917 resultados para Glucose-6-phosphate dehydrogenase
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Introduction: Les études GVvA (Genome-wide association ,-studies) ont identifié et confirmé plus de 20 gènes de susceptibilité au DT2 et ont contribué à mieux comprendre sa physiopathologie. L'hyperglycémie à jeun (GJ), et 2 heures après une HGPO (G2h) sont les deux mesures cliniques du diagnostic du DT2. Nous avons identifié récemment la G6P du pancréas (G6PC2) comme déterminant de la variabilité physiologique de la GJ puis Ie récepteur à la mélatonine (MTNRIB) qui de plus lie la régulation du rythme circadien au DT2. Dans ce travail nous avons étudié la génétique de la G2h à l'aide de l'approche GWA. Résultats: Nous avons réalisé une méta-analyse GWA dans le cadre de MAGIC (Meta-Analysis of Glucose and Insulin related traits Consortium) qui a inclus 9 études GWA (N=15'234). La réplication de 29 loci (N=6958-30 121, P < 10-5 ) a confirmé 5 nouveaux loci; 2 étant connus comme associés avec Ie DT2 (TCF7L2, P = 1,6 X 10-10 ) et la GJ (GCKR, p = 5,6 X 10-10 ); alors que GIPR (p= 5,2 X 10-12), VSP13C (p= 3,9 X 10-8) et ADCY5 (p = 1,11 X 10-15 ) sont inédits. GIPR code Ie récepteur au GIP (gastric inhibitory polypeptide) qui est sécrété par les ceIlules intestinales pour stimuler la sécrétion de l'insuline en réponse au glucose (l'effet incrétine). Les porteurs du variant GIPR qui augmente la G2h ont également un indice insulinogénique plus bas, (p= 1,0 X 10-17) mais ils ne présentent aucune modification de leur glycémie suite à une hyperglycémie provoquée par voie veineuse (p= 0,21). Ces résultats soutiennent un effet incrétine du locus GIPR qui expliquerait ~9,6 % de la variance total de ce trait. La biologie de ADCY5 et VPS13C et son lien avec l'homéostasie du glucose restent à élucider. GIPR n'est pas associé avec le risque de DT2 indiquant qu'il influence la variabilité physiologique de la G2h alors que le locus ADCY5 est associé avec le DT2 (OR = 1,11, P = 1,5 X 10-15). Conclusion: Notre étude démontre que l'étude de la G2h est une approche efficace d'une part pour la compréhension de la base génétique de la physiologie de ce trait clinique important et d'autre part pour identifier de nouveaux gènes de susceptibilité au DT2.
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Rapport de Synthèse : Introduction : outre son effet bénéfique sur le poids, la chirurgie bariatrique améliore de façon considérable l'homéostasie glucide chez les patients diabétiques. Cette amélioration survient très tôt dans la période post-opératoire, avant que le poids ne soit réduit de manière importante. De plus, les interventions chirurgicales qui "court-circuitent" une partie de l'intestin grêle, telle que le by-pass gastrique, apparaissent être plus efficaces que les interventions purement restrictives, telles que le cerclage gastrique. Objectifs : cette étude a pour but d'étudier la cinétique du glucose et la sécrétion d'hormones gastro-intestinales, consécutive à l'ingestion d'une dose charge de glucose, chez des patients opérés d'un by-pass ou d'un cerclage gastrique. Méthodes : nous avons comparé des groupes de femmes non diabétiques ayant bénéficié d'un by-pass gastrique (BPG, n=8) ou d'un cerclage gastrique (CG, n=6) à un groupe de femmes contrôles d'âge et de poids appariées n'ayant subi aucune intervention bariatrique (C, n=8). L'étude a été réalisée alors que le poids des volontaires était stable, soit entre 9 et 48 mois après le BPG, et 25 à 85 mois après le CG. Nous avons étudié, pendant les 4 heures qui ont suivies l'ingestion d'une dose charge de glucose; la cinétique du glucose ingéré et du glucose total à l'aide d'un glucose radio-activement marqué, ainsi que la cinétique de l'insuline et de différentes hormones gastro-intestinales. Résultats : l'apparition du glucose exogène dans la circulation systémique est plus rapide chez les patients opérés d'un BPG et s'accompagne d'une hyperglycémie postprandiale plus brève. La réponse insulinique est également plus précoce et plus importante que dans les deux autres groupes. S'agissant des hormones gastro-intestinales, on observe dans la période postprandiale une augmentation de PYY et de GLP-1 et une suppression de la grehline significativement plus importante après BPG. Discussion : ces différentes observations suggèrent que le BPG est associé à de profonds changements de la cinétique du glucose et des altérations de la régulation d'hormones gastro-intestinales. Les modifications susmentionnées apparaissant être secondaires aux modifications anatomiques consécutives au BPG, i.e. la mise "hors-circuit" de l'estomac distal et de l'intestin grêle proximal, compte tenu du fait qu'elles ne sont pas observées après CG. Finalement, la stimulation de PYY et de GLP-1 ainsi que la suppression postprandiale plus importante de ghréline est compatible avec la diminution spontanée de la prise alimentaire observée chez les patients opérés d'un BPG.
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Glucose-dependent insulinotropic polypeptide (GIP) is a hormone secreted by the endocrine K-cells from the duodenum that stimulates glucose-induced insulin secretion. Here, we present the molecular characterization of the human pancreatic islet GIP receptor. cDNA clones for the GIP receptor were isolated from a human pancreatic islet cDNA library. They encoded two different forms of the receptor, which differed by a 27-amino acid insertion in the COOH-terminal cytoplasmic tail. The receptor protein sequence was 81% identical to that of the rat GIP receptor. When expressed in Chinese hamster lung fibroblasts, both forms of the receptor displayed high-affinity binding for GIP (180 and 600 pmol/l). GIP binding was displaced by < 20% by 1 mumol/l glucagon, glucagon-like peptide (GLP-I)(7-36) amide, vasoactive intestinal peptide, and secretin. However exendin-4 and exendin-(9-39) at 1 mumol/l displaced binding by approximately 70 and approximately 100% at 10 mumol/l. GIP binding to both forms of the receptor induced a dose-dependent increase in intracellular cAMP levels (EC50 values of 0.6-0.8 nmol/l) but no elevation of cytoplasmic calcium concentrations. Interestingly, both exendin-4 and exendin-(9-39) were antagonists of the receptor, inhibiting GIP-induced cAMP formation by up to 60% when present at a concentration of 10 mumol/l. Finally, the physical and genetic chromosomal localization of the receptor gene was determined to be on 19q13.3, close to the ApoC2 gene. These data will help study the physiology and pathophysiology of the human GIP receptor.
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Consumption of simple carbohydrates has markedly increased over the past decades, and may be involved in the increased prevalence in metabolic diseases. Whether an increased intake of fructose is specifically related to a dysregulation of glucose and lipid metabolism remains controversial. We therefore compared the effects of hypercaloric diets enriched with fructose (HFrD) or glucose (HGlcD) in healthy men. Eleven subjects were studied in a randomised order after 7 d of the following diets: (1) weight maintenance, control diet; (2) HFrD (3.5 g fructose/kg fat-free mass (ffm) per d, +35 % energy intake); (3) HGlcD (3.5 g glucose/kg ffm per d, +35 % energy intake). Fasting hepatic glucose output (HGO) was measured with 6,6-2H2-glucose. Intrahepatocellular lipids (IHCL) and intramyocellular lipids (IMCL) were measured by 1H magnetic resonance spectroscopy. Both fructose and glucose increased fasting VLDL-TAG (HFrD: +59 %, P < 0.05; HGlcD: +31 %, P = 0.11) and IHCL (HFrD: +52 %, P < 0.05; HGlcD: +58 %, P = 0.06). HGO increased after both diets (HFrD: +5 %, P < 0.05; HGlcD: +5 %, P = 0.05). No change was observed in fasting glycaemia, insulin and alanine aminotransferase concentrations. IMCL increased significantly only after the HGlcD (HFrD: +24 %, NS; HGlcD: +59 %, P < 0.05). IHCL and VLDL-TAG were not different between hypercaloric HFrD and HGlcD, but were increased compared to values observed with a weight maintenance diet. However, glucose led to a higher increase in IMCL than fructose.
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Glucose-induced thermogenesis (GIT) after a 100-g oral glucose load was measured by continuous indirect calorimetry in 32 nondiabetic and diabetic obese subjects and compared to 17 young and 13 middle aged control subjects. The obese subjects were divided into three groups: A (n = 12) normal glucose tolerance, B (n = 13) impaired glucose tolerance, and C (n = 7) diabetics, and were studied before and after a body weight loss ranging from 9.6 to 33.5 kg consecutive to a 4 to 6 months hypocaloric diet. GIT, measured over 3 h and expressed as percentage of the energy content of the load, was significantly reduced in obese groups A and C (6.2 +/- 0.6, and 3.8 +/- 0.7%, respectively) when compared to their age-matched control groups: 8.6 +/- 0.7 (young) and 5.8 +/- 0.3% (middle aged). Obese group B had a GIT of 6.1 +/- 0.6% which was lower than that of the young control group but not different from the middle-aged control group. After weight loss, GIT in the obese was further reduced in groups A and B than before weight loss: ie, 3.4 +/- 0.6 (p less than 0.001), 3.7 +/- 0.5 (p less than 0.01) respectively, whereas in group C, weight loss induced no further diminution in GIT (3.8 +/- 0.6%). These results support the concept of a thermogenic defect after glucose ingestion in obese individuals which is not the consequence of their excess body weight but may be one of the factors favoring the relapse of obesity after weight loss.
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The effect of amino acid and/or glucose administration before and during exercise on protein metabolism in visceral tissues and skeletal muscle was examined in mongrel dogs. The dogs were subjected to treadmill running (150 minutes at 10 km/h and 12% incline) and intravenously infused with a solution containing amino acids and glucose (AAG), amino acids (AA), glucose (G) or saline (S) in randomized order. The infusion was started 60 minutes before exercise and continued until the end of the exercise period. An arteriovenous-difference technique was used to estimate both tissue protein degradation and synthesis. When S was infused, the release of leucine (Leu) from the gut and phenylalanine (Phe) from the hindlimb significantly increased during exercise, thus indicating that exercise augmented proteolysis in these tissues. The balance of Leu across the gut during exercise demonstrated a net uptake with both AAG and AA, whereas a net release was observed for G and S. In addition, Leu uptake in the gut during the last 90 minutes of the exercise period tended to be greater with AAG versus AA (P = .06). Phe balance across the hindlimb during the late exercise period showed a significant release with S, AA, and G, whereas the balance with AAG did not show a significant release. These results suggest that exercise-induced proteolysis in the gut may be reduced by supplementation with AA, and this effect may be enhanced by concomitant G administration. However, in skeletal muscle, both AA and G may be required to prevent net protein degradation during exercise. G provided without AA did not achieve net protein synthesis in either tissue.
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Résumé large public: Une altération localisée du métabolisme du glucose, le substrat énergétique préférentiellement utilisé dans le cerveau, est un trait caractéristique précoce de la maladie d'Alzheimer (MA). Il est maintenant largement admis que le beta-amyloïde, la neuroinflammation et le stress oxydatif participent au développement de la MA. Cependant les mécanismes cellulaires de la pathogenèse restent à identifier. Le métabolisme cérébral a ceci de remarquable qu'il repose sur la coopération entre deux types cellulaires, ainsi les astrocytes et les neurones constituent une unité métabolique. Les astrocytes sont notamment responsables de fournir aux neurones des substrats énergétiques, ainsi que des précurseurs du glutathion pour la défense contre le stress oxydatif. Ces fonctions astrocytaires sont essentielles au bon fonctionnement et à la survie neuronale; par conséquent, une altération de ces fonctions astrocytaires pourrait participer au développement de certaines maladies cérébrales. Le but de ce travail est, dans un premier temps, d'explorer les effets de médiateurs de la neuroinflammation (les cytokines pro-inflammatoires) et du peptide beta-amyloïde sur le métabolisme des astrocytes corticaux, en se focalisant sur les éléments en lien avec le métabolisme énergétique et le stress oxydatif. Puis, dans un second temps, de caractériser les conséquences pour les neurones des modifications du métabolisme astrocytaire induites par ces substances. Les résultats obtenus ici montrent que les cytokines pro-inflammatoires et le beta-amyloïde induisent une profonde altération du métabolisme astrocytaire, selon deux profils distincts. Les cytokines pro-inflammatoires, particulièrement en combinaison, agissent comme « découpleurs » du métabolisme énergétique du glucose, en diminuant l'apport potentiel de substrats énergétiques aux neurones. En plus de son effet propre, le peptide beta-amyloïde potentialise les effets des cytokines pro-inflammatoires. Or, dans le cerveau de patients atteints de la MA, les astrocytes sont exposés simultanément à ces deux types de substances. Les deux types de substances ont un effet ambivalent en termes de stress oxydatif. Ils induisent à la fois une augmentation de la libération de glutathion (potentiellement protecteur pour les neurones voisins) et la production d'espèces réactives de l'oxygène (potentiellement toxiques). Etant donné l'importance de la coopération entre astrocytes et neurones, ces modulations du métabolisme astrocytaire pourraient donc avoir un retentissement majeur sur les cellules environnantes, et en particulier sur la fonction et la survie neuronale. Résumé Les astrocytes et les neurones constituent une unité métabolique. Les astrocytes sont notamment responsables de fournir aux neurones des substrats énergétiques, tels que le lactate, ainsi que des précurseurs du glutathion pour la défense contre le stress oxydatif. Une altération localisée du métabolisme du glucose, le substrat énergétique préférentiellement utilisé dans le cerveau, est un trait caractéristique, précoce, de la maladie d'Alzheimer (MA). Il est maintenant largement admis que le beta-amyloïde, la neuroinflammation et le stress oxydatif participent au développement de la MA. Cependant, les mécanismes cellulaires de la pathogenèse restent à identifier. Le but de ce travail est d'explorer les effets des cytokines pro-inflammatoires (Il-1 ß et TNFα) et du beta-amyloïde (Aß) sur le métabolisme du glucose des astrocytes corticaux en culture primaire ainsi que de caractériser les conséquences, pour la viabilité des neurones voisins, des modifications du métabolisme astrocytaire induites par ces substances. Les résultats obtenus montrent que les cytokines pro-inflammatoires et le beta-amyloïde induisent une profonde altération du métabolisme astrocytaire, selon deux profils distincts. Les cytokines pro-inflammatoires, particulièrement en combinaison, agissent comme « découpleurs » du métabolisme glycolytique astrocytaire. Après 48 heures, le traitement avec TNFα et Il-lß cause une augmentation de la capture de glucose et de son métabolisme dans la voie des pentoses phosphates et dans le cycle de Krebs. A l'inverse, il cause une diminution de la libération de lactate et des stocks cellulaires de glycogène. En combinaison avec les cytokines tel qu'in vivo dans les cerveaux de patients atteints de MA, le peptide betaamyloïde potentialise les effets décrits ci-dessus. Isolément, le Aß cause une augmentation coordonnée de la capture de glucose et de toutes les voies de son métabolisme (libération de lactate, glycogenèse, voie des pentoses phosphate et cycle de Krebs). Les traitements altèrent peu les taux de glutathion intracellulaires, par contre ils augmentent massivement la libération de glutathion dans le milieu extracellulaire. A l'inverse, les deux types de traitements augmentent la production intracellulaire d'espèces réactives de l'oxygène (ROS). De plus, les cytokines pro-inflammatoires en combinaison augmentent massivement la production des ROS dans l'espace extracellulaire. Afin de caractériser l'impact de ces altérations métaboliques sur la viabilité des neurones environnants, un modèle de co-culture et des milieux conditionnés astrocytaires ont été utilisés. Les résultats montrent qu'en l'absence d'une source exogène d'antioxydants, la présence d'astrocytes favorise la viabilité neuronale ainsi que leur défense contre le stress oxydatif. Cette propriété n'est cependant pas modulée par les différents traitements. D'autre part, la présence d'astrocytes, et non de milieu conditionné, protège les neurones contre l'excitotoxicité due au glutamate. Les astrocytes prétraités (aussi bien avec le beta-amyloïde qu'avec les cytokines pro-inflammatoires) perdent cette propriété. Cet élément suggère que la perturbation du métabolisme astrocytaire causé par les cytokines pro-inflammatoires ou le beta-amyloïde pourrait participer à l'atteinte de la viabilité neuronale associée à certaines pathologies neurodégénératives.
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Gene-lifestyle interactions have been suggested to contribute to the development of type 2 diabetes. Glucose levels 2 h after a standard 75-g glucose challenge are used to diagnose diabetes and are associated with both genetic and lifestyle factors. However, whether these factors interact to determine 2-h glucose levels is unknown. We meta-analyzed single nucleotide polymorphism (SNP) × BMI and SNP × physical activity (PA) interaction regression models for five SNPs previously associated with 2-h glucose levels from up to 22 studies comprising 54,884 individuals without diabetes. PA levels were dichotomized, with individuals below the first quintile classified as inactive (20%) and the remainder as active (80%). BMI was considered a continuous trait. Inactive individuals had higher 2-h glucose levels than active individuals (β = 0.22 mmol/L [95% CI 0.13-0.31], P = 1.63 × 10(-6)). All SNPs were associated with 2-h glucose (β = 0.06-0.12 mmol/allele, P ≤ 1.53 × 10(-7)), but no significant interactions were found with PA (P > 0.18) or BMI (P ≥ 0.04). In this large study of gene-lifestyle interaction, we observed no interactions between genetic and lifestyle factors, both of which were associated with 2-h glucose. It is perhaps unlikely that top loci from genome-wide association studies will exhibit strong subgroup-specific effects, and may not, therefore, make the best candidates for the study of interactions.
Genetic variation in GIPR influences the glucose and insulin responses to an oral glucose challenge.
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Glucose levels 2 h after an oral glucose challenge are a clinical measure of glucose tolerance used in the diagnosis of type 2 diabetes. We report a meta-analysis of nine genome-wide association studies (n = 15,234 nondiabetic individuals) and a follow-up of 29 independent loci (n = 6,958-30,620). We identify variants at the GIPR locus associated with 2-h glucose level (rs10423928, beta (s.e.m.) = 0.09 (0.01) mmol/l per A allele, P = 2.0 x 10(-15)). The GIPR A-allele carriers also showed decreased insulin secretion (n = 22,492; insulinogenic index, P = 1.0 x 10(-17); ratio of insulin to glucose area under the curve, P = 1.3 x 10(-16)) and diminished incretin effect (n = 804; P = 4.3 x 10(-4)). We also identified variants at ADCY5 (rs2877716, P = 4.2 x 10(-16)), VPS13C (rs17271305, P = 4.1 x 10(-8)), GCKR (rs1260326, P = 7.1 x 10(-11)) and TCF7L2 (rs7903146, P = 4.2 x 10(-10)) associated with 2-h glucose. Of the three newly implicated loci (GIPR, ADCY5 and VPS13C), only ADCY5 was found to be associated with type 2 diabetes in collaborating studies (n = 35,869 cases, 89,798 controls, OR = 1.12, 95% CI 1.09-1.15, P = 4.8 x 10(-18)).
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The effects of the sympathetic activation elicited by a mental stress on insulin sensitivity and energy expenditure (VO(2)) were studied in 11 lean and 8 obese women during a hyperinsulinemic-euglycemic clamp. Six lean women were restudied under nonselective beta-adrenergic blockade with propranolol to determine the role of beta-adrenoceptors in the metabolic response to mental stress. In lean women, mental stress increased VO(2) by 20%, whole body glucose utilization ([6,6-(2)H(2)]glucose) by 34%, and cardiac index (thoracic bioimpedance) by 25%, whereas systemic vascular resistance decreased by 24%. In obese women, mental stress increased energy expenditure as in lean subjects, but it neither stimulated glucose uptake nor decreased systemic vascular resistance. In the six lean women who were restudied under propranolol, the rise in VO(2), glucose uptake, and cardiac output and the decrease in systemic vascular resistance during mental stress were all abolished. It is concluded that 1) in lean subjects, mental stress stimulates glucose uptake and energy expenditure and produces vasodilation; activation of beta-adrenoceptors is involved in these responses; and 2) in obese patients, the effects of mental stress on glucose uptake and systemic vascular resistance, but not on energy expenditure, are blunted.
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Rapport de synthèse : Hypoglycémies nocturnes chez les patients diabétiques de type 1 : que pouvons-nous apprendre de la mesure de la glycémie en continu ? But : les hypoglycémies nocturnes sont une complication majeure du traitement des patients diabétiques de type 1; des autocontrôles de la glycémie capillaire sont donc recommandés pour les détecter. Cependant, la majorité des hypoglycémies nocturnes ne sont pas décelées par un autocontrôle glycémique durant la nuit. La mesure de la glycémie en continu (CGMS) est une alternative intéressante. Les buts de cette étude rétrospective étaient d'évaluer la véritable incidence des hypoglycémies nocturnes chez des patients diabétiques de type 1, la meilleure période pour effectuer un autocontrôle permettant de prédire une hypoglycémie nocturne, la relation entre les hyperglycémies matinales et les hypoglycémies nocturnes (phénomène de Somogyi) ainsi que l'utilité du CGMS pour réduire les hypoglycémies nocturnes. Méthode : quatre-vingt-huit patients diabétiques de type 1 qui avaient bénéficié d'un CGMS ont été inclus. Les indications au CGMS, les hypoglycémies nocturnes et diurnes ainsi que la corrélation entre les hypoglycémies nocturnes et les hyperglycémies matinales durant le CGMS ont été enregistrées. L'efficacité du CGMS pour réduire les hypoglycémies nocturnes a été évaluée six à neuf mois après. Résultats : la prévalence des hypoglycémies nocturnes était de 67% (32% non suspectées). La sensibilité d'une hypoglycémie à prédire une hypoglycémie nocturne était de 37% (OR = 2,37, P = 0,001) lorsqu'elle survient au coucher (22-24 h) et de 43% lorsqu'elle survient à 3 h (OR = 4,60, P < 0,001). Les hypoglycémies nocturnes n'étaient pas associées à des hyperglycémies matinales, mais à des hypoglycémies matinales (OR = 3.95, P < 0.001). Six à neuf mois après le CGMS, les suspicions cliniques d'hypoglycémies nocturnes ont diminué de 60% à 14% (P < 0.001). Abstract : Aim. - In type 1 diabetic patients (TIDM), nocturnal hypoglycaemias (Nlï) are a serious complication of T1DM treatment; self-monitoring of blood glucose (SMBG) is recommended to detect them. However, the majority of NH remains undetected on an occasional SMBG done during the night. An alternative strategy is the Continuous glucose monitoring (CGMS), which retrospectively shows the glycaemic profile. The aims of this retrospective study were to evaluate the true incidence of NH in TiDM, the bèst SMBG time to predict NH, the relationship between morning hyperglycaemia and N$ (Somogyi phenomenon) and the utility of CGMS to reduce NH. Methods. -Eighty-eight T1DM who underwent a CGMS exam were included. Indications for CGMS evaluarion, hypoglycaemias and correlation with morning hyperglycaemias were recorded. The efficiency of CGMS to reduce the suspected NH was evaluated after 6-9 months. Results. -The prevalence of NH was 67% (32% of them unsuspected). A measured hypoglycaemia at bedtime (22-24 h) had a sensitivity of 37% to detect NH (OR = 2.37, P = 0.001), while a single measure <_ 4 mmol/l at 3-hour had a sensitivity of 43% (OR = 4.60, P < 0.001). NH were not associated with morning hyperglycaemias but with morning hypoglycaemias (OR = 3.95, P < 0.001). After 6-9 months, suspicions of NH decreased from 60 to 14% (P < 0.001). Conclusion. - NH were highly prevalent and often undetected. SMBG at bedtime, which detected hypoglycaemia had sensitivity almost equal to that of 3-hour and should be preferred because it is easier to perform. Somogyi phenomenon was not observed. CGMS is useful to reduce the risk of NH in 75% of patients.
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Ingestion of pure fructose stimulates de novo lipogenesis and gluconeogenesis. This may however not be relevant to typical nutritional situations, where fructose is invariably ingested with glucose. We therefore assessed the metabolic fate of fructose incorporated in a mixed meal without or with glucose in eight healthy volunteers. Each participant was studied over six hours after the ingestion of liquid meals containing either 13C-labelled fructose, unlabeled glucose, lipids and protein (Fr + G) or 13C-labelled fructose, lipids and protein, but without glucose (Fr), or protein and lipids alone (ProLip). After Fr + G, plasma 13C-glucose production accounted for 19.0% ± 1.5% and 13CO2 production for 32.2% ± 1.3% of 13C-fructose carbons. After Fr, 13C-glucose production (26.5% ± 1.4%) and 13CO2 production (36.6% ± 1.9%) were higher (p < 0.05) than with Fr + G. 13C-lactate concentration and very low density lipoprotein VLDL 13C-palmitate concentrations increased to the same extent with Fr + G and Fr, while chylomicron 13C-palmitate tended to increase more with Fr + G. These data indicate that gluconeogenesis, lactic acid production and both intestinal and hepatic de novo lipogenesis contributed to the disposal of fructose carbons ingested together with a mixed meal. Co-ingestion of glucose decreased fructose oxidation and gluconeogenesis and tended to increase 13C-pamitate concentration in gut-derived chylomicrons, but not in hepatic-borne VLDL-triacylglycerol (TG). This trial was approved by clinicaltrial. gov. Identifier is NCT01792089.
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The physiological contribution of glucose in thermoregulation is not completely established nor whether this control may involve a regulation of the melanocortin pathway. Here, we assessed thermoregulation and leptin sensitivity of hypothalamic arcuate neurons in mice with inactivation of glucose transporter type 2 (Glut2)-dependent glucose sensing. Mice with inactivation of Glut2-dependent glucose sensors are cold intolerant and show increased susceptibility to food deprivation-induced torpor and abnormal hypothermic response to intracerebroventricular administration of 2-deoxy-d-glucose compared to control mice. This is associated with a defect in regulated expression of brown adipose tissue uncoupling protein I and iodothyronine deiodinase II and with a decreased leptin sensitivity of neuropeptide Y (NPY) and proopiomelanocortin (POMC) neurons, as observed during the unfed-to-refed transition or following i.p. leptin injection. Sites of central Glut-2 expression were identified by a genetic tagging approach and revealed that glucose-sensitive neurons were present in the lateral hypothalamus, the dorsal vagal complex, and the basal medulla but not in the arcuate nucleus. NPY and POMC neurons were, however, connected to nerve terminals from Glut2-expressing neurons. Thus, our data suggest that glucose controls thermoregulation and the leptin sensitivity of NPY and POMC neurons through activation of Glut2-dependent glucose-sensing neurons located outside of the arcuate nucleus.
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After nutrient ingestion there is an increase in energy expenditure that has been referred to as dietary-induced thermogenesis. In the present study we have employed indirect calorimetry to compare the increment in energy expenditure after the ingestion of 75 g of glucose or fructose in 17 healthy volunteers. During the 4 h after glucose ingestion the plasma insulin concentration increased by 33 +/- 4 microU/ml and this was associated with a significant increase in carbohydrate oxidation and decrement in lipid oxidation. Energy expenditure increased by 0.08 +/- 0.01 kcal/min. When fructose was ingested, the plasma insulin concentration increased by only 8 +/- 2 microU/ml vs. glucose. Nonetheless, the increments in carbohydrate oxidation and decrement in lipid oxidation were significantly greater than with glucose. The increment in energy expenditure was also greater with fructose. When the mean increment in plasma insulin concentration after fructose was reproduced using the insulin clamp technique, the increase in carbohydrate oxidation and decrement in lipid oxidation were markedly reduced compared with the fructose-ingestion study; energy expenditure failed to increase above basal levels. To examine the role of the adrenergic nervous system in fructose-induced thermogenesis, fructose ingestion was also performed during beta-adrenergic blockade with propranolol. The increase in energy expenditure during fructose plus propranolol was lower than with fructose ingestion alone. These results indicate that the stimulation of thermogenesis after carbohydrate ingestion is related to an augmentation of cellular metabolism and is not dependent on an increase in the plasma insulin concentration per se.(ABSTRACT TRUNCATED AT 250 WORDS)
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In this study we investigated the variations of the maximal activities of the rate-controlling glycolytic enzymes (i.e., hexokinase, HK; phosphofructokinase, PFK; pyruvate kinase, PK) and of the pyruvate-dehydrogenase complex (PDHc) during the early embryogenesis of Xenopus laevis (from cleavage through hatching). All the enzymatic assays, using different coupled reactions, were performed spectrophotometrically on cytosolic and mitochondrial fractions. The maximal HK activity increases markedly from neurulation onwards, PFK activity presents a peak around gastrulation, PK activity remains relatively constant throughout the period studied and the highest PDHc activity is observed during cleavage. The specific activities display the same temporal pattern. Furthermore, in the sequence of reactions by which glucose is degraded to form acetyl-CoA, the maximal activities of PFK and PK are not limiting while those of HK and PDHc could be rate-limiting at relatively late developmental stages (hatching).