938 resultados para Paulson, David, 1868-1916.
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La non-violence fait référence à une idéologie et un ensemble de pratiques qui ont pour caractéristique commune de rejeter la violence sous toutes ses formes dans l’actualisation quotidienne. La non-violence est cependant devenue également un outil auquel certains recourrent dans des objectifs qui ne servent pas nécessairement le bien commun. En d’autres termes, la non-violence n’est pas systématiquement un outil de paix. Elle est un moyen d’obtenir ce que l’on veut, sans recourir à la violence. Cette thèse propose une vision de la non-violence au service du bien commun. Elle puise dans l’historicité de grands événements et acteurs qui ont utilisé la non-violence pour libérer une collectivité de formes d’oppression qui amenuisaient la dignité humaine. Elle fait référence à des auteurs et acteurs qui ont influencé le théologien processuel David Ray Griffin dans sa propre démarche d’enseignement et de recherche théologiques sur une quarantaine d’années, soient de la guerre du Vietnam à celle d’Iraq. Les dates survolées vont de 1968 à 2008. Une première démarche entreprise par la recherche est de comprendre le plus précisément possible quelles sont les avenues les plus récentes concernant la non-violence et d’explorer ses influences sur la vie et la carrière du théologien processuel États-Unien David Ray Griffin. En second lieu, une rétrospective historique des événements marquants aux États-Unis permet de cerner le contexte au sein duquel Griffin a évolué et comment son discours a laissé transparaître ces influences historiques, sociales et académiques. Une analyse plus centrée sur la politique extérieure des États-Unis en matière d’économie et de militarisme aiguille vers l’identification de signes que Griffin qualifie lui-même d’anti-théologiques, ce qui l’incite à élaborer une vision paradigmatique globalisante, équilibrée selon lui, où les ressources planétaires sont redistribuées dans un souci d’équité et de justice. Pour ce faire, un tribunal international, une religion globale, à l’image de ce que propose la pensée processuelle whiteheadienne-hartshornienne sont proposés. Griffin en brosse les grands traits dans un discours où l’exhortation s’assortit d’une méthodologie et d’une pédagogie éprouvés depuis 40 ans. Une grille d’analyse des textes griffiniens est par la suite élaborée, structurant les différentes composantes fondamentales de sa pensée. Un modèle d’intégration des valeurs de la non-violence est dégagé des lectures, applicable à d’autres disciplines. Appuyé sur une tradition authentique d’auteurs non-violents, David Ray Griffin présente les caractéristiques d’un homme de paix, duquel les idéaux débordent le cadre national pour rejoindre le planétaire, dans une visée résolument sotériologique. Cette visée devient urgente alors que les événements des attentats terroristes du World Trade Center du 11 septembre 2001 font dire à Griffin que non seulement les États-Unis sont engagés dans une démarche impérialiste démoniaque, mais qu’ils contribuent de manière accélérée à la destruction de la planète. Il faut absolument, croit-il, renverser le courant et devenir, pour le monde, un leader de la réparation des écosystèmes, des économies et des sociétés. S’adjoignant des auteurs d’autres disciplines, et toujours dans un cadre processuel, Griffin entreprend le long périple pédagogique qu’est celui de convaincre le plus grand nombre d’individus possible que le temps est venu d’agir.
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La sympathie comme principe par lequel une idée se convertit en impression n’est pas la seule espèce de sympathie employée par David Hume dans ses ouvrages. Le terme «sympathie» possédait des sens variés dans le langage courant au XVIIIème siècle, et il arrive que le philosophe écossais se serve du terme «sympathie» dans l’un ou l’autre de ces sens. C’est ainsi que, outre son concept philosophique, Hume se sert du terme «sympathie» suivant cinq autres sens. L’identification des différentes sortes de sympathie présentes dans les ouvrages de Hume a permis de mieux comprendre ce qu’il en était de la nature de son concept philosophique de sympathie. Ainsi, on a pu comprendre quels rapports la sympathie entretenait avec un autre principe de production d’affections mentionné à l’occasion par Hume : la contagion. Ainsi, on a également pu comprendre quels rapports la sympathie entretenait avec d’autres éléments de la philosophie humienne, tels que les esprits animaux, leurs mouvements et les émotions. Les analyses ont démontré, par ailleurs, que les esprits animaux et leurs mouvements jouaient un rôle de premier plan dans la théorie humienne des passions et que le principe de la sympathie, au final, désignait l’augmentation de l’agitation des esprits animaux. C’est ainsi que la sympathie entendue comme principe par lequel une idée était convertie en impression désignait un mécanisme physiologique chez Hume. Les analyses ont également démontré que les impressions que Hume nommait «émotions» désignaient plus particulièrement le mouvement des esprits animaux. Qu’ainsi, l’on devait considérer qu’il y avait dans la taxonomie du philosophe écossais non seulement des perceptions de l’entendement humain (idées, passions, sentiments, etc.) mais également des perceptions du corps humain (émotions) et que celles-ci étaient en correspondance étroite avec celles-là. On peut ainsi faire l’hypothèse qu’il y a dans la philosophie humienne des éléments susceptibles de fonder une théorie de l’union entre l’âme et le corps. La considération de la sympathie comme un principe physiologique d’agitation des esprits animaux permet que l’on jette un regard nouveau sur la façon dont David Hume concevait la nature humaine.
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Le présent mémoire vise à détailler les particularités du discours autobiographique dans L’Ascension du Haut Mal afin de saisir la poétique de David B. comme un sceau cicatriciel permettant de rendre compte de la maladie fraternelle et d’y faire face, au moyen de stratégies autobiographiques qui consolident textuellement et visuellement l’identité de l’auteur-personnage au sein du récit. Le premier chapitre consiste en une étude sur les récits de soi en bande dessinée. Un survol historique de l’évolution de la bande dessinée autobiographique dans la francophonie européenne inscrit L’Ascension du Haut Mal dans le mouvement de contestation mené par les maisons d’édition alternatives du début des années 1990. Puis, l’état des lieux en matière de théories portant sur l’autobiographie en bande dessinée établit les critères selon lesquels cette œuvre répond au genre autobiographique. Les deux chapitres suivants correspondent aux grands axes du discours autoréférentiel de L’Ascension du Haut Mal: le postulat d’un pacte autobiographique et le récit de la construction identitaire de l’auteur. Le deuxième chapitre explique par quels moyens l’hybridité formelle, la dimension fantasmatique et le foisonnement intertextuel de l’œuvre étudiée altèrent le pacte autobiographique sans toutefois le rompre. Le troisième chapitre démontre que le développement identitaire du personnage de David B. répond à une logique d’opposition, en regard de son frère, de la société et même de la réalité, visible jusque dans l’esthétique de l’auteur. L’analyse des marques graphiques et thématiques symptomatiques des défenses élevées par David B. contre la tyrannie du Haut Mal, l’épilepsie, est effectuée.
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Cette version de la thèse a été tronquée des certains éléments protégés par le droit d’auteur. Une version plus complète est disponible en ligne pour les membres de la communauté de l’Université de Montréal et peut aussi être consultée dans une des bibliothèques UdeM.
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Compte rendu critique de l'ouvrage de Gilbert « Veilleurs de nuit : saison théâtrale 1988-1989 » (Montréal : Les Herbes rouges, 1989, 78 p.).
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David Hume, dans son Traité sur la nature humaine, utilise deux concepts qui semblent se rapporter à l’identité personnelle d’un individu : le moi (self) et le caractère personnel. Cependant, dans le Traité, il ne traite pas à la fois de l’un et de l’autre : dans le premier livre, « De l’entendement », il s’intéresse au moi, alors que dans les second et troisième livres, « Des passions » et « De la morale » il traite plutôt du caractère. On constate alors qu’il y a une nette différence chez Hume entre ce qui constitue le moi d’un individu et son caractère personnel. Ils ne se définissent absolument pas de la même manière et au final, ils ne se rapportent pas, tous deux, à l’identité personnelle. Le caractère qui permet d’aborder la question de la responsabilité morale d’un individu, ce que le moi ne peut pas faire, constitue la véritable identité d’un individu.
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This bachelor’s thesis examines the crisis of hegemonic masculinities in David Lodge’s Campus Trilogy. In the course of the thesis, I demonstrate that the male characters in the novels aspire to hegemonic ideals of masculinity, but that ultimately most of them fail in their aspirations. However, I also show that this does not lead to the abandonment of this pursuit, but merely to its reformulation and a continued attempt of male characters to aspire to this reformulated ideal. In order to achieve this, I conduct a close reading of the novels and based on this, first determine the predominant types of hegemonic masculinities in each novel, and then whether certain characters aspire to these hegemonic ideals. Next I analyze whether or not they are successful. This analysis is chiefly based on the sociological concept of hegemonic masculinities developed by Connell. With the help of this concept, this thesis shows that several types of masculinities can be identified in the novels and that these exist in hierarchical relation to each other. Furthermore, it shows that these aspirations and the ideals themselves are always prone to crises that are brought on by societal changes in their environment. However, it is also demonstrated that in most cases these crises do not lead to the collapse of the ideal or the failure of its pursuit, but rather to the reformulation and continuation of both.
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Conocer la estructura de la institucionalizaci??n del Sistema Educativo en ??lava desarrollado durante la Monarqu??a de Isabel II. Comprender cu??les eran los mecanismos de acci??n pedag??gica en las Ecuelas Primarias. La articulaci??n de la red escolar primaria de caracter p??blico. La investigaci??n se estructura en tres bloques tem??ticos. El primero se refiere a la situaci??n socio-pol??tica, econ??mica y demogr??fica de la provincia alavesa en el siglo XIX. En el segundo bloque se describen e interpretan los procesos de escolarizaci??n y de creaci??n de establecimientos escolares. El tercer bloque se refiere al estudio de la Escuela como instituci??n, analiz??ndose: el dise??o arquitect??nico, el mobiliario, los contenidos de ense??anza, la organizaci??n escolar y el papel, cualificaci??n, selecci??n y prestigio social del profesor de Ense??anza Primaria. Fundamentalmente fuentes primarias. Pretende combinar cuatro niveles metodol??gicos: descriptivo, gen??tico, estructural y causal. Entre 1829 y 1863 existe en Alava un importante esfuerzo de escolarizaci??n infantil, aunque no uniforme. Se constata que la escolarizaci??n es favorable a los ni??os y que existe una estrecha vinculaci??n entre escolarizaci??n, edad, sexo y aprendizajes b??sicos. La entrada en vigor del Plan provincial de 1827 se traduce en un incremento significativo del n??mero de escuelas en Alava. La guerra civil supone una brusca interrupci??n de creaci??n de escuelas, que se reanudar?? a partir de 1841. Los aspectos materiales de los centros escolares son deplorables. Las condiciones de insalubridad, la insuficiente ventilaci??n, capacidad e iluminaci??n constituyen las causas principales que motivan el cierre o traslado de un buen n??mero de centros escolares en 1829. A partir de 1845 se emprende una etapa de nuevas construcciones, encaminadas a corregir estas deficiencias. Al analizar los objetivos de ense??anza se constata la preocupaci??n por lo religioso y por los aprendizajes instrumentales (leer, escribir y contar). Se pretende provocar la identificaci??n de los alumnos con los valores vitales de la sociedad: obediencia, bondad, dependencia de la autoridad externa e intolerancia. Y, por el contrario, se minusvaloran los aspectos comprensivos y creativos, las dimensiones comunicativa y afectiva, el an??lisis reflexivo y el sentido cr??tico. Se parte de un desconocimiento total del mundo infantil. Los maestros ten??an una precaria situaci??n econ??mica y social. Quedar??an por analizar de forma m??s exhaustiva temas como la formaci??n del profesor, el problema del analfabetismo, la estructuraci??n de las Ense??anzas Medias y de Oficios y la intermitente presencia de estudios universitarios en la provincia.
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Análisis histórico y educativo de la realidad escolar tinerfeña en siglo XIX, en sus diferentes niveles, detectándose a través del análisis pedagógico la interrelación entre educación y sociedad. La educación tinerfeña en el siglo XIX. Los bloques de temas que trata esta investigación son: la sociedad tinerfeña de la época: geografía, demografía, etc., la enseñanza primaria pública: escuelas y maestros, edificios, etc., la enseñanza secundaria pública: el Instituto de Canarias, profesorado, economía, material, etc., la enseñanza privada: escuelas, maestros, colegios, etc., la enseñanza profesional: la Escuela de Náutica, Bellas Artes, Escuela Normal de Maestros de La Laguna, Escuela de Derecho etc., la enseñanza no formal: el Gabinete Instructivo de Santa Cruz de Tenerife, la prensa, las bibliotecas públicas, etc. Además de las obras citadas en la bibliografía, se utilizaron documentos localizados en distintos archivos y bibliotecas: archivo de la Casa de Osuna, de la Escuela Normal de La Laguna, de la Universidad de Sevilla, del Instituto de Canarias, de la Biblioteca Municipal de Santa Cruz, de la Universidad de La Laguna, etc. Se realiza un análisis histórico, en base a la información obtenida a través de las fuentes documentales y la bibliografía. Los factores geográficos, demográficos, sociales, políticos, y culturales influyeron de manera determinante en la enseñanza tinerfeña. Se da en este período un lento proceso de escolarización, dificultada por la actitud de los caciques rurales y la depresión económica. En este período el magisterio atraviesa una dura crisis económica que deteriora fuertemente la calidad de la enseñanza. La enseñanza profesional no recibió un tratamiento adecuado en función de las necesidades insulares. En cuanto a la educación no formal hubo en este siglo en Tenerife una serie de sociedades entre las que destaca el Gabinete Instructivo de Santa Cruz, que facilitaron el progreso cultural.
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Estudio de la Enseñanza Secundaria Oficial en Málaga. Acercamiento a la realidad educativa de la Segunda Enseñanza Oficial en Málaga en el Sexenio Revolucionario. Estudio de la España del Sexenio Revolucionario, de la caída de la monarquía a la República (1868-1874). Estudio de Málaga en el Sexenio Revolucionario. Política educativa durante el Sexenio en la Enseñanza Secundaria. La Enseñanza Oficial: el Instituto Provincial de Segunda Enseñanza. Estudios de los colegios privados de Segunda Enseñanza incorporados al Instituto Provincial y Enseñanza Doméstica. Archivos, documentos históricos. Contrastación, análisis comparativo. Se implanta en esta época un nuevo modelo educativo en el que los puntos a destacar fueron: libertad de cátedra; creación de establecimientos docentes y libertad de los alumnos en el modo de hacer sus estudios; en resumen, libertad de enseñanza, lo que respondía a la demanda social. Descenso del número de matrículas en los años del Sexenio debido a la agitación política y social y, por otra parte, la opción de los alumnos a examinarse en el centro que ellos eligieran, sin tener que depender académicamente del Instituto Provincial. Excesiva burocratización entre el Instituto y la superioridad (Rectorado, Dirección General de Institución Pública).
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Estudio sobre las ideas de carácter educativo contenidas en el pensamiento político de Blas Infante y el análisis de la puesta en marcha de los contenidos teóricos del líder del andalucismo histórico. Realización de un recorrido biográfico, deteniéndose en Casares, el Instituto de Archidona y la Universidad de Granada y análisis del Centro Andaluz en su Sección Sevillana al ser ésta la que más contacto tuvo con Blas Infante y en la que se ve de forma más patente la relación teoría-práctica. Manuscritos inéditos de Blas Infante, prensa sevillana y el Fondo Guichot de la Biblioteca Universitaria de Sevilla. Interpretación. Blas Infante fue un político preocupado por todo lo relativo a la educación, sus ideas pedagógicas estaban influenciadas por sus ideales políticos, por lo que su pensamiento estaba dedicado a paliar la situación que le tocó vivir.