1000 resultados para Union Européenne, symboles, Traité de Lisbonne
Resumo:
Political party formation and coalition building in the European Parliament is being a driving force for making governance of the highly pluralistic European Union relatively effective and consensual. In spite of successive enlargements and the very high number of electoral partiesobtaining representation in the European Union institutions, the number of effective European Political Groups in the European Parliament has decreased from the first direct election in 1979 to the fifth in 1999. The formal analysis of national party¹s voting power in different Europeanparty configurations can explain the incentives for national parties to join large European Political Groups instead of forming smaller nationalistic groupings. Empirical evidence shows increasing cohesion of European Political Groups and an increasing role of the European Parliament in EU inter-institutional decision making. As a consequence of this evolution, intergovernmentalism is being replaced with federalizing relations. The analysis can support positive expectations regarding the governability of the European Union after further enlargements provided that new member states have party systems fitting the European PoliticalGroups.
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We lay out a tractable model for fiscal and monetary policy analysis in a currency union, and study its implications for the optimal design of such policies. Monetary policy is conducted by a common central bank, which sets the interest rate for the union as a whole. Fiscal policy is implemented at the countrylevel, through the choice of government spending. The model incorporates country-specific shocks and nominal rigidities. Under our assumptions, the optimal cooperative policy arrangement requires that inflation be stabilized at the union level by the common central bank, while fiscal policy is used by each country for stabilization purposes. By contrast, when the fiscal authorities act in a non-coordinated way, their joint actions lead to a suboptimal outcome, and make the common central bank face a trade-off between inflation and output gap stabilization at the union level.
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Ce travail consiste en l'analyse et la revue des différentes prises en charge de la pseudarthrose de la diaphyse fémorale dans un groupe nommé « Echantillon CHUV » formé par 16 patients. Les patients ont tous été opérés au Centre Hospitalier Universitaire Vaudois, CHUV, entre 2008 et 2011 pour cure de pseudarthrose. Une présentation succincte des fractures de la diaphyse fémorale ainsi que de la pseudarthrose de la diaphyse fémorale consiste en la première partie du rapport. La deuxième partie est une revue des cas des patients de l'échantillon CHUV. Des paramètres tels que le mode initial de fracture, la durée effective de la pseudarthrose, le nombre de révisions avant la consolidation ou la répartition des pseudarthroses selon leur type font partie des différents éléments caractéristiques répertoriés puis analysés dans cette revue. 25 cures de pseudarthroses sont effectuées sur les 16 patients. Les techniques de fixations les plus utilisées sont la fixation par plaque après réduction ouverte (ORIF, 64%, 16 cures sur 25) et l'enclouage centromédullaire (24%, 6 cures sur 25). L'utilisation de substituts osseux est très souvent complémentaire à la refixation mécanique lors des cures de pseudarthrose (recours à la greffe osseuse dans 72% des cures). Le taux d'union après la première cure de pseudarthrose s'établit à 63% et il monte à 100% après l'ensemble des cures. Le retour à une fonction adéquate du membre inférieur est obtenu chez 14 des 16 patients (1 patient est traité par arthrodèse du genou sur pseudarthrose du tiers distal de la diaphyse fémorale et 1 patient tétraplégique est traité par résection de la tête et du col fémoral sur pseudarthrose du tiers proximal de la diaphyse fémorale). La revue quantifie la durée de l'invalidité causée par la pseudarthrose de la diaphyse fémorale : la longueur totale du traitement avant union est d'au minimum 12 mois pour 75% des patients. 8 patients sur 16 ont un temps avant union supérieur à 20 mois. La pseudarthrose de la diaphyse fémorale doit être considérée comme une complication grave. La localisation au niveau du fémur réduit voire abolit l'autonomie de marche du patient et limite ses activités de la vie quotidienne. Elle entrave le retour au travail et réduit terriblement la qualité de vie pendant souvent plus d'une année. L'ensemble des symptômes ont un effet dévastateur sur la rééducation et peuvent parfois laisser d'importantes séquelles physiques ou psychologiques sur le long terme. Pour ces raisons, le traitement doit être adapté du mieux possible à la pseudarthrose du patient afin d'augmenter les chances de réussite de la cure.