964 resultados para 1910-1945


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A careful study of Siam's public monuments is the key to understanding the development of the Siamese nation in its formative period, from 1908 to 1945. As Siam's elites attempted to modernize the state in order to compete with the more developed powers of the West, they recognized that nationalism could potentially be used as a force to increase popular unity, consolidate modernization programs, legitimize their own authority, and protect the country from foreign conquest. The problem they faced, however, was how best to communicate nationalism to the people. Different factions throughout this era had their own idea of what it meant to be Siamese, and all of them wanted to control the national image. But literacy in Siam was extremely low, and art too expensive for most individuals to possess. Public political monuments, the focus of this thesis, therefore became the primary means of manifesting and propagating the underlying tenets of the new Siamese nation. Public monuments express the changing imaginings of the Siamese nation in this period of enormous transformations and turbulence, through the motives behind their commissioning, the political messages they convey, and popular reactions to the monuments. Three primary strains of Siamese nationalism emerged during this period: royalist nationalism, republican nationalism, and military nationalism. These three imaginings of the nation continually developed and interacted with each other, but each was particularly dominant at a given time in Siamese history. Monuments of the royalist period (1908-1925) embody the desire of Siam's kings to not only promote national pride amongst the Siamese people, but also advocate an image of nation and king as one. Monuments of the republican period (1925-1939) express the changing and sometimes contradictory events of their times, as they demonstrate new national values based on the sovereignty of the people, the value of the constitution, and the growing power of the military. And monuments of the military period (1939-1945) espouse an assertive and militaristic national image of warfare, patriotism, authority, and vigor. This thesis explores the nationalistic themes expressed in these monuments, and how these themes played out in the course of Siam's wider history.

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Dans l’histoire des civilisations, le contexte de guerre a très généralement placé les femmes en marge des actions de guerre. Au propre comme au figuré, elles y apparaissent le plus souvent protégées, écartées des fronts, qui semblent conséquemment être la seule affaire des hommes du fait de l’usage généralisé de la violence. C’est logiquement l’idée répandue qu’on s’en fait des occidentales établies en colonies africaines, surtout qu’entre 1914 et 1918, notamment au Cameroun, territoire colonial allemand disputé avec la France et l’Angleterre, les coloniales allemandes ont été prioritairement surprotégées1. Pourtant, il n’en a pas toujours été ainsi de toutes les crises majeures vécues sur ce territoire colonial. La période française apparaît plus intéressante en ceci que l’exclusion des blanches du front y a été peu évidente. La spécificité du Cameroun entre intérêts français et allemands, et la guerre fratricide qui mettent en opposition idéologique les Français entre eux, sont autant de raisons qui convoquent une attitude particulière des administrateurs coloniaux du Cameroun pour la défense du territoire. Entre 1939 et 1945 en effet, ils mettent à contribution la gente féminine dans la plupart de leurs stratégies adoptées pour la protection des acquis français outre-mer. De fait, au milieu des démonstrations de force essentiellement viriles vécues alors, il faut parfois compter sur une catégorie de femmes qui t battent parallèlement en brèche les stéréotypes liés au sexe, pour pénétrer un cercle fermé et jouer un rôle plus ou moins déterminant dans la défense de ce territoire français outre-mer. Face aux velléités de sujétion nazie qu’elles récusent, quelques coloniales surtout françaises se frottent exceptionnellement aux protagonistes du moment pour clairement s’affirmer comme de valeureuses résistantes de l’intégrité territoriale française. Qui étaient ces résistantes à l’ordre nazi au Cameroun ? Pourquoi et comment s’intègrent-elles dans le mouvement de résistance local ? A quel titre et de quelle manière ? Quels rôles y jouent-elles entre 1939 et 1945 ? Des questions pertinentes qu’il serait loisible d’analyser en profondeur afin de mettre en lumière la véritable participation féminine pour la vie et à la survie de la France en colonie, notamment au Cameroun. (Cameroun 1939 - 1945, Femmes, activisme français, résistance)

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