980 resultados para Böttiger, Karl August, 1760-1835.
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Note regarding the number of days Fred Holmes was employed upon the Port Robinson and Thorold macadamized road during the months of July and August. This is signed by S.D. Woodruff and Fred Holmes, November, 1857.
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Time on the marsh lands for the months of May, June, July and August, 1857 for Fred Holmes, Joseph Simpson and William Baird. This was sent to S.D. Woodruff by Fred Holmes, Aug. 28, 1857.
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Engineer services in the marsh lands drainage to the 29th day of August inclusive to Frederick Holmes, Thomas Baird and Thomas Gilleland. Signed by S.D. Woodruff, Aug. 31, 1855.
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Engineer services in the marsh lands drainage to the 29th day of August inclusive to Frederick Holmes, Thomas Baird and Thomas Gilleland, signed by S.W. Woodruff. This copy contains a note to Fred Holmes from S.D. Woodruff, Sept. 11, 1855.
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Engineer services in marsh lands drainage for the months of July, August and September, 1856 to Fred Holmes, Joseph Simpson, Thomas Baird and Rose Osborne. This is signed by S.D. Woodruff, Oct. 1, 1856.
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Engineering services in marsh lands drainage for the months of May, June, July and August 1857 for Fred Holmes, Joseph Simpson and William Baird. This is signed by S.D. Woodruff, Aug. 31, 1857.
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Subscription to Lady’s Book of Philadelphia, a 3 year subscription from July 1835 – June 1838 made out to H. Nelles and signed by S.A. Godey. There is a note from the postmaster on the inner page of this subscription, May 19, 1838.
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The Welland Canal: a weekly journal. This paper is stained and torn, but it does not affect the text, December 30, 1835.
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The Evening Journal, St. Catharines, Ontario, August 6, 1900.
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The Evening Star, St. Catharines, Ontario. This paper contains an advertisement for James D. Tait Company, August 16, 1900.
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Cette thèse de doctorat se penche sur la contribution de la pensée sociologique de Karl Mannheim (1893-1947) à la question des intellectuels sous la République de Weimar. L’objectif de notre recherche est de montrer que la sensibilité de Mannheim à l’égard de la détresse spirituelle et de la précarité matérielle des intellectuels allemands constitue le fil conducteur de sa pensée sociologique de 1921 à 1933. À cet effet, le concept d’intelligentsia sans attaches occupe une place centrale dans notre analyse, car il permet à Mannheim d’expliquer cette détresse sur le plan sociologique et de repenser les fondements de l’autonomie politique des intellectuels. Notre démarche méthodologique privilégie une histoire intellectuelle qui fait ressortir dans notre analyse une tension heuristique entre d’une part, la signification du concept d’intelligentsia sans attaches dans le cadre de l’histoire de la crise d’autonomie des intellectuels allemands dans le premier tiers du XXe siècle et d’autre part, les implications théoriques de ce concept dans le développement de la pensée sociologique de Mannheim. La tension entre l’étude du contexte historique et celle de l’évolution de l’oeuvre de Mannheim se reflète dans la structure de la thèse qui se divise en deux grandes parties : 1- Les deux premiers chapitres délimitent le contexte historique qui a présidé l’émergence du concept d’intelligentsia sans attaches. Dans le premier chapitre, nous situons le concept en question dans le contexte du déclin de l’hégémonie culturelle de la bourgeoisie éduquée allemande ("Bildungsbürgertum") et de l’émergence d’une nouvelle génération d’intellectuels gravement affectée par la crise économique des années 1920. Le deuxième chapitre fait état des premiers débats théoriques et des controverses politiques qui sont à l’origine de la sociologie des intellectuels au début du XXe siècle. Une attention particulière est portée à deux sociologues importants, Max et Alfred Weber, parce qu’ils contribuent à problématiser la question du statut politique des intellectuels weimariens et inspirent à Mannheim le concept d’intelligentsia sans attaches. 2- Les trois autres chapitres font état de l’évolution du concept d’intelligentsia sans attaches dans les écrits sociologiques de Mannheim. Le troisième chapitre met en lumière la première ébauche de la théorie sociologique des intellectuels dans sa thèse d’habilitation (1925). En imputant les origines historiques des intellectuels sans attaches aux penseurs conservateurs du début du XIXe siècle, Mannheim s’intéresse à la première crise existentielle qui déchira l’intelligentsia allemande, partagée entre la nécessité de s’engager en politique ou de s’enfermer dans un idéal culturel apolitique. Dans le quatrième chapitre, nous voyons que le concept d’intelligentsia sans attaches devient le nerf du programme politique que Mannheim élabore dans son célèbre ouvrage "Ideologie und Utopie" (1929) dans le but de consolider l’autonomie de l’intelligentsia allemande. Dans le cinquième chapitre, nous analysons comment un tel projet est aux prises avec des contradictions que le sociologue est incapable de résoudre dans les dernières années de la République de Weimar. Ces contradictions concrétisent l’échec du concept d’intelligentsia sans attaches dans sa tentative de devenir un modèle d’autonomie pour les intellectuels allemands.