934 resultados para First subsequent pregnancy outcome
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Au cours des 30 dernières années, l’embonpoint et l’obésité infantile sont devenus de véritables défis pour la santé publique. Bien que l’obésité soit, à la base, un problème physiologique (i.e. balance calorique positive) une série de facteurs psychosociaux sont reliés à son développement. Dans cette thèse, nous avons étudié le rôle des facteurs périnataux et de la petite enfance dans le développement du surpoids, ainsi que la relation entre le surpoids et les troubles internalisés au cours de l’enfance et au début de l’adolescence. Nous avions trois objectifs généraux: 1) Modéliser le développement de l’indice de masse corporelle (IMC) ou du statut pondéral (le fait d’être en surpoids ou non) durant l’enfance, ainsi qu’estimer l’hétérogénéité dans la population au cours du temps (i.e. identification de trajectoires développementales de l’IMC). 2) Identifier les facteurs périnataux et de la petite enfance pouvant accroitre le risque qu’un enfant suive une trajectoire menant au surpoids adolescente. 3) Tester la possibilité que le surpoids durant l’enfance soit associé avec des problèmes de santé mentale internalisés à l’adolescence, et vérifier la possibilité qu’une telle association soit médiatisée par l’expérience de victimisation par les pairs et l’insatisfaction corporelle. Ce travail est mené dans une perspective de développement au cours de la vie (life span perspective), considérant l’accumulation des facteurs de risques au cours du temps ainsi que les facteurs qui se manifestent durant certaines périodes critiques de développement.1,2 Nous avons utilisé les données provenant de l’Étude Longitudinale du Développement des Enfants du Québec (ELDEQ), une cohorte de naissances de la province de Québec, Canada. L’échantillon initial était composé de 2120 familles avec un bébé de 5 mois nés au Québec en 1997. Ces familles ont été suivies annuellement ou à tous les deux ans jusqu’à ce que les enfants atteignent l’âge de 13 ans. En ce qui concerne le premier objectif de recherche, nous avons utilisé la méthode des trajectoires développementales fondée sur des groupes pour modéliser l’IMC en continu et en catégories (surpoids vs poids normal). Pour notre deuxième objectif, nous avons effectué des modèles de régression multinomiale afin d’identifier les facteurs périnataux et de la petite enfance associés aux différents groupes développementaux du statut pondéral. Les facteurs de risques putatifs ont été choisis parmi les facteurs identifiés dans la littérature et représentent l’environnement périnatal, les caractéristiques de l’enfant, ainsi que l’environnement familial. Ces facteurs ont été analysés longitudinalement dans la mesure du possible, et les facteurs pouvant servir de levier potentiel d’intervention, tels que l’usage de tabac chez la mère durant la grossesse, le sommeil de l’enfant ou le temps d’écoute de télévision, ont été sélectionnés pour l’analyse. Pour notre troisième objectif, nous avons examiné les associations longitudinales (de 6 à 12 ans) entre les scores-z d’IMC (selon la référence CDC 2000) et les problèmes internalisés avec les modèles d’équations structurales de type « cross-lagged ». Nous avons ensuite examiné comment la victimisation par les pairs et l’insatisfaction corporelle durant l’enfance peuvent médiatiser un lien potentiel entre le surpoids et les troubles internalisés au début de l’adolescence. Les contributions scientifiques de la présente thèse incluent l’identification de trajectoires distinctes du statut pondérale durant l’enfance (précoce, tardive, jamais en surpoids), ainsi que les facteurs de risques précoces et les profils de santé mentale pouvant différer selon la trajectoire d’un enfant. De plus, nous avons identifié des mécanismes importants qui expliquent une partie de l’association entre les trajectoires de surpoids et les troubles internalisés: la victimisation par les pairs et l’insatisfaction corporelle.
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Contexte Un objectif important de la prise en charge de l'arthrite juvénile oligoarticulaire serait d'altérer le cours de la maladie à l'aide d'une thérapie hâtive. Nous avons étudié l'effet des injections intra-articulaires de corticostéroïdes hâtives sur les chances d'atteindre un décompte d'articulation active de zéro et une maladie inactive. Méthode Les données démographiques, cliniques et thérapeutiques des patients avec oligoarthrite juvénile enrôlés dans une étude prospective longitudinale pancanadienne ont été collectées pendant 2 ans. Une injection hâtive était définie comme étant reçue dans les 3 premiers mois suivant le diagnostic. Les équations d'estimation généralisées ont été utilisées pour l'analyse statistique. Résultats Trois cent dix patients ont été inclus. Cent onze (35.8%) ont reçu une injection hâtive. Ces derniers avaient une maladie plus active lors de l'entrée dans l'étude. Les patients exposés à une injection hâtive avaient une chance similaire d'obtenir un décompte d'articulation active de zéro, OR 1.52 (IC95% 0.68-3.37), p=0.306 mais étaient significativement moins à risque d'avoir une maladie inactive, OR 0.35 (IC95% 0.14-0.88), p=0.026. Interprétation Dans cette cohorte de 310 patients avec oligoarthrite juvénile, les injections hâtives de corticostéroïdes n'ont pas mené à une probabilité plus élevée d'atteindre un décompte d'articulation active de zéro ou une maladie inactive. Des problématiques méthodologiques intrinsèques à l'utilisation de données observationnelles pour fins d'estimation d'effets thérapeutiques auraient pu biaiser les résultats. Nous ne pouvons affirmer avec certitude que les injections hâtives n'améliorent pas le décours de la maladie. Des études prospectives adressant les limitations soulevées seront requises pour clarifier la question.
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Cette thèse porte sur l’évaluation de l’impact de certains composés environnementaux sur la fécondité féminine, tel que mesuré par le délai de conception (« time to pregnancy » en anglais, ou TTP). Cette recherche a été réalisée dans le cadre de l’Étude mère-enfant sur les composés chimiques de l’environnement (MIREC), une cohorte de grossesse de 2001 femmes recrutées durant le premier trimestre dans dix villes canadiennes de 2008 à 2011. Les données des questionnaires et les échantillons biologiques ont servi à évaluer l’effet de deux groupes de composés : les persistants [composés perfluorés – perfluorooctanesulfonate (PFOS), perfluorooctanoate (PFOA) et perfluorohexane sulfonate (PFHxS)] et les non persistants (bisphénol A, triclosan et phtalates). Cette thèse comprend également une analyse du potentiel du ratio index-annulaire (2D:4D) comme mesure de sensibilité endocrinienne. À ce jour, des mesures anthropométriques ont été collectées sur environ 800 mères-enfants dans le cadre de l’Étude mère-enfant sur les composés chimiques de l’environnement : biomonitoring et neurodéveloppement à la petite enfance (MIREC CD Plus), un suivi de la cohorte MIREC portant sur la croissance et le développement des enfants jusqu’à 5 ans. Sur l’ensemble, les résultats de cette thèse permettent d’étoffer les preuves concernant les effets adverses potentiels de plusieurs contaminants environnementaux sur la fécondité féminine, telle que mesurée par le TTP. Dans le premier article, nous avons montré une association entre les PFOA et les PFHxS et une baisse de fécondité, ce que d’autres recherches avaient déjà révélé. Dans le deuxième article, nous avons évalué l’effet du triclosan sur le TTP, ce qui n’avait jamais été examiné, pour montrer un délai plus élevé chez les femmes du quartile supérieur d’exposition. De plus, nos résultats sont en accord avec ceux de la seule étude ayant évalué l’effet du Bisphénol A sur la fécondité féminine, qui n’avait pas détecté d’effet. Finalement, nos données semblent indiquer une association entre l’exposition des femmes aux phtalates et un TTP plus court, mais ces résultats ne sont pas statistiquement significatifs. En ce qui a trait au potentiel du ratio index-annuaire (2D:4D) pour mesurer la sensibilité endocrinienne chez les femmes, nos données ne permettent pas d’établir une association entre ce ratio et le TTP. Pour ce qui est des enfants, nous n’avons pas trouvé d’effet adverse entre le tabagisme de la mère durant la grossesse et leur ratio 2D:4D. Par conséquent, nos données ne semblent pas justifier l’utilisation du ratio 2D:4D pour mesurer la sensibilité endocrinienne en lien avec le potentiel reproducteur (basé sur le TTP) ou l’exposition des enfants au tabac durant le premier trimestre de grossesse.
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La inducción del trabajo de parto ha demostrado aumentar simultáneamente las tasas de cesárea, especialmente en nulíparas con cérvix clínicamente desfavorables. Ya que la valoración clínica del cérvix es un método subjetivo, aunque ampliamente utilizado, el objetivo del presente estudio fue determinar la utilidad de la medición ecográfica de la longitud cervical comparándola con el puntaje de Bishop, en la predicción del éxito de la inducción del parto en las pacientes nulíparas en el servicio de Obstetricia del Hospital Universitario Clínica San Rafael, Bogotá. Materiales y métodos: Se realizó un estudio observacional, evaluando una cohorte prospectiva de 80 gestantes a quienes se les realizó valoración ultrasonográfica y clínica del cérvix antes de iniciar la inducción del trabajo de parto. Resultados: El análisis bivariado demostró que las pacientes con longitud cervical >20mm tienen 1.57 veces la probabilidad de tener parto por cesárea (RR 1.57 IC95% 1.03-2.39 p <0.05). De manera similar las pacientes con puntaje de Bishop 0 a 3 tienen 2.33 veces la probabilidad de tener parto por cesárea (RR 2.33 IC95% 1.28-4.23 p <0.05). La regresión logística binaria demostró que la edad materna y la longitud cervical fueron los únicos parámetros independientes con significancia estadística para predecir el éxito de la inducción. Conclusiones: La medición ecográfica de la longitud cervical tiene mayor utilidad que la valoración clínica del cérvix en la predicción del éxito de la inducción del parto en nulíparas.
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Introducción: La segunda endocrinopatía que complica el embarazo es la enfermedad tiroidea, con una prevalencia de 2.5-5% en Estados Unidos. El hipotiroidismo en el embarazo se ha relacionado con efectos deletéreos maternos y perinatales, con evidencia escasa y controversial. Es importante conocer las diferencias en estos desenlaces en mujeres con hipotiroidismo pregestacional (HPG) y gestacional (HG). Metodología: Cohorte retrospectiva en una institución prestadora de salud (IPS) con HPG y HG, con registro de TSH en la historia clínica prenatal. Desenlaces maternos y perinatales: Amenaza de aborto, aborto espontáneo, hipertensión inducida por el embarazo, preeclamsia, abrupcio placenta, amenaza de parto pretérmino, óbito fetal, presentación podálica, cesárea, hemorragia posparto y bajo peso al nacer. Se compararon desenlaces entre pacientes con HPG versus HG y el tipo de hipotiroidismo (clínico, sub-clínico y controlado). Resultados: 337 gestantes entre Junio de 2009 y Diciembre de 2011, 67 con HPG. La TSH disminuyó del primero al tercer trimestre de embarazo en ambos grupos. El IMC en pacientes con HPG es mayor significativamente que en HG (p=0,04). Existe diferencia estadísticamente significativa entre tipo de hipotiroidismo clínico, subclínico y controlado en pacientes con HG y HPG en el primero y segundo trimestre (p<0.05). Con relación a desenlaces maternos y perinatales ninguno mostró asociación estadísticamente significativa, p>0.05. Conclusión: No se observaron diferencias significativas en los desenlaces materno-perinatales de pacientes con HG versus HPG, ambos grupos con suplencia hormonal tiroidea. Esto sugiere que independientemente del momento del diagnóstico, lo importante es tratar la enfermedad tempranamente para disminuir o evitar complicaciones.
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Introducción: Los desórdenes hipertensivos en el embarazo son la mayor causa de morbimortalidad materna en el mundo, su tratamiento habitualmente se realiza con nifedipino o enalapril durante el postparto indistintamente, pero no hay estudios que los comparen. Metodología: Se realizó un estudio de corte transversal con fines analíticos en el cual se incluyeron las historias clínicas de pacientes con trastorno hipertensivo durante el postparto que recibieron alguno de estos dos medicamentos y se evaluó el control de tensión arterial, necesidad de otros antihipertensivos, efectos adversos, presencia de complicaciones en ambos grupos. Resultados: Se estudió una muestra representativa, homogénea de 139 pacientes (p 0,43). Todas controlaron las cifras tensionales con el medicamento recibido. El 45% (n=62) recibió enalapril 20 mg cada 12 horas, el 40% (n=56) recibió nifedipino 30 mg cada 8 horas, el 15% (n=21) recibió nifedipino 30 mg cada 12 horas. No se presentaron efectos adversos, complicaciones o mortalidad en ninguno de los grupos. Las pacientes con enalapril requirieron más antihipertensivos comparado con las pacientes que recibieron nifedipino con diferencia estadísticamente significativa (p 0,001). Discusión La escogencia de un antihipertensivo durante el postparto debe estar encaminada al tipo de trastorno antihipertensivo: aquellos que se presentan por primera vez durante el embarazo se les administra nifedipino con excelentes resultados; aquellos con antecedente de hipertensión previa se les administra enalapril con buenos resultados. Ambos medicamentos controlaron la presión arterial adecuadamente sin complicaciones ni mortalidad.
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The age at onset refers to the time period at which an individual experiences the first symptoms of a disease. In autoimmune diseases (ADs), these symptoms can be subtle but are very relevant for diagnosis. They can appear during childhood, adulthood or late in life and may vary depending on the age at onset. Variables like mortality and morbidity and the role of genes will be reviewed with a focus on the major autoimmune disorders, namely, systemic lupus erythematosus (SLE), rheumatoid arthritis (RA), multiple sclerosis (MS), type 1 diabetes mellitus (T1D), Sjögren's syndrome, and autoimmune thyroiditis (AITD). Early age at onset is a worst prognostic factor for some ADs (i.e., SLE and T1D), while for others it does not have a significant influence on the course of disease (i.e., SS) or no unanimous consensus exists (i.e., RA and MS).
Comparación de la anestesia espinal con anestesia general endovenosa para legrado uterino obstétrico
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Introducción: La elección de la técnica anestésica para cualquier procedimiento quirúrgico debe estar basada en su seguridad, la rapidez para su aplicación, la recuperación óptima para el paciente y minimización de los efectos secundarios, la anestesia raquídea es una técnica anestésica que puede ser utilizada con buenos resultados clínicos y minimas complicaciones . Materiales y métodos: Se realizó un estudio observacional con recolección prospectiva en mujeres clasificadas como ASA I - II y que posteriormente fueron llevadas a la realización de legrado uterino obstétrico por embarazo no viable durante las primeras 12 semanas de gestación, las técnicas anestésicas fueron anestesia espinal o anestesia general endovenosa dependiendo de la elección hecha por el anestesiólogo previo al procedimiento. Se midieron variables hemodinámicas, control del dolor postoperatorio, tiempo de recuperación y complicaciones perioperatorias con el fin de determinar si se presentaban diferencias significativas entre estas dos técnicas anestésicas. Resultados: Se incluyeron un total de 110 pacientes, 63.6% (n=70) con anestesia general y 36.4% (n40) con anestesia espinal. Ambas poblaciones fueron comparables. Se presentaron menos efectos secundarios con la técnica espinal, hay una diferencia estadísticamente significativa en cuanto al dolor a favor de la anestesia espinal (p0,000) Discusión: La anestesia raquídea es una opción viable, sencilla , fácil y eficaz para la realización de legrados obstétricos, se puede realizar con monitorización básica y las complicaciones son mínimas. Se requieren estudios más amplios para determinar el papel de cual es la mejor técnica. Palabras claves: legrado uterino instrumentado, anestesia espinal, anestesia general endovenosa
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Los pacientes con cáncer de próstata con tumores de riesgo bajo e intermedio de recaída pueden ser tratados con cirugía, radioterapia, y en casos seleccionados observación. Los pacientes en nuestro país, son tratados con prostatectomía radical, los cuales tienen una probabilidad de recaída bioquímica del 15% al 40% a 5 años (1,2,3). Metodología: estudio descriptivo, retrospectivo, tipo serie de casos. Se revisaron los registros de todos que recibieron radioterapia de salvamento que ofrece para a aquellos pacientes que ya tienen recaída bioquímica o local después de la Prostatectomia Radical, entre enero de 2003 y diciembre de 2007. Resultado: entre los 40 pacientes elegibles para el análisis, la media de seguimiento fue de 2,17 años, con una desviación estándar de 1,5 años, con un rango de 0 a 58 meses, la media de la edad fue de 66,12 años, con una desviación estándar de 6,63, con un rango entre 50 y 78 años. Todos los pacientes le realizaron prostatectomía. La media de supervivencia libre de enfermedad con intervalos de confianza del 95% fue de 4,58 años (2,24 a 4,92 años). Discusión: analizados los resultados en éste grupo de pacientes con cáncer de próstata sometidos a prostatectomía radical y radioterapia como terapia de salvamento, con un seguimiento promedio de 2,17 años, observamos que los resultados obtenidos en el presente estudio son inferiores a los registrados en otros reportes en la literatura (16-20).
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La osteoporosis es una de las condiciones patológicas en mayor crecimiento a medida que la población de tercera edad aumenta, esto se traduce en fracturas por fragilidad como lo son las fracturas de radio distal y las fracturas de cadera, actualmente no se cuentas con datos de la población a estudio que correlacione este tipo de fracturas. Es un estudio retrospectivo de casos y controles donde se obtuvo un grupo de pacientes con fractura de cadera que consultaron a un hospital universitario de alta complejidad en la ciudad de Bogotá, se evaluó la presencia de antecedente de fractura de radio distal y se comparó con un grupo control de trauma en cadera. Se obtuvo un total de 325 casos (72,5%) y 123 (25%) controles. El promedio de edad fue de 81 años, el 70% de los pacientes en ambos grupos correspondió a mujeres. No hubo diferencia en cuanto a la prevalencia de tabaquismo, hipertensión arterial o diabetes en los grupos. No se encontraron diferencias significativas en cuanto a niveles de glicemia, calcio, vitamina D. La presencia de antecedente de fractura de radio distal en grupo con fractura de cadera fue del 7,1% encontrando un OR de 3,91 IC 95%(1,17– 13,10). La presencia de fractura de radio distal como antecedente es un predictor para la fractura de cadera en pacientes mayores. Se necesitan más estudios que correlacionen otras variables que pueden influir en la asociación para fractura de cadera y radio, para así identificar una población específica que se beneficie de un tratamiento temprano.
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Women who were themselves small-for-gestational age (SGA) are at a greater risk of adulthood diseases such as non-insulin-dependent diabetes mellitus (NIDDM), and twice at risk of having an SGA baby themselves. The aim of this study was to examine the intergenerational pig. Low (L) and normal (N) birth weight female piglets were followed throughout their first pregnancy (generation 1 (0)). After they had given birth, the growth and development of the lightest (I) and heaviest (n) female piglet from each litter were monitored until approximately 5 months of age (generation 2 (G2)). A glucose tolerance test (GTT) was conducted on G1 pig at similar to 6 months of age and again during late pregnancy; a GTT was also conducted on G2 pigs at similar to 4 months of age. G1 L offspring exhibited impaired glucose metabolism in later life compared to their G1 N sibling but in the next generation a similar scenario was only observed between I and n offspring born to G1 L mothers. Despite G1 L mothers showing greater glucose intolerance in late pregnancy and a decreased litter size, average piglet birth weight was reduced and there was also a large variation in litter weight; this suggests that they were, to some extent, prioritising their nutrient intake towards themselves rather than promoting their reproductive performance. There were numerous relationships between body shape at birth and glucose curve characteristics in later life, which can, to some extent, be used to predict neonatal outcome. In conclusion, intergenerational effects are partly seen in the pig. It is likely that some of the intergenerational influences may be masked due to the pig being a litter-bearing species.
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Eighty-eight multiparous sows were used to evaluate whether type and timing of oil supplementation during gestation influences the incidence of low birth weight (LBW). Sows were allocated (eight per treatment) commercial sow pellets (3 kg/d; control diet) or an experimental diet consisting of control diet plus 10 % extra energy in the form of excess pellets, palm oil, olive oil (OO), sunflower oil (SO) or fish oil; experimental diets were fed during either the first half (G1) or second half (G2) of gestation. Growth performance and endocrine profile of LBW ( < 1·09 kg) and normal birth weight (NBW; 1·46–1·64 kg) offspring were compared. Maternal dietary supplementation altered the distribution curve for piglet birth weight. SOG1 sows had a greater proportion of LBW piglets (P < 0·05), whilst it was reduced in the OOG1 group (P < 0·05). Growth rate of LBW piglets was lower compared with their NBW siblings (P < 0·05) when dietary supplementation was offered in G2 but were similar for G1. At birth, LBW offspring of supplemented animals possessed more fat compared with the control group (P < 0·05); LBW offspring of control animals exhibited a more rapid decline in fat free mass/kg prior to weaning. Plasma metabolites and insulin concentrations were influenced by maternal diet and birth weight. In conclusion, maternal dietary supplementation altered the distribution of piglet birth weights and improved the energy status of LBW piglets. Supplementation with MUFA during G1 reduced the incidence of LBW, whereas PUFA had the reverse effect.
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An experiment was designed to test the response of growing pullets to two changes in photoperiod (an increase from 8 to 14 h followed 5 weeks later by the reverse change, or a decrease from 14 to 8 h followed by an increase). The first change was made either at 35 days or at 56 days of age, to test the influence of age on the responses observed. Control groups were kept oil constant 8-h and constant 14-h photoperiods and the responses to appropriate single changes were also tested. Mean age at first egg varied from 111 days for birds given a single increment at 56 days to 166 days for pullets given an increase in photoperiod at 35 days followed by a reduction at 70 days. Responses to the single changes confirmed earlier reports that sensitivity to change in photoperiod varies with age ill a manner that is quantitatively predictable. Responses to the double changes could be explained by Postulating that the initial change altered the 'physiological age' of the bird to all extent that was also quantitatively predictable. An early increase in photoperiod advances sexual development and makes the bird more sensitive to a subsequent decrease than would be expected by reference to its chronological age. An early decrease in photoperiod delays sexual development, which can have the effect of making the bird more or less sensitive to a subsequent increase since, ill layer-strain pullets, sensitivity to an increment in photoperiod normally increases Lip to about 9 weeks of age but decreases thereafter. Mean age at first egg predicted using these concepts was very highly correlated with observed age at first egg. The results provide a rational basis for constructing a model to predict age at first egg for any combination of increases and decreases in photoperiod applied to growing pullets.
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This study investigated the ovarian function, metabolic profiles and fertility in first lactation Holstein-Friesian dairy cows (mean 305 day milk yield: 7417 +/- 191 kg, n = 37). Reproductive profiles obtained from milk progesterone analysis were categorized into normal (n = 17) and four abnormal profiles (delayed ovulation, DOV1, n = 9; DOV2, n = 2; persistent corpus luteum, PCL1, n = 6; PCL2, n = 4; 1: immediately post-calving, 2: subsequent cycles). Fifty-five percent of cows had abnormal profiles with half of these being categorized as DOV1. Fertility of DOV1 and DOV2 cows was reduced whereas PCL1 and PCL2 cows had similar reproductive competence to normal profile cows. DOV1 animals had higher milk energy values, lower energy balances, lower dry matter intakes (DMI) and greater body weight and body condition score (BCS) losses post-calving than normal profile animals. DOV1 animals also had lower insulin-like growth factor-I (IGF-I) and higher betahydroxybutyrate (BHB) concentrations and tended to have the lower insulin and glucose concentrations in the pre-service period than normal profile cows. All PCL animals had vulval discharges postpartum. Despite this, the DMI, body weight and BCS changes, IGF-I concentrations and fertility of PCL1 animals was similar to normal profile cows. In conclusion, the high prevalence of delayed ovulation post-calving (DOV1) in primiparous high yielding cows lasted long enough (71 +/- 8.3 days) to have a detrimental impact on fertility and was associated with significant physiological changes. This study did not establish any detrimental effects of PCL profiles on fertility or production parameters. (C) 2002 Elsevier Science Inc. All rights reserved.
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A dataset of 1,846,990 completed lactation record,; was created Using milk recording data from 8,967 commercial dairy farms in the United Kingdom over a five year period. Herd-specific lactation curves describing levels of milk, Cat and protein by lactation number and month of calving were generated for each farm. The actual yield of milk and protein proportion at the first milk recording of individual cow lactations were compared with the levels taken from the lactation curves. Logistic regression analysis showed that cows production milk with a lower percentage of protein than average had a significantly lower probability of being in-calf at 100 days post calving and it significantly higher probability of being culled at the end of lactation. The culling rates derived from the studied database demonstrate the current high wastage rate of commercial dairy cows. Well of this wastage is due to involuntary culling as a result of reproductive failure.