Suivi par élastographie ultrasonore après réparation endovasculaire d’anévrisme aorto-iliaque : étude de faisabilité in vivo

Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde et les anévrismes de l’aorte abdominale (AAAs) font partie de ce lot déplorable. Un anévrisme est la dilatation d’une artère pouvant conduire à la mort. Une rupture d’AAA s’avère fatale près de 80% du temps. Un moyen de traiter les AAAs est l’insertion d’une endoprothèse (SG) dans l’aorte, communément appelée la réparation endovasculaire (EVAR), afin de réduire la pression exercée par le flux sanguin sur la paroi. L’efficacité de ce traitement est compromise par la survenue d’endofuites (flux sanguins entre la prothèse et le sac anévrismal) pouvant conduire à la rupture de l’anévrisme. Ces flux sanguins peuvent survenir à n’importe quel moment après le traitement EVAR. Une surveillance par tomodensitométrie (CT-scan) annuelle est donc requise, augmentant ainsi le coût du suivi post-EVAR et exposant le patient à la radiation ionisante et aux complications des contrastes iodés. L’endotension est le concept de dilatation de l’anévrisme sans la présence d’une endofuite apparente au CT-scan. Après le traitement EVAR, le sang dans le sac anévrismal coagule pour former un thrombus frais, qui deviendra progressivement un thrombus plus fibreux et plus organisé, donnant lieu à un rétrécissement de l’anévrisme. Il y a très peu de données dans la littérature pour étudier ce processus temporel et la relation entre le thrombus frais et l’endotension. L’étalon d’or du suivi post-EVAR, le CT-scan, ne peut pas détecter la présence de thrombus frais. Il y a donc un besoin d’investir dans une technique sécuritaire et moins coûteuse pour le suivi d’AAAs après EVAR. Une méthode récente, l’élastographie dynamique, mesure l’élasticité des tissus en temps réel. Le principe de cette technique repose sur la génération d’ondes de cisaillement et l’étude de leur propagation afin de remonter aux propriétés mécaniques du milieu étudié. Cette thèse vise l’application de l’élastographie dynamique pour la détection des endofuites ainsi que de la caractérisation mécanique des tissus du sac anévrismal après le traitement EVAR. Ce projet dévoile le potentiel de l’élastographie afin de réduire les dangers de la radiation, de l’utilisation d’agent de contraste ainsi que des coûts du post-EVAR des AAAs. L’élastographie dynamique utilisant le « Shear Wave Imaging » (SWI) est prometteuse. Cette modalité pourrait complémenter l’échographie-Doppler (DUS) déjà utilisée pour le suivi d’examen post-EVAR. Le SWI a le potentiel de fournir des informations sur l’organisation fibreuse du thrombus ainsi que sur la détection d’endofuites. Tout d’abord, le premier objectif de cette thèse consistait à tester le SWI sur des AAAs dans des modèles canins pour la détection d’endofuites et la caractérisation du thrombus. Des SGs furent implantées dans un groupe de 18 chiens avec un anévrisme créé au moyen de la veine jugulaire. 4 anévrismes avaient une endofuite de type I, 13 avaient une endofuite de type II et un anévrisme n’avait pas d’endofuite. Des examens échographiques, DUS et SWI ont été réalisés à l’implantation, puis 1 semaine, 1 mois, 3 mois et 6 mois après le traitement EVAR. Une angiographie, un CT-scan et des coupes macroscopiques ont été produits au sacrifice. Les régions d’endofuites, de thrombus frais et de thrombus organisé furent identifiées et segmentées. Les valeurs de rigidité données par le SWI des différentes régions furent comparées. Celles-ci furent différentes de façon significative (P < 0.001). Également, le SWI a pu détecter la présence d’endofuites où le CT-scan (1) et le DUS (3) ont échoué. Dans la continuité de ces travaux, le deuxième objectif de ce projet fut de caractériser l’évolution du thrombus dans le temps, de même que l’évolution des endofuites après embolisation dans des modèles canins. Dix-huit anévrismes furent créés dans les artères iliaques de neuf modèles canins, suivis d’une endofuite de type I après EVAR. Deux gels embolisants (Chitosan (Chi) ou Chitosan-Sodium-Tetradecyl-Sulfate (Chi-STS)) furent injectés dans le sac anévrismal pour promouvoir la guérison. Des examens échographiques, DUS et SWI ont été effectués à l’implantation et après 1 semaine, 1 mois, 3 mois et 6 mois. Une angiographie, un CT-scan et un examen histologique ont été réalisés au sacrifice afin d’évaluer la présence, le type et la grosseur de l’endofuite. Les valeurs du module d’élasticité des régions d’intérêts ont été identifiées et segmentées sur les données pathologiques. Les régions d’endofuites et de thrombus frais furent différentes de façon significative comparativement aux autres régions (P < 0.001). Les valeurs d’élasticité du thrombus frais à 1 semaine et à 3 mois indiquent que le SWI peut évaluer la maturation du thrombus, de même que caractériser l’évolution et la dégradation des gels embolisants dans le temps. Le SWI a pu détecter des endofuites où le DUS a échoué (2) et, contrairement au CT-scan, détecter la présence de thrombus frais. Finalement, la dernière étape du projet doctoral consistait à appliquer le SWI dans une phase clinique, avec des patients humains ayant déjà un AAA, pour la détection d’endofuite et la caractérisation de l’élasticité des tissus. 25 patients furent sélectionnés pour participer à l’étude. Une comparaison d’imagerie a été produite entre le SWI, le CT-scan et le DUS. Les valeurs de rigidité données par le SWI des différentes régions (endofuite, thrombus) furent identifiées et segmentées. Celles-ci étaient distinctes de façon significative (P < 0.001). Le SWI a détecté 5 endofuites sur 6 (sensibilité de 83.3%) et a eu 6 faux positifs (spécificité de 76%). Le SWI a pu détecter la présence d’endofuites où le CT-scan (2) ainsi que le DUS (2) ont échoué. Il n’y avait pas de différence statistique notable entre la rigidité du thrombus pour un AAA avec endofuite et un AAA sans endofuite. Aucune corrélation n’a pu être établie de façon significative entre les diamètres des AAAs ainsi que leurs variations et l’élasticité du thrombus. Le SWI a le potentiel de détecter les endofuites et caractériser le thrombus selon leurs propriétés mécaniques. Cette technique pourrait être combinée au suivi des AAAs post-EVAR, complémentant ainsi l’imagerie DUS et réduisant le coût et l’exposition à la radiation ionisante et aux agents de contrastes néphrotoxiques.

Primary neuroendocrine lung tumor presenting with acute ileal obstruction. Case report

The authors describe a clinical case of a patient with neuroendocrine carcinoma of the lung diagnosed after the onset of an intestinal obstruction from an ileal metastasis. A review of literature reveals that the incidence of symptomatic gastro-intestinal metastases from lung cancer has been estimated to be about 2-3% and is exceedingly rare that the intestinal symptoms may be the initial presentation of cancer of the lung. The authors emphasize the difficulty of preoperative diagnosis of gastro-intestinal metastases which is made, almost always, too late because of the lack of specific symptoms. In our case, on account of the computed tomography, we leaned towards the diagnosis of lymphoma because of the double mediastinal and abdominal localization. Furthermore, this diagnosis was supported by the fact that the pulmonary lesion did not have clear radiological features of a lung cancer. The prognosis is poor because once intestinal metastases occur, other metastatic sites, which would make surgery only a palliative measure, are already present. The review of the literature shows that the average survival rate of these patients is 136 days. In our case the patient survived 277 days.

Cholangiocarcinoma: from molecular biology to treatment

Cholangiocarcinoma is a rare tumor originating in the bile ducts, which, according to their anatomical location, is classified as intrahepatic, extrahepatic and hilar. Nevertheless, incidence rates have increased markedly in recent decades. With respect to tumor biology, several genetic alterations correlated with resistance to chemotherapy and radiotherapy have been identified. Here, we highlight changes in KRAS and TP53 genes that are normally associated with a more aggressive phenotype. Also IL-6 and some proteins of the BCL-2 family appear to be involved in the resistance that the cholangiocarcinoma presents toward conventional therapies. With regard to diagnosis, tumor markers most commonly used are CEA and CA 19-9, and although its use isolated appears controversial, their combined value has been increasingly advocated. In imaging terms, various methods are needed, such as abdominal ultrasound, computed tomography and cholangiopancreatography. Regarding therapy, surgical modalities are the only ones that offer chance of cure; however, due to late diagnosis, most patients cannot take advantage of them. Thus, the majority of patients are directed to other therapeutic modalities like chemotherapy, which, in this context, assumes a purely palliative role. Thus, it becomes urgent to investigate new therapeutic options for this highly aggressive type of tumor.

Suivi par élastographie ultrasonore après réparation endovasculaire d’anévrisme aorto-iliaque : étude de faisabilité in vivo

Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde et les anévrismes de l’aorte abdominale (AAAs) font partie de ce lot déplorable. Un anévrisme est la dilatation d’une artère pouvant conduire à la mort. Une rupture d’AAA s’avère fatale près de 80% du temps. Un moyen de traiter les AAAs est l’insertion d’une endoprothèse (SG) dans l’aorte, communément appelée la réparation endovasculaire (EVAR), afin de réduire la pression exercée par le flux sanguin sur la paroi. L’efficacité de ce traitement est compromise par la survenue d’endofuites (flux sanguins entre la prothèse et le sac anévrismal) pouvant conduire à la rupture de l’anévrisme. Ces flux sanguins peuvent survenir à n’importe quel moment après le traitement EVAR. Une surveillance par tomodensitométrie (CT-scan) annuelle est donc requise, augmentant ainsi le coût du suivi post-EVAR et exposant le patient à la radiation ionisante et aux complications des contrastes iodés. L’endotension est le concept de dilatation de l’anévrisme sans la présence d’une endofuite apparente au CT-scan. Après le traitement EVAR, le sang dans le sac anévrismal coagule pour former un thrombus frais, qui deviendra progressivement un thrombus plus fibreux et plus organisé, donnant lieu à un rétrécissement de l’anévrisme. Il y a très peu de données dans la littérature pour étudier ce processus temporel et la relation entre le thrombus frais et l’endotension. L’étalon d’or du suivi post-EVAR, le CT-scan, ne peut pas détecter la présence de thrombus frais. Il y a donc un besoin d’investir dans une technique sécuritaire et moins coûteuse pour le suivi d’AAAs après EVAR. Une méthode récente, l’élastographie dynamique, mesure l’élasticité des tissus en temps réel. Le principe de cette technique repose sur la génération d’ondes de cisaillement et l’étude de leur propagation afin de remonter aux propriétés mécaniques du milieu étudié. Cette thèse vise l’application de l’élastographie dynamique pour la détection des endofuites ainsi que de la caractérisation mécanique des tissus du sac anévrismal après le traitement EVAR. Ce projet dévoile le potentiel de l’élastographie afin de réduire les dangers de la radiation, de l’utilisation d’agent de contraste ainsi que des coûts du post-EVAR des AAAs. L’élastographie dynamique utilisant le « Shear Wave Imaging » (SWI) est prometteuse. Cette modalité pourrait complémenter l’échographie-Doppler (DUS) déjà utilisée pour le suivi d’examen post-EVAR. Le SWI a le potentiel de fournir des informations sur l’organisation fibreuse du thrombus ainsi que sur la détection d’endofuites. Tout d’abord, le premier objectif de cette thèse consistait à tester le SWI sur des AAAs dans des modèles canins pour la détection d’endofuites et la caractérisation du thrombus. Des SGs furent implantées dans un groupe de 18 chiens avec un anévrisme créé au moyen de la veine jugulaire. 4 anévrismes avaient une endofuite de type I, 13 avaient une endofuite de type II et un anévrisme n’avait pas d’endofuite. Des examens échographiques, DUS et SWI ont été réalisés à l’implantation, puis 1 semaine, 1 mois, 3 mois et 6 mois après le traitement EVAR. Une angiographie, un CT-scan et des coupes macroscopiques ont été produits au sacrifice. Les régions d’endofuites, de thrombus frais et de thrombus organisé furent identifiées et segmentées. Les valeurs de rigidité données par le SWI des différentes régions furent comparées. Celles-ci furent différentes de façon significative (P < 0.001). Également, le SWI a pu détecter la présence d’endofuites où le CT-scan (1) et le DUS (3) ont échoué. Dans la continuité de ces travaux, le deuxième objectif de ce projet fut de caractériser l’évolution du thrombus dans le temps, de même que l’évolution des endofuites après embolisation dans des modèles canins. Dix-huit anévrismes furent créés dans les artères iliaques de neuf modèles canins, suivis d’une endofuite de type I après EVAR. Deux gels embolisants (Chitosan (Chi) ou Chitosan-Sodium-Tetradecyl-Sulfate (Chi-STS)) furent injectés dans le sac anévrismal pour promouvoir la guérison. Des examens échographiques, DUS et SWI ont été effectués à l’implantation et après 1 semaine, 1 mois, 3 mois et 6 mois. Une angiographie, un CT-scan et un examen histologique ont été réalisés au sacrifice afin d’évaluer la présence, le type et la grosseur de l’endofuite. Les valeurs du module d’élasticité des régions d’intérêts ont été identifiées et segmentées sur les données pathologiques. Les régions d’endofuites et de thrombus frais furent différentes de façon significative comparativement aux autres régions (P < 0.001). Les valeurs d’élasticité du thrombus frais à 1 semaine et à 3 mois indiquent que le SWI peut évaluer la maturation du thrombus, de même que caractériser l’évolution et la dégradation des gels embolisants dans le temps. Le SWI a pu détecter des endofuites où le DUS a échoué (2) et, contrairement au CT-scan, détecter la présence de thrombus frais. Finalement, la dernière étape du projet doctoral consistait à appliquer le SWI dans une phase clinique, avec des patients humains ayant déjà un AAA, pour la détection d’endofuite et la caractérisation de l’élasticité des tissus. 25 patients furent sélectionnés pour participer à l’étude. Une comparaison d’imagerie a été produite entre le SWI, le CT-scan et le DUS. Les valeurs de rigidité données par le SWI des différentes régions (endofuite, thrombus) furent identifiées et segmentées. Celles-ci étaient distinctes de façon significative (P < 0.001). Le SWI a détecté 5 endofuites sur 6 (sensibilité de 83.3%) et a eu 6 faux positifs (spécificité de 76%). Le SWI a pu détecter la présence d’endofuites où le CT-scan (2) ainsi que le DUS (2) ont échoué. Il n’y avait pas de différence statistique notable entre la rigidité du thrombus pour un AAA avec endofuite et un AAA sans endofuite. Aucune corrélation n’a pu être établie de façon significative entre les diamètres des AAAs ainsi que leurs variations et l’élasticité du thrombus. Le SWI a le potentiel de détecter les endofuites et caractériser le thrombus selon leurs propriétés mécaniques. Cette technique pourrait être combinée au suivi des AAAs post-EVAR, complémentant ainsi l’imagerie DUS et réduisant le coût et l’exposition à la radiation ionisante et aux agents de contrastes néphrotoxiques.

Intususcepción

Paciente masculino de 91 años con antecedente de hipertensión arterial en manejo farmacológico; que ingresa con cuadro de 3 meses de deposiciones diarreicas con episodios de hematoquecia ocasional, asociado a dolor abdominal difuso intermitente.

Cáncer gástrico en pacientes de Méderi – Hospital Universitario Mayor entre los años 2011 - 2014

Introducción: El cáncer gástrico es uno de los más frecuentes a nivel mundial y Colombia se sitúa entre los países de mayor incidencia en este tipo de patología. Objetivo: Describir las características epidemiológicas, clínicas, el tratamiento administrado y los desenlaces inmediatos de los pacientes con diagnóstico de cáncer gástrico atendidos en el Hospital Universitario Mayor de Bogotá entre los años 2011 y 2014. Metodología: Se realizó un estudio observacional descriptivo con diagnóstico de cáncer gástrico. Se realizaron análisis univariados por medio de proporciones para las variables cualitativas y medidas de tendencia central para las variables cuantitativas según la distribución. Resultados: Un total de 189 pacientes fueron analizados. El dolor fue el síntoma más frecuente en los pacientes (30.7%) y el principal signo encontrado fue una masa palpable en abdomen (9,5%). Los pacientes fueron sometidos a diferentes abordajes terapéuticos, la mayoría recibieron manejo paliativo no quirúrgico (52.9%) y la opción quirúrgica más usada en los pacientes fue la gastrectomía total (20.6%), y la subtotal (16,4) seguidas de quimioterapia y/o radiación perioperatoria. Los pacientes que sobrevivieron a los 2 años fueron 7,4% del total. Conclusiones: El registro de los pacientes con cáncer gástrico es bueno en el Méderi-Hospital Universitario Mayor es bueno y permite caracterizar los pacientes, la presentación de la patología y los resultados del tratamiento que concuerdan con los presentados en contextos similares en la literatura.

Focal Osteoporotic Bone Marrow Defect Mimicking A Mandibular Cystic Lesion.

An unusual presentation of a focal osteoporotic bone marrow defect (FOBMD) of the mandible mimicking a cystic lesion is documented. A definitive diagnosis could be established only on the basis of the histopathologic evaluation. A 66-year-old Brazilian woman was referred by her dentist for well-defined radiolucency of the mandibular molar region suggesting a cystic lesion of odontogenic origin. The computed tomography scan confirmed that the lesion did not affect the corticals. The biopsy confirmed the diagnosis of FOBMD. The diagnostic difficulty in the current case is obvious, because FOBMD, usually exhibiting an ill-defined radiolucency, is seldom suspected preoperatively when a differential diagnosis is considered for focal well-defined radiolucent areas in the jaws.

Value Of Sentinel Lymph Node Biopsy In Papillary Thyroid Cancer: Initial Results Of A Prospective Trial.

The objectives of the study were to evaluate the performance of sentinel lymph node biopsy (SLNB) in detecting occult metastases in papillary thyroid carcinoma (PTC) and to correlate their presence to tumor and patient characteristics. Twenty-three clinically node-negative PTC patients (21 females, mean age 48.4 years) were prospectively enrolled. Patients were submitted to sentinel lymph node (SLN) lymphoscintigraphy prior to total thyroidectomy. Ultrasound-guided peritumoral injections of (99m)Tc-phytate (7.4 MBq) were performed. Cervical single-photon emission computed tomography and computed tomography (SPECT/CT) images were acquired 15 min after radiotracer injection and 2 h prior to surgery. Intra-operatively, SLNs were located with a gamma probe and removed along with non-SLNs located in the same neck compartment. Papillary thyroid carcinoma, SLNs and non-SLNs were submitted to histopathology analysis. Sentinel lymph nodes were located in levels: II in 34.7 % of patients; III in 26 %; IV in 30.4 %; V in 4.3 %; VI in 82.6 % and VII in 4.3 %. Metastases in the SLN were noted in seven patients (30.4 %), in non-SLN in three patients (13.1 %), and in the lateral compartments in 20 % of patients. There were significant associations between lymph node (LN) metastases and the presence of angio-lymphatic invasion (p = 0.04), extra-thyroid extension (p = 0.03) and tumor size (p = 0.003). No correlations were noted among LN metastases and patient age, gender, stimulated thyroglobulin levels, positive surgical margins, aggressive histology and multifocal lesions. Sentinel lymph node biopsy can detect occult metastases in PTC. The risk of a metastatic SLN was associated with extra-thyroid extension, larger tumors and angio-lymphatic invasion. This may help guide future neck dissection, patient surveillance and radioiodine therapy doses.

Low Hdl Cholesterol But Not High Ldl Cholesterol Is Independently Associated With Subclinical Coronary Atherosclerosis In Healthy Octogenarians.

Although low-density lipoprotein cholesterol (LDL-C) has been consistently demonstrated a predictor of atherosclerotic disease in a large spectrum of clinical settings, among individuals aged of 80 years or older this concept is uncertain. This study was evaluated in a carefully selected population if the association between LDL-C and coronary atherosclerotic burden remains significant in the very elderly. Individuals aged of 80 years or older (n = 208) who spontaneously sought primary prevention care and have never manifested cardiovascular disease, malnutrition, neoplastic or consumptive disease were enrolled for a cross-sectional analysis. Medical evaluation, anthropometric measurements, blood tests and cardiac computed tomography were obtained. In analyses adjusted for age, gender, diabetes, systolic and diastolic blood pressure, smoking and statin therapy, no association was found between coronary calcium score (CCS) and LDL-C [1.79 (0.75-4.29)]. There was no association between triglycerides and CCS. The association between high-density lipoprotein cholesterol (HDL-C) and CCS was significant and robust in unadjusted [0.32 (0.15-0.67)] as well as in the fully adjusted analysis [0.34 (0.15-0.75)]. The present study confirms in a healthy cohort of individuals aged of 80 years or more that while the association between LDL-C and coronary atherosclerosis weakens with aging, the opposite occurs with the levels of HDL-C.

Encephalization And Diversification Of The Cranial Base In Platyrrhine Primates.

The cranial base, composed of the midline and lateral basicranium, is a structurally important region of the skull associated with several key traits, which has been extensively studied in anthropology and primatology. In particular, most studies have focused on the association between midline cranial base flexion and relative brain size, or encephalization. However, variation in lateral basicranial morphology has been studied less thoroughly. Platyrrhines are a group of primates that experienced a major evolutionary radiation accompanied by extensive morphological diversification in Central and South America over a large temporal scale. Previous studies have also suggested that they underwent several evolutionarily independent processes of encephalization. Given these characteristics, platyrrhines present an excellent opportunity to study, on a large phylogenetic scale, the morphological correlates of primate diversification in brain size. In this study we explore the pattern of variation in basicranial morphology and its relationship with phylogenetic branching and with encephalization in platyrrhines. We quantify variation in the 3D shape of the midline and lateral basicranium and endocranial volumes in a large sample of platyrrhine species, employing high-resolution CT-scans and geometric morphometric techniques. We investigate the relationship between basicranial shape and encephalization using phylogenetic regression methods and calculate a measure of phylogenetic signal in the datasets. The results showed that phylogenetic structure is the most important dimension for understanding platyrrhine cranial base diversification; only Aotus species do not show concordance with our molecular phylogeny. Encephalization was only correlated with midline basicranial flexion, and species that exhibit convergence in their relative brain size do not display convergence in lateral basicranial shape. The evolution of basicranial variation in primates is probably more complex than previously believed, and understanding it will require further studies exploring the complex interactions between encephalization, brain shape, cranial base morphology, and ecological dimensions acting along the species divergence process.

Scaphoid Fracture Nonunion: Correlation Of Radiographic Imaging, Proximal Fragment Histologic Viability Evaluation, And Estimation Of Viability At Surgery: Diagnosis Of Scaphoid Pseudarthrosis.

The purpose of this study was to correlate the pre-operative imaging, vascularity of the proximal pole, and histology of the proximal pole bone of established scaphoid fracture non-union. This was a prospective non-controlled experimental study. Patients were evaluated pre-operatively for necrosis of the proximal scaphoid fragment by radiography, computed tomography (CT) and magnetic resonance imaging (MRI). Vascular status of the proximal scaphoid was determined intra-operatively, demonstrating the presence or absence of puncate bone bleeding. Samples were harvested from the proximal scaphoid fragment and sent for pathological examination. We determined the association between the imaging and intra-operative examination and histological findings. We evaluated 19 male patients diagnosed with scaphoid nonunion. CT evaluation showed no correlation to scaphoid proximal fragment necrosis. MRI showed marked low signal intensity on T1-weighted images that confirmed the histological diagnosis of necrosis in the proximal scaphoid fragment in all patients. Intra-operative assessment showed that 90% of bones had absence of intra-operative puncate bone bleeding, which was confirmed necrosis by microscopic examination. In scaphoid nonunion MRI images with marked low signal intensity on T1-weighted images and the absence of intra-operative puncate bone bleeding are strong indicatives of osteonecrosis of the proximal fragment.

Correlation Between The Friedman Staging System And The Upper Airway Volume In Patients With Obstructive Sleep Apnea.

This study was designed to evaluate the correlation between computed tomography findings and data from the physical examination and the Friedman Staging System (FSS) in patients with obstructive sleep apnea (OSA). We performed a retrospective evaluation by reviewing the medical records of 33 patients (19 male and 14 female patients) with a mean body mass index of 30.38 kg/m(2) and mean age of 49.35 years. Among these patients, 14 presented with severe OSA, 7 had moderate OSA, 7 had mild OSA, and 5 were healthy. The patients were divided into 2 groups according to the FSS: Group A comprised patients with FSS stage I or II, and group B comprised patients with FSS stage III. By use of the Fisher exact test, a positive relationship between the FSS stage and apnea-hypopnea index (P = .011) and between the FSS stage and body mass index (P = .012) was found. There was no correlation between age (P = .55) and gender (P = .53) with the FSS stage. The analysis of variance test comparing the upper airway volume between the 2 groups showed P = .018. In this sample the FSS and upper airway volume showed an inverse correlation and were useful in analyzing the mechanisms of airway collapse in patients with OSA.

Herpes Zoster oftálmico e posterior acidente vascular cerebral: relato de caso

A sixty-nine year old man suffered a stroke fourteen weeks after the onset of right herpes zoster ophthalmicus (HZO). Hemispheric infarction was documented by a computed tomography which showed a small hypodense zone in the right internal capsula; after contrast there was enhancement of this hypodense area. Cerebral angiography and cerebral-spinal fluid were not done. Despite of a diagnosis of probability the authors report the case and review the literature. A long latency between the HZO and onset of neurological deficit is stressed. New antiviral agents may prevent the ictus.

Aspectos da tomografia computadorizada craniana na neurocisticercose na infância

The authors present the analysis of 27 computed tomography scans (CT) of 18 children which were divided in three groups according to clinical and tomographic criteria. Group 1 was characterized mainly by epilepsy and calcifications. Group 2 was characterized by intracranial hypertension and several tomographic aspects: edema, cysts and nodules were seen in three patients; hydrocephaly and calcifications were seen in two patients and CT was normal in one patient. Group 3 had patients with epilepsy or headache and variable tomographic patterns. The results are discussed based on the available literature.

Discite em crianças: estudo de oito casos

The authors report the study of eight children with diskitis diagnosed through clinical, neurogical and orthopedic evaluation. The evidence of self limiting inflammation or infection of the intervertebral disk space and of soft tissue were avaliable by image studies. Findings with routine roentgenograms, computed tomography and magnetic resonance imaging are discussed.