889 resultados para Musée de la Haya
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Dès les débuts du christianisme, l’Église s’est servie de l’art. Au Moyen âge, en particulier, la décoration des cathédrales (sculptures, fresques vitraux) avait une valeur esthétique, mais plus encore, une valeur didactique. Moyens matériels pour faire la catéchèse, voire évangéliser, les crèches du Musée de l’Oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal s’inscrivent dans cette perspective. Tenant compte de cette mission d’évangélisation qui incombe à l’Église et de l’importance que prend de plus en plus le visuel dans la culture et la société actuelles, nous voulons partir de l’exposition des crèches de Noël à l’Oratoire Saint-Joseph, de l’année 2009, pour découvrir en quoi elle pourrait contribuer à l’évangélisation et à la croissance du christianisme et des chrétiens. En effet, les crèches de Noël sont essentiellement œuvre de foi, – non pas liée à la foi de l’auteur mais plutôt à l’effet que cette oeuvre peut avoir sur celui qui la regarde, – dont la dévotion à la sainte Famille. Ce moyen d’évangélisation dans ce monde en mutation où l’art visuel s’est avéré d’une extrême importance convient bien au contexte de la déchristianisation et peut offrir une complémentarité aux méthodes traditionnelles d’évangélisation basées surtout sur le discours. Ils sont complémentaires, dans le sens où il ne s’agit pas de « cheminer à travers villes et villages, prêchant et annonçant la Bonne Nouvelle du Royaume de Dieu » (Lc 8,1) aux personnes qui n’ont pas encore entendu parler du Christ, mais d’éveiller la curiosité chez les visiteurs non-chrétiens (Evangelii Nuntiandi 53), de stimuler l’intérêt à l’égard de la religion chez les non-pratiquants (EN 56) et, de soutenir et approfondir la foi des fidèles. Mots-clés : Christianisme – Église – transmission – évangélisation – éducation de la foi – musée – crèches – Oratoire Saint-Joseph.
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Enseigner l’espagnol comme langue étrangère (ELE) et utiliser la Littérature comme moyen didactique n’est pas une activité qui a été favorisée, ni dans l’aspect théorique comme pratique, dans les salles de classe, on l’a plutôt évitée. On a constaté que la plupart de temps on l’a réduit à un échantillon culturelle qui se situe à la fin des unités didactiques dans le manuelles d’ELE. Ces visions ont radicalement changé ces dernières années et des nombreux auteurs ont revendiqué son potentiel didactique et pédagogique. La présente mémoire s’inscrit dans la courante qui revendique l’utilisation du texte littéraire (TL) à cause du potentiel didactique qu’il renferme. On propose une série d’activités didactiques qui s’appuient dans le texte littéraire pour renforcer les compétences du discours au niveau de la description, la narration et la argumentation dans le cours d’espagnol langue étrangère (ELE) au niveau collégial et universitaire au Québec (Canada), en s’ appuyant sur les critères établis par le Cadre européen commun de référence pour les langues, le Plan curricular de l’Institut Cervantès, et le Programme du Ministère de l’Éducation du Québec. Auparavant, on a fait un bref parcours sur les différentes méthodes et approches pédagogiques dans l’enseignement de l’espagnol (ELE) ainsi que plusieurs études et articles qui proposent l’utilisation du texte littéraire en ayant comme objectif d’améliorer les compétences linguistique et communicatives des étudiants.
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Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Istanbul est pour Pamuk ce que Paris est pour Baudelaire : une source inépuisable d’inspiration et de spleen. Or, si le poète est davantage conscient de ses états d’âme, le romancier turc le plus lu des deux côtés du Bosphore ne sait pas toujours que tout discours sur le monde extérieur est un discours sur lui-même. Dans un premier temps, il se complait dans l’hüzün, ce sentiment collectif et généralisé de mélancolie, apparemment intrinsèque à la ville et ses ruines, traces tangibles de la décadence d’un grand empire dont les héritiers peinent à se relever. Il n’en est pourtant rien, car, au fur à mesure que Pamuk suit les traces des écrivains et artistes étrangers de passage à Istanbul, il s’aperçoit que l’apparente mélancolie des ruines n’est qu’une strate parmi d’autres, c’est-à-dire glissante, malléable et fluide, tout dépend de l’emplacement et du point de vue de l’observateur, dans une ville palimpseste qui cache dans ses entrailles toutes les altérités. En suivant les traces de l’altérité, Pamuk découvre la nature hétérogène de sa ville et de lui-même et s’aperçoit que la mélancolie collective est fabriquée de toutes pièces par un certain récit socio-politique et une certaine classe sociale. En effet, c’est en traquant les reflets de son double que le romancier prend soudainement conscience du caractère fuyant de sa propre subjectivité, mais aussi de celui du monde et des autres. Si tel est le cas, l’espace urbain qui préoccupe et obsède Pamuk n’est qu’un reflet de son esprit et l’accès à la présence pleine s’avère une illusion. Comme si, l’inquiétante étrangeté de son inconscient, en lui dévoilant le côté insaisissable du monde et du soi, l’encourageait à remettre en cause un certain nombre d’opinions acquises, non seulement à l’intérieur de sa propre culture, mais aussi dans la culture de son double européen. Car si tout est fluide et malléable, il n’y a pas raison de ne pas tout questionner, incluant la tradition et la politique, cette dernière faisant de lui, « une personne bien plus politique, sérieuse et responsable que je ne le suis et ne souhaitais l’être ». Ainsi, Istanbul, souvenir d’une ville questionne le rapport entre la subjectivité et les strates hétérogènes d’Istanbul, pour aboutir à un constat déconstructiviste : tout n’est que bricolage et substitut du sens là où il brille par son absence. S’il brille par son absence, il en est de même loin d’Istanbul, dans une maison périphérique appelée La Maison du Silence à l’intérieur de laquelle les personnages soliloques et par moments muets, se questionnent sur le rapport entre la tradition et la modernité, le centre et la périphérie, l’Occident et l’Orient, sans oublier le caractère destructeur et éphémère du temps, mais aussi de l’espace. Et enfin, Le Musée de l’Innoncence, cette oeuvre magistrale où l’amour joue (en apparence seulement) le rôle principal, n’est en fait que l’étrange aboutissement de la quête obsessessive et narcissique du personnage principal vers un autre espace-temps, quelque part entre la réalité et la fiction, entre l’Est et l’Ouest, entre la tradition et la modernité, cet entre-deux qui campe indéniablement Pamuk parmi les meilleurs romanciers postmodernes de notre époque. Or, pour y parvenir, il faut au préalable un bouc-émissaire qui, dans le cas de Pamuk, représente presque toujours la figure du féminin.
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Depuis l’entrée en vigueur du Programme de formation de l’école québécoise en 2001, l’astronomie est à nouveau enseignée dans les classes du Québec. Malheureusement, l’école est mal outillée pour enseigner des concepts astronomiques complexes se déroulant pour la plupart en dehors des heures de classe et sur de longues périodes de temps. Sans compter que bien des phénomènes astronomiques mettent en jeu des astres se déplaçant dans un espace tridimensionnel auquel nous n’avons pas accès depuis notre point de vue géocentrique. Les phases de la Lune, concept prescrit au premier cycle du secondaire, sont de ceux-là. Heureusement, l’école peut compter sur l’appui du planétarium, musée de sciences dédié à la présentation, en accéléré et à toute heure du jour, de simulations ultra réalistes de divers phénomènes astronomiques. Mais quel type de planétarium secondera l’école ? Récemment, les planétariums ont eux aussi subi leur propre révolution : ces institutions sont passées de l’analogique au numérique, remplaçant les projecteurs optomécaniques géocentriques par des projecteurs vidéo qui offrent la possibilité de se déplacer virtuellement dans une simulation de l’Univers tridimensionnel complètement immersive. Bien que la recherche en éducation dans les planétariums se soit peu penchée sur ce nouveau paradigme, certaines de ses conclusions basées sur l’étude des planétariums analogiques peuvent nous aider à concevoir une intervention didactique fructueuse dans ces nouveaux simulateurs numériques. Mais d’autres sources d’inspiration seront invoquées, au premier chef la didactique des sciences, qui conçoit l’apprentissage non plus comme la transmission de connaissances, mais plutôt comme la construction de savoirs par les apprenants eux-mêmes, avec et contre leurs conceptions premières. La conception d’environnements d’apprentissages constructivistes, dont le planétarium numérique est un digne représentant, et l’utilisation des simulations en astronomie, complèteront notre cadre théorique et mèneront à la conception d’une intervention didactique à propos des phases de la Lune dans un planétarium numérique s’adressant à des élèves âgés de 12 à 14 ans. Cette intervention didactique a été mise à l’essai une première fois dans le cadre d’une recherche de développement (ingénierie didactique) visant à l’améliorer, à la fois sur son versant théorique et sur son versant pratique, par le biais de multiples itérations dans le milieu « naturel » où elle se déploie, ici un planétarium numérique gonflable de six mètres de diamètre. Nous présentons les résultats de notre première itération, réalisée en compagnie de six jeunes de 12 à 14 ans (quatre garçons et deux filles) dont nous avons recueilli les conceptions à propos des phases de la Lune avant, pendant et après l’intervention par le biais d’entrevues de groupe, questionnaires, mises en situation et enregistrement des interventions tout au long de l’activité. L'évaluation a été essentiellement qualitative, basée sur les traces obtenues tout au long de la séance, en particulier sous la voûte du planétarium. Ce matériel a ensuite été analysé pour valider les concepts théoriques qui ont mené à la conception de l'intervention didactique, d'une part, mais aussi pour faire émerger des améliorations possibles visant à bonifier l'intervention. Nous avons ainsi constaté que l'intervention provoque effectivement l'évolution des conceptions de la majorité des participants à propos des phases de la Lune, mais nous avons également identifié des façons de rendre l’intervention encore plus efficace à l’avenir.
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Dans cette thèse, nous étudions la period room présentée dans le musée d’art. À travers un examen de sa spécificité matérielle, spatiale et temporelle, nous analysons les mécanismes propres à cette stratégie de mise en exposition et nous identifions ses principales conditions de possibilité. Ce faisant, nous étudions les différents savoirs qui sont sollicités par la period room, leurs interactions ainsi que l’apport réciproque de cette stratégie de mise en exposition à la construction de ces savoirs et ce, de manière à établir les fondements d’une épistémologie de la period room. Nous montrons ainsi quelle est sa contribution particulière à l’élaboration et à la médiation de l’histoire dans l’espace muséal. Grâce à cette étude, nous posons des assises conceptuelles qui permettent de repenser le rôle de la period room pour la discipline de l’histoire de l’art, déjouant par le fait même les apories de l’historicisme et de l’authenticité en vertu desquelles la period room est le plus souvent discréditée. Nous procédons par études de cas à partir d’un corpus principalement composé de period rooms ayant pour référents des intérieurs français de la seconde moitié du 18ième siècle et qui sont présentées dans des musées d’art américains (Frick Collection, Metropolitan Museum of Art, Philadelphia Museum of Art) et dans un musée canadien d’histoire naturelle et culturelle (Royal Ontario Museum). Dans la première partie de la thèse, nous établissons la typologie muséographique de la period room et nous envisageons les enjeux, notamment idéologiques, associés à la question de son « authenticité » à travers une analyse de son double statut de pastiche et de simulacre. Nous posons en outre l’un des fondements théoriques de notre étude en montrant que, parce qu’elle est formée de l’articulation entre pouvoirs et savoirs, la period room est un dispositif au sens où l’entendent Michel Foucault (1977) et Giorgio Agamben (2007). Dans la seconde partie, nous examinons la spécificité matérielle de la period room en démontrant comment elle est simultanément une réunion d’objets et un « tout », c’est-à-dire un objet muséographique en elle-même. Nous étudions les implications épistémologiques de cette idée pour la représentation de l’histoire proposée au moyen de la period room, tout en portant une attention particulière aux enjeux politiques qui informent cette représentation dans l’espace muséal. Dans la troisième partie, nous nous concentrons sur les particularités spatiales et temporelles de cette stratégie de mise en exposition et nous démontrons que, en dépit de son apparente unité de lieu et de temps, la period room est composée de plusieurs espaces et concentre plusieurs temps. En puisant dans la spécificité même de ce dispositif, nous élaborons des outils théoriques et méthodologiques inédits qui contribuent à repenser la fonction de la period room pour la mise en forme et la transmission de l’histoire. En conclusion, nous présentons une dernière étude de cas qui, examinant l’intervention de Valerie Hegarty dans trois period rooms du Brooklyn Museum (2013), synthétise les principaux enjeux traités dans la thèse et défend la valeur d’actualité de la period room.
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En mars 2013, trois cent treize artefacts précolombiens, exposés auparavant dans le musée barcelonais des Suisses Jean-Paul Barbier et Monique Mueller, furent mis en vente chez Sotheby’s à Paris par ce couple de collectionneurs. L’affaire fut l’objet une couverture médiatique internationale lorsque des pays d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud, notamment le Pérou, le Mexique et le Guatemala, protestèrent contre la tenue de cette vente, avançant que leur patrimoine culturel national n’est pas à vendre. La question centrale de ce mémoire porte sur le trafic illicite des biens culturels et elle se décline en trois axes, à partir d’une étude de cas : la collection Barbier-Mueller. Les relations complexes entre les musées et les grands collectionneurs sont observées dans le premier chapitre à la lumière des règles déontologiques qui régissent habituellement les institutions, afin de ne pas encourager l’acquisition d’objets impliqués dans des transactions illicites. Dans un deuxième temps, au moyen d’une succincte présentation du marché actuel de l’art mondial, l’influence des maisons de ventes aux enchères sera examinée. Tandis que la provenance des artefacts en vente n’est pas toujours clairement affichée, il est difficile de retracer la lignée des propriétaires ou leur nation d’origine. Or, sachant que la commercialisation illicite des biens culturels se développe à l’intérieur même du marché de l'art régulier, les auteurs parlent alors d’un « marché gris ». Ce mémoire remonte, depuis l’excavation en passant par leur exportation illégale, la chaîne de transactions de ces biens culturels qui aboutissent dans les expositions des plus prestigieuses institutions. Cette recherche aborde en dernier lieu certaines incongruités du marché de l’art en auscultant les particularités des outils fournis par l’UNESCO et l’ICOM, ainsi que la question de l’aliénation, en plus de celle des limites juridiques des pays requérants. Finalement, cette étude présente les oppositions entre le discours officiel et les actions réellement entreprises pour la protection du patrimoine culturel.
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« Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de certains documents visuels et audio-visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal ».
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Cotutelle de thèse France-Québec : Université Paul-Valéry Montpellier 3 et Université de Montréal. Pour respecter les droits d’auteur, la version électronique de cette thèse a été dépouillée de certains documents visuels. La version intégrale de la thèse a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Sabemos que al menos un 20% del alumnado entre 12 y 16 años no manifiesta ninguna motivación para el aprendizaje en la mayoría de las áreas del currículum escolar (Marchesi, 2004) y que esa desafección, al menos en España, se gesta en la educación primaria de manera que el éxito (o el fracaso) escolar en esa etapa se convierte en el principal predictor del éxito (o del fracaso) en la ESO (Marchesi y Martín, 2002). La primera conclusión parece obvia: si queremos que los alumnos vayan bien en la educación secundaria hemos de conseguir que vayan bien en la educación primaria. Pero, ¿qué ocurre cuando nuestro alumnado llega a los institutos sin esos conocimientos mínimos sin los cuales no hay garantía posible de éxito? ¿Hemos de aceptar ese determinismo y convertirnos en meros espectadores de un fracaso anunciado? Uno de los principales indicadores de la calidad de la educación en un estado democrático es el trato que se da a aquella parte del alumnado que presenta dificultades para aprender. El hecho de que la enseñanza secundaria en el actual sistema educativo español sea obligatoria y comprensiva (es decir, que se enseñen los mismos contenidos a todos los alumnos) dificulta considerablemente la tarea del profesorado a la vez que incrementa el riesgo de fracaso escolar. Para contrarrestar dicho riesgo, los legisladores han dotado a los centros de una mayor autonomía que se pone de manifiesto en tres ámbitos fundamentales: 1. En el diseño currricular, a través del Proyecto Curricular de Centro (PCC). El currículum ha dejado de ser rígido y dictado por la administración a ser abierto y flexible, con un diseño final que ahora es responsabilidad de los claustros de profesores . 2. En la organización del centro, que toma decisiones sobre la forma de agrupar el alumnado, la adscripción del profesorado a los distintos grupos o la coordinación efectiva del profesorado. 3. En el acceso a recursos materiales y humanos que respondan a las necesidades reales del centro como consecuencia del ejercicio de su autonomía. Los diferentes decretos y resoluciones de las autoridades educativas de cada Comunidad Autónoma han delimitado el campo de actuación de los centros para que, dentro de su autonomía, puedan hacer frente a una diversidad creciente del alumnado (en capacidades, en intereses y motivación y en su condición social) con el objetivo final de garantizar el éxito 2 escolar. En Cataluña, por ejemplo, las instrucciones para la organización y el funcionamiento de los centros de secundaria, que son publicadas para cada curso escolar, regulan de manera cada vez más extensa aspectos relativos a la atención a las necesidades educativas del alumnado. Así, dichas medidas incrementan año tras año el abanico de recursos que se ponen a disposición de los centros: Aula abierta, Unidad de soporte a la educación especial, Unidad de educación especial, Unidad de escolarización compartida, Aula de acogida, etc. Todas estas medidas organizativas se complementan con puntos concretos relativos a los criterios generales sobre la distribución de grupos, la dedicación horaria del profesorado y de los diferentes órganos de coordinación, las funciones del profesorado de la especialidad de Psicología y Pedagogía y de los Maestros de Pedagogía terapéutica o las adaptaciones curriculares, así como la puesta a disposición de los equipos directivos (ED) de un número creciente de recursos humanos. Sin embargo, todo ello choca en ocasiones con una realidad que se caracteriza por : ¿ La resistencia de una parte del profesorado hacia la generalización de la educación secundaria obligatoria y comprensiva, en parte como consecuencia del deterioro que ha experimentado en sus condiciones de trabajo: un ambiente de clase poco propició al aprendizaje, una mayor exigencia de coordinación, una adaptación de sus quehaceres a una mayor diversidad de alumnado, un incremento de la burocracia administrativa docente, etc. (Fernández, 2001; Bolívar, 2004). ¿ La resistencia de una parte de los ED a la aplicación estricta de las normas en perjuicio de los principios pedagógicos y de igualdad que las impulsaban. Por ejemplo, los itinerarios escolares, que quedaron descartados en la LOGSE y posteriormente en la LOE, se han aplicado en innumerables centros a través de los criterios seguidos para agrupar a los alumnos (Cucurella, 2002; Estruch, 2002; Muñoz, 2000). ¿ Un profesorado instalado en una auténtica crisis de identidad que no acaba de asumir la enorme complejidad del proceso de educar en una sociedad incierta como la actual (pero en la que la educación es un derecho fundamental) y al que no ayuda una legislación en continuo cambio y cada vez más extensa (Fernández, 2001). ¿ Un profesorado que, a pesar de asumir la importancia de atender las necesidades educativas de todos los alumnos y alumnas, manifiesta un escaso conocimiento de las medidas destinadas a su tratamiento. Además, reconoce el escaso seguimiento y revisión que se lleva a cabo en los centros de los objetivos y de la planificación de la atención de la diversidad (Muñoz et all, 2007). El resultado de todo ello es un tira y afloja entre lo que pide la administración y lo que dan los centros escolares de secundaria. Desconocemos en qué medida la realidad del conjunto de los 3 centros de secundaria se acerca a la teoría que propugna la norma. En Cataluña, los últimos datos conocidos (los del Plan director 1997-2001, de la Inspección de educación) ponen de manifiesto una caída en picado de algunas actuaciones relacionadas con la atención de la diversidad cuando pasamos de la educación primaria a la educación secundaria, justo en el momento en el que los alumnos con menos expectativas de éxito demandan de una atención redoblada. El discurso sobre la diversidad y las teorías mejor elaboradas se estrellan a menudo sobre la organización encargada de llevarlas a la práctica. La existencia de un proyecto pedagógico realista, ajustado a las necesidades del centro y consensuado, la actuación colegiada del profesorado, la flexibilidad que sucede a la valoración crítica de los resultados, las adaptaciones curriculares, etc. son actuaciones que se han descrito como potenciadoras del tratamiento de la diversidad (Santos, 2002). Cuando se dispone de medios humanos suficientes, la adopción de una organización del centro que dé respuesta a la diversidad de su alumnado dentro de los límites legales depende sólo de la voluntad de los ED. Es cierto que dicha voluntad se haya limitada por las características del claustro y por la cultura del centro. Pero esos condicionantes ni son definitivos ni son ajenos a la acción transformadora del propio ED. El propósito de la investigación es analizar el conjunto de medidas organizativas que aplica un centro de enseñanza secundaria para dar respuesta a las necesidades educativas del alumnado que tiene dificultades para adquirir los conocimientos mínimos que le permitan pasar de curso y/o acreditar la ESO.
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Resumen basado en el de la publicación
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Elaborar un trabajo que pueda servir de ayuda práctica en el proceso de enseñanza-aprendizaje de la lecto-escritura: conseguir un mejor conocimiento y dominio del esquema corporal, vencer sincinesias, lograr una orientación espacio-temporal, desarrollar sinergias motrices, ejercitar la percepción visual, potenciar la coordinación visomotora, desarrollar la psicomotricidad fina. Fichas y ejercicios básicos para superar las dificultades en el aprendizaje de la escritura. Este trabajo se divide en dos partes, una teórica y otra práctica. En la parte teórica aborda los temas del desarrollo evolutivo. Se basa en bibliografía sobre la escritura, dificultades de aprendizaje de la lecto-escritura, psicomotricidad, Educación Especial, trastornos de aprendizaje, y en la propia experiencia de los autores, así como en consultas realizadas a profesores de distintos centros. Propone el uso de una serie de fichas, unas propuestas por ellos y otras por otros autores, cuya aplicación resultó fructífera en los casos en los que se llevó a la práctica. Las fichas propuestas siguen un orden estricto: de menor a mayor dificultad, comenzando por lo más simple para ir paso a paso ascendiendo hasta lo más complejo. De la parte teórica se puede concluir que para que el niño pueda realizar un aprendizaje satisfactorio de la escritura es imprescindible que haya tenido un desarrollo evolutivo de los mecanismos eferentes (sistema motriz, sistema de praxis ideomotora y coordinación óculo-manual) y de los mecanismos aferentes (desarrollo perceptivo). El aprendizaje de la lectura y la escritura deben ser simultáneos y debe iniciarse en los periodos oportunos aprovechando el momento madurativo óptimo. Las etapas de la maduración grafomotriz son cuatro: a los 2 años se da el trazado de los primeros garabatos, a los 3 años se da el trazado de círculos, ángulos, zig-zag y rectas, a los 4 se trazan cruces y se inicia el trazado del cuadrado, y a los 5 se trazan cuadrados y triángulos. Es importante descubrir la lateralidad predominante del niño y respetarla para evitar mayores dificultades. La escritura tiene varias fases en su desarrollo: precaligráfica, caligráfica y postcaligráfica. En la parte práctica aporta una copilación de ejercicios, actividades y fichas que sirven de ayuda al aprendizaje de la escritura pero no deja constancia de los resultados obtenidos por su aplicación.
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Ofrecer algunos de los riesgos que subyacen en la práctica educativa, algunos de los retos que plantea y la franja de aventura que se abre en las previsiones y en los proyectos de futuro. Lo único que pretende es poner algun interrogante y que la pregunta quede abierta. Situación social de la función docente y aspectos básicos de la misma. Influencia de los procesos sociales sobre la educación. Se hace una reflexión sobre cuál es la misión del docente y factores y fuentes de tensión que repercuten en ella, cómo se autopercibe hoy en día la profesión docente y qué perspectivas existen acerca de la evolución de la enseñanza. Se citan teorías de otros autores y datos resultantes de investigaciones realizadas en la Universidad de Oviedo y en otros países. Bibliografía. Sólo cuando se haya definido claramente cuál es la función del docente podremos saber cuáles son sus necesidades formativas. La misión primordial del docente es facilitar y promover el aprendizaje, pero esta misión está determinada en gran manera por los fines generales de la educación dentro de una sociedad determinada. Actualmente los profesionales de la enseñanza se encuentran en una posición de contraposición con la sociedad, atacándose mutuamente. Los docentes se encuentran sobrecargados de funciones ya que todos los males presentes y futuros se achacan a las enseñanzas que se imparten y al modo de transmitirlas. Hay una serie de condicionamientos socioculturales que han afectado a la educación como son: la rápida implantación de tecnologías fuertemente vinculadas al lenguaje, la influencia de los relatos legitimadores y la práctica sindical y sus logros. Se critica el uso de 'categorías económicas' como 'categorías' resolutorias del acto educativo. Ha llegado el momento de que la sociedad y las administraciones en general, presten a los docentes una atención que está sobre las consideraciones remunerativas, las participaciones, los planes curriculares y la organización de los centros. De lo contrario, la sociedad y la Administración, se encontrarán con un cuadro de profesionales roto, destruido, irrecuperable para llevar a cabo sus verdaderas funciones.
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Investigar si hay diferencias entre los alumnos de las cinco especialidades docentes (Ciencias Sociales, Ciencias, Filología, Educación Preescolar y Educación Especial) respecto a sus preferencias vocacionales. El objetivo que se persigue con el estudio empírico presentado es comprobar si los intereses vocacionales son un elemento diferenciador entre los alumnos de las cinco especialidades docentes de la carrera de Magisterio, o si todos presentan un 'Cluster' uniforme. Hipótesis de partida: es previsible que entre los grupos-especialidad haya diferencias atendiendo a sus preferencias vocacionales. 225 alumnos de primer curso de carrera de Magisterio, de la EU de Magisterio de la Universidad de Oviedo. Variables investigadas: intereses relacionados con 10 campos ocupacionales: aire libre, mecánico, cálculo, científico, persuasivo, artístico, literario, musical, asistencial y administrativo. Registro de preferencias vocacionales de G. Kuder. Para comprobar las posibles diferencias entre los grupos respecto a las preferencias vocacionales se realizó el análisis de varianza. Con objeto de obtener datos más precisos, se realizaron comparaciones múltiples y se especificó qué pares de medias diferían de forma significativa, para esto último se utilizó la prueba 't' protegida, aplicando el metodo LSD de Fisher. Los valores 't' que resultaron significativos estadísticamente se convirtieron en coeficientes de correlación biserial-puntual para valorar la intensidad de la relación encontrada y la proporción de varianza que se explica en la variable por la pertenencia a una de las dos especialidades que se confrontan en cada caso. No se observan diferencias significativas en los factores aire libre, mecánico, persuasivo y musical. En los factores cálculo y científico se observan diferencias significativas entre la especialidad de Ciencias y las otras cuatro. En el factor artístico se observan diferencias significativas entre la especialidad Filología y las demás. En el factor literario se observan diferencias significativas entre la especialidad Ciencias Sociales y las demás. En el factor asistencial se observan diferencias significativas entre la especialidad asistencial y las demás. En el factor administrativo se observan diferencias significativas entre la especialidad de Ciencias y la de Educación Especial.
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La investigaci??n, que abarca el periodo 2001-2007, narra la g??nesis de una colecci??n museogr??fica en el municipio de Cabranes (Asturias), el proceso de gestaci??n e implantaci??n del Museo de la Escuela Rural de Asturias como agente dinamizador de una comarca rural y profundiza en su funci??n did??ctica. Estudia el proceso de transformaci??n de un museo etnogr??fico, dependiente de una corporaci??n local, que cuenta con escasos bienes patrimoniales, en un museo que recoge el legado material de la escuela rural, y que, por medio de una museograf??a did??ctica y comprensiva, lo traslada, como herramienta de aprendizaje y disfrute, a un amplio p??blico destinatario, mostrando la vida cotidiana de la infancia en las diferentes etapas educativas, desde 1908 hasta 1970. Los objetivos que guiaron la investigaci??n han sido: llegar al conocimiento de la historia para poder interpretarla y transmitirla; poner en valor cultural la memoria como un recurso (la recuperaci??n de la memoria oral, material y gr??fica); recuperar el patrimonio escolar procedente de las escuelas de la Comarca de la Sidra y su puesta en valor; mostrar el proceso evolutivo y comparativo de las diferentes ??pocas por medio de la museograf??a; resaltar las condiciones sociales de la ense??anza alcanzadas hasta 1970 (desarrollo de las t??cnicas did??cticas, el papel del magisterio, del alumnado, de los padres y el entorno dom??stico); la elaboraci??n de materiales did??cticos a trav??s de los cuales se reflejase la vida de maestros y alumnos en la sociedad rural; y, por ??ltimo, promover la participaci??n de todas las personas del municipio, buscando la vinculaci??n social del Concejo de Cabranes en torno al proyecto del museo y la participaci??n e integraci??n activa de los mayores. Desde la reflexi??n en la acci??n se expone un modelo de museo y se profundiza en su funci??n did??ctica, por medio de la descripci??n y el an??lisis de los diferentes materiales creados para la visita, as?? como la p??gina Web, dise??ada como prolongaci??n del museo y veh??culo de comunicaci??n. La metodolog??a empleada ha sido un enfoque de tipo cualitativo etnogr??fico-fenomenol??gico, orientada principalmente a entender la situaci??n en el escenario en el que ??sta transcurre. Para ello, se practic?? la observaci??n y la entrevista, informal y formal, con el fin de obtener informaci??n sobre opiniones, percepciones e intereses, para profundizar en el recuerdo de la etapa escolar. Se utiliz?? material tecnol??gico audiovisual. El empleo de la fotograf??a, los soportes de grabaci??n en audio y el v??deo constituyeron herramientas de gran utilidad para la recogida y posterior an??lisis de los datos. Debidamente montados e interpretados se utilizaron para aportar conocimientos basados en los testimonios orales de alumnos, maestros y maestras, que transmiten sus vivencias a los visitantes. Estos v??deos reflejan la evocaci??n, perspectiva desde la cual se construy?? la museograf??a. La observaci??n ha sido una constante en esta investigaci??n, dado que la autora ha sido, a su vez, autora del proyecto museogr??fico-museol??gico, conservadora y gu??a del museo, precisamente por eso se puede inscribir dentro de la observaci??n participante. Se practic?? tanto la observaci??n directa como la indirecta. La observaci??n directa, mediante la entrevista con varias personas a la vez y la indirecta, bas??ndose en datos y fuentes documentales. Se abord??, tambi??n, el estudio del p??blico visitante, mediante el an??lisis cualitativo y cuantitativo de la informaci??n que aportan los libros de visitas del museo. Por ??ltimo, se realiza un an??lisis comparativo de otros centros muse??sticos pedag??gicos de Espa??a, Francia y Portugal, para llegar al conocimiento de nuevas estrategias de investigaci??n. Los resultados de la investigaci??n muestran que el cambio de enfoque realizado al museo, fue posible porque se daban las circunstancias id??neas para ello, dado que el municipio contaba con el lugar o 'escenario' adecuado, el edificio de la Escuela de Vi????n, y, adem??s, pose??a un buen n??mero de piezas pertenecientes al ajuar escolar, lo que facilit?? alcanzar el objetivo de transportar al espectador al interior de una escena que recrea la atm??sfera de la antigua escuela rural. Se destaca el grado de implicaci??n de la propia comunidad vecinal, especialmente los mayores, quienes se convirtieron en informantes cualificados y en voluntarios entregados al proyecto. La observaci??n del p??blico visitante, sus ideas y experiencias, ayudaron en todo momento a guiar la propuesta museogr??fica en las distintas fases de desarrollo del museo. La elaboraci??n de diversos materiales did??cticos para la visita individual autoguiada, las visitas en familia, con materiales dise??ados especialmente para los ni??os de edades entre ocho y once a??os, y las visitas guiadas dirigidas al p??blico escolar, en este caso, para el alumnado de doce a diecis??is a??os, mejor?? la calidad de la visita y la relaci??n museo-escuela. Finalmente, se se??ala que la p??gina Web dise??ada cumple, adem??s de su funci??n did??ctica, un papel destacado en la difusi??n de la imagen institucional del museo, puesto que el 96,6 por ciento de los visitantes encuestados manifiesta su intenci??n de acudir al propio museo.