924 resultados para Health Sciences, Public Health|Psychology, Clinical|Health Sciences, Epidemiology|Psychology, Physiological
Resumo:
L’utilisation de méthodes d’investigation cérébrale avancées a permis de mettre en évidence la présence d’altérations à court et à long terme à la suite d’une commotion cérébrale. Plus spécifiquement, des altérations affectant l’intégrité de la matière blanche et le métabolisme cellulaire ont récemment été révélées par l’utilisation de l’imagerie du tenseur de diffusion (DTI) et la spectroscopie par résonance magnétique (SRM), respectivement. Ces atteintes cérébrales ont été observées chez des athlètes masculins quelques jours après la blessure à la tête et demeuraient détectables lorsque les athlètes étaient à nouveau évalués six mois post-commotion. En revanche, aucune étude n’a évalué les effets neurométaboliques et microstructuraux dans la phase aigüe et chronique d’une commotion cérébrale chez les athlètes féminines, malgré le fait qu’elles présentent une susceptibilité accrue de subir ce type de blessure, ainsi qu’un nombre plus élevé de symptômes post-commotionnels et un temps de réhabilitation plus long. Ainsi, les études composant le présent ouvrage visent globalement à établir le profil d’atteintes microstructurales et neurométaboliques chez des athlètes féminines par l’utilisation du DTI et de la SRM. La première étude visait à évaluer les changements neurométaboliques au sein du corps calleux chez des joueurs et joueuses de hockey au cours d’une saison universitaire. Les athlètes ayant subi une commotion cérébrale pendant la saison ont été évalués 72 heures, 2 semaines et 2 mois après la blessure à la tête en plus des évaluations pré et post-saison. Les résultats démontrent une absence de différences entre les athlètes ayant subi une commotion cérébrale et les athlètes qui n’en ont pas subie. De plus, aucune différence entre les données pré et post-saison a été observée chez les athlètes masculins alors qu’une diminution du taux de N-acetyl aspartate (NAA) n’a été mise en évidence chez les athlètes féminines, suggérant ainsi un impact des coups d’intensité sous-clinique à la tête. La deuxième étude, qui utilisait le DTI et la SRM, a révélé des atteintes chez des athlètes féminines commotionnées asymptomatiques en moyenne 18 mois post-commotion. Plus spécifiquement, la SRM a révélé une diminution du taux de myo-inositol (mI) au sein de l’hippocampe et du cortex moteur primaire (M1) alors que le DTI a mis en évidence une augmentation de la diffusivité moyenne (DM) dans plusieurs faisceaux de matière blanche. De iii plus, une approche par région d’intérêt a mis en évidence une diminution de la fraction d’anisotropie (FA) dans la partie du corps calleux projetant vers l’aire motrice primaire. Le troisième article évaluait des athlètes ayant subi une commotion cérébrale dans les jours suivant la blessure à la tête (7-10 jours) ainsi que six mois post-commotion avec la SRM. Dans la phase aigüe, des altérations neuropsychologiques combinées à un nombre significativement plus élevé de symptômes post-commotionnels et dépressifs ont été trouvés chez les athlètes féminines commotionnées, qui se résorbaient en phase chronique. En revanche, aucune différence sur le plan neurométabolique n’a été mise en évidence entre les deux groupes dans la phase aigüe. Dans la phase chronique, les athlètes commotionnées démontraient des altérations neurométaboliques au sein du cortex préfrontal dorsolatéral (CPDL) et M1, marquées par une augmentation du taux de glutamate/glutamine (Glx). De plus, une diminution du taux de NAA entre les deux temps de mesure était présente chez les athlètes contrôles. Finalement, le quatrième article documentait les atteintes microstructurales au sein de la voie corticospinale et du corps calleux six mois suivant une commotion cérébrale. Les analyses n’ont démontré aucune différence au sein de la voie corticospinale alors que des différences ont été relevées par segmentation du corps calleux selon les projections des fibres calleuses. En effet, les athlètes commotionnées présentaient une diminution de la DM et de la diffusivité radiale (DR) au sein de la région projetant vers le cortex préfrontal, un volume moindre des fibres de matière blanche dans la région projetant vers l’aire prémotrice et l’aire motrice supplémentaire, ainsi qu’une diminution de la diffusivité axiale (DA) dans la région projetant vers l’aire pariétale et temporale. En somme, les études incluses dans le présent ouvrage ont permis d’approfondir les connaissances sur les effets métaboliques et microstructuraux des commotions cérébrales et démontrent des effets délétères persistants chez des athlètes féminines. Ces données vont de pair avec la littérature scientifique qui suggère que les commotions cérébrales n’entraînent pas seulement des symptômes temporaires.
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La littérature suggère que le sommeil paradoxal joue un rôle dans l'intégration associative de la mémoire émotionnelle. De plus, les rêves en sommeil paradoxal, en particulier leur nature bizarre et émotionnelle, semblent refléter cette fonction associative et émotionnelle du sommeil paradoxal. La conséquence des cauchemars fréquents sur ce processus est inconnue, bien que le réveil provoqué par un cauchemar semble interférer avec les fonctions du sommeil paradoxal. Le premier objectif de cette thèse était de reproduire conceptuellement des recherches antérieures démontrant que le sommeil paradoxal permet un accès hyper-associatif à la mémoire. L'utilisation d'une sieste diurne nous a permis d'évaluer les effets du sommeil paradoxal, comparativement au sommeil lent et à l’éveil, sur la performance des participants à une tâche sémantique mesurant « associational breadth » (AB). Les résultats ont montré que seuls les sujets réveillés en sommeil paradoxal ont répondu avec des associations atypiques, ce qui suggère que le sommeil paradoxal est spécifique dans sa capacité à intégrer les traces de la mémoire émotionnelle (article 1). En outre, les rapports de rêve en sommeil paradoxal étaient plus bizarres que ceux en sommeil lent, et plus intenses émotionnellement ; ces attributs semblent refléter la nature associative et émotionnelle du sommeil paradoxal (article 2). Le deuxième objectif de la thèse était de préciser si et comment le traitement de la mémoire émotionnelle en sommeil paradoxal est altéré dans le Trouble de cauchemars fréquents (NM). En utilisant le même protocole, nos résultats ont montré que les participants NM avaient des résultats plus élevés avant une sieste, ce qui correspond aux observations antérieures voulant que les personnes souffrant de cauchemars soient plus créatives. Après le sommeil paradoxal, les deux groupes, NM et CTL, ont montré des changements similaires dans leur accès associatif, avec des résultats AB-négatif plus bas et AB-positif plus grands. Une semaine plus tard, seul les participants NM a maintenu ce changement dans leur réseau sémantique (article 3). Ces résultats suggèrent qu’au fil du temps, les cauchemars peuvent interférer avec l'intégration de la mémoire émotionnelle pendant le sommeil paradoxal. En ce qui concerne l'imagerie, les participants NM avaient plus de bizarrerie et plus d’émotion positive, mais pas négative, dans leurs rêveries (article 4). Ces attributs intensifiés suggèrent à nouveau que les participants NM sont plus imaginatifs et créatifs à l’éveil. Dans l'ensemble, les résultats confirment le rôle du sommeil paradoxal dans l'intégration associative de la mémoire émotionnelle. Cependant, nos résultats concernant le Trouble de cauchemars ne sont pas entièrement en accord avec les théories suggérant que les cauchemars sont dysfonctionnels. Le groupe NM a montré plus d’associativité émotionnelle, de même que plus d'imagerie positive et bizarre à l’éveil. Nous proposons donc une nouvelle théorie de sensibilité environnementale associée au Trouble de cauchemar, suggérant qu'une sensibilité accrue à une gamme de contextes environnementaux sous-tendrait les symptômes uniques et la richesse imaginative observés chez les personnes souffrant de cauchemars fréquents. Bien que davantage de recherches doivent être faites, il est possible que ces personnes puissent bénéficier e milieux favorables, et qu’elles puissent avoir un avantage adaptatif à l'égard de l'expression créative, ce qui est particulièrement pertinent lorsque l'on considère leur pronostic et les différents types de traitements.
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L’insuffisance cardiaque (IC) est un problème d’importance grandissante lié à des perturbations des systèmes nerveux autonome, immunitaire, et cardiovasculaire. Ces perturbations contribuent à plusieurs symptômes physiques et psychologiques invalidants. La recherche faite jusqu’ici sur des programmes d’exercice basés sur le yoga a démontré des résultats préliminaires assez prometteurs en IC. Néanmoins, il reste des lacunes à combler dans la littérature face aux populations testées, à la combinaison des mesures physiques et psychologiques, au suivi du traitement à la maison et à la perception des symptômes au quotidien. Ce projet pilote a donc pour objectif de développer un programme d’exercice complémentaire basé sur le yoga adapté aux patients souffrant d’IC, d’en mesurer la faisabilité et l’acceptabilité en plus d’obtenir des données préliminaires quant à l’impact de cette intervention à réduire la symptomatologie physique et psychologique et d’améliorer la qualité de vie (QV) de ces patients. Les deux premiers participants recrutés dans le cadre de l’étude pilote font l’objet de ce mémoire. Ils ont pris part à huit séances hebdomadaires de yoga Bali, couplé de psychoéducation et méditation tous données à l’Institut de Cardiologie de Montréal par une instructrice certifiée dans la méthode BALI. L’élaboration des outils nécessaires au déroulement du programme, y compris le manuel d’enseignement et le DVD, la faisabilité d’une collaboration avec le personnel médical et évidement l’évaluation des effets du programme en soit sur les symptômes physiques et psychologique s sont parmi les sujets abordés. Les résultats, quoique préliminaires, semblent tendre vers une amélioration des corrélats physiologiques liés à l’insuffisance cardiaque, notamment l’activité du système nerveux autonome tel que témoigné par la variabilité de la fréquence cardiaque, et l’inflammation indiqué par le niveau de CRP sanguin.
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L’insuffisance cardiaque (IC) est un problème d’importance grandissante lié à des perturbations des systèmes nerveux autonome, immunitaire, et cardiovasculaire. Ces perturbations contribuent à plusieurs symptômes physiques et psychologiques invalidants. La recherche faite jusqu’ici sur des programmes d’exercice basés sur le yoga a démontré des résultats préliminaires assez prometteurs en IC. Néanmoins, il reste des lacunes à combler dans la littérature face aux populations testées, à la combinaison des mesures physiques et psychologiques, au suivi du traitement à la maison et à la perception des symptômes au quotidien. Ce projet pilote a donc pour objectif de développer un programme d’exercice complémentaire basé sur le yoga adapté aux patients souffrant d’IC, d’en mesurer la faisabilité et l’acceptabilité en plus d’obtenir des données préliminaires quant à l’impact de cette intervention à réduire la symptomatologie physique et psychologique et d’améliorer la qualité de vie (QV) de ces patients. Les deux premiers participants recrutés dans le cadre de l’étude pilote font l’objet de ce mémoire. Ils ont pris part à huit séances hebdomadaires de yoga Bali, couplé de psychoéducation et méditation tous données à l’Institut de Cardiologie de Montréal par une instructrice certifiée dans la méthode BALI. L’élaboration des outils nécessaires au déroulement du programme, y compris le manuel d’enseignement et le DVD, la faisabilité d’une collaboration avec le personnel médical et évidement l’évaluation des effets du programme en soit sur les symptômes physiques et psychologique s sont parmi les sujets abordés. Les résultats, quoique préliminaires, semblent tendre vers une amélioration des corrélats physiologiques liés à l’insuffisance cardiaque, notamment l’activité du système nerveux autonome tel que témoigné par la variabilité de la fréquence cardiaque, et l’inflammation indiqué par le niveau de CRP sanguin.
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The purpose of this article is twofold : first to provide an overview of the emergence of critical health psychology for those working in the related social and health sciences and as a review of its major developments for health psychology; and second to discuss critically the potential for critical health psychology to contribute to promoting public health with specific reference to the directives espoused by Prilleltensky (2003) and Murray and Campbell (2003). The identification of three philosophical phases of the emergence of critical health psychology is used to examine the directions of the field and the challenges facing critical health psychology in order to contribute to public and global health.
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Increasingly, the development of public health infrastructures requires psychology to reevaluate its contribution to public health at local, national and global levels. Already familiar to some psychologists, particularly those in community psychology and health promotion, the expansion of public health has implications for psychology in terms of knowledge/practice and working differently in multidisciplinary settings. In this article, I provide a critical overview of the implications of the historical and international development of health psychology and the changing nature of public health to strengthen the establishment of public health psychology. A conceptual and practical framework is proposed in which public health psychology theory, methods and practice are considered as well as its relevance to the health social sciences more generally.
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Introduction For many years concern for public health has transcended the boundaries of the medical sciences and epidemiology. For the last 50 years or so psychologists have been increasingly active in this field. Recently, psychologists have not only begun to see the need to take action to mould health promoting behaviours in individuals, but have also pointed out the need to join in an effort to develop appropriate social, political, economic and institutional conditions which would help to improve the state of public health. Psychologists have postulated the need to distinguish a new subdiscipline of psychology called public health psychology which, together with other disciplines, would further the realization of this goal. In the following article the historical and international context of health psychology and the changing nature of public health are put forward as having important implications for the establishment of a ‘public health psychology’. These implications are addressed in later sections of the article through the description of conceptual and practical framework of public health psychology in which theory, methods and practice are considered. Many aspects of the conceptual and practical framework of public health psychology have relevance to the health social sciences more generally and forming a basis for interdisciplinary work. The framework of public health psychology, together with the obstacles that need to be overcome, are critically examined within an overall approach that contends it is necessary to increase and improve the contribution of health psychology to public health.
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Background. Estimates of perinatal depression have ranged from 5% to more than 25% of women (Gavin et al. 2005). Although Hispanics have one of the highest birthrates, few studies have looked at the prevalence of depression among this population. This study aims to describe the prevalence of depressive symptoms among a sample of Hispanic women. Methods. A convenience sample of 439 Hispanic women were screened for depression using the Center for Epidemiologic Studies Depression Scale. Sociodemographic data relating to pregnancy were also collected. Results. Although bivariate analysis found several variables to be significant, multivariate analysis found only marital and pregnancy status to be significant in predicting depression. Conclusions. While marital and pregnancy status proved to the strongest predictors for depression, future research would benefit from collecting information on timing of pregnancy and postpartum to further explore the role of pregnancy status and depressive symptoms. ^
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A questionnaire was mailed to 148 publicly and privately supported academic health sciences libraries affiliated with Association of American Medical Colleges (AAMC)–accredited medical schools in the United States and Canada to determine level of access and services provided to the general public. For purposes of this study, “general public” was defined as nonaffiliated students or health care professionals, attorneys and other nonhealth-related professionals, patients from affiliated or other hospitals or clinics, and general consumers. One hundred five (71%) libraries responded. Results showed 98% of publicly supported libraries and 88% of privately supported libraries provided access to some or all of the general public. Publicly supported libraries saw greater numbers of public patrons, often provided more services, and were more likely to circulate materials from their collections than were privately supported libraries. A significant number of academic health sciences libraries housed a collection of consumer-oriented materials and many provided some level of document delivery service, usually for a fee. Most allowed the public to use some or all library computers. Results of this study indicated that academic health sciences libraries played a significant role in serving the information-seeking public and suggested a need to develop written policies or guidelines covering the services that will be provided to minimize the impact of this service on primary clientele.
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This study aimed to identify the aptitudes required in allied health professionals working in three different service delivery models serving remote locations in Northern tropical Australia. Eighteen allied health professionals including," dietetics, diabetes educators, occupational therapy, physiotherapy, psychology, podiatry, social work and speech pathology participated in this exploratory study using a narrative approach. A range of aptitudes were identified and themed under the following headings: (1) being organized but flexible, (2) cooperation and mediation, (3) culturally aware and accepting communicators, (4) knowing the community (5) resourcefulness and resilience and (6) reflectivity. Limiting factors were also deduced. Three of the themes are discussed in this paper. The study found that allied health professionals working in remote settings identified as important personal attributes not necessarily valued in metropolitan settings. Recruitment processes and education programs need to recognize the importance of personal attributes as well as professional skills.
Hepatitis C, mental health and equity of access to antiviral therapy : a systematic narrative review
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Introduction Access to hepatitis C (hereafter HCV) antiviral therapy has commonly excluded populations with mental health and substance use disorders because they were considered as having contraindications to treatment, particularly due to the neuropsychiatric effects of interferon that can occur in some patients. In this review we examined access to HCV interferon antiviral therapy by populations with mental health and substance use problems to identify the evidence and reasons for exclusion. Methods We searched the following major electronic databases for relevant articles: PsycINFO, Medline, CINAHL, Scopus, Google Scholar. The inclusion criteria comprised studies of adults aged 18 years and older, peer-reviewed articles, date range of (2002--2012) to include articles since the introduction of pegylated interferon with ribarvirin, and English language. The exclusion criteria included articles about HCV populations with medical co-morbidities, such as hepatitis B (hereafter HBV) and human immunodeficiency virus (hereafter HIV), because the clinical treatment, pathways and psychosocial morbidity differ from populations with only HCV. We identified 182 articles, and of these 13 met the eligibility criteria. Using an approach of systematic narrative review we identified major themes in the literature. Results Three main themes were identified including: (1) pre-treatment and preparation for antiviral therapy, (2) adherence and treatment completion, and (3) clinical outcomes. Each of these themes was critically discussed in terms of access by patients with mental health and substance use co-morbidities demonstrating that current research evidence clearly demonstrates that people with HCV, mental health and substance use co-morbidities have similar clinical outcomes to those without these co-morbidities. Conclusions While research evidence is largely supportive of increased access to interferon by people with HCV, mental health and substance use co-morbidities, there is substantial further work required to translate evidence into clinical practice. Further to this, we conclude that a reconsideration of the appropriateness of the tertiary health service model of care for interferon management is required and exploration of the potential for increased HCV care in primary health care settings.
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Abstract OBJECTIVE: Those with mental illness are at increased risk of physical health problems. The current study aimed to examine the information available online to the Australian public about the increased risk and consequences of physical illness in those with mental health problems and the services available to address these co-morbidities. METHODS: A structured online search was conducted with the search engine Google Australia (www.google.com.au) using generic search terms 'mental health information Australia', 'mental illness information Australia', 'depression', 'anxiety', and 'psychosis'. The direct content of websites was examined for information on the physical co-morbidities of mental illness. All external links on high-profile websites [the first five websites retrieved under each search term (n = 25)] were examined for information pertaining to physical health. RESULTS: Only 4.2% of websites informing the public about mental health contained direct content information about the increased risk of physical co-morbidities. The Australian Government's Department of Health and Ageing site did not contain any information. Of the high-profile websites, 62% had external links to resources about physical health and 55% had recommendations or resources for physical health. Most recommendations were generic. CONCLUSIONS: Relative to the seriousness of this problem, there is a paucity of information available to the public about the increased physical health risks associated with mental illness. Improved public awareness is the starting point of addressing this health inequity.
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BACKGROUND: Despite advancements in our understanding of the importance of stress reduction in achieving good health, we still only have limited insight into the impact of stress on cellular function. Recent studies have suggested that exposure to prolonged psychological stress may alter an individual's physiological responses, and contribute to morbidity and mortality. This paper presents an overview of the study protocol we are using to examine the impact of life stressors on lifestyle factors, health-related quality of life and novel and established biomarkers of stress in midlife and older Australian women.The primary aim of this study is to explore the links between chronic psychological stress on both subjective and objective health markers in midlife and older Australian women. The study examines the extent to which exposure frightening, upsetting or stressful events such as natural disasters, illness or death of a relative, miscarriage and relationship conflict is correlated with a variety of objective and subjective health markers.Methods/design: This study is embedded within the longitudinal Healthy Aging of Women's study which has collected data from midlife and older Australian women at 5 yearly intervals since 2001, and uses the Allostastic model of women's health by Groer and colleagues in 2010. The current study expands the focus of the HOW study and will assess the impact of life stressors on quality of life and clinical biomarkers in midlife and older Australian women to explain the impact of chronic psychological stress in women. DISCUSSION: The proposed study hypothesizes that women are at increased risk of exposure to multiple or repeated stressors, some being unique to women, and the frequency and chronicity of stressors increases women's risk of adverse health outcomes. This study aims to further our understanding of the relationships between stressful life experiences, perceived quality of life, stress biomarkers, chronic illness, and health status in women.
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Purpose Pharmaceuticals have played an important role in improving the quality of life of the human population in modern times. However, it must also be acknowledged that both the production and use of pharmaceuticals have a significant, negative impact on the environment and consequently, a negative impact on the health of humans and wildlife. This negative impact is due to the embedded carbon in pharmaceuticals' manufacture and distribution and the waste generated in their manufacture, consumption and disposal. Pharmaceutical waste is comprised of contaminated waste (unwanted pharmaceuticals and their original containers) and non-contaminated waste (non-hazardous packaging waste). The paper aims to discuss these issues. Design/methodology/approach The article is a literature review. Findings The article identified a gap in the literature around pharmacist attitudes and behaviour toward the environmentally responsible handling of pharmaceutical waste. Originality/value Pharmacists, with their professional commitment to the quality use of medicines and their active participation in the medicines management pathway, already play an important role in the more sustainable use of pharmaceuticals. Even so, they have the potential to play an even greater role with the environmentally responsible disposal of pharmaceutical waste (including packaging waste) and the education of other health professionals and the general public on this topic.
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Background & Objectives Emergency health services (EHS) throughout the world are increasingly congested. As more people use EHS, factors such as population growth and aging cannot fully explain this increase. Also, focus on patients’ clinical characteristics ignores the role that attitudinal and perceptual factors and motivations play in directing their decisions and actions. The aim of this study is to review and synthesize an integrated conceptual framework for understanding social psychological factors underpinning demand for EHS. Methodology A comprehensive search and review of empirical and theoretical studies about the utilization of EHS was conducted using major medical, health, social and behavioral sciences databases. Results A small number of studies used a relevant conceptual framework (e.g. Health Services Utilization Model or Health Belief Model) or their components to analyze patients’ decision to use EHS. The studies evidenced that demand was affected by perceived severity of the condition; perceived costs and benefits (e.g. availability, accessibility and affordability of alternative services); experience, preference and knowledge; perceived and actual social support; and demographic characteristics (e.g. age, sex, socioeconomic status, ethnicity, marital and living circumstances, place of residence). Conclusions Conceptual models that are commonly used in areas like social and behavioral sciences have rarely been applied in the EHS utilization field. Understanding patients’ decision-making and associated factors will lay the groundwork for identification of the evidence to inform improved policy responses and the development of demand management strategies. An integrated conceptual framework will be introduced as part of this study.