992 resultados para glycolytic enzyme binding
Association between Angiotensin-Converting Enzyme Inhibitors and Troponin in Acute Coronary Syndrome
Resumo:
Background:Cardiovascular disease is the leading cause of mortality in the western world and its treatment should be optimized to decrease severe adverse events.Objective:To determine the effect of previous use of angiotensin-converting enzyme inhibitors on cardiac troponin I measurement in patients with acute coronary syndrome without ST-segment elevation and evaluate clinical outcomes at 180 days.Methods:Prospective, observational study, carried out in a tertiary center, in patients with acute coronary syndrome without ST-segment elevation. Clinical, electrocardiographic and laboratory variables were analyzed, with emphasis on previous use of angiotensin-converting enzyme inhibitors and cardiac troponin I. The Pearson chi-square tests (Pereira) or Fisher's exact test (Armitage) were used, as well as the non-parametric Mann-Whitney's test. Variables with significance levels of <10% were submitted to multiple logistic regression model.Results:A total of 457 patients with a mean age of 62.1 years, of whom 63.7% were males, were included. Risk factors such as hypertension (85.3%) and dyslipidemia (75.9%) were the most prevalent, with 35% of diabetics. In the evaluation of events at 180 days, there were 28 deaths (6.2%). The statistical analysis showed that the variables that interfered with troponin elevation (> 0.5 ng / mL) were high blood glucose at admission (p = 0.0034) and ST-segment depression ≥ 0.5 mm in one or more leads (p = 0.0016). The use of angiotensin-converting inhibitors prior to hospitalization was associated with troponin ≤ 0.5 ng / mL (p = 0.0482). The C-statistics for this model was 0.77.Conclusion:This study showed a correlation between prior use of angiotensin-converting enzyme inhibitors and reduction in the myocardial necrosis marker troponin I in patients admitted for acute coronary syndrome without ST-segment elevation. However, there are no data available yet to state that this reduction could lead to fewer severe clinical events such as death and re-infarction at 180 days.
Resumo:
Bursting Oscillation, Mixed-Mode oscillation, Slow Manifold, Quasi-Integral, slow-fast analysis, QSSA
Resumo:
Purinergic receptors, nucleotides, P2Y, diastereoselectivity, potency, mutagenesis, ligand recognition, heterooligomerization, endocytosis, co-pulldown
Resumo:
Magdeburg, Univ., Fak. für Naturwiss., Diss., 2009
Resumo:
Magdeburg, Univ., Medizin. Fakultät, Diss., 2008
Resumo:
The culture forms of L. mexicana pifanoi (LRC L-90), L. mexicana mexicana (LRC L-94, M-379); L. braziliensis braziliensis (LRC L-77, L-1, M-2903, H-LSS) and L. mexicana amazonensis (H-JMMO, M-JOF, H-21, H-PLL,M-1696) were tested with the following lectins: Canavalia ensiformis, Ricinus communis-120, Axinella polypoides, Phaseolus vulgaris, Evonymus europaeus, lotus tetragonolobus, Dolichos biflorus, Aaptos papillata II, Laburnum alpinum, Ulex europaeus, Arachis hypogaea and Soja hispida. All examined strains of Leishmania were agglutinated by C. ensiformis, R. communis-120 and A. popypoides. No agglutination reactions were observed with P. vulgaris, D.biflorus, A. papillata II, E. europaeus and L. tetragonolobus. Only L. m. pifanoi and the L. m. amazonensis strains H-JMMO and MJOF showed agglutination reactions with S. hispida, U. europaeus, L. alpinum and A. hypogaea, while L. m. mexicana (LRC L-94; M-379) strains, L. b. braziliensis H. LSS, LRC L-77; L-1; M-2903 and the L. m. amazonensis strains, H-PLL, H-21, M-1696 showed no agglutination reactions with these four lectins.
Resumo:
Detection of rotavirus RNA by polyacrylamide gel electrophoresis (PAGE) proved to be a highly sensitive and rapid diagnostic test. A comparison of this assay with immuno-electron microscopy (IEM) and enzyme immunoassay (EIA) in 245 faeces from children with gastroenteritis revealed complete agreement between the three assays in 238 (97.14%) samples. Among 75 samples positive in at least one of the three assays, negative results were observed in 5 (6.48%) by PAGE, in 6 (6.76%) by EIA and in none by IEM. Silver staining greatly increased the sensitivity of the PAGE assay. We conclude that although IEM remains the most sensitive and rapid rotavirus diagnostic assay, the PAGE technique has many advantages in its favour, including the non-requirement of expensive equipment, the use of only chemically defined reagents and the capacity to distinguish virus subgroup and variants and to detect non-crossreactive rotaviruses which are missed in serological assays.
Resumo:
Two techniques for rapid diagnosis, immunofluorescence (IFAT) and enzyme immunoassay (EIA), have been compared with virus isolaion in tissue culture for the detection of respiratory syncytial virus (RSV) in specimens of nasopharyngeal secretions. The specimens were obtained from children under five years of age suffering from acute respiratory iliness, during a period of six months from January to June 1982. Of 471 specimens examined 54 (11.5%) were positive by virus isolation and 180 (38.2%) were positive by immunofluorescence. The bacterial contamination of inoculated tissue cultures unfortunately prevented the isolation of virus from many samples. Specimens from 216 children were tested to compare enzyme immunoassay and immunofluorescence. Of these 60 (27%) were positive by EIA and 121 (56%) were positive by IFAT. Our results suggest that the EIA technique although highly specific is rather insensitive. This may be because by the time these tests were done the originl nasopharyngeal secretions were considerably diluted and contained more mucus fragments than the call suspension used for IFAT. Of the three techniques, IFAT gives the best results although EIA may be useful where IFAT is not possible.
Resumo:
We report a simple method for evaluating the binding of concanavalin A (ConA) to human peripheral blood mononuclear cells (PBMC). The binding is evidenced by an immunoenzymic assay using peroxidase-conjugated immunoglobulins of a rabbit anti-ConA serum. Using the method we show that sera from patients with American leishmaniasis do not interfere with binding of ConA to PBMC.
Resumo:
Le glucose est notre principale source d'énergie. Après un repas, le taux de glucose dans le sang (glycémie) augmente, ce qui entraine la sécrétion d'insuline. L'insuline est une hormone synthétisée au niveau du pancréas par des cellules dites bêta. Elle agit sur différents organes tels que les muscles, le foie ou le tissu adipeux, induisant ainsi le stockage du glucose en vue d'une utilisation future.¦Le diabète est une maladie caractérisée par un taux élevé de glucose dans le sang (hyperglycémie), résultant d'une incapacité de notre corps à utiliser ou à produire suffisamment d'insuline. A long terme, cette hyperglycémie entraîne une détérioration du système cardio-vasculaire ainsi que de nombreuses complications. On distingue principalement deux type de diabète : le diabète de type 1 et le diabète de type 2, le plus fréquent (environ 90% des cas). Bien que ces deux maladies diffèrent sur beaucoup de points, elles partagent quelques similitudes. D'une part, on décèle une diminution de la quantité de cellules bêta. Cette diminution est cependant partielle dans le cas d'un diabète de type 2, et totale dans celui d'un diabète de type 1. D'autre part, la présence dans la circulation de médiateurs de l'inflammation nommés cytokines est décelée aussi bien chez les patients de type 1 que de type 2. Les cytokines sont sécrétées lors d'une inflammation. Elles servent de moyen de communication entre les différents acteurs de l'inflammation et ont pour certaines un effet néfaste sur la survie des cellules bêta.¦L'objectif principal de ma thèse a été d'étudier en détail l'effet de petites molécules régulatrices de l'expression génique, appelées microARNs. Basé sur le fait que de nombreuses publications ont démontré que les microARNs étaient impliqués dans différentes maladies telles que le cancer, j'ai émis l'hypothèse qu'ils pouvaient également jouer un rôle important dans le développement du diabète.¦Nous avons commencé par mettre des cellules bêta en culture en présence de cytokines, imitant ainsi un environnement inflammatoire. Nous avons pu de ce fait identifier les microARNs dont les niveaux d'expression étaient modifiés. A l'aide de méthodes biochimiques, nous avons ensuite observé que la modulation de certains microARNs par les cytokines avaient des effets néfastes sur la cellule bêta : sur sa production et sa sécrétion d'insuline, ainsi que sur sa mort (apoptose). Nous avons en conséquence pu démontrer que ces petites molécules avaient un rôle important à jouer dans le dysfonctionnement des cellules bêta induit par les cytokines, aboutissant au développement du diabète.¦-¦La cellule bêta pancréatique est une cellule endocrine présente dans les îlots de Langerhans, dans le pancréas. L'insuline, une hormone sécrétée par ces cellules, joue un rôle essentiel dans la régulation de la glycémie. Le diabète se développe si le taux d'insuline relâché par les cellules bêta n'est pas suffisant pour couvrir les besoins métaboliques corporels. Le diabète de type 1, qui représente environ 5 à 10% des cas, est une maladie auto-immune qui se caractérise par une réaction inflammatoire déclenchée par notre système immunitaire envers les cellules bêta. La conséquence de cette attaque est une disparition progressive des cellules bêta. Le diabète de type 2 est, quant à lui, largement plus répandu puisqu'il représente environ 90% des cas. Des facteurs à la fois génétiques et environnementaux sont responsables d'une diminution de la sensibilité des tissus métabolisant l'insuline, ainsi que d'une réduction de la sécrétion de l'insuline par les cellules bêta, ce qui a pour conséquence le développement de la maladie. Malgré les différences entre ces deux types de diabète, ils ont pour points communs la présence d'infiltrat immunitaire et la diminution de l'état fonctionnel des cellules bêta.¦Une meilleure compréhension des mécanismes aboutissant à l'altération de la cellule bêta est primordiale, avant de pouvoir développer de nouvelles stratégies thérapeutiques capables de guérir cette maladie. Durant ma thèse, j'ai donc étudié l'implication de petites molécules d'ARN, régulatrices de l'expression génique, appelées microARNs, dans les conditions physiopathologiques qui aboutissent au développement du diabète. J'ai débuté mon étude par l'identification de microARNs dont le niveau d'expression était modifié lorsque les cellules bêta étaient exposées à des conditions favorisant à la fois le développement du diabète de type 1 (cytokines) et celui du diabète de type 2 (palmitate). Nous avons découvert qu'une modification de l'expression des miR-21, -34a et -146a était commune aux deux traitements. Ces changements d'expressions ont également été confirmés dans deux modèles animaux : les souris NOD qui développent un diabète s'apparentant au diabète de type 1 et les souris db/db qui développent plutôt un diabète de type 2. Puis, à l'aide de puces à ADN, nous avons comparé l'expression de microARNs chez des souris NOD pré-diabétiques. Nous avons alors retrouvé des changements au niveau de l'expression des mêmes microARNs mais également au niveau d'une famille de microARNs : les miR-29a, -29b et -29c. De manière artificielle, nous avons ensuite surexprimé ou inhibé en conditions physiopathologiques l'expression de tous ces microARNs et nous nous sommes intéressés à l'impact d'un tel changement sur différentes fonctions de la cellule bêta comme la synthèse et la sécrétion d'insulinè ainsi que leur survie. Nous avons ainsi pu démontrer que les miR-21, -34a, -29a, -29b, -29c avaient un effet délétère sur la sécrétion d'insuline et que la surexpression de tous ces microARNs (excepté le miR-21) favorisait la mort. Finalement, nous avons démontré que la plupart de ces microARNs étaient impliqués dans la régulation d'importantes voies de signalisation responsables de l'apoptose des cellules bêta telles que les voies de NFKB, BCL2 ou encore JNK.¦Par conséquent, nos résultats démontrent que les microARNs ont un rôle important à jouer dans le dysfonctionnement des cellules bêta lors de la mise en place du diabète.
Resumo:
The mechanism of CD8 cooperation with the TCR in antigen recognition was studied on live T cells. Fluorescence correlation measurements yielded evidence of the presence of two TCR and CD8 subpopulations with different lateral diffusion rate constants. Independently, evidence for two subpopulations was derived from the experimentally observed two distinct association phases of cognate peptide bound to class I MHC (pMHC) tetramers and the T cells. The fast phase rate constant ((1.7 +/- 0.2) x 10(5) M(-1) s(-1)) was independent of examined cell type or MHC-bound peptides' structure. Its value was much faster than that of the association of soluble pMHC and TCR ((7.0 +/- 0.3) x 10(3) M(-1) s(-1)), and close to that of the association of soluble pMHC with CD8 ((1-2) x 10(5) M(-1) s(-1)). The fast binding phase disappeared when CD8-pMHC interaction was blocked by a CD8-specific mAb. The latter rate constant was slowed down approximately 10-fold after cells treatment with methyl-beta-cyclodextrin. These results suggest that the most efficient pMHC-cell association route corresponds to a fast tetramer binding to a colocalized CD8-TCR subpopulation, which apparently resides within membrane rafts: the reaction starts by pMHC association with the CD8. This markedly faster step significantly increases the probability of pMHC-TCR encounters and thereby promotes pMHC association with CD8-proximal TCR. The slow binding phase is assigned to pMHC association with a noncolocalized CD8-TCR subpopulation. Taken together with results of cytotoxicity assays, our data suggest that the colocalized, raft-associated CD8-TCR subpopulation is the one capable of inducing T-cell activation.
Resumo:
Human MRE11 is a key enzyme in DNA double-strand break repair and genome stability. Human MRE11 bears a glycine-arginine-rich (GAR) motif that is conserved among multicellular eukaryotic species. We investigated how this motif influences MRE11 function. Human MRE11 alone or a complex of MRE11, RAD50, and NBS1 (MRN) was methylated in insect cells, suggesting that this modification is conserved during evolution. We demonstrate that PRMT1 interacts with MRE11 but not with the MRN complex, suggesting that MRE11 arginine methylation occurs prior to the binding of NBS1 and RAD50. Moreover, the first six methylated arginines are essential for the regulation of MRE11 DNA binding and nuclease activity. The inhibition of arginine methylation leads to a reduction in MRE11 and RAD51 focus formation on a unique double-strand break in vivo. Furthermore, the MRE11-methylated GAR domain is sufficient for its targeting to DNA damage foci and colocalization with gamma-H2AX. These studies highlight an important role for the GAR domain in regulating MRE11 function at the biochemical and cellular levels during DNA double-strand break repair.
Resumo:
Cellular responses to LPS, the major lipid component of the outer membrane of Gram-negative bacteria, are enhanced markedly by the LPS-binding protein (LBP), a plasma protein that transfers LPS to the cell surface CD14 present on cells of the myeloid lineage. LBP has been shown previously to potentiate the host response to LPS. However, experiments performed in mice with a disruption of the LBP gene have yielded discordant results. Whereas one study showed that LBP knockout mice were resistant to endotoxemia, another study did not confirm an important role for LBP in the response of mice challenged in vivo with low doses of LPS. Consequently, we generated rat mAbs to murine LBP to investigate further the contribution of LBP in experimental endotoxemia. Three classes of mAbs were obtained. Class 1 mAbs blocked the binding of LPS to LBP; class 2 mAbs blocked the binding of LPS/LBP complexes to CD14; class 3 mAbs bound LBP but did not suppress LBP activity. In vivo, class 1 and class 2 mAbs suppressed LPS-induced TNF production and protected mice from lethal endotoxemia. These results show that the neutralization of LBP accomplished by blocking either the binding of LPS to LBP or the binding of LPS/LBP complexes to CD14 protects the host from LPS-induced toxicity, confirming that LBP is a critical component of innate immunity.