48 resultados para luonnontilaisen kaltainen korpi


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Abstract During the last few decades, there has been an increasing international recognition of the studies related to the analysis of the family models change, the focus being the determinants of the female employment and the problems related to the work family balance (Lewis, 2001; Petit & Hook, 2005Saraceno, Crompton & Lyonette, 20062008; Pfau-Effinger, 2012). The majority of these studies have been focused on the analysis of the work-family balance problems as well as the effectiveness of the family and gender policies in order to encourage female employment (Korpi et al., 2013). In Spain, special attention has been given to the family policies implemented, the employability of women and on the role of the father in the family (Flaquer et al., 2015; Meil, 2015); however, there has been far less emphasis on the analysis of the family cultural models (González and Jurado, 2012; Crespi and Moreno, 2016). The purpose of this paper is to present some of the first results on the influence of the socio-demographic factors on the expectations and attitudes about the family models. This study offers an analytical reflection upon the foundation of the determinants of the family ambivalence in Spain from the cultural and the institutional dimension. This study shows the Spanish family models of preferences following the Pfau-Effinger (2004) classification of the famiy living arrangements. The reason for this study is twofold; on the one hand, there is confirmed the scarcity of studies that have focused their attention on this objective in Spain; on the other hand, the studies carried out in the international context have confirmed the analytical effectiveness of researching on the attitude and value changes to explain the meaning and trends of the family changes. There is also presented some preliminary results that have been obtained from the multinomial analysis related to the influence of the socio-demographic factors on the family model chosen by the individuals in Spain (father and mother working full time; mother part-time father full-time; mother not at work father full-time; mother and father part-time). 3 The database used has been the International Social Survey Programme: Family and Changing Gender Roles IV- ISSP 2012-. Spain is the only country of South Europe that has participated in the survey. For this reason it has been considered as a representative case study.

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Le Paradoxe de la redistribution de Walter Korpi et Joakim Palme (1998) postule que les États-providences qui ont des dépenses sociales moins ciblées redistribuent davantage. Ive Marx, Lina Salanauskaite et Gerlinde Verbist (2013) ont toutefois constaté que le paradoxe démontré grâce à une corrélation entre un indice de redistribution et un indice de ciblage des dépenses sociales n'était plus valide dans les années 2000. En reproduisant les corrélations, il apparaît que l'augmentation importante du ciblage dans des pays qui redistribuent beaucoup comme le Danemark et la Suède est la principale cause de la disparition de la corrélation entre redistribution et ciblage. Lors des crises économiques dans les années 1980 et 1990, les prestations maximales déjà relativement faibles ainsi que la volonté de maintenir les prestations minimums et les taux de remplacement de la part des partis sociaux-démocrates ont poussé les gouvernements danois et suédois à réduire les prestations maximales afin de limiter l’augmentation des dépenses, augmentant ainsi le ciblage des dépenses sociales tout en préservant le caractère universel des programmes. L’augmentation du ciblage des dépenses sociales n’a pas eu d’effets négatifs sur la redistribution particulièrement au Danemark où la redistribution a augmenté et les inégalités diminué entre la fin des années 80 et le milieu des années 2000.

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Le Paradoxe de la redistribution de Walter Korpi et Joakim Palme (1998) postule que les États-providences qui ont des dépenses sociales moins ciblées redistribuent davantage. Ive Marx, Lina Salanauskaite et Gerlinde Verbist (2013) ont toutefois constaté que le paradoxe démontré grâce à une corrélation entre un indice de redistribution et un indice de ciblage des dépenses sociales n'était plus valide dans les années 2000. En reproduisant les corrélations, il apparaît que l'augmentation importante du ciblage dans des pays qui redistribuent beaucoup comme le Danemark et la Suède est la principale cause de la disparition de la corrélation entre redistribution et ciblage. Lors des crises économiques dans les années 1980 et 1990, les prestations maximales déjà relativement faibles ainsi que la volonté de maintenir les prestations minimums et les taux de remplacement de la part des partis sociaux-démocrates ont poussé les gouvernements danois et suédois à réduire les prestations maximales afin de limiter l’augmentation des dépenses, augmentant ainsi le ciblage des dépenses sociales tout en préservant le caractère universel des programmes. L’augmentation du ciblage des dépenses sociales n’a pas eu d’effets négatifs sur la redistribution particulièrement au Danemark où la redistribution a augmenté et les inégalités diminué entre la fin des années 80 et le milieu des années 2000.