1000 resultados para Berry, Marie-Caroline de Bourbon-Sicile, duchesse de, 1798-1870.
Resumo:
Déjà le récit de Cupidon et Psyché dans l'Asinus aureus pose le problème du genre de cette histoire enchâssée, racontée par une vieille - est-ce un mythe ou une fable philosophique ? - et, par voie de conséquence, celui du statut même des dieux qui y interviennent. Qu'on voie dans Partenopeu de Blois un lointain avatar du récit d'Apulée, dans lequel la fée se substitue à Cupidon, ou qu'on le rattache au folklore (celtique), la question est sensiblement la même au XIIe siècle : les auteurs médiévaux croyaient-ils aux « êtres faés » ou ceux-ci étaient-ils à leurs yeux les acteurs imposés par le choix d'un certain univers fictionnel ? Si la critique est fondamentalement d'accord pour parler d'une « rationalisation » ou d'une « moralisation » de la fée, la démarche par laquelle l'écrivain médiéval adapte et actualise le matériau issu d'une tradition est susceptible de subtiles variations : la « réécriture » est chaque fois tributaire du projet d'écriture respectif, qu'il s'agisse de Partenopeu de Blois ou du lai de Guigemar de Marie de France. Au-delà du statut de la fée et de l'altérité qu'elle représente, c'est le statut même de la femme et du héros qui sont en cause, leur place et leur fonction au sein de la société féodale. La « translittération » de parcours narratifs stéréotypés, voire universaux, n'a ici rien à voir avec la récupération politique du folklore, transmis par voie orale, à laquelle s'attelle, quelque deux siècles plus tard, Jean d'Arras dans sa Mélusine : il extrait la légende de la fée poitevine du domaine de la fabula en inscrivant la merveille dans l'histoire, la région et l'expérience vécue pour légitimer les droits du duc de Berry sur Lusignan.
Resumo:
My case study of "Caroline"-a 26 year old presenting with depression, PTSD symptoms, and a history of sexual abuse as a teenager-represents a "third way" between (1) a strict adherence to a manualized treatment, and (2) a principle-guided therapy, in which the therapy follows particular theoretical concepts, but depends on the therapist's clinical judgement to flexibly apply them to the individual case. Specifically, in my therapy with Caroline (Kramer, 2009), I employed Foa and Rothbaum's (1998) cognitive-behavioral, "Prolonged Exposure" (PE) manual for PTSD, but deviated from it in certain ways based upon my evaluation of Caroline's individualized goals and reactions using Grawe and Caspar's "Plan Analysis," which is a cross-theoretical model for assessment and treatment planning. In their commentaries on my case study of Caroline, Caspar (2009) and Haldimann-Balli (see Appendix in Kramer, 2009) support my use of this third way. On the other hand, the other commentators-Muller (2009) and Hembree and Brinen (2009)-critique my handling of the case, arguing that strict adherence to the Foa and Rothbaum manual would have resulted in a more cost-effective therapy. In this article, I respond to the important issues raised by the four commentators.