52 resultados para elastography


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BACKGROUND Prisoners represent a vulnerable population for blood-borne and sexually transmitted infections which can potentially lead to liver fibrosis and ultimately cirrhosis. However, little is known about the prevalence of liver fibrosis and associated risk factors among inmates in sub-Saharan Africa. METHODS Screening of liver fibrosis was undertaken in a randomly selected sample of male inmates incarcerated in Lome, Togo and in Dakar, Senegal using transient elastography. A liver stiffness measurement ≥9.5 KPa was retained to define the presence of a severe liver fibrosis. All included inmates were also screened for HIV, Hepatitis B Virus (HBV) and Hepatitis C Virus (HCV) infection. Substances abuse including alcohol, tobacco and cannabis use were assessed during face-to-face interviews. Odds Ratio (OR) estimates were computed with their 95 % Confidence Interval (CI) to identify factors associated with severe liver fibrosis. RESULTS Overall, 680 inmates were included with a median age of 30 years [interquartile range: 24-35]. The prevalence of severe fibrosis was 3.1 % (4.9 % in Lome and 1.2 % in Dakar). Infections with HIV, HBV and HCV were identified in 2.6 %, 12.5 % and 0.5 % of inmates, respectively. Factors associated with a severe liver fibrosis were HIV infection (OR = 7.6; CI 1.8-32.1), HBV infection (OR = 4.8; CI 1.8-12.8), HCV infection (OR = 52.6; CI 4.1-673.8), use of traditional medicines (OR = 3.7; CI 1.4-10.1) and being incarcerated in Lome (OR = 3.3; CI 1.1-9.8) compared to Dakar. CONCLUSIONS HIV infection and viral hepatitis infections were identified as important and independent determinants of severe liver fibrosis. While access to active antiviral therapies against HIV and viral hepatitis expands in Africa, adapted strategies for the monitoring of liver disease need to be explored, especially in vulnerable populations such as inmates.

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An important aspect of managing chronic liver disease is assessing for evidence of fibrosis. Historically, this has been accomplished using liver biopsy, which is an invasive procedure associated with risk for complications and significant sampling and observer error, limiting the accuracy for determination of fibrosis stage. Hence, several serum biomarkers and imaging methods for noninvasive assessment of liver fibrosis have been developed. In this article, we review the current literature on an important noninvasive imaging modality to measure tissue elastography (FibroScan(®)). This ultrasound-based technique is now increasingly available in many countries and has been shown to be a reliable and safe noninvasive means of assessing disease severity in chronic liver disease of varying etiology.

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Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde et les anévrismes de l’aorte abdominale (AAAs) font partie de ce lot déplorable. Un anévrisme est la dilatation d’une artère pouvant conduire à la mort. Une rupture d’AAA s’avère fatale près de 80% du temps. Un moyen de traiter les AAAs est l’insertion d’une endoprothèse (SG) dans l’aorte, communément appelée la réparation endovasculaire (EVAR), afin de réduire la pression exercée par le flux sanguin sur la paroi. L’efficacité de ce traitement est compromise par la survenue d’endofuites (flux sanguins entre la prothèse et le sac anévrismal) pouvant conduire à la rupture de l’anévrisme. Ces flux sanguins peuvent survenir à n’importe quel moment après le traitement EVAR. Une surveillance par tomodensitométrie (CT-scan) annuelle est donc requise, augmentant ainsi le coût du suivi post-EVAR et exposant le patient à la radiation ionisante et aux complications des contrastes iodés. L’endotension est le concept de dilatation de l’anévrisme sans la présence d’une endofuite apparente au CT-scan. Après le traitement EVAR, le sang dans le sac anévrismal coagule pour former un thrombus frais, qui deviendra progressivement un thrombus plus fibreux et plus organisé, donnant lieu à un rétrécissement de l’anévrisme. Il y a très peu de données dans la littérature pour étudier ce processus temporel et la relation entre le thrombus frais et l’endotension. L’étalon d’or du suivi post-EVAR, le CT-scan, ne peut pas détecter la présence de thrombus frais. Il y a donc un besoin d’investir dans une technique sécuritaire et moins coûteuse pour le suivi d’AAAs après EVAR. Une méthode récente, l’élastographie dynamique, mesure l’élasticité des tissus en temps réel. Le principe de cette technique repose sur la génération d’ondes de cisaillement et l’étude de leur propagation afin de remonter aux propriétés mécaniques du milieu étudié. Cette thèse vise l’application de l’élastographie dynamique pour la détection des endofuites ainsi que de la caractérisation mécanique des tissus du sac anévrismal après le traitement EVAR. Ce projet dévoile le potentiel de l’élastographie afin de réduire les dangers de la radiation, de l’utilisation d’agent de contraste ainsi que des coûts du post-EVAR des AAAs. L’élastographie dynamique utilisant le « Shear Wave Imaging » (SWI) est prometteuse. Cette modalité pourrait complémenter l’échographie-Doppler (DUS) déjà utilisée pour le suivi d’examen post-EVAR. Le SWI a le potentiel de fournir des informations sur l’organisation fibreuse du thrombus ainsi que sur la détection d’endofuites. Tout d’abord, le premier objectif de cette thèse consistait à tester le SWI sur des AAAs dans des modèles canins pour la détection d’endofuites et la caractérisation du thrombus. Des SGs furent implantées dans un groupe de 18 chiens avec un anévrisme créé au moyen de la veine jugulaire. 4 anévrismes avaient une endofuite de type I, 13 avaient une endofuite de type II et un anévrisme n’avait pas d’endofuite. Des examens échographiques, DUS et SWI ont été réalisés à l’implantation, puis 1 semaine, 1 mois, 3 mois et 6 mois après le traitement EVAR. Une angiographie, un CT-scan et des coupes macroscopiques ont été produits au sacrifice. Les régions d’endofuites, de thrombus frais et de thrombus organisé furent identifiées et segmentées. Les valeurs de rigidité données par le SWI des différentes régions furent comparées. Celles-ci furent différentes de façon significative (P < 0.001). Également, le SWI a pu détecter la présence d’endofuites où le CT-scan (1) et le DUS (3) ont échoué. Dans la continuité de ces travaux, le deuxième objectif de ce projet fut de caractériser l’évolution du thrombus dans le temps, de même que l’évolution des endofuites après embolisation dans des modèles canins. Dix-huit anévrismes furent créés dans les artères iliaques de neuf modèles canins, suivis d’une endofuite de type I après EVAR. Deux gels embolisants (Chitosan (Chi) ou Chitosan-Sodium-Tetradecyl-Sulfate (Chi-STS)) furent injectés dans le sac anévrismal pour promouvoir la guérison. Des examens échographiques, DUS et SWI ont été effectués à l’implantation et après 1 semaine, 1 mois, 3 mois et 6 mois. Une angiographie, un CT-scan et un examen histologique ont été réalisés au sacrifice afin d’évaluer la présence, le type et la grosseur de l’endofuite. Les valeurs du module d’élasticité des régions d’intérêts ont été identifiées et segmentées sur les données pathologiques. Les régions d’endofuites et de thrombus frais furent différentes de façon significative comparativement aux autres régions (P < 0.001). Les valeurs d’élasticité du thrombus frais à 1 semaine et à 3 mois indiquent que le SWI peut évaluer la maturation du thrombus, de même que caractériser l’évolution et la dégradation des gels embolisants dans le temps. Le SWI a pu détecter des endofuites où le DUS a échoué (2) et, contrairement au CT-scan, détecter la présence de thrombus frais. Finalement, la dernière étape du projet doctoral consistait à appliquer le SWI dans une phase clinique, avec des patients humains ayant déjà un AAA, pour la détection d’endofuite et la caractérisation de l’élasticité des tissus. 25 patients furent sélectionnés pour participer à l’étude. Une comparaison d’imagerie a été produite entre le SWI, le CT-scan et le DUS. Les valeurs de rigidité données par le SWI des différentes régions (endofuite, thrombus) furent identifiées et segmentées. Celles-ci étaient distinctes de façon significative (P < 0.001). Le SWI a détecté 5 endofuites sur 6 (sensibilité de 83.3%) et a eu 6 faux positifs (spécificité de 76%). Le SWI a pu détecter la présence d’endofuites où le CT-scan (2) ainsi que le DUS (2) ont échoué. Il n’y avait pas de différence statistique notable entre la rigidité du thrombus pour un AAA avec endofuite et un AAA sans endofuite. Aucune corrélation n’a pu être établie de façon significative entre les diamètres des AAAs ainsi que leurs variations et l’élasticité du thrombus. Le SWI a le potentiel de détecter les endofuites et caractériser le thrombus selon leurs propriétés mécaniques. Cette technique pourrait être combinée au suivi des AAAs post-EVAR, complémentant ainsi l’imagerie DUS et réduisant le coût et l’exposition à la radiation ionisante et aux agents de contrastes néphrotoxiques.

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Autoimmune hepatitis (AIH) is a disease of unknown aetiology with drug-induced AIH being the most complex and not fully understood type. We present the case of a 57-year-old female patient with acute icteric hepatitis after interferon-beta-1b (IFNβ-1b) administration for multiple sclerosis (MS). Based on liver autoimmune serology, histology and appropriate exclusion of other liver diseases, a diagnosis of AIH-related cirrhosis was established. Following discontinuation of IFNβ-1b, a complete resolution of biochemical activity indices was observed and the patient remained untreated on her own decision. However, 3 years later, after a course of intravenous methylprednisolone for MS, a new acute transaminase flare was recorded which subsided again spontaneously after 3 weeks. Liver biopsy and elastography showed significant fibrosis regression (F2 fibrosis). To our knowledge, this is the first report showing spontaneous cirrhosis regression in an IFNβ-1b-induced AIH-like syndrome following drug withdrawal, suggesting that cirrhosis might be reversible if the offending fibrogenic stimulus is withdrawn.

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Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde et les anévrismes de l’aorte abdominale (AAAs) font partie de ce lot déplorable. Un anévrisme est la dilatation d’une artère pouvant conduire à la mort. Une rupture d’AAA s’avère fatale près de 80% du temps. Un moyen de traiter les AAAs est l’insertion d’une endoprothèse (SG) dans l’aorte, communément appelée la réparation endovasculaire (EVAR), afin de réduire la pression exercée par le flux sanguin sur la paroi. L’efficacité de ce traitement est compromise par la survenue d’endofuites (flux sanguins entre la prothèse et le sac anévrismal) pouvant conduire à la rupture de l’anévrisme. Ces flux sanguins peuvent survenir à n’importe quel moment après le traitement EVAR. Une surveillance par tomodensitométrie (CT-scan) annuelle est donc requise, augmentant ainsi le coût du suivi post-EVAR et exposant le patient à la radiation ionisante et aux complications des contrastes iodés. L’endotension est le concept de dilatation de l’anévrisme sans la présence d’une endofuite apparente au CT-scan. Après le traitement EVAR, le sang dans le sac anévrismal coagule pour former un thrombus frais, qui deviendra progressivement un thrombus plus fibreux et plus organisé, donnant lieu à un rétrécissement de l’anévrisme. Il y a très peu de données dans la littérature pour étudier ce processus temporel et la relation entre le thrombus frais et l’endotension. L’étalon d’or du suivi post-EVAR, le CT-scan, ne peut pas détecter la présence de thrombus frais. Il y a donc un besoin d’investir dans une technique sécuritaire et moins coûteuse pour le suivi d’AAAs après EVAR. Une méthode récente, l’élastographie dynamique, mesure l’élasticité des tissus en temps réel. Le principe de cette technique repose sur la génération d’ondes de cisaillement et l’étude de leur propagation afin de remonter aux propriétés mécaniques du milieu étudié. Cette thèse vise l’application de l’élastographie dynamique pour la détection des endofuites ainsi que de la caractérisation mécanique des tissus du sac anévrismal après le traitement EVAR. Ce projet dévoile le potentiel de l’élastographie afin de réduire les dangers de la radiation, de l’utilisation d’agent de contraste ainsi que des coûts du post-EVAR des AAAs. L’élastographie dynamique utilisant le « Shear Wave Imaging » (SWI) est prometteuse. Cette modalité pourrait complémenter l’échographie-Doppler (DUS) déjà utilisée pour le suivi d’examen post-EVAR. Le SWI a le potentiel de fournir des informations sur l’organisation fibreuse du thrombus ainsi que sur la détection d’endofuites. Tout d’abord, le premier objectif de cette thèse consistait à tester le SWI sur des AAAs dans des modèles canins pour la détection d’endofuites et la caractérisation du thrombus. Des SGs furent implantées dans un groupe de 18 chiens avec un anévrisme créé au moyen de la veine jugulaire. 4 anévrismes avaient une endofuite de type I, 13 avaient une endofuite de type II et un anévrisme n’avait pas d’endofuite. Des examens échographiques, DUS et SWI ont été réalisés à l’implantation, puis 1 semaine, 1 mois, 3 mois et 6 mois après le traitement EVAR. Une angiographie, un CT-scan et des coupes macroscopiques ont été produits au sacrifice. Les régions d’endofuites, de thrombus frais et de thrombus organisé furent identifiées et segmentées. Les valeurs de rigidité données par le SWI des différentes régions furent comparées. Celles-ci furent différentes de façon significative (P < 0.001). Également, le SWI a pu détecter la présence d’endofuites où le CT-scan (1) et le DUS (3) ont échoué. Dans la continuité de ces travaux, le deuxième objectif de ce projet fut de caractériser l’évolution du thrombus dans le temps, de même que l’évolution des endofuites après embolisation dans des modèles canins. Dix-huit anévrismes furent créés dans les artères iliaques de neuf modèles canins, suivis d’une endofuite de type I après EVAR. Deux gels embolisants (Chitosan (Chi) ou Chitosan-Sodium-Tetradecyl-Sulfate (Chi-STS)) furent injectés dans le sac anévrismal pour promouvoir la guérison. Des examens échographiques, DUS et SWI ont été effectués à l’implantation et après 1 semaine, 1 mois, 3 mois et 6 mois. Une angiographie, un CT-scan et un examen histologique ont été réalisés au sacrifice afin d’évaluer la présence, le type et la grosseur de l’endofuite. Les valeurs du module d’élasticité des régions d’intérêts ont été identifiées et segmentées sur les données pathologiques. Les régions d’endofuites et de thrombus frais furent différentes de façon significative comparativement aux autres régions (P < 0.001). Les valeurs d’élasticité du thrombus frais à 1 semaine et à 3 mois indiquent que le SWI peut évaluer la maturation du thrombus, de même que caractériser l’évolution et la dégradation des gels embolisants dans le temps. Le SWI a pu détecter des endofuites où le DUS a échoué (2) et, contrairement au CT-scan, détecter la présence de thrombus frais. Finalement, la dernière étape du projet doctoral consistait à appliquer le SWI dans une phase clinique, avec des patients humains ayant déjà un AAA, pour la détection d’endofuite et la caractérisation de l’élasticité des tissus. 25 patients furent sélectionnés pour participer à l’étude. Une comparaison d’imagerie a été produite entre le SWI, le CT-scan et le DUS. Les valeurs de rigidité données par le SWI des différentes régions (endofuite, thrombus) furent identifiées et segmentées. Celles-ci étaient distinctes de façon significative (P < 0.001). Le SWI a détecté 5 endofuites sur 6 (sensibilité de 83.3%) et a eu 6 faux positifs (spécificité de 76%). Le SWI a pu détecter la présence d’endofuites où le CT-scan (2) ainsi que le DUS (2) ont échoué. Il n’y avait pas de différence statistique notable entre la rigidité du thrombus pour un AAA avec endofuite et un AAA sans endofuite. Aucune corrélation n’a pu être établie de façon significative entre les diamètres des AAAs ainsi que leurs variations et l’élasticité du thrombus. Le SWI a le potentiel de détecter les endofuites et caractériser le thrombus selon leurs propriétés mécaniques. Cette technique pourrait être combinée au suivi des AAAs post-EVAR, complémentant ainsi l’imagerie DUS et réduisant le coût et l’exposition à la radiation ionisante et aux agents de contrastes néphrotoxiques.

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Objetivo: Brindar una guía de práctica clínica basada con la evidencia más reciente para el diagnóstico y tratamiento de la Enfermedad Hepática Grasa No alcohólica teniendo en cuenta la efectividad y seguridad de las intervenciones dirigidas a pacientes, personal asistencial, administrativo y entes gubernamentales de cualquier servicio de atención en Colombia. Materiales y métodos: Esta guía fue desarrollada por un equipo multidisciplinario con apoyo de la Asociación Colombiana de Gastroenterología, el Grupo Cochrane ITS y el Instituto de Investigaciones Clínicas de la Universidad Nacional de Colombia. Se desarrollaron preguntas clínicas relevantes y se realizó la búsqueda de guías nacionales e internacionales en bases de datos especializadas. Las guías existentes fueron evaluadas en términos de calidad y aplicabilidad. Una guía cumplió los criterios de adaptación, por lo que se decidió adaptar 3 preguntas clínicas. El Grupo Cochrane realizó la búsqueda sistemática de la literatura. Las tablas de evidencia y recomendaciones fueron realizadas con base a la metodología GRADE. Las recomendaciones de la guía fueron socializadas en una reunión de expertos con entes gubernamentales y pacientes. Resultados: Se desarrolló una guía de práctica clínica basada en la evidencia para el diagnóstico y tratamiento de la Enfermedad Hepática Grasa No alcohólica en Colombia Conclusiones: El diagnóstico y manejo oportuno de la Enfermedad Hepática Grasa No alcohólica contribuirá a disminuir la carga de la enfermedad en Colombia y las enfermedades asociadas

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Introduzione: La stiffness epato-splenica, misurata attraverso la transient elastography (TE), è stata associata con la fibrosi midollare nei pazienti con malattia mieloproliferativa (MPNs). La rigidità dei tessuti può essere valutata con la shear-wave elastography (SWE), con due tecniche: point (pSWE) e bidimensionale (2DSWE). Obiettivi dello studio sono: 1) identificare le differenze di TE fra i pazienti con MPNs, i cirrotici e volontari sani (HV); 2) valutare specifiche caratteristiche di TE in pazienti con MF, PV ed ET; 3) stabilire una correlazione con il grado di fibrosi midollare. Metodi: in questo studio monocentrico, MPN, cirrotici ed HV hanno eseguito elastometria epato-splenica con pSWE e 2DSWE. Risultati: 236 pazienti sono stati inclusi in questo studio: 64 con MF (27.1%), 33 con PV (14%), 46 con ET (19.4%), 75 HV (32%) e 18 (8%) cirrotici. Al confronto con gli HV, i pazienti con MF hanno maggiore stiffness splenica (pSWE 40.9 vs 26.3 kPa, p<0.001; 2DSWE 34.9 vs 20.1 kPa, p<0.001) ed epatica (pSWE 7.72 vs 5.52 kPa, p<0.001; 2DSWE 6.96 vs 5.01 kPa, p<0.001). Al confronto con i pazienti con PV ed ET, quelli con MF hanno maggiori valori di stiffness epatici (p<0.001) e splenici (p<0.001). In fibrosi di basso (0-1) (n=81 , 60.4%) vs alto grado (2-3) (n=42, 39.6%), sono evidenti valori di stiffness maggiori nei pazienti con fibrosi di alto grado sia per il fegato (pSWE 5.2 vs 6.65 kPa; 2DSWE 5.1 vs 6.05 kPa) che nella milza (pSWE 27.2 vs 37.9 kPa, 2DSWE 21.7 vs 30.75 kPa – p<0.001) Conclusioni: La TE distingue i pazienti con MF sia dai sani che dalle altre MPNs. Valori di TE sono significativamente associati con caratteristiche rilevanti che includono la fibrosi midollare in tutte le MPNs. I valori di stiffness epatici e splenici sono pertanto rilevanti nella diagnosi e management delle MPNs.