103 resultados para dancer, slipper
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La Petite danseuse de quatorze ans (1881) de l’artiste français Edgar Degas (1834-1917) représente et déforme plusieurs catégories sociales et artistiques de son époque. L’œuvre peut ainsi être lue comme une mise en abyme à la fois des changements sociaux et des peurs qu’ils suscitent quant aux redéfinitions du rôle et de la place de la sculpture dans l’art et de l’art, des classes sociales, de la science et de la femme dans la société qui s’opèrent dans la seconde moitié du 19e siècle. D’une mise en contexte de l’œuvre à une analyse de la figure de la ballerine, en passant par une lecture du monde de la poupée et de la criminalité, nous chercherons à montrer comment l’œuvre offre une lecture subversive des valeurs qui sous-tendent ces catégories structurelles du Paris industriel. Ce jeu des catégories fait de la Petite danseuse une œuvre instable et ambiguë à l’image, peut-être exacerbée, de la société. La sculpture de Degas joue avec et surtout entre ces divers pôles de la société parisienne, décloisonnant ceux-ci et proposant une autre façon de comprendre la société contemporaine. Prenant ancrage dans un discours critique postmoderne, féministe et postcolonialist, le présent travail se propose ainsi de réactualiser la fonction critique de l’œuvre.
La melancolía en Atlántida de Oscar Villegas : representación teatral del carácter nacional mexicano
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Les images qui représentent le Mexicain le montrent habituellement sous les traits d’un être extrêmement mélancolique qui fait face à un destin tragique. Les nombreux mythes entourant le Mexicain, issus de la culture même, sont effectivement reliés de près ou de loin à la peur et la tristesse, soit deux composantes essentielles de la mélancolie. L’anthropologue Roger Bartra dans La jaula de la melancolía: identidad y metamorfosis del mexicano analyse ces éléments clés qui constitueraient la personnalité du Mexicain. L’objectif de cette recherche est de démontrer que Atlántida d’Oscar Villegas est l’œuvre par excellence qui représente cette mélancolie toute mexicaine. Dans sa pièce de théâtre, Villegas raconte l’histoire d’une jeune artiste de cabaret qui vit de nombreuses désillusions dans un monde vulgaire et pervers où les valeurs humaines font défaut. Le dramaturge met en scène le Mexico urbain des années quarante et montre le désespoir et l’impossibilité pour les habitants de ses quartiers pauvres de changer le cours de leur vie. En plus d’être une pièce de théâtre qui, tant au niveau de son contenu que de sa forme, porte en elle les marques de la mélancolie, Atlántida met en relief ces caractéristiques devenues au fil du temps représentatives de l’image nationale du Mexicain. L’étude de cette œuvre s’appuie sur les théories d’analyse du texte théâtral d’Anne Ubersfeld qui propose une approche centrée sur l’action et les conditions de communication contenues dans les dialogues. Faire le pont entre la pièce de théâtre de Villegas et l’essai de Bartra permet d’explorer le lien intrinsèque qui semble s’établir entre Mexicain et mélancolie.
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Ce mémoire traite de l’enseignement de la danse africaine en France et au Canada. Cette recherche a débuté en 2007, lorsque l’auteur a participé à un échange étudiant. À la fin de cette expérience, l’auteur en était arrivé à la conclusion que la danse africaine au Québec était abordée comme un bien de consommation et/ou une production socioculturelle relevant de l’imaginaire. La présente analyse explore les avantages et les limites de l’approche méthodologique adoptée par l’anthropologue (qui est, dans ce cas-ci, une ancienne danseuse classique), et les conditions de la rencontre entre les Africains et les occidentaux par la danse. Tandis qu’il reste à démontrer que les critiques postmodernes de l’art de masse s’appliquent dans ce cas-ci, l’analyse montre ici clairement que l’on trouve dans les cours de danse africaine au Québec une forme de conscience professionnelle. Les critiques de la danse et de d’autres formes de démocratisations artistiques tendent à se confondre dans la peur du discours populaire. L’objectif principal de cette recherche est par conséquent d’établir les limites du fétichisme par rapport à la danse africaine et d’explorer en détail les implications de la « hantise du Troisième Homme » communiquée par la recherche ethnographique et l’analyse anthropologique
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La création cinématographique de l’étudiante qui accompagne ce mémoire sous la forme d’un DVD est disponible à la Médiathèque de la Bibliothèque des lettres et sciences humaines sous le titre : A Capella.(http://atrium.umontreal.ca/notice/UM-ALEPH002343644)
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Cette dissertation traite la danse comme une catégorie d’analyse permettant de réorienter ou de ré-chorégraphier les théories postcoloniales du corps. Mon étude montre qu’ Edward Said, par exemple, décrit la danse seulement à travers le regard impérial, et que Homi Bhabha et Gayatri Spivak négligent complètement le rôle de la dance dans la construction de la subjectivité postcoloniale. Mon étude explique que Stavros Karayanni récemment explore la danse masculine et féminine comme espaces de résistance contre la domination coloniale. Toutefois, l’analyse de Karayanni met l’accent seulement sur le caractère insaisissable de la danse qui produit une ambigüité et une ambivalence dans le regard du sujet impériale. Contrairement aux approches de Said et de Karayanni, ma dissertation explore la danse comme un espace ou le corps du sujet colonisé chorégraphie son histoire collective que l’amnésie coloniale ne cesse de défigurer au moyen de l’acculturation et de marchandisation. Je soutiens que la danse nous offre la possibilité de concevoir le corps colonisé non seulement dans son ambiguïté, comme le souligne Karayanni, mais aussi dans son potentiel de raconter corporellement sa mémoire collective de l’intérieur de la domination impériale. Ma dissertation soutient que les catégories de l’ambiguïté et de l’insaisissabilité mystifient et fétichisent le corps dansant en le décrivant comme un élément évasif et évanescent. Ma dissertation inclut plusieurs traditions culturelles de manière à réorienter la recherche ethnographique qui décrit la dance comme articulation codée par une culture postcoloniale spécifique. Mon étude montre comment le corps colonisé produit un savoir culturel à partir de sa différence. Cette forme de savoir corporelle présente le corps colonisé en tant que sujet et non seulement objet du désir colonial. Méthodologiquement, cette dissertation rassemble des théories occidentales et autochtones de la danse. Mon étude considère aussi les théories postcoloniales du corps dansant à partir des perspectives hétérosexuelles et homosexuelles. En outre, mon étude examine les manières dont les quelles les théories contemporaines de la danse, postulées par Susan Foster et André Lepecki par exemple, peuvent être pertinentes dans le contexte postcolonial. Mon étude explore également le potentiel politique de l’érotique dans la danse à travers des représentations textuelles et cinématographiques du corps. L’introduction de ma dissertation a trois objectifs. Premièrement, elle offre un aperçu sur les théories postcoloniales du corps. Deuxièmement, elle explique les manières dans lesquelles on peut appliquer des philosophies contemporaines de la danse dans le contexte postcoloniale. Troisièmement, l’introduction analyse le rôle de la dance dans les œuvres des écrivains postcoloniales célèbres tels que Frantz Fanon, Wole Soyinka, Arundhati Roy, et Wilson Harris. Le Chapitre un remet en question les théories de l’ambiguïté et de l’insaisissabilité de la danse à partir de la théorie de l’érotique postulé par Audre Lorde. Ce chapitre examine le concept de l’érotique dans le film Dunia de Jocelyne Saab. Le Chapitre deux ouvre un dialogue entre les théories occidentales et autochtones de la danse à partir d’une étude d’un roman de Tomson Highway. Le Chapitre trois examine comment l’écrivain Trinidadien Earl Lovelace utilise la danse de carnaval comme espace culturel qui reflète l’homogénéité raciale et l’idéologie nationaliste à Trinidad et en les remettant également en question.
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La création cinématographique de l’étudiant qui accompagne ce mémoire sous la forme d’un DVD est disponible à la Médiathèque de la Bibliothèque des lettres et sciences humaines sous le titre : She is Lars.(http://atrium.umontreal.ca/notice/UM-ALEPH002343877)
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Peu d’études ont été faites sur le mouvement dans l’œuvre de Marguerite Duras (1914-1996). Or réécritures et répétitions qui marquent la pratique scripturaire de celle-ci permettent de penser des déplacements, des métamorphoses que cette thèse se propose de lire dans l’accompagnement de penseurs tels que Maurice Merleau-Ponty, Gilles Deleuze, Georges Didi-Huberman, et de manière plus spectrale, mais non moins essentielle, Jacques Derrida, Claude Lévesque et Maurice Blanchot. Le premier chapitre s’intéresse à « la marche-danse de la mendiante », qui prend place dans Le Vice-consul (1966). Le mouvement de perte de la mendiante se donne comme un procès de déterritorialisation sans fin où ne cessent d’opérer métamorphoses et devenirs. Cette dernière entraîne dans son rhizome des lieux où faire l’expérience d’un visible difficilement isolable de sa doublure d’invisible. Des lieux sont ainsi « créés » pour faire du « lieu dansé un espace dansant » (chapitre 2). On ne saurait cependant rendre compte du mouvement sans questionner « les rythmes de la danse » (chapitre 3) dont l’épreuve possède une puissance métamorphosante, particulièrement sensible dans L’Après-midi de monsieur Andesmas (1962). Mais le rythme est aussi ce par quoi s’ouvre le temps. Et le temps durassien plonge son lecteur aussi bien que ses personnages dans un univers où virtuel et actuel ne cessent d’échanger leurs forces. C’est alors la question de l’événement, de sa possibilité dans la rencontre et le crime, qui fait l’objet du « temps qu’entrouvre la danse » (chapitre 4). Dépositaire d’un étrange hiatus qu’elle suscite pour qu’un écart se creuse afin de dire l’événement, cette œuvre rêve finalement, à travers la langue, de l’événement inséparé dans le mouvement perpétuel du sens, dans « la danse du sens » (chapitre 5). Cependant, si le sens peut d’abord apparaître dansant parce qu’instable, il faut admettre qu’on tourne toujours autour de certains mots qui échappent. Quelque chose échappera toujours. C’est ce que le sixième chapitre, « Échappé(e) de la danse », appréhende, alors que le mouvement, qui n’a d’autre finalité que lui-même, inscrit un inachèvement perpétuel dont les réécritures témoignent. Parce qu’elle met en scène des êtres en mouvement dans une œuvre elle-même en mouvement, l’œuvre de Marguerite Duras permet de penser l’être-au-monde en danseur.
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Cette recherche porte sur la danse des femmes gitanes en Inde du Nord, plus particulièrement sur la danse kalbeliya en vigueur au Rajasthan. Cette danse s’inscrit dans un contexte particulier: celui du métier de charmeurs de cobras. Le recours au cobra (espèce protégée en Inde depuis 1972) étant devenu illégal, c’est désormais une danseuse qui personnifie le reptile. Le corps de celle-ci doit alors imiter les mouvements et la souplesse du cobra. C’est cette pratique musicale et dansée propre au groupe kalbeliya qui est cœur de ce mémoire. En plus de décrire de façon systématique cette danse encore peu étudiée jusqu'alors, il vise à mettre en lumière les critères esthétiques de cette danse traditionnelle, à faire ressortir le rôle du corps dans la stylistique de cette pratique et à mettre en évidence les processus de construction identitaire et d'authenticité musicale des Kalbeliya du Rajasthan.
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En los últimos años, no se ha podido precisar con exactitud la cantidad de personas que se encuentran sometidas a problemas de origen muscular, debido a factores como el trabajo, la violencia, la cultura y otras circunstancias que terminan en desórdenes crónicos reflejados en su actitud postural y más grave aún, dolores incapacitantes que llevan a ausentismo laboral y social. Es por esto, que el propósito del siguiente trabajo de grado es identificar los cambios obtenidos a nivel de flexibilidad y actitud postural con la aplicación del Método Pilates durante quince sesiones, con el fin de analizar los resultados obtenidos en una muestra especifica.
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A dança é uma actividade de grande exigência atlética, que pode conduzir a um elevado número de lesões, particularmente na região do tornozelo, possivelmente devido à amplitude extrema do movimento articular de flexão plantar do mesmo, que os bailarinos, especialmente do sexo feminino possuem, para realizar a ponta e meia ponta tão características do ballet clássico (Kadel, 2006; Motta-Valencia, 2006; Russel, Kruse, Koutedakis, McEwan, Wyon, 2010). Estas posições de flexão plantar extrema produzem força excessiva na região posterior do tornozelo, o que muitas vezes pode resultar em conflito, dor e incapacidade, representando na maioria das vezes um desafio de diagnóstico. O síndrome do conflito posterior do tornozelo refere-se a um grupo de entidades patológicas que resultam da flexão plantar forçada do tornozelo, de forma repetitiva ou traumática, causando um conflito das estruturas ósseas e/ou de tecidos moles (Hamilton, Geppert, Thompson, 1996; Hamilton, 2008) . Os objectivos deste projecto são compreender os quais os factores de risco, mecânicos e funcionais que contribuem para a mecânica patológica da lesão descritos na literatura, e proceder a uma avaliação biomecânica do movimento de flexão plantar do tornozelo. Método. Realizar uma revisão sistemática de literatura dirigida á mecânica patológica do síndrome do conflito posterior do tornozelo em bailarinas e conduzir um estudo caso-controlo, cujo objectivo é avaliar, comparar e descrever o movimento da flexão plantar do tornozelo realizado ao efectuar os movimentos de ponta e meia-ponta, em bailarinas pré-profissionais com e sem lesão recorrente resultante do conflito posterior do tornozelo. Resultados. Não foram encontrados estudos relacionados especificamente com a mecânica patológica do tornozelo, no entanto vários estudos foram encontrados considerando as características clínicas e anatómicas assim como os procedimentos de tratamento, indicando que os principais factores de risco relacionados com a lesão se dividem em factores mecânicos e funcionais que quando combinados entre si e associados ao sobre-uso podem resultar no conflito posterior do tornozelo. Na avaliação do movimento foram observadas diferenças na actividade muscular entre os sujeitos com lesão e controlos, tendo sido possível a observação de um padrão na sequência de activação para um dos movimentos testados. Na oscilação postural e na rigidez do tornozelo foram também observadas diferenças entre os sujeitos bem como entre as posições realizadas. Conclusão. Concluiu-se que não sendo possível alterar a anatomia do bailarino, por vezes é possível intervir a nível funcional melhorando a capacidade técnica de forma obter um melhor desempenho e a actuar preventivamente em relação às lesões, uma vez que estas podem apresentar padrões cinéticos próprios, relacionados com a função muscular, a estabilidade postural e a rigidez articular.
Dança: forma, técnica e poesia do movimento : na perspectiva de construção de sentidos coreográficos
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A presente dissertação se construiu sobre o pressuposto de que forma, técnica e poesia são premissas que embasam uma determinada visão de dança enquanto manifestação artística do corpo humano em movimento. Norteia também este estudo a perspectiva de que as relações que se estabelecem no momento de execução de uma dança instauram processos de significação. Desse modo, este trabalho teve como principais objetivos: - entender a dança enquanto uma atividade artística que se constrói no(s) corpo(s) em movimento; - refletir sobre a elaboração de possíveis significados quando da criação e execução de uma dança; - descrever a dança como uma ação criadora que se faz no corpo humano em movimento. Para atingir os objetivos propostos utilizou-se a fenomenologia como método de investigação, optando-se, assim, por realizar uma descrição da dança que já é, ao mesmo tempo, uma maneira de compreendê-la. Como conseqüência deste procedimento buscou-se demontrar que: - a dança dever ser entendida enquanto arte porque ela resulta de um processo de transformação de uma matéria-prima - o movimento humano - através do uso de procedimentos técnicos e formativos, que resultam em obras coreográficas que se dão a reconhecer através de seu intrínseco caráter de forma; - o movimento é o que toma visível os possíveis sentidos/significados de uma dança: a realização de sentidos coreográficos se dá no contexto de uma coreografia e só se efetua plenamente quando os sentidos são retomados e revividos pelos espectadores; - os processos de criação coreográfica baseados em ações formativas proporcionam o desenvolvimento de uma disponibilidade corporal para a dança. Tal disponibilidade corporal está alicerçada, principalmente, numa inteligência e numa memória corporais, que dispõem o dançarino a exercer suas potencialidades criadoras através da dança. A concepção da dança como forma, técnica e poesia do movimento aponta para uma possibilidade de recuperação, através da dança, de saberes relativos ao corpo, ao movimento e à sensibilidade.
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This paper proposes a reflection on the body between/bodies, especially in contemporary dance, in their path that starts from the choreographic construction, permeating the body of the choreographer, the dancer s body and when fulfills themselves as artistic expression, the body of the spectator. Initially discusses the body in dance as a body/space for convergence, connectedness and continuity, from the thought of the Greek philosopher Epicurus of Samos, in dialogue with the thought of Maurice Merleau-Ponty, Gilles Deleuze and José Gil. Reflect about the creation of this body/space in the relationship choreographer/dancer using as connecting thread the experiences of the author in his artistic path. Finally describes the process of creating the scenic experiment (h)áporos, which constitutes the practice scene of this dissertation, having as main objective the creation of spaces of convergence and interaction between a proponent and an affluent body that, in this move, transforms itself and the space that now cohabits / is
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In order to question a sociology as it considers appropriate the body dimensions, which contributes in a mean singular in relation to body, not only as a matter, but mainly as a producer of knowledge, our research shows a reflection on corporality as the production of knowledge and to understand different perspectives and social logic here in contemporaneity, whose rationality seems to be placed in question through a performance expressed, a lot of 'breaks', including the space, which the dancer break appropriates of a reversed form and not more than linear. Our problem is the possibility of a greater understanding of this young body with dance the break, is not only 'breaking' his body, but fluent in their own body fragments, producing probably a break in relation to a dominant power established, by creating a kind of 'social resistance' to provide another sense for his life, out of the senses by the dominant of a social field. This is the area of production of knowledge, of the 'body' that cries keep our eyes, the challenge of dive in the depth of gestures, beyond the physical structure, restoring in a strong political constitution and cultural in so far as this body faces. The body as spectacular becomes 'cause and effect' of communication, this body is not only individual, it is not expression only for itself; when the young dance outside their walls individuals, makes it relational, turning to relate with the other, with the space, time and the world. The methodological point of view, to study this corporality in element break, the body as language of senses, we considered withdrawals in the field, observations of movements of the universe of break creative dance, performance and analysis of "attitudes" (expression peculiar world hip hop ), as well as my experience with dancing in the street interventions through 'urban' and our own attitudes to the object of research which challenges us academically and, it all, existentially
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In theory say the education as a knot of meanings made in the body. We take as a reference for demonstration of this argument the shows Folguedos, Guarnicê and Flor do Lírio and built within such spectacles cultural, symbolic and aesthetic meanings, which reveal the education woven in the body. Education that can happen not only in the formal space like the classroom or the university, but also in the area of art and the inclusion of individuals in the world of culture. So during the construction of the thesis we reflect on the following issues: what is the construction of culture and art that have in the Parafolclórico group? What way theses shows in their buildings bring significant elements that might compose an educational activity. How objectives sought asking the dichotomies present in the concepts of art and culture; critically systematize a work of artistic, cultural and educational production in the group, in addition to expanding the understanding of education, considering the body experiences. The phenomenological attitude of Merleau-Ponty, is a reference methodology of this study, which places the reference knowledge as a result of our experience in the world, our world lived. Thus, this study considers the experience of the researcher in the three shows in tariff, represented by scenes described, as a dancer and spectator. Therefore we understand that Folguedos, Guarnicê and Flor do Lírio in their artistic, aesthetic and cultural languages, allow many meanings that occur in the body, which invites the perception and extend the experience of the subject, demonstrating an education that allows sight and knowledge, seeking new sensations and experiences, we show our intimacy with the world, with the objects and with the other. The art is understood as virtuality, as a human creation that carries the reality and that allows many readings and experiences, each perception can recognize and know new horizons, having as base and material the culture. This entails the heterogeneous, is not closed but that individuals can interpret it entered and recognize the symbols they created the same way, confirming a unit. The art and culture show us significant evidences of an education woven in the body