913 resultados para World War, 1939-1945
Resumo:
With the United States‘ entry into the Second World War, the word ?censorship? was seen largely as antithetical to, rather than a necessary counterpart to, victory among Americans. People did not want to be censored in their writing, photographs or speech,but it proved to be necessary even before the war began, in order to protect government secrets and the people on the home-front from scenes that were too disturbing. Even before the war had officially begun, there were problems with censorship among journalists and newspapers. The initial response of outrage in reference to censorship in the United States was common among journalists, newspapers, magazines, and radio news; nevertheless, there was a necessity for censorship among Americans, on the home frontand the front lines, and it would be tolerated throughout the war to ensure that enemies of America did not gain access to information that would assist in a defeat of the United States in the Second World War. The research I have conducted has dealt with the censorship of combat photography during World War II, in conjunction with the ethics that were in play at the time that affected the censors. Through exploring the work of three combat photographers — Tony Vaccaro, James R. Stephens and Charles E. Sumners — I wasable to effectively construct an explanatory ethical history of these three men. Research on the censorship and effects it had on the United States brought me to three distinctareas of censorship and ethics that would be explored: (1) the restrictions and limitations enforced by the Office of Censorship, (2) a general overview of war and photography as it influenced the soldiers and their families on the home-front, (3) and the combat photographers and personal and military censorship that influenced their work. Although their work was censored both by the military and the government, these men saw the war in a different light that remained with them long after the battles and war had ceased.Using the narratives of Tony Vaccaro, Charles E. Sumners and James R. Stephens as means for more in depth research, this thesis strives to create lenses through which to view the history and ethics of censorship that shaped combat photography during the Second World War and the images to which we refer as representative of that war today.
Resumo:
Dans l’histoire des civilisations, le contexte de guerre a très généralement placé les femmes en marge des actions de guerre. Au propre comme au figuré, elles y apparaissent le plus souvent protégées, écartées des fronts, qui semblent conséquemment être la seule affaire des hommes du fait de l’usage généralisé de la violence. C’est logiquement l’idée répandue qu’on s’en fait des occidentales établies en colonies africaines, surtout qu’entre 1914 et 1918, notamment au Cameroun, territoire colonial allemand disputé avec la France et l’Angleterre, les coloniales allemandes ont été prioritairement surprotégées1. Pourtant, il n’en a pas toujours été ainsi de toutes les crises majeures vécues sur ce territoire colonial. La période française apparaît plus intéressante en ceci que l’exclusion des blanches du front y a été peu évidente. La spécificité du Cameroun entre intérêts français et allemands, et la guerre fratricide qui mettent en opposition idéologique les Français entre eux, sont autant de raisons qui convoquent une attitude particulière des administrateurs coloniaux du Cameroun pour la défense du territoire. Entre 1939 et 1945 en effet, ils mettent à contribution la gente féminine dans la plupart de leurs stratégies adoptées pour la protection des acquis français outre-mer. De fait, au milieu des démonstrations de force essentiellement viriles vécues alors, il faut parfois compter sur une catégorie de femmes qui t battent parallèlement en brèche les stéréotypes liés au sexe, pour pénétrer un cercle fermé et jouer un rôle plus ou moins déterminant dans la défense de ce territoire français outre-mer. Face aux velléités de sujétion nazie qu’elles récusent, quelques coloniales surtout françaises se frottent exceptionnellement aux protagonistes du moment pour clairement s’affirmer comme de valeureuses résistantes de l’intégrité territoriale française. Qui étaient ces résistantes à l’ordre nazi au Cameroun ? Pourquoi et comment s’intègrent-elles dans le mouvement de résistance local ? A quel titre et de quelle manière ? Quels rôles y jouent-elles entre 1939 et 1945 ? Des questions pertinentes qu’il serait loisible d’analyser en profondeur afin de mettre en lumière la véritable participation féminine pour la vie et à la survie de la France en colonie, notamment au Cameroun. (Cameroun 1939 - 1945, Femmes, activisme français, résistance)