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La luxation du genou, bien que très rare, demeure une blessure dévastatrice car elle entraîne de multiples complications en raison de la nature complexe du traumatisme associé à cette lésion. La luxation peut résulter d'un traumatisme à haute ou basse énergie. Les blessures sévères aux ligaments et aux structures associées donnent à la luxation du genou un potentiel élevé d'atteinte fonctionnelle. Le traitement conservateur, qui était considéré comme acceptable auparavant, est maintenant réservé à un très faible pourcentage de patients. La reconstruction chirurgicale est maintenant préconisée dans la plupart des cas, mais de nombreuses options existent et le traitement chirurgical optimal à préconiser reste controversé. Certains chirurgiens recommandent la reconstruction complète de tous les ligaments endommagés le plus tôt possible, tandis que d'autres, craignant l’établissement d’arthrofibrose, limitent l'intervention chirurgicale immédiate à la reconstruction du ligament croisé postérieur et de l'angle postéro-externe. En raison des multiples structures endommagées lors d’une luxation du genou, les chirurgiens utilisent couramment la combinaison des autogreffes et des allogreffes pour compléter la reconstruction ligamentaire. Les complications associées au prélèvement de la greffe, l'allongement de la greffe, l’affaiblissement précoce du greffon ainsi que les risques de transmission de maladies ont poussé les chirurgiens à rechercher différentes options d’intervention. L'utilisation de matériaux synthétiques pour le remplacement du ligament lésé a été proposée dans les années ´80. Après une première vague d'enthousiasme, les résultats décevants à long terme et les taux élevés d'échec ont diminué sa popularité. Depuis lors, une nouvelle génération de ligaments artificiels a vu le jour et parmi eux, le Ligament Advanced Reinforced System (LARS) a montré des résultats prometteurs. Il a été utilisé récemment dans les reconstructions isolées du ligament croisé antérieur et du ligament croisé postérieur pour lesquelles il a montré de bons résultats à court et moyen termes. Le but de cette étude rétrospective était d'évaluer la fonction et la stabilité du genou après la luxation aiguë suivant la reconstruction des ligaments croisés avec le ligament artificiel de type LARS. Cette étude a évalué 71 patients présentant une luxation du genou et qui ont subi une chirurgie de reconstruction du ligament croisé antérieur et du ligament croisé postérieur à l'aide du ligament LARS. Suite à la chirurgie le même protocole intensif de réadaptation a été suivi pour tous les patients, où la mise en charge progressive était permise après une période d’environ 6 semaines pendant laquelle la force musculaire et la stabilité dynamique se rétablissaient. Les outils d’évaluation utilisés étaient le score Lysholm, le formulaire de «l’International Knee Documentation Committee», le «Short Form-36», les tests cliniques de stabilité du genou, l'amplitude de mouvement articulaire à l’aide d’un goniomètre et la radiographie en stress Telos à 30° et 90° de flexion du genou. Le même protocole d’évaluation a été appliqué au genou controlatéral pour des fins de comparaison. Les résultats subjectifs et objectifs de cette étude sont satisfaisants et suggèrent que la réparation et la reconstruction combinées avec ligaments LARS est une alternative valable pour le traitement des luxations aiguës du genou. Ces résultats démontrent que ces interventions produisent des effets durables en termes d’amélioration de la fonction et révèlent la durabilité à long terme des ligaments artificiels LARS. Les patients sont à la fois plus autonomes et plus satisfaits avec le temps, même si la luxation du genou est considérée comme une catastrophe au moment où elle se produit. Des études prospectives randomisées sont maintenant nécessaires afin de comparer la sélection de la greffe et le délai de reconstruction chirurgicale.
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L’objectif de cette étude est de vérifier si un ciment ostéoconducteur résorbable utilisé comme technique de fixation de greffons ostéochondraux permet d'obtenir une stabilité initiale supérieure à celle obtenue avec la technique de mosaicplastie originalement décrite. Il s’agit d’une étude biomécanique effectuée sur des paires de fémurs cadavériques bovins. Pour chaque paire de fémurs, des greffons ostéochondraux autologues ont été insérés et stabilisés au moyen d’un ciment biorésorbable (Kryptonite, DRG inc.) sur un fémur alors qu’au fémur controlatéral, les greffons ont été implantés par impaction selon la technique usuelle de mosaicplastie. Des greffons uniques ainsi que des greffons en configuration groupée ont été implantés et soumis à une évaluation biomécanique. Les charges axiales nécessaires pour enfoncer les greffons de 1, 2 et 3 mm ont été comparées en fonction de la technique de stabilisation utilisée, ciment ou impaction, pour chaque configuration de greffons. Les résultats démontrent que les greffons ostéochondraux cimentés uniques et groupés ont une stabilité initiale supérieure à celle de greffons non cimentés sur des spécimens cadavériques bovins. L’obtention d’une plus grande stabilité initiale par cimentation des greffons ostéochondraux pourrait permettre une mise en charge précoce post-mosaicplastie et mener à une réhabilitation plus rapide.
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La douleur est une expérience multidimensionnelle comportant des aspects sensoriels, émotionnels et cognitifs. Théoriquement, des méthodes de mesures comportementales, physiologiques, neurophysiologiques et sensorielles peuvent quantifier la douleur. Peu d’études ont étudié la validation des mesures utilisées en médecine vétérinaire. La recherche combine les travaux de Maîtrise et de Doctorat, traite en partie de la validité de méthodes. Dans cet objectif, nos travaux de recherche étudiaient la validité de méthodes comportementales, physiologiques et neurophysiologiques usuelles pour la mesure de la douleur en comparant les expressions de douleur (vache et chien) chez des animaux contrôle par comparaison à des animaux sous analgésie préventive ou sous traitement curatif suivant une douleur induite par chirurgie (modèles de douleur viscérale bovine ou orthopédique canine) ou causée par une maladie naturelle (arthrose canine). Une première étude comparait les mesures de la douleur entre les vaches du groupe placebo et celles sous analgésie postopératoire sur une durée de 21 jours suivant l’induction d’une douleur viscérale chronique. Les vaches du groupe placebo ont présenté une plus forte sensibilité à la douleur et une diminution de la noradrénaline et de la transthyrétine mesurées dans le liquide cérébro-spinal, une diminution de l’activité motrice (AM) (moindre que dans les groupes avec analgésie), de l’agitation enregistrée par vidéo-analyse et une augmentation du stress selon la mesure de l’activité électrodermique (AED). Les méthodes d’intérêt identifiées étaient les marqueurs spinaux, la mesure de la sensibilisation, de comportements par vidéo-analyse et de l’AM par bio-télémétrie. En utilisant des méthodes semblables à celles précédemment décrites, deux études expérimentales de douleur orthopédique ont été réalisées afin de comparer les réponses à la douleur entre des chiens traités avec une analgésie préventive (opioïdes et anti-inflammatoires, étude #2) ou un biphosphonate (tiludronate, étude #3) par comparaison à des chiens contrôles. Seules les échelles de douleur étaient différentes entre les études de recherche. Pour l’étude #2, les ii chiens sous analgésie ont présenté de plus faibles scores de douleur mesurés avec l’échelle de douleur nommée 4A-VET et ceci simultanément à une faible réponse de l’AED une heure après la chirurgie de trochléoplastie. La fréquence du comportement spontané de ‘la marche avec plein appui de la patte opérée’ mesurée à l’aide de la vidéo-analyse augmentait chez les chiens sous analgésie préventive 24 heures après la chirurgie. L’étude #3 démontrait surtout l’apparition de sensibilisation centrale (à la fois par l’évaluation sensorielle quantitative et les marqueurs spinaux) chez les chiens contrôle, 56 jours après l’induction d’arthrose chirurgicale. Ainsi, les chiens traités avec le tiludronate ont présenté une différence sur la substance P et la transthyrétine cérébro-spinale, une diminution de la sensibilisation périphérique, plus d’appui de la patte opérée lors de la marche selon la mesure du pic de force verticale (PFV), une augmentation de la fréquence de ‘la marche avec plein appui de la patte opérée’. La sensibilisation centrale était associée à la diminution de PFV, et une augmentation de l’AED et du comportement spontané de ‘la marche avec plein appui de la patte opérée’. Pour l’étude #4, la validité et la sensibilité des méthodes ont été évaluées dans une condition d’arthrose naturelle chez des chiens traités avec une diète enrichie en moule verte, un produit ayant des effets anti-inflammatoires et chondroprotecteurs attendus. Les chiens traités présentaient une diminution des scores de douleur via l’échelle nommée CSOM, une augmentation de PFV et une augmentation de l’AM. Dans l’ensemble, les résultats confirment que la vidéo-analyse évaluait la douleur de façon objective et pour des modèles différents de douleur et les marqueurs spinaux sont prometteurs. Le PFV était spécifique de la douleur orthopédique. La sensibilisation était présente lors de douleur pathologique. L’AED n’est pas valide pour la mesure de la douleur. La baisse d’AM suggèrerait un comportement de douleur. Les études étaient exploratoires pour les échelles de douleur en raison de leur niveau (débutant) de développement et du manque d’informations sur les qualités métrologiques de ces mesures.
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Il est connu que les personnes ayant une hémiparésie à la suite d’un accident vasculaire cérébral (AVC) présentent une mise en charge (MEC) asymétrique lors de la station debout et lors du passage assis à debout (PAD). Par contre, peu d’études ont quantifié l’évolution de la MEC avec la réadaptation ou la précision avec laquelle ces personnes sont capables de la juger. L’objectif principal de ce projet était d’étudier l’évolution de la répartition et la perception de MEC en position debout et lors du PAD chez des personnes hémiparétiques en réadaptation fonctionnelle intensive (RFI). Un objectif secondaire était d’identifier les facteurs qui caractérisent les personnes hémiparétiques les plus asymétriques et les plus atteintes dans leur perception. Cette étude a été menée auprès de seize participants. Les résultats ont démontré qu’une asymétrie de répartition de l’appui en faveur du côté non parétique est présente dès les premiers mois après l’AVC et qu’elle persiste malgré la RFI. Chez les personnes avec une atteinte sévère de la fonction motrice, la MEC était plus symétrique pour le PAD que la station debout. En termes de perception, les personnes hémiparétiques étaient capables d’identifier le côté sur lequel ils mettaient plus d’appui mais ils avaient tendance à surestimer l’appui sur le côté parétique et donc à se juger moins asymétriques qu’ils ne l’étaient en réalité. Très peu de changements ont été observés lorsque les données au congé étaient comparées aux données à l’entrée dans l’étude. En réponse à l’objectif secondaire, la fonction motrice du membre inférieur parétique évaluée par le Chedoke et la différence de force des extenseurs entre les genoux étaient les facteurs les plus déterminants de l’asymétrie et de la perception de MEC. Les résultats obtenus constituent donc une étape supplémentaire vers la compréhension de la répartition asymétrique et les troubles de perception de MEC lors de la station debout et le PAD chez les personnes hémiparétiques. Il serait intéressant dans le futur d’explorer davantage les facteurs susceptibles d’influencer l’asymétrie et la perception de MEC et d’objectiver la relation de cause à effet entre ces deux variables en plus de préciser l’effet réel de l’asymétrie sur la stabilité posturale.
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Introducción Las rupturas agudas del tendón de Aquiles se presentan en pacientes entre 40 y 50 años. Las causas más comunes son actividades deportivas. Se han descrito técnicas mínimamente invasivas, con complicaciones como infección del sitio operatorio, adherencias y la lesión del nervio sural. El propósito de este estudio es determinar el desenlace clínico y funcional, de los pacientes con rupturas agudas del tendón de Aquiles llevados a reparación quirúrgica mínimamente invasiva entre 2011 y 2013 en nuestra institución. Materiales y métodos. Estudio tipo Serie de casos. Se realizó evaluación de fuerza muscular, fatiga muscular, arcos de movilidad con respecto a la extremidad contralateral, la escala AOFAS y se describieron las complicaciones. Resultados. Se evaluaron 21 pacientes de 31 elegibles, diecisiete hombres y cuatro mujeres. Edad promedio de 42,7 años, duración promedio de seguimiento de 17,47 meses. Como complicación hubo una dehiscencia de sutura treinta días después del procedimiento. Los pacientes regresaron a actividades laborales 48 días después de cirugía. El tiempo promedio de retorno a actividades deportivas fue de 8.47 meses. El puntaje promedio en la escala AOFAS fue 90. Los arcos de movilidad del tobillo fueron en promedio de 52° para el lado afectado y 56° en el no intervenido. El número de repeticiones de elevación de talón de la extremidad afectada fue de 58 en promedio. Discusión. Estos resultados sugieren que la técnica mínimamente invasiva para reparación del tendón de Aquiles provee resultados funcionales satisfactorios a corto y mediano plazo con bajas tasas de complicación.
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An extensible internal device (EID) was developed to preserve growth plate during the treatment of fracture complications or segmental bone loss from tumour resection in children. Since this type of extensible, trans-physeal, internal fixation device has only been used in a few paediatric cases; the aim of this study was to evaluate an in vivo canine study, a surgical application of this device, and its interference with longitudinal growth of the non-fractured distal femur. Ton clinically healthy two- to three-month-old poodles weighing 1.5-2.3 kg were used. Following a medial approach to the right distal femur, one extremity of the EID, similar to a T-plate, was fixed in the femoral condyle with two cortical screws placed below the growth plate. The other extremity, consisting of an adaptable brim with two screw holes and a plate guide, was fixed in the third distal of the femoral diaphysis with two cortical screws. The EID was removed 180 days after application. All of the dogs demonstrated full weight-bearing after surgery. The values of thigh and stifle circumferences, and stifle joint motion range did not show any difference between operated and control hindlimbs. The plate slid in the device according to longitudinal bone growth, in all but one dog. In this dog, a 10.5% shortening of the femoral shaft was observed due to a lack of EID sliding. The other dogs had the some longitudinal lengths in both femurs. The EID permits longitudinal bone growth without blocking the distal femur growth plate if appropriately placed.
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No presente estudo, avaliou-se a eficácia do emprego do peritônio bovino, conservado em glicerina a 98%, no reparo de lesões induzidas no tendão calcâneo (TC) de cães, quando um fragmento de aproximadamente 1cm do TC foi excisado e o espaço resultante preenchido por um fragmento de peritônio. Foram utilizados 21 cães, pesando entre 10 e 15kg, divididos em 7 grupos de 3, sacrificados aos 02, 07, 15, 30, 60, 90 e 120 dias de pós-operatório. Analisaram-se os aspectos clínico-cirúrgicos referentes à recuperação funcional motora, bem como, a integração do peritônio com o tecido tendíneo mediante avaliação macroscópica, por microscopia óptica e por microscopia eletrônica de varredura. Clinicamente, verificou-se que, por volta do 55º dia de pós-operatório, os animais já apresentavam deambulação normal e que o neotendão apresentou resistência suficiente para suportar o estresse normalmente aplicado ao TC. Microscopicamente, o peritônio implantado esteve presente em todos os períodos de observação. Proliferação fibroblástica e neoformação vascular foram observadas de forma incipiente no segundo dia; entretanto, no sétimo dia de pós-operatório, esta condição foi exacerbada. Com a evolução, as fibras de peritônio tendiam a se dissociar, entrando em estreita associação com fibras conjuntivas, fibroblastos e colágeno. Aos 30, 60, 90 e 120 dias de pós-operatório, notava-se maior presença de colágeno que se tornava cada vez mais organizado. Concluiu-se que o peritônio estimulou uma rápida deposição de tecido conjuntivo com mínima reação inflamatória, sendo incorporado ao tecido cicatricial e servindo como alicerce para o desenvolvimento de um novo tecido, restabelecendo assim a estrutura do tendão.
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior
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Background: This prospective experimental study evaluated the surgical procedure and results of modular hybrid total hip arthroplasty in dogs.Methods: Ten skeletally mature healthy mongrel dogs with weights varying between 19 and 27 kg were used. Cemented modular femoral stems and uncemented porous-coated acetabular cups were employed. Clinical and radiographic evaluations were performed before surgery and at 30, 60, 90, 120, 180 and 360 days post-operation.Results: Excellent weight bearing was noticed in the operated limb in seven dogs. Dislocation followed by loosening of the prosthesis was noticed in two dogs, which were therefore properly treated with a femoral head osteotomy. Femoral fracture occurred in one dog, which was promptly treated with full implant removal and femoral osteosynthesis.Conclusions: The canine modular hybrid total hip arthroplasty provided excellent functionality of the operated limb.
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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
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An extensible internal device (EID) was developed to preserve growth plate during the treatment of fracture complications or segmental bone loss from tumour resection in children. Since this type of extensible, trans-physeal, internal fixation device has only been used in a few paediatric cases; the aim of this study was to evaluate an in vivo canine study, a surgical application of this device, and its interference with longitudinal growth of the non-fractured distal femur. Ton clinically healthy two- to three-month-old poodles weighing 1.5-2.3 kg were used. Following a medial approach to the right distal femur, one extremity of the EID, similar to a T-plate, was fixed in the femoral condyle with two cortical screws placed below the growth plate. The other extremity, consisting of an adaptable brim with two screw holes and a plate guide, was fixed in the third distal of the femoral diaphysis with two cortical screws. The EID was removed 180 days after application. All of the dogs demonstrated full weight-bearing after surgery. The values of thigh and stifle circumferences, and stifle joint motion range did not show any difference between operated and control hindlimbs. The plate slid in the device according to longitudinal bone growth, in all but one dog. In this dog, a 10.5% shortening of the femoral shaft was observed due to a lack of EID sliding. The other dogs had the some longitudinal lengths in both femurs. The EID permits longitudinal bone growth without blocking the distal femur growth plate if appropriately placed.
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The gastrocnemius was analysed in 10 male volunteers during knee flexion and extension with the foot in normal, plantar flexion and dorsal flexion positions. Hewlett-Packard surface electrodes, an electromyographic signal amplifier, a computer equipped with an AID conversion plaque (Model CAD 10/26), a software specially designed to record and analyse the signals, a horizontal leg press, and electrogoniometers were used. The gastrocnemius muscle showed strong potentials at the end of knee extension and beginning of knee flexion. The muscle presented a similar activity both in the zipper and lower platforms. As to bilateral action, the right gastrocnemius presented stronger potentials on the upper platforms, whereas the potentials were bilaterally similar on the lower platforms. As for foot position, the gastrocnemius presented strong potentials when the foot was in plantar flexion. The remaining positions had no effect on the work of the muscle.
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Purpose: To identify the electromyographic fatigue threshold in the erector spinae muscle. Methods: Eight 19 to 24-year-old male volunteers participated in this study, in which surface electrodes were used, as well as a biological signals acquisition module (Lynx) with a sampling frequency of 1000Hz, a 1000 times gain, a 20Hz high pass filter and a 500Hz low pass filter. The test consisted of repeated isometric contractions of the erector spinae muscle in a 45° hip flexion posture, with 30%, 40%, 50% and 60% of the maximum voluntary isometric contraction. Results: A positive correlation of the RMS (root mean square) value as a function of time was found for most of the subjects with 40% (N = 6), 50% (N = 7) and 60% (N = 8) loads of the maximum voluntary isometric contraction. Conclusions: It was concluded, from this study, that the proposed protocol provides evidence, through the electromyographic signal, of the development of fatigue in the erector spinae muscle with loads of 40%, 50% and 60% of the maximum voluntary isometric contraction. The protocol also allows the electromyographic fatigue threshold and its probable applicability in the diagnosis of this phenomenon during repetitive activities to be determined.
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The effective activity of the pectoralis major and deltoideus anterior muscles in horizontal flyer exercises with external loads of 25, 50, 75 and 100% of the maximum load was studied in 11 male volunteers. The electromyographic analysis was done by using MEDI-TRACE-200 surface electrodes connected to a biological signal acquisition mode coupled to a PC/AT computer. The electromyographic signals were processed and the values obtained were normalized through maximum voluntary isometric contraction. It was statistically observed that in all types and loads of this exercise, the muscles presented significant differences in the concentric and eccentric phases. In the concentric phase, when different loads were compared, the muscles were more active with 75 and 100% of the maximum load, while in the eccentric phase, higher activity was observed with 100% of the maximum load. By analyzing each load effect in the concentric phase, it was verified that the muscles on the left side were more active than those on the right side with 25, 75 and 100% of the maximum load.
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The electromyographic activity of the biceps brachii - BB (long head), triceps brachii - TB (long head) and deltoideus - DA (clavicular portion) muscles, during the going (G) and return (R) phases in front support exercise, as well the efficacy of this exercise for the development of these muscles strength were studied in 10 male volunteers. The values were normalized through maximum voluntary isometric contraction (MVIC = 100%) and statistically analyzed using the Friedman, DMS and Wilcoxon non-parametric test. A value of p≤0.05 indicated significance (Campos, 1983). All the muscles presented higher electromyographic activity in the return phase of the movement. The triceps brachii was the muscle which had higher activity in both phases of the movement. It was concluded that the front support exercise is efficient for strength development mainly in the triceps brachii muscle.