990 resultados para capital gains taxation
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Cette thèse est une collection de trois articles en macroéconomie et finances publiques. Elle développe des modèles d'Equilibre Général Dynamique et Stochastique pour analyser les implications macroéconomiques des politiques d'imposition des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Le premier chapitre analyse les mécanismes de transmission à l'économie, des effets d'un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises. Dans une économie constituée d'un gouvernement, d'une firme représentative et d'un ménage représentatif, j'élabore un théorème de l'équivalence ricardienne avec l'impôt sur le profit des entreprises. Plus particulièrement, j'établis que si les marchés financiers sont parfaits, un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises qui ne change pas la valeur présente de l'impôt total auquel l'entreprise est assujettie sur toute sa durée de vie n'a aucun effet réel sur l'économie si l'état utilise un impôt forfaitaire. Ensuite, en présence de marchés financiers imparfaits, je montre qu'une une baisse temporaire de l'impôt forfaitaire sur le profit des entreprises stimule l'investissement parce qu'il réduit temporairement le coût marginal de l'investissement. Enfin, mes résultats indiquent que si l'impôt est proportionnel au profit des entreprises, l'anticipation de taxes élevées dans le futur réduit le rendement espéré de l'investissement et atténue la stimulation de l'investissement engendrée par la réduction d'impôt. Le deuxième chapitre est écrit en collaboration avec Rui Castro. Dans cet article, nous avons quantifié les effets sur les décisions individuelles d'investis-sement et de production des entreprises ainsi que sur les agrégats macroéconomiques, d'une baisse temporaire de l'impôt sur le profit des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Dans un modèle où les entreprises sont sujettes à des chocs de productivité idiosyncratiques, nous avons d'abord établi que le rationnement de crédit affecte plus les petites (jeunes) entreprises que les grandes entreprises. Pour des entreprises de même taille, les entreprises les plus productives sont celles qui souffrent le plus du manque de liquidité résultant des imperfections du marché financier. Ensuite, nous montré que pour une baisse de 1 dollar du revenu de l'impôt, l'investissement et la production augmentent respectivement de 26 et 3,5 centimes. L'effet cumulatif indique une augmentation de l'investissement et de la production agrégés respectivement de 4,6 et 7,2 centimes. Au niveau individuel, nos résultats indiquent que la politique stimule l'investissement des petites entreprises, initialement en manque de liquidité, alors qu'elle réduit l'investissement des grandes entreprises, initialement non contraintes. Le troisième chapitre est consacré à l'analyse des effets de la réforme de l'imposition des revenus d'entreprise proposée par le Trésor américain en 1992. La proposition de réforme recommande l'élimination des impôts sur les dividendes et les gains en capital et l'imposition d'une seule taxe sur le revenu des entreprises. Pour ce faire, j'ai eu recours à un modèle dynamique stochastique d'équilibre général avec marchés financiers imparfaits dans lequel les entreprises sont sujettes à des chocs idiosyncratiques de productivité. Les résultats indiquent que l'abolition des impôts sur les dividendes et les gains en capital réduisent les distorsions dans les choix d'investissement des entreprises, stimule l'investissement et entraîne une meilleure allocation du capital. Mais pour être financièrement soutenable, la réforme nécessite un relèvement du taux de l'impôt sur le profit des entreprises de 34\% à 42\%. Cette hausse du taux d'imposition décourage l'accumulation du capital. En somme, la réforme engendre une baisse de l'accumulation du capital et de la production respectivement de 8\% et 1\%. Néanmoins, elle améliore l'allocation du capital de 20\%, engendrant des gains de productivité de 1.41\% et une modeste augmentation du bien être des consommateurs.
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Cette thèse est une collection de trois articles en macroéconomie et finances publiques. Elle développe des modèles d'Equilibre Général Dynamique et Stochastique pour analyser les implications macroéconomiques des politiques d'imposition des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Le premier chapitre analyse les mécanismes de transmission à l'économie, des effets d'un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises. Dans une économie constituée d'un gouvernement, d'une firme représentative et d'un ménage représentatif, j'élabore un théorème de l'équivalence ricardienne avec l'impôt sur le profit des entreprises. Plus particulièrement, j'établis que si les marchés financiers sont parfaits, un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises qui ne change pas la valeur présente de l'impôt total auquel l'entreprise est assujettie sur toute sa durée de vie n'a aucun effet réel sur l'économie si l'état utilise un impôt forfaitaire. Ensuite, en présence de marchés financiers imparfaits, je montre qu'une une baisse temporaire de l'impôt forfaitaire sur le profit des entreprises stimule l'investissement parce qu'il réduit temporairement le coût marginal de l'investissement. Enfin, mes résultats indiquent que si l'impôt est proportionnel au profit des entreprises, l'anticipation de taxes élevées dans le futur réduit le rendement espéré de l'investissement et atténue la stimulation de l'investissement engendrée par la réduction d'impôt. Le deuxième chapitre est écrit en collaboration avec Rui Castro. Dans cet article, nous avons quantifié les effets sur les décisions individuelles d'investis-sement et de production des entreprises ainsi que sur les agrégats macroéconomiques, d'une baisse temporaire de l'impôt sur le profit des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Dans un modèle où les entreprises sont sujettes à des chocs de productivité idiosyncratiques, nous avons d'abord établi que le rationnement de crédit affecte plus les petites (jeunes) entreprises que les grandes entreprises. Pour des entreprises de même taille, les entreprises les plus productives sont celles qui souffrent le plus du manque de liquidité résultant des imperfections du marché financier. Ensuite, nous montré que pour une baisse de 1 dollar du revenu de l'impôt, l'investissement et la production augmentent respectivement de 26 et 3,5 centimes. L'effet cumulatif indique une augmentation de l'investissement et de la production agrégés respectivement de 4,6 et 7,2 centimes. Au niveau individuel, nos résultats indiquent que la politique stimule l'investissement des petites entreprises, initialement en manque de liquidité, alors qu'elle réduit l'investissement des grandes entreprises, initialement non contraintes. Le troisième chapitre est consacré à l'analyse des effets de la réforme de l'imposition des revenus d'entreprise proposée par le Trésor américain en 1992. La proposition de réforme recommande l'élimination des impôts sur les dividendes et les gains en capital et l'imposition d'une seule taxe sur le revenu des entreprises. Pour ce faire, j'ai eu recours à un modèle dynamique stochastique d'équilibre général avec marchés financiers imparfaits dans lequel les entreprises sont sujettes à des chocs idiosyncratiques de productivité. Les résultats indiquent que l'abolition des impôts sur les dividendes et les gains en capital réduisent les distorsions dans les choix d'investissement des entreprises, stimule l'investissement et entraîne une meilleure allocation du capital. Mais pour être financièrement soutenable, la réforme nécessite un relèvement du taux de l'impôt sur le profit des entreprises de 34\% à 42\%. Cette hausse du taux d'imposition décourage l'accumulation du capital. En somme, la réforme engendre une baisse de l'accumulation du capital et de la production respectivement de 8\% et 1\%. Néanmoins, elle améliore l'allocation du capital de 20\%, engendrant des gains de productivité de 1.41\% et une modeste augmentation du bien être des consommateurs.
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Mode of access: Internet.
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"September 28, 2005."
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Henry B. Steagall, chairman.
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O estudo tem por objetivo avaliar os fatores que possam explicar a captação de recursos (fundraising) dos fundos de Private Equity e Venture Capital (PE/VC). Em linhas gerais, a proposta é averiguar empiricamente quais são os fatores que impactam na captação de recursos pelos fundos de PE/VC. A amostra foi formada por 25 países e em um espaço temporal de 6 anos (2006-2011). Foram identificados seis fatores: atividade econômica, desenvolvimento do mercado de capitais, governança corporativa, desenvolvimento socioambiental, empreendedorismo e tributação. Assim, construiu-se através de Análise Fatorial seis fatores que foram compostos por 26 variáveis. Por meio de regressão múltipla foram investigadas as relações entre a captação de recursos por parte dos fundos PE/VC e os fatores gerados. Os resultados demonstraram que apesar dos fatores testados serem significativos, a captação dos recursos é fortemente influenciada pelo nível de desenvolvimento do mercado de capitais. Os resultados aqui encontrados se tornam relevantes, pois discutem uma realidade crescente tanto no Brasil quanto no mundo, visto que o mercado de PE/VC solidifica-se como alternativa de captação de recursos.
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A Work Project, presented as part of the requirements for the Award of a Masters Degree in Management from the NOVA – School of Business and Economics
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Capital taxation is currently under debate, basically due to problems of administrative control and proper assessment of the levied assets. We analyze both problems focusing on a capital tax, the annual wealth tax (WT), which is only applied in five OECD countries, being Spain one of them. We concentrate our analysis on top 1% adult population, which permits us to describe the evolution of wealth concentration in Spain along 1983-2001. On average top 1% holds about 18% of total wealth, which rises to 19% when tax incompliance and under-assessment is corrected for housing, the main asset. The evolution suggests wealth concentration has risen. Regarding WT, we analyze whether it helps to reduce wealth inequality or, on the contrary, it reinforces vertical inequity (due to especial concessions) and horizontal inequity (due to the de iure and to de facto different treatment of assets). We analyze in detail housing and equity shares. By means of a time series analysis, we relate the reported values with reasonable price indicators and proxies of the propensity to save. We infer net tax compliance is extremely low, which includes both what we commonly understand by (gross) tax compliance and the degree of under-assessment due to fiscal legislation (for housing). That is especially true for housing, whose level of net tax compliance is well below 50%. Hence, we corroborate the difficulties in taxing capital, and so cast doubts on the current role of the WT in Spain in reducing wealth inequality.
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Using data from the International Revenue Service, this paper explores the effcts of corporate taxation on U.S. capital invested abroad and on tax planning practices (dividend payments, income shifting, and passive investment). The econometric analysis first indicates that investment is strongly influenced by average tax rates, with a magnified impact for particularly low-tax rates implying that the attractiveness of low-tax countries is not weakened by anti-deferral rules and cross-crediting limitations. Further explorations suggest that firms report higher profit and are less likely to repatriate dividends when they are located in low-tax jurisdictions. Firms also report higher Subpart F income in countries in which they shift their profit, suggesting that cross-crediting provides an incentive to shift passive income in low-tax countries and that passive investment can be an alternative strategy to minimize taxes when active investment opportunities are lacking. Finally, the paper estimates the role of effective transfer pricing regulation on income shifting activities using the quality of host countries' law enforcement. It appears that low degrees of law enforcement are associated with higher income-shifting.
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This paper examines whether efficiency considerations require that optimal labour income taxation is progressive or regressive in a model with skill heterogeneity, endogenous skill acquisition and a production sector with capital-skill complementarity. We find that wage inequality driven by the resource requirements of skill-creation implies progressive labour income taxation in the steady-state as well as along the transition path from the exogenous to optimal policy steady-state. We find that these results are explained by a lower labour supply elasticity for skilled versus unskilled labour which results from the introduction of the skill acquisition technology.
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Treaty Establishing the European Community, operative until December 1st 2009, had already established in its article 2 the mission of the up until then European Community and actual European Union is to promote an harmonious, equilibrated and sustainable development of the economic activities of the whole Community. This Mission must be achieved by establishing a Common Market, an Economic and Monetary Union and the realization of Common Policies. One of the instruments to obtain these objectives is the use of free circulation of people, services and capitals inside the Common and Interior Market of the European Union. The European Union is characterized by the confirmation of the total movement of capitals, services and individuals and legal peoples’ freedom; freedom that was already predicated by the Maastricht Treaty, through the suppression of whatever obstacles which are in the way of the objectives before exposed. The old TEC in its Title III, now Title IV of the Treaty on the Functioning of the European Union, covered the free circulation of people, services and capitals. Consequently, the inclusion of this mechanism inside one of the regulating texts of the European Union indicates the importance this freedom supposes for the European Union objectives’ development. Once stood up the relevance of the free movement of people, services and capitals, we must mention that in this paper we are going to centre our study in one of these freedoms of movement: the free movement of capital. In order to analyze in detail the free movement of capital within the European framework, we are going to depart from the analysis of the existent case law of the Court of Justice of the European Union. The use of jurisprudence is basic to know how Community legislation is interpreted. For this reason, we are going to develop this work through judgements dictated by the European Union Court. This way we can observe how Member States’ regulating laws and the European Common Law affect the free movement of capital. The starting point of this paper will be the Judgement C-67/08 European Court of Justice of February 12th 2009, known as Block case. So, following the argumentation the Luxemburg Court did about the mentioned case, we are going to develop how free movement of capital could be affected by the current disparity of Member States’ legislation. This disparity can produce double taxation cases due to the lack of tax harmonized legislation within the interior market and the lack of treaties to avoid double taxation within the European Union. Developing this idea we are going to see how double taxation, at least indirectly, can infringe free movement of capital.
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In this paper we analyze productivity and welfare losses from capital misallocation in a general equilibrium model of occupational choice and endogenous financial intermediation. We study the effects of borrowing and lending, insurance, and risk sharing on the optimal allocation of resources. We find that financial markets together with general equilibrium effects have large impact on entrepreneurs' entry and firm-size decisions. Efficiency gains are increasing in the quality of financial markets, particularly in their ability to alleviate a financing constraint by providing insurance against idiosyncratic risk.