944 resultados para gene mutation


Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

A Porfiria Cutânea Tardia (PCT) é uma desordem dermatológica, caracterizada por fotossensibilidade induzida pela circulação de porfirinas que se depositam na pele. Tanto a forma familial como a esporádica são desordens dependentes do acúmulo de ferro. A presença da mutação do gene da Hemocromatose (HFE) é um importante fator de risco para o acúmulo de ferro e pouco se sabe sobre sua prevalência na população brasileira. Da mesma forma, existem poucos relatos a respeito da associação entre mutação do gene HFE e Porfiria Cutânea Tardia. No presente trabalho descrevemos as frequências dos principais alelos e genótipos do gene da Hemocromatose HFE1 em uma coorte de 25 pacientes brasileiros atendidos no HUPE, com Porfiria Cutânea Tardia, durante o período de janeiro 1990 à dezembro 2012, realizando uma correlação da presença desta mutação com a sobrecarga de ferro neste grupo de pacientes. Neste estudo foi utilizado um grupo controle da população fluminense pareado por idade, sexo e grupo étnico informado, para comparar com os dados avaliados dos pacientes com PCT. A pesquisa das mutações genéticas C282Y e H63D do gene da hemocromatose ocorreu através de técnicas de PCR tempo real e e os resultados ratificados por sequenciamento de Sanger. Dos resultados encontrados, não ocorreram diferenças estatísticas significativas nas frequências alélicas e genotípicas das mutações C282Y e H63D entre a coorte com PCT e a população controle. Entretanto, há um forte indício da participação da mutação H63D em um paciente homozigoto, para desenvolvimento da doença, conforme observado na literatura. Dos ensaios bioquímicos, os níveis de ferritina encontrados entre os pacientes portadores de PCT com a mutação H63D foram maiores que os indivíduos sem a mutação.

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

Haemophilia A is a mutationally heterogeneous disorder with approximately 1,000 unique mutations of the Factor VIII (F8) gene recorded to date [1]. With the exception of the intron 22 inversion mutation, which occurs in ~45% of individuals with clinically severe disease, recurrent mutations causing haemophilia A are rare. This reflects a high rate of spontaneous mutation within the F8 gene generally resulting in private mutations within individual kindreds. We have identified a recurrent F8 gene mutation in Irish haemophilia A patients and have used haplotype analysis to investigate its origins.

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

Background: To determine the role of rhodopsin (RHO) gene mutations in patients with sector retinitis pigmentosa (RP) from Northern Ireland.

Design: A case series of sector RP in a tertiary ocular genetics clinic.

Participants: Four patients with sector RP were recruited from the Royal Victoria Hospital (Belfast, Northern Ireland) and Altnagelvin Hospital (Londonderry, Northern Ireland) following informed consent.

Methods: The diagnosis of sector RP was based on clinical examination, International Society for Clinical Electrophysiology of Vision (ISCEV) standard electrophysiology, and visual field analysis. DNA was extracted from peripheral blood leucocytes and the coding regions and adjacent flanking intronic sequences of the RHO gene were polymerase chain reaction (PCR) amplified and cycle sequenced.

Main Outcome Measure: Rhodopsin mutational status.

Results: A heterozygous missense mutation in RHO (c.173C > T) resulting in a non-conservative substitution of threonine to methionine (p. Thr58Met) was identified in one patient and was absent from 360 control individuals. This non-conservative substitution (p.Thr58Met) replaces a highly evolutionary conserved polar hydrophilic threonine residue with a non-polar hydrophobic methionine residue at position 58 near the cytoplasmic border of helix A of RHO.

Conclusions: The study identified a RHO gene mutation (p.Thr58Met) not previously reported in RP in a patient with sector RP. These findings outline the phenotypic variability associated with RHO mutations. It has been proposed that the regional effects of RHO mutations are likely to result from interplay between mutant alleles and other genetic, epigenetic and environmental factors.

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

Le cancer du sein est une maladie multifactorielle, plusieurs facteurs socio-économiques, alimentaires ainsi que le style de vie ayant été incriminés dans son développement. Une mutation germinale sur un des gènes BRCA1 ou BRCA2 serait responsable d’une augmentation du risque de développer un cancer du sein de 50 à 80% chez les femmes porteuses d’une mutation sur BRCA1 ou BRCA2 par comparaison aux non- porteuses. Plusieurs études rapportant l’existence d’une association entre la fréquence des cancers du sein sporadiques, les habitudes alimentaires et le style de vie des femmes atteintes, ceci, nous a amené à nous interroger sur le rôle que pourrait jouer ces mêmes facteurs chez les femmes porteuses d’une mutation sur BRCA1 ou BRCA2. Pour répondre à cette question, nous avons effectué une étude cas-témoin. Nos quarante-quatre cas sont porteuses d’une mutation germinale parmi 6 des 14 mutations fondatrices sur BRCA1 et BRCA2 les plus fréquentes dans la population Canadienne Française. Elles sont issues d’une cohorte de plus de 1000 femmes Canadiennes Françaises atteintes de cancers du sein recrutées depuis 1994 et testées pour ces 6 mutations. Les témoins sont recrutés parmi des femmes de la population Canadienne Française, également porteuses d’une de ces six mutations fondatrices de BRCA1 ou BRCA2, mais indemnes de cancers. Quinze d’entre elles ont été recrutées dans les familles des cas de l’étude initiale. Vingt-neuf ont été recrutées à la clinique des cancers familiaux du CHUM, nous permettant ainsi de totaliser 44 témoins. Deux questionnaires ont été administrés aux cas et aux témoins. Le premier, dit Questionnaire de base, a servi à recenser les informations sociodémographiques et le style de vie, couvrant ainsi les deux années précédant la découverte du cancer du sein pour les cas et les deux années précédant la découverte de la mutation pour les témoins. Le deuxième questionnaire, Questionnaire de nutrition, a permis de colliger les informations sur les habitudes alimentaires durant la même période de recueil de données. Une association positive et significative entre le risque de cancer du sein et le niveau d’éducation a été observé parmi les sujets de niveau universitaire (>14 années d’étude) comparés aux sujets n’ayant pas dépassé le niveau d’études secondaires (<11 années d’études) [OR= 7,82; IC95% : (1,99-30,69); p=0,003]. Nous avons mis en évidence que le risque de cancer du sein augmentait lorsque les sujets atteignaient leur poids maximum à un âge avancé > 48 ans [OR = 4,27 ; IC 95% : (0,82-22,25)]. Nous avons montré que le risque du cancer du sein diminuait pour une durée d’allaitement supérieure à 7 mois par comparaison aux femmes n’ayant jamais allaité [OR= 0,35; IC 95% : (0,12-1,06)] mais cette association est non significative. Les porteuses qui pratiquent plus de 22,45 Met-h-sem d’activité physique modérée, comparativement à celles qui pratiquent moins de 11,45 Met-h-sem voient leur risque de cancer du sein diminué de 72% [OR=0,28- IC 95% : (0,08-0,95); p=0,04]. Celles qui pratiquent plus de 31,95 Met-h-sem d’activité physique totale comparativement à celles qui pratiquent moins de 16,40 Met-h-sem voient leur risque de cancer du sein réduit de 79 % [OR=0,21; IC 95% : (0,06-0,75); p= 0,02]. L’analyse des macro et micronutriments et des groupes alimentaires a démontré qu’une consommation de plus de 23,20 g/j d’acide gras monoinsaturés est responsable d’une augmentation du risque de cancer du sein de 6 fois par comparaison à une consommation inférieure à 17,08 g/j [OR=6,00; IC 95% : (0,97-37,02); p=0,05]. Une consommation de plus de 221,79 µg/j de vitamine K réduit le risque du cancer du sein de 83 % par comparaison à une consommation inférieure à 143,57 µg/j [OR= 0,17; IC95% : (0,05-0,61) ; p=0,007]. La consommation de fruits est associée à une réduction du risque de cancer du sein de 73% chez les porteuses de mutations qui en consomment plus de 563,31 g/j comparée à celles qui en consomment moins de 356,18 g/j [OR= 0,27; IC 95% : (0,07-1,01) ; p=0,05]. Nos résultats confortent l’hypothèse selon laquelle le style de vie et les habitudes alimentaires jouent un rôle dans le développement du cancer du sein chez les Canadiennes Françaises porteuses de mutations d’une des 6 mutations fondatrices de BRCA1 ou 2 étudiées. En effet, un niveau d’éducation élevé, un gain de poids sont associés à un risque élevé de développer un cancer du sein. De plus la pratique de l’allaitement et d’une activité physique modérée sont associées à une réduction de ce risque. Nous montrons aussi que la consommation d’acides gras monoinsaturés est responsable d’une augmentation du risque de ce cancer et que la consommation de vitamine K et de fruits permet de réduire ce risque. Nos résultats ouvrent une nouvelle voie de recherche par rapport au rôle de certains nutriments dans le développement du cancer du sein chez les porteuses de mutation d’un des gènes BRCA. Cette voie pourrait également être explorée chez les non porteuses.

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

We present clinical and molecular evaluation from a large cohort of patients with Stickler syndrome: 78 individuals from 21 unrelated Brazilian families. The patients were selected in a Hospital with a craniofacial dysmorphology assistance service and clinical diagnosis was based on the presence of cleft palate associated to facial and ocular anomalies of Stickler syndrome. Analysis of COL2A1 gene revealed 9 novel and 4 previously described pathogenic mutations. Except for the mutation c.556G>T (p.Gly186X), all the others were located in the triple helical domain. We did not find genotype/phenotype correlation in relation to type and position of the mutation in the triple helical domain. However, a significantly higher proportion of myopia in patients with mutations located in this domain was observed in relation to those with the mutation in the non-tripe helical domain (c.556G>T; P < 0.04). A trend towards a higher prevalence of glaucoma, although not statistically significant, was observed in the presence of the mutation c.556G>T. It is possible. that this mutation alters the splicing of the mRNA instead of only creating a premature stop codon and therefore it can lead to protein products of different ocular effects. One novel DNA variation (c.1266+7G>C) occurs near a splice site and it was observed to co-segregate with the phenotype in one of the two families with this DNA variation. As in silico analysis predicted that the c.1266+7G>C DNA variation can affect the efficiency of the splicing, we still cannot rule it out as non-pathogenic. Our study also showed that ascertainment through cleft palate associated to other craniofacial signs can be very efficient for identification of Stickler syndrome patients. Still, high frequency of familial cases and high frequency of underdevelopment of distal lateral tibial epiphyses observed in our patients suggested that the inclusion of this information can improve the clinical diagnosis of Stickler syndrome. (C) 2008 Elsevier Masson SAS. All rights reserved.

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

Databases of mutations causing Mendelian disease play a crucial role in research, diagnostic and genetic health care and can play a role in life and death decisions. These databases are thus heavily used, but only gene or locus specific databases have been previously reviewed for completeness, accuracy, currency and utility. We have performed a review of the various general mutation databases that derive their data from the published literature and locus specific databases. Only two—the Human Gene Mutation Database (HGMD) and Online Mendelian Inheritance in Man (OMIM)—had useful numbers of mutations. Comparison of a number of characteristics of these databases indicated substantial inconsistencies between the two databases that included absent genes and missing mutations. This situation strengthens the case for gene specific curation of mutations and the need for an overall plan for collection, curation, storage and release of mutation data.

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

A hiper-homocisteinemia, resultante da deficiência na conversão da homocisteína em cistationina, constitui em fator de risco isolado para doenças vasculares. A mutação 844ins68 do gene da cistationina beta-sintetase é um fator adicional de risco para a trombose venosa profunda. O objetivo deste estudo foi avaliar a freqüência da mutação 844ins68 do gene da cistationina beta-sintetase em pacientes com trombose venosa profunda. Foram avaliados em estudo caso-controle 95 pacientes com trombose venosa profunda, a presença da mutação 844ins68 no éxon 8 do gene da cistationina beta-sintetase. Como critério de inclusão foi adotada a presença de trombose venosa profunda confirmada pelo dúplex ou flebografia. O grupo controle constituiu-se de 95 doadores de sangue, sem história familiar prévia de trombose venosa, com sexo, grupo étnico e idades pareados aos do grupo de estudo. Foram coletados 5 mL de sangue venoso com o uso de anticoagulante EDTA de cada participante. O DNA foi extraído dos leucócitos pelo método DTAB e CTAB. A detecção da mutação do gene foi realizada por amplificação de um segmento gênico por PCR, com iniciadores que flanqueiam a região de inserção e com revelação em gel de agarose a 2%, corado com brometo de etídio, sob luz UV. O fragmento correspondente ao alelo normal contém 184 pares de base e o correspondente ao alelo mutante, 252 pares de base. O teste exato de Fisher foi utilizado na análise dos resultados. A condição heterozigota para a mutação foi encontrada em 14,73% dos pacientes e em 3,1% dos indivíduos do grupo controle (p = 0,009). A freqüência do alelo mutante mostrou diferença significativa (p = 0,01), sendo 0,074 para os pacientes versus 0,016 para o grupo controle. Não foram encontrados casos de homozigose.

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq)

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

Hereditary hemochromatosis is a disorder of iron metabolism characterized by increased iron intake and progressive storage and is related to mutations in the HFE gene. Interactions between thalassemia and hemochromatosis may further increase iron overload. The ethnic background of the Brazilian population is heterogeneous and studies analyzing the simultaneous presence of HFE and thalassemia-related mutations have not been carried out. The aim of this study was to evaluate the prevalence of the H63D, S65C and C282Y mutations in the HFE gene among 102 individuals with alpha-thalassemia and 168 beta-thalassemia heterozygotes and to compare them with 173 control individuals without hemoglobinopathies. The allelic frequencies found in these three groups were 0.98, 2.38, and 0.29% for the C282Y mutation, 13.72, 13.70, and 9.54% for the H63D mutation, and 0, 0.60, and 0.87% for the S65C mutation, respectively. The chi-square test for multiple independent individuals indicated a significant difference among groups for the C282Y mutation, which was shown to be significant between the beta-thalassemia heterozygote and the control group by the Fisher exact test (P value = 0.009). The higher frequency of inheritance of the C282Y mutation in the HFE gene among beta-thalassemic patients may contribute to worsen the clinical picture of these individuals. In view of the characteristics of the Brazilian population, the present results emphasize the need to screen for HFE mutations in beta-thalassemia carriers.

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

Glucose-6-phosphate dehydrogenase (G6PD) deficiency is an enzymopathy in which reduced NADPH concentrations are not maintained, resulting in oxidative damage. We evaluated G6PD activity, oxidative stress levels and Trolox equivalent antioxidant capacity in individuals with the A-(202G>A) mutation for G6PD deficiency. Five hundred and forty-four peripheral blood samples were screened for G6PD deficiency; we also analyzed lipid peroxidation products measured as thiobarbituric acid reactive species and Trolox equivalent antioxidant capacity. Men with the A-(202G>A) mutation had lower G6PD activity than women with the same mutation. Individuals with the A-(202G>A) mutation also differed in mean Trolox equivalent antioxidant capacity values but not for thiobarbituric acid reactive species values. We concluded that A-(202G>A) mutation is associated with reduced G6PD activity and increased Trolox equivalent antioxidant capacity. ©FUNPEC-RP.

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

O câncer colorretal é um grave problema de saúde pública na região norte, sendo a 3a neoplasia mais frequente entre os homens e a 2a entre as mulheres. Cerca de 10% destes tumores são hereditários e a polipose adenomatosa familial está entre as principais causas destes. Mutações no gene APC são responsáveis pelo desenvolvimento de tumores nestes pacientes e estão presentes desde a fase mais precoce na carcinogênese, além disso, existe uma relação entre o tipo de mutação e apresentação clínica da doença. Até o presente momento não existe uma publicação com o perfil de mutação do gene APC na região norte do país. Este trabalho tem como objetivo principal, identificar o perfil de mutações no gene APC em famílias do estado do Pará. Um total de 15 pacientes foi analisado provenientes de cinco famílias, todos atendidos no UNACON do HUJBB. Foi realizado a extração de DNA do sangue periférico e realizado um sequenciamento direto em um membro de cada família, obtendo desta forma um screening molecular e os demais membros da família foram genotipados pela técnica ARMS. A análise estatística foi realizada pelos softwares que acompanham o próprio produto. Neste estudo foram encontrados mutações nos 15 membros estudados (provenientes das 5 famílias), 40% das quais eram do tipo frameshift, 35% silenciadoras e 20% nonsense. Sendo que 60% de todas as mutações ocorreram na região MCR. Entre as três mutações mais frequentes na literatura, neste estudo foram encontradas duas: códon 1309 (em 40% dos indivíduos) e no códon 1061 (em 10% dos indivíduos). Estes números foram bem diferentes dos encontrados na literatura, reforçando o papel da miscigenação na frequência das mutações. A mutação c.3956delC foi a única encontrada em todas as famílias analisadas, o que pode comportar-se como um forte biomarcador desta síndrome. A avaliação clínica dos pacientes confirmou a correlação genótipo/fenótipo, sendo um fator determinante para o direcionamento clínico e aconselhamento genético. A plataforma confeccionada para análise de mutações pela técnica ARMS será de grande utilidade, já que conseguiu detectar mutações no 15 indivíduos estudados a um custo bem inferior que o sequenciamento direto por PCR.

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

Noonan syndrome (NS) and Noonan-related disorders [cardio-facio-cutaneous (CFC), Costello, Noonan syndrome with multiple lentigines (NS-ML), and neurofibromatosis-Noonan syndromes (NFNS)] are a group of developmental disorders caused by mutations in genes of the RAS/MAPK pathway. Mutations in the KRAS gene account for only a small proportion of affected Noonan and CFC syndrome patients that present an intermediate phenotype between these two syndromes, with more frequent and severe intellectual disability in NS and less ectodermal involvement in CFC syndrome, as well as atypical clinical findings such as craniosynostosis. Recently, the first familial case with a novel KRAS mutation was described. We report on a second vertical transmission (a mother and two siblings) with a novel mutation (p.M72L), in which the proband has trigonocephaly and the affected mother and sister, prominent ectodermal involvement. Metopic suture involvement has not been described before, expanding the main different cranial sutures which can be affected in NS and KRAS gene mutations. The gene alteration found in the studied family is in close proximity to the one reported in the other familial case (close to the switch II region of the G-domain), suggesting that this specific region of the gene could have less severe effects on intellectual ability than the other KRAS gene mutations found in NS patients and be less likely to hamper reproductive fitness. (c) 2012 Wiley Periodicals, Inc.