstructions. Vessel diameter measurements were view independent (2.81 +/- 0.45 mm vs. 2.66 +/- 0.52 mm; P = NS) for isotropic, but differed (2.71 +/- 0.51 mm vs. 3.30 +/- 0.38 mm; P < 0.001) between anisotropic views. Average scanning time was 2:31 +/- 0:57 minutes for anisotropic and 7:11 +/- 3:02 minutes for isotropic image resolution (P < 0.001). We present a new approach for "near" isotropic 3D coronary artery imaging, which allows for reconstruction of arbitrary views of the coronary arteries. The good delineation of the coronary arteries in all views suggests that isotropic 3D coronary MRA might be a preferred technique for the assessment of coronary disease, although at the expense of prolonged scan times. Comparative studies with conventional x-ray angiography are needed to investigate the clinical utility of the isotropic strategy.

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Abstract We introduce a label-free technology based on digital holographic microscopy (DHM) with applicability for screening by imaging, and we demonstrate its capability for cytotoxicity assessment using mammalian living cells. For this first high content screening compatible application, we automatized a digital holographic microscope for image acquisition of cells using commercially available 96-well plates. Data generated through both label-free DHM imaging and fluorescence-based methods were in good agreement for cell viability identification and a Z'-factor close to 0.9 was determined, validating the robustness of DHM assay for phenotypic screening. Further, an excellent correlation was obtained between experimental cytotoxicity dose-response curves and known IC values for different toxic compounds. For comparable results, DHM has the major advantages of being label free and close to an order of magnitude faster than automated standard fluorescence microscopy.

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The gracilis free flap is a workhorse in plastic surgery. We present a modified technique that relies on a single horizontal thigh-lift-type approach, which (1) gives wide pedicle exposure, (2) provides material for skin grafting, and (3) allows for distal flap transection without an additional incision. Eighteen gracilis free flaps were performed from 2007 to 2009 for lower extremity reconstruction. Complete flap survival was observed in 17 patients with one partial necrosis distally. Our approach allowed access to divide the distal gracilis tendon without a second incision in all cases. The mean scar length was 16 ± 3 cm and no hypertrophic scars were observed. In 15 patients, no visible scar was observed in the upright position, and in three patients, the scar was visible dorsally (2 ± 1 cm). No sensory deficits were observed 6 months postoperatively. In addition, the split-thickness skin graft harvested from the skin paddle was sufficient to cover all defects.

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Object The goal of this study was to establish whether clear patterns of initial pain freedom could be identified when treating patients with classic trigeminal neuralgia (TN) by using Gamma Knife surgery (GKS). The authors compared hypesthesia and pain recurrence rates to see if statistically significant differences could be found. Methods Between July 1992 and November 2010, 737 patients presenting with TN underwent GKS and prospective evaluation at Timone University Hospital in Marseille, France. In this study the authors analyzed the cases of 497 of these patients, who participated in follow-up longer than 1 year, did not have megadolichobasilar artery- or multiple sclerosis-related TN, and underwent GKS only once; in other words, the focus was on cases of classic TN with a single radiosurgical treatment. Radiosurgery was performed with a Leksell Gamma Knife (model B, C, or Perfexion) using both MR and CT imaging targeting. A single 4-mm isocenter was positioned in the cisternal portion of the trigeminal nerve at a median distance of 7.8 mm (range 4.5-14 mm) anterior to the emergence of the nerve. A median maximum dose of 85 Gy (range 70-90 Gy) was delivered. Using empirical methods and assisted by a chart with clear cut-off periods of pain free distribution, the authors were able to divide patients who experienced freedom from pain into 3 separate groups: patients who became pain free within the first 48 hours post-GKS; those who became pain free between 48 hours and 30 days post-GKS; and those who became pain free more than 30 days after GKS. Results The median age in the 497 patients was 68.3 years (range 28.1-93.2 years). The median follow-up period was 43.75 months (range 12-174.41 months). Four hundred fifty-four patients (91.34%) were initially pain free within a median time of 10 days (range 1-459 days) after GKS. One hundred sixty-nine patients (37.2%) became pain free within the first 48 hours (Group PF(≤ 48 hours)), 194 patients (42.8%) between posttreatment Day 3 and Day 30 (Group PF((>48 hours, ≤ 30 days))), and 91 patients (20%) after 30 days post-GKS (Group PF(>30 days)). Differences in postoperative hypesthesia were found: in Group PF(≤ 48 hours) 18 patients (13.7%) developed postoperative hypesthesia, compared with 30 patients (19%) in Group PF((>48 hours, ≤ 30 days)) and 22 patients (30.6%) in Group PF(>30 days) (p = 0.014). One hundred fifty-seven patients (34.4%) who initially became free from pain experienced a recurrence of pain with a median delay of 24 months (range 0.62-150.06 months). There were no statistically significant differences between the patient groups with respect to pain recurrence: 66 patients (39%) in Group PF(≤ 48 hours) experienced pain recurrence, compared with 71 patients (36.6%) in Group PF((>48 hours, ≤ 30 days)) and 27 patients (29.7%) in Group PF(>30 days) (p = 0.515). Conclusions A substantial number of patients (169 cases, 37.2%) became pain free within the first 48 hours. The rate of hypesthesia was higher in patients who became pain free more than 30 days after GKS, with a statistically significant difference between patient groups (p = 0.014).

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The Attorney General’s Consumer Protection Division receives hundreds of calls and consumer complaints every year. Follow these tips to avoid unexpected expense and disappointments. This record is about: Unauthorized Charges & “Free Trial” Offers

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Flood effectiveness observations imply that two families of processes describe the formation of debris flow volume. One is related to the rainfall?erosion relationship, and can be seen as a gradual process, and one is related to additional geological/geotechnical events, those named hereafter extraordinary events. In order to discuss the hypothesis of coexistence of two modes of volume formation, some methodologies are applied. Firstly, classical approaches consisting in relating volume to catchments characteristics are considered. These approaches raise questions about the quality of the data rather than providing answers concerning the controlling processes. Secondly, we consider statistical approaches (cumulative number of events distribution and cluster analysis) and these suggest the possibility of having two distinct families of processes. However the quantitative evaluation of the threshold differs from the one that could be obtained from the first approach, but they all agree in the sense of the coexistence of two families of events. Thirdly, a conceptual model is built exploring how and why debris flow volume in alpine catchments changes with time. Depending on the initial condition (sediment production), the model shows that large debris flows (i.e. with important volume) are observed in the beginning period, before a steady-state is reached. During this second period debris flow volume such as is observed in the beginning period is not observed again. Integrating the results of the three approaches, two case studies are presented showing: (1) the possibility to observe in a catchment large volumes that will never happen again due to a drastic decrease in the sediment availability, supporting its difference from gradual erosion processes; (2) that following a rejuvenation of the sediment storage (by a rock avalanche) the magnitude?frequency relationship of a torrent can be differentiated into two phases, the beginning one with large and frequent debris flow and a later one with debris flow less intense and frequent, supporting the results of the conceptual model. Although the results obtained cannot identify a clear threshold between the two families of processes, they show that some debris flows can be seen as pulse of sediment differing from that expected from gradual erosion.

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Rapport de synthèse : Introduction : Les premières applications cliniques de la thérapie photodynamique (PDT) remontent à plus d'une vingtaine d'années. Basée sur l'activation d'un médicament photosensibilisateur par une source lumineuse à une longueur d'onde spécifique, la PDT permet la destruction sélective de tissus contenant le produit actif. Ce procédé a été expérimenté dans le traitement de cancers en raison de la propriété du médicament à se concentrer dans les tumeurs tout en épargnant les structures normales contigües. Cependant, les photosensibilisateurs utilisés jusqu'à ce jour n'ont pas démontré une accumulation exclusive dans les tissus néoplasiques mais également dans les structures saines avoisinantes induisant une destruction tissulaire non sélective. Notamment, d'importantes complications ont été rapportées suite à l'utilisation de la PDT dans la cavité thoracique après la résection de mésothéliomes pleuraux, et ce malgré l'arrivée de photosensibilisateurs de secondes générations. De ce fait, plusieurs études expérimentales ont été menées afin d'améliorer la sélectivité tumorale du médicament en modulant différentes conditions de traitement et en modifiant la structure du photosensibilisateur par pégylation. Le but de cette étude expérimentale est de corréler l'activité photodynamique, la phototoxicité et la distribution du m-tetrahydroxyphenylchlorin (mTHPC) et de sa forme pégylée, le PEG-mTHPC. De ce fait, un modèle de souris nues porteur de xenogreffes de mésothéliome humain a été utilisé pour étudier les deux photosensibilisateurs. De récents travaux avec ce modèle ont montré que la mesure de la concentration tissulaire du mTHPC et de sa forme pégylée par HPLC restait limitée afin de prédire l'activité photodynamique. De ce fait, nous pensons que les mesures de fluorescence peuvent être plus appropriée. Le signalement fluorescent est mesuré dans le tissu tumoral et dans une région contrôle de la peau afin d'étudier la distribution et l'intensité des deux sensibilisateurs. Méthode : Des souris nues (cd1nu/nu mice) de 8 semaines ont été transplantées avec des fragments de mésothéliome malin humain (H-meso-1). Ces derniers ont été obtenus à partir d'une suspension cellulaire. Au moins trois passages ont été faits dans les animaux, avant que le traitement soit initié. Deux groupes de 6 souris chacun ont été utilisés pour l'injection intraveineuse par la queue du mTHPC à 0.15 mg/kg et du PEG-mTHPC à dose équimolaire. Après trois jour, la tumeur ainsi qu'une région contrôle de la cuisse ont été illuminées sur une surface d'un diamètre de 1.2 cm et pendant 133 secondes avec un laser à une longueur d'onde à 652 nm (fluence 20 J/cm2, fluence rate 150 mW/cm2). Les animaux ont été ensuite sacrifiés 72 heures après l'illumination. L'étendue de la nécrose tumorale et de la région contrôle ont été déterminées en aveugle par histomorphometrie par un pathologue (HJA). La fluorescence microscopique a été évaluée dans 12 souris à une concentration de 0.15 et 0.5 mg/kg pour le mTHPC, et à doses équimolaires pour le PEG-mTHPC. Trois animaux ont été injectés avec le mTHPC à 0.15 mg/kg, 3 autres à dose équimolaire avec la forme pégylée et 6 souris avec le mTHPC à 0.5 mg/kg et à dose équimolaire. Les animaux ont été sacrifiés 72 heures après injection. L'intensité fluorescente des sensibilisateurs a été mesurée dans la tumeur et la région contrôle. Suite à cela, les coupes ont été fixées par H&E et superposées aux images fluorescentes, afin de localiser la distribution des deux photosensibilisateurs dans les différents compartiments tissulaires. Six souris transplantées n'ayant ni été injectées avec les sensibilisateurs ou illuminées ont servi de groupe contrôle. Résultats : Trois jours après l'illumination, la PDT provoque une nécrose tumorale de 10 ±5.4 mm2 pour le mTHPC à 0.15mg/kg et 5.2 ± 4.6 mm2 pour sa forme pégylée à dose équimolaire. Cependant, la nécrose tumorale induite par les deux formulations du sensibilisateur est significativement plus élevée que dans le groupe contrôle (0.33 ± 0.58 mm2) (P=0.02). Toutefois, le mTHPC pégylé provoque une photosensibilité cutanée moins importante que la forme non-pegylée. Dans les deux groupes, aucune nécrose n'a été observée dans la cuisse des animaux. Trois jours après l'injection du mTHPC et de la forme pégylée à 0.15 mg/kg, aucune activité fluorescente n'a été détectée. Cependant, à 0.5 mg/kg, la fluorescence microscopique révèle une distribution hétérogène des deux photo-sensibilisateurs dans le tissu tumoral avec une accumulation prédominante dans les régions peri-vasculaires. Les deux médicaments montrent une distribution intracellulaire homogène dans le cytoplasme et une absence de signalement dans le nucleus. La mesure de l'intensité fluorescente du mTHPC à 0.5mg/kg ne montre pas de différence significative entre le tissu tumoral et la région contrôle. Par contre, le PEG-mTHPC montre une intensité fluorescente supérieure dans le tissu tumoral que dans la peau (ratio tumeur- peau 0.94 pour le mTHPC et 1.73 pour le PEG-mTHPC). Conclusion : L'utilisation du mTHPC à 0.15mg/kg induit une nécrose tumorale similaire à celle du PEG-mTHPC à dose équimolaire. Cependant, ce dernier démontre une photo-toxicité plus atténuée de la peau. La fluorescence microscopique permet de localiser les deux sensibilisateurs dans les différents compartiments tissulaires à partir d'une dose de 0.5 mg/kg. Le PEG-mTHPC induit un signalement fluorescent supérieur dans le tissu tumoral par rapport à la peau. La mesure du signalement fluorescent a le potentiel de prédire l'activité photodynamique du mTHPC et de sa forme pégylée dans les xénogreffes de mésothéliome humain dans un modèle de souris nue.

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PURPOSE: In the present study, the impact of the two different fat suppression techniques was investigated for free breathing 3D spiral coronary magnetic resonance angiography (MRA). As the coronary arteries are embedded in epicardial fat and are adjacent to myocardial tissue, magnetization preparation such as T(2)-preparation and fat suppression is essential for coronary discrimination. MATERIALS AND METHODS: Fat-signal suppression in three-dimensional (3D) thin- slab coronary MRA based on a spiral k-space data acquisition can either be achieved by signal pre-saturation using a spectrally selective inversion recovery pre-pulse or by spectral-spatial excitation. In the present study, the performance of the two different approaches was studied in healthy subjects. RESULTS: No significant objective or subjective difference was found between the two fat suppression approaches. CONCLUSION: Spectral pre-saturation seems preferred for coronary MRA applications due to the ease of implementation and the shorter cardiac acquisition window.