153 resultados para VASODILATATION
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This double-blind placebo-controlled study was designed to investigate the acute and sustained hormonal, renal hemodynamic, and tubular effects of concomitant ACE and neutral endopeptidase (NEP) inhibition by omapatrilat, a vasopeptidase inhibitor, in men. Thirty-two normotensive subjects were randomized to receive a placebo, omapatrilat (40 or 80 mg), or the fosinopril/hydrochlorothiazide (FOS/HCTZ; 20 and 12.5 mg, respectively) fixed combination for 1 week. Blood pressure, renal hemodynamics, urinary electrolytes and atrial natriuretic peptide excretion, and several components of the renin-angiotensin system were measured for 6 hours on days 1 and 7 of drug administration. When compared with the placebo and the FOS/HCTZ combination, omapatrilat induced a significant decrease in plasma angiotensin II levels (P<0.001 versus placebo; P<0.05 versus FOS/HCTZ) and an increase in urinary atrial natriuretic peptide excretion (P<0.01). These hormonal effects were associated with a significant fall in blood pressure (P<0.01) and a marked renal vasodilatation, but with no significant changes in glomerular filtration rate. The FOS/HCTZ markedly increased urinary sodium excretion (P<0.001). The acute natriuretic response to FOS/HCTZ was significantly greater than that observed with omapatrilat (P<0.01). Over 1 week, however, the cumulative sodium excretion induced by both doses of omapatrilat (P<0.01 versus placebo) was at least as great as that induced by the dose of FOS/HCTZ (P=NS versus FOS/HCTZ). In conclusion, the results of the present study in normal subjects demonstrate that omapatrilat has favorable renal hemodynamic effects. Omapatrilat combines potent ACE inhibition with a sustained natriuresis, which explains its well-documented potent antihypertensive efficacy.
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Rapport de synthèse : Introduction: la prévalence de l'insuffisance rénale chronique (IRC) augmente et malgré les traitements de remplacement rénal telle que la transplantation ou la dialyse, la mortalité chez des patients atteints d'une IRC reste très élevée. Les maladies cardiovasculaires sont la cause principale de mortalité chez ces patients, et le risque de décès dú à une complication cardiovasculaire est chez eux accru de 10 à 20 fois par rapport à la population générale. Méme si les facteurs de risque cardiovasculaires «traditionnels », principalement l'hypertension artérielle et le diabète sont très prévalents chez les patients avec IRC, ils sont insuffisants pour expliquer l'excès de mortalité cardiovasculaire. D'autres facteurs de risques « nontraditionnels » comme l'accumulation du diméthylarginine asymétrique (ADMA), un inhibiteur endogène de la synthase d'oxyde d'azote (NO), semblent aussi être importants. Chez les patients avec IRC, des taux élevés d'ADMA sont un puissant facteur prédictif indépendant de la mortalité cardiovasculaire. Il a également été démontré chez des souris que l'ADMA peut étre une cause directe de dysfonction endothéliale. Cette dernière joue un rôle primordial dans le développement de l'athérosclérose, cause principale des complications cardiovasculaires. Le but du présent travail est de tester l'hypothèse qu'une réduction du taux d'ADMA après une séance unique d'hémodialyse améliore la dysfonction endothéliale. Méthodes: la dysfonction endothéliale peut être évaluée dans les microvaisseaux de la péan de façon non invasive par fluxmétrie laser Doppler. La vasodilatation cutanée induite par un échauffement local de 34° à 41 °C (hyperémie thermique) est connue pour être dépendante de la production endothéliale de NO et a été utilisée dans plusieurs études cliniques pour évaluer la dysfonction endothéliale. Nous avons recruté 24 patients traités par hémodialyse chronique et également 24 sujets contrôles du même âge et sexe. Chez les patients dialysés, l'hyperémie thermique est mesuré une fois directement avant une séance d'hémodialyse, et une fois directement après une autre séance, toutes deux distantes de 2 à 7 jours. En même temps, les taux plasmatiques d'ADMA sont mesurés par la méthode de spectrométrie de masse en tandem. Chez les sujets contrôle, l'hyperémie thermique est également mesurée à deux reprises, à un intervalle de 2 à 7 jours comme chez les patients dialysés et les taux d'ADMA sont déterminés qu'une seule fois. Résultats: chez les patients dialysés, les réactions d'hyperémie thermique étaient superposables avant et après dialyse, mais moindre que chez les sujets contrôles. Par contre, les taux d'ADMA étaient plus élevés avant qu'après dialysé. Les taux d'ADMA après dialyse étaient similaires aux taux chez les sujets contrôles. Conclusion: cette étude montre que la vasodilatation dépendante de la production endothéliale de NO dans la microcirculation cutanée n'est pas influencée par les taux plasmatiques d'ADMA chez les patients dialysés. Ces résultats suggèrent que d'autres mécanismes sont responsables de la dysfonction endothéliale chez ces patients. Ceci met en question le concept que l'accumulation d'ADMA est un facteur causal du risque cardiovasculaire élevé et suggère que l'ADMA est juste un marqueur du milieu très athérogénique causé par l'IRC.
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Résumé Il est actuellement reconnu que l'endothélium vasculaire joue un rôle primordial dans la genèse des maladies cardiovasculaires, notamment l'artériosclérose. Dès lors, il est important de pouvoir investiguer la fonction endothéliale en clinique. Pour ce faire, il est particulièrement simple d'examiner la microcirculation cutanée, car celle-ci est très simplement accessible, de manière non-invasive, par fluxmétrie laser-Doppler. Pratiquement, on mesure l'augmentation du flux sanguin dermique en réponse à des stimuli connus pour agir via l'endothélium vasculaire. Les stimuli endothélium-dépendants les plus courants sont l'interruption temporaire du flux sanguin qui est suivie d'une hyperémie réactive, et l'administration transcutanée d'acétylcholine (Ach) par iontophorèse. La iontophorèse consiste à obtenir le transfert d' une substance ionisée, telle l'Ach, par l'application d'un courant électrique de polarité appropriée. L'objectif du présent travail était de déterminer le rôle des prostaglandines dans ces réponse vasodilatatrices dépendante de l'endothélium, rôle actuellement peu clair. 23 jeunes hommes volontaires non fumeurs et en bonne santé habituelle ont été examinés lors de deux visites séparées par 1 à 3 semaines. Lors de chaque visite, l'hyperémie réactive et la réponse vasodilatatrice à l'Ach ont été déterminées dans la peau de l'avant bras après administration soit d'un placebo, soit d'un inhibiteur de la cyclooxygénase (COX, enzyme qui contrôle la synthèse des prostaglandines). Chez certains sujets, l'inhibiteur était de l'acétylsalicylate de lysine (900 mg par voie intraveineuse). Chez d'autres sujets, il s'agissait d'indométhacine. (75 mg par voie orale). Comme la stimulation nociceptive liée au courant iontophorétique peut influencer la réponse à l'Ach, celle-ci a été déterminée en présence et en l'absence d'anesthésie de surface (crème de lidocaine). La réponse à l'Ach a été obtenue pour 4 doses différentes de cet agent (exprimées sous la forme de la densité de charge iontophorétique appliquée : 0.28, 1.4, 7, et 14 millicoulombs par cm2 de peau exposée). Le flux sanguin dermique était mesuré par imagerie laser-Doppler, une variante de la fluxmétrie laser-Doppler classique permettant l'exploration d'une surface de peau de taille arbitraire. Quelle que soit la condition testée, nous n'avons jamais observé la moindre influence de l'inhibition de la COX sur l'hyperémie réactive, ni sur la réponse à l'Ach. Cette dernière était augmentée significativement par l'anesthésie cutanée, que les sujets aient reçu ou non de l'acétylsalicylate de lysine ou de l'indométhacine . Par exemple, la réponses moyenne (±SD) à la plus haute dose d'Ach (testée sur 6 sujets, et exprimée en unités de perfusion, comme il est d'usage en fluxmétrie laser-Doppler ) était la suivante : en l'absence d'anesthésie : acétylsalicylate de lysine 339 ± 105, placebo 344 ± 68 ; avec l'anesthésie : acétylsalicylate de lysine 453 ± 76 , placebo 452 ± 65 (p * 0.001 pour les effets de l'anesthésie). En conclusion, nos résultats infirment une contribution des prostaglandines à l'hyperémie réactive ou à la vasodilatation induite par l'acétylcholine dans la microcirculation cutanée. Dans ce lit vasculaire, l'anesthésie locale accroît la vasodilatation induite par l'acétylcholine par un mécanisme indépendant des prostaglandines.
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BACKGROUND: Because traditional nonsteroidal antiinflammatory drugs are associated with increased risk for acute cardiovascular events, current guidelines recommend acetaminophen as the first-line analgesic of choice on the assumption of its greater cardiovascular safety. Data from randomized clinical trials prospectively addressing cardiovascular safety of acetaminophen, however, are still lacking, particularly in patients at increased cardiovascular risk. Hence, the aim of this study was to evaluate the safety of acetaminophen in patients with coronary artery disease. METHODS AND RESULTS: The 33 patients with coronary artery disease included in this randomized, double-blind, placebo-controlled, crossover study received acetaminophen (1 g TID) on top of standard cardiovascular therapy for 2 weeks. Ambulatory blood pressure, heart rate, endothelium-dependent and -independent vasodilatation, platelet function, endothelial progenitor cells, markers of the renin-angiotensin system, inflammation, and oxidative stress were determined at baseline and after each treatment period. Treatment with acetaminophen resulted in a significant increase in mean systolic (from 122.4±11.9 to 125.3±12.0 mm Hg P=0.02 versus placebo) and diastolic (from 73.2±6.9 to 75.4±7.9 mm Hg P=0.02 versus placebo) ambulatory blood pressures. On the other hand, heart rate, endothelial function, early endothelial progenitor cells, and platelet function did not change. CONCLUSIONS: This study demonstrates for the first time that acetaminophen induces a significant increase in ambulatory blood pressure in patients with coronary artery disease. Thus, the use of acetaminophen should be evaluated as rigorously as traditional nonsteroidal antiinflammatory drugs and cyclooxygenase-2 inhibitors, particularly in patients at increased cardiovascular risk. CLINICAL TRIAL REGISTRATION: URL: http://www.clinicaltrials.gov. Unique identifier: NCT00534651.
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RAPPORT DE SYNTHESE Introduction : dans la présente étude, nous nous sommes intéressés à la vasodilatation cutanée induite par le réchauffement local (hyperémie thermique). Il est établi, qu'une partie de cette réponse vasculaire est médiée par l'oxyde nitrique (NO). De manière générale, les effets du NO peuvent être sujets à une désensibilisation, comme nous le démontre le phénomène bien connu de tolérance aux dérivés nitrés. Le but du présent travail était d'évaluer si une telle désensibilisation existe dans le cas de l'hyperémie thermique. Méthodes : nous avons donc examiné si une première stimulation thermique pouvait en atténuer une deuxième, induite plus tard sur le même site cutané à une intervalle de 2h ou 4h. Pour vérifier directement l'effet du réchauffement local sur la sensibilité de la microcirculation cutanée au NO, nous avons de plus appliqué un donneur de NO (nitroprussiate de sodium, SNP) par la technique d' iontophorèse, sur des sites cutanés préalablement soumis à un échauffement local 2h ou 4h auparavant. Nous avons examinés 12 sujets en bonne santé habituelle, de sexe masculin, non fumeurs, âgés de 18 à 30 ans, ne prenant aucune médication. Le flux sanguin dermique a été mesuré par imagerie laser Doppler (LDI, Moor Instruments) sur la face antérieur de l'avant-bras. Le réchauffement local de la peau a été effectué grâce a des petits anneaux métalliques thermo-contrôlés contenant de l'eau. La température était initialement de 34°C. Elle a été augmentée à 41 °C en une minute et maintenue à cette valeur durant 30 minutes. Cette manoeuvre a été répétée sur le même site cutané soit 2 h, soit 4h plus tard. Quant à l'iontophorèse de SNP, elle a été effectuée sur des sites ayant préalablement subi, 2h ou 4h auparavant, un échauffement unique appliqué selon la technique qui vient d'être décrite. Résultats : nous avons observé une atténuation de l'hyperémie thermique lorsque celleci était examinée 2h après un premier échauffement local. Lorsque l'intervalle était de 4h la réponse vasodilatatrice n'était pas réduite. Nous avons également observé une atténuation de la réponse vasodilatatrice au SNP lorsque celui-ci a était appliqué 2h, mais non 4h après un premier échauffement local. Conclusion :cette étude démontre que la réponse vasodilatatrice cutanée induite par l'échauffement local est bien sujette à désensibilisation, comme nous en avions formulé l'hypothèse. Ce phénomène est transitoire. Il est lié, au moins en partie, à une baisse de sensibilité de la microcirculation cutanée aux effets vasodilatateurs du NO.
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Pendant la grossesse, la pression artérielle reste stable malgré une nette augmentation du volume d'éjection systolique et du débit cardiaque. Cette stabilité vient d'un côté d'une vasodilatation périphérique entraînant une diminution des résistances périphériques et d'un autre côté d'une moindre rigidité des principales artères notamment l'aorte. En conséquence, l'amplitude des ondes de pouls est atténuée, de même que leur vitesse de propagation dans le sens tant antérogade que rétrograde (ondes réfléchies). Les ondes réfléchies tendent ainsi à atteindre l'aorte ascendante plus tard durant la systole, voire durant la diastole, ce qui peut contribuer à diminuer la pression puisée. La prééclampsie perturbe massivement ce processus d'adaptation. Il s'agit d'une maladie hypertensive de la grossesse engendrant une importante morbidité et mortalité néonatale et maternelle. Il est à remarquer que la diminution de la rigidité artérielle n'est pas observée chez les patientes atteintes avec pour conséquence une forte augmentation de la pression systolique centrale (aortique) par les ondes réfléchies. Ce fait a été établi grâce à l'existence de la tonométrie d'aplanation, une méthode permettant l'évaluation non invasive de l'onde de pouls centrale. Dans cette méthode, un senseur de pression piézo-électrique permet de capter l'onde de pouls périphérique, le plus souvent sur l'artère radiale. Par la suite, un algorithme validé permet d'en déduire la forme de l'onde de pouls centrale et de visualiser à quel moment du cycle cardiaque s'y ajoutent les ondes réfléchies. Plusieurs études font état d'une forte augmentation de la pression systolique centrale par les ondes réfléchies chez les patientes atteintes de prééclampsie, suggérant l'utilisation de cette méthode pour le diagnostic et le monitoring voire pour le dépistage de ces patientes. Pour atteindre ce but, il est nécessaire d'établir des normes en rapport notamment avec l'âge gestationnel. Dans la littérature, les données pertinentes actuellement disponibles sont variables, voire contradictoires. Par exemple, les ondes réfléchies proéminentes dans la partie diastolique de l'onde de pouls centrale disparaissaient chez des patientes enceintes au 3eme trimestre comparées à des contrôles non enceintes dans une étude lausannoise, alors que deux autres études présentent l'observation contraire. Autre exemple, certains auteurs décrivent une diminution progressive de l'augmentation systolique jusqu'à l'accouchement alors que d'autres rapportent un nadir aux environs du 6ème mois, suivi d'un retour à des valeurs plus élevées en fin de grossesse. Les mesures effectuées dans toutes ces études différaient dans leur exécution, les patientes étant notamment dans des postions corporelles différentes (couchées, semi-couchées, assises, en décubitus latéral). Or nous savons que le status hémodynamique est très sensible aux changements de position, particulièrement durant la grossesse où l'utérus gravide est susceptible d'avoir des interactions mécaniques avec les veines et possiblement les artères abdominales. Ces différences méthodologiques pourraient donc expliquer, au moins en partie, l'hétérogénéité des résultats concernant l'onde de pouls chez la femme enceinte, ce qui à notre connaissance n'a jamais été exploré. Nous avons mesuré l'onde de pouls dans les positions assise et couchée chez des femmes enceintes, au 3eme trimestre d'une grossesse non compliquée, et nous avons effectué une comparaison avec des données similaire obtenues chez des femmes non enceintes en bonne santé habituelle. Les résultats montrent que la position du corps a un impact majeur sur la forme de l'onde de pouls centrale. Comparée à la position assise, la position couchée se caractérise par une moindre augmentation systolique et, par contraste, une augmentation diastolique plus marquée. De manière inattendue, cet effet s'observe aussi bien en présence qu'en l'absence de grossesse, suggérant que la cause première n'en réside pas dans les interactions mécaniques de l'utérus gravide avec les vaisseaux sanguins abdominaux. Nos observations pourraient par contre être expliquées par l'influence de la position du corps, via un phénomène hydrostatique simple, sur la pression transmurale des artères éloignées du coeur, tout particulièrement celles des membres inférieurs et de l'étage abdominal. En position verticale, ces vaisseaux augmenteraient leur rigidité pour résister à la distension de leur paroi, ce qui y accroîtrait la vitesse de propagation des ondes de pression. En l'état, cette explication reste hypothétique. Mais quoi qu'il en soit, nos résultats expliquent certaines discordances entre les études conduites à ce jour pour caractériser l'influence de la grossesse physiologique sur la forme de l'onde de pouls central. De plus, ils indiquent que la position du corps doit être prise en compte lors de toute investigation utilisant la tonométrie d'applanation pour déterminer la rigidité des artères chez les jeunes femmes enceintes ou non. Il sera aussi nécessaire d'en tenir compte pour établir des normes en vue d'une utilisation de la tonométrie d'aplanation pour dépister ou suivre les patientes atteintes de prééclampsie. Il serait enfin intéressant d'évaluer si l'effet de la position sur la forme de l'onde de pouls central existe également dans l'autre sexe et chez des personnes plus âgées.
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Purpose: Recent studies showed that pericardial fat was independently correlated with the development of coronary artery disease (CAD). The mechanism remains unclear. We aimed at assessing a possible relationship between pericardial fat volume and endothelium-dependent coronary vasomotion, a surrogate of future cardiovascular events.Methods: Fifty healthy volunteers without known CAD or cardiovascular risk factors (CRF) were enrolled. They all underwent a dynamic Rb- 82 cardiac PET/CT to quantify myocardial blood flow (MBF) at rest, during MBF response to cold pressure test (CPT-MBF) and adenosine stress. Pericardial fat volume (PFV) was measured using a 3D volumetric CT method and common biological CRF (glucose and insulin levels, HOMA-IR, cholesterol, triglyceride, hs-CRP). Relationships between MBF response to CPT, PFV and other CRF were assessed using non-parametric Spearman correlation and multivariate regression analysis of variables with significant correlation on univariate analysis (Stata 11.0).Results: All of the 50 participants had normal MBF response to adenosine (2.7±0.6 mL/min/g; 95%CI: 2.6−2.9) and myocardial flow reserve (2.8±0.8; 95%CI: 2.6−3.0) excluding underlying CAD. Simple regression analysis revealed a significant correlation between absolute CPTMBF and triglyceride level (rho = −0.32, p = 0.024) fasting blood insulin (rho = −0.43, p = 0.0024), HOMA-IR (rho = −0.39, p = 0.007) and PFV (rho = −0.52, p = 0.0001). MBF response to adenosine was only correlated with PFV (rho = −0.32, p = 0.026). On multivariate regression analysis PFV emerged as the only significant predictor of MBF response to CPT (p = 0.002).Conclusion: PFV is significantly correlated with endothelium-dependent coronary vasomotion. High PF burden might negatively influence MBF response to CPT, as well as to adenosine stress, even in persons with normal hyperemic myocardial perfusion imaging, suggesting a link between PF and future cardiovascular events. While outside-to-inside adipokines secretion through the arterial wall has been described, our results might suggest an effect upon NO-dependent and -independent vasodilatation. Further studies are needed to elucidate this mechanism.
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Rapport de synthèseDes événements pathologiques survenant pendant la période foetale prédisposent la descendance aux maladies cardiovasculaires systémiques. Il existe peu de connaissances au sujet de la circulation pulmonaire et encore moins quant aux mécanismes sous-jacents. La sous-alimentation maternelle pendant la grossesse peut représenter un modèle d'investigation de ces mécanismes, parce que chez l'animal et l'homme elle est associée à une dysfonction vasculaire systémique chez la progéniture. Chez le rat, la diète restrictive pendant la grossesse induit une augmentation du stress oxydatif dans le placenta. Les dérivés de l'oxygène sont connus pour induire des altérations épigénétiques et peuvent traverser la barrière placentaire. Nous avons dès lors spéculé que chez la souris la diète restrictive pendant la grossesse induit une dysfonction vasculaire pulmonaire chez sa progéniture qui serait liée à un mécanisme épigénétique.Pour tester cette hypothèse, nous avons examiné la fonction vasculaire pulmonaire et la méthylation de l'ADN pulmonaire à la fin de 2 semaines d'exposition à l'hypoxie chez la progéniture de souris soumises à une diète restrictive pendant la grossesse et des souris contrôles. Nous avons trouvé que la vasodilatation endothélium-dépendante de l'artère pulmonaire in vitro était défectueuse, et que l'hypertension pulmonaire et l'hypertrophie ventriculaire droite induites par l'hypoxie in vivo étaient exagérées chez la progéniture de souris soumises à une diète restrictive pendant la grossesse. Cette dysfonction vasculaire pulmonaire était associée avec une altération de la méthylation de l'ADN pulmonaire. L'administration d'inhibiteurs de la déacétylase des histones, le Butyrate et la Trichostatine-A à la progéniture de souris soumises à une diète restrictive pendant la grossesse a normalisé la méthylation de l'ADN et la fonction vasculaire pulmonaire. Finalement, l'administration du nitroxyde Tempol aux mères durant la diète restrictive pendant la grossesse a prévenu la dysfonction vasculaire et la dysméthylation chez la progéniture.Ces découvertes démontrent que chez la souris la sous-alimentation pendant la gestation induit une dysfonction vasculaire chez la progéniture qui est causée par un mécanisme épigénétique. Il est possible qu'un mécanisme similaire soit impliqué dans la programmation foetale de la dysfonction vasculaire chez les humains.
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A group of neonatal (n=10) and 12-week-old (n=12) anesthetized, ventilated New Zealand white rabbits received an acute i.v. dose (40 mg/kg body weight) of acetylsalicylic acid (ASA, Aspirin). In the neonatal animals, i.v. ASA caused within 20 min a significant (P<0.01) fall in renal blood flow and glomerular filtration rate (GFR), with an equally significant (P<0.01) increase in filtration fraction and renal vascular resistance. The latter indicates greatly augmented renal vasconstriction or more precisely reduction in intrarenal vasodilatation by inhibition of vasodilatory prostaglandin (PG) synthesis. Urine volume decreased. The 12-week-old young adult animals responded in a similar, but significantly attenuated fashion. These experiments demonstrate that inhibition of PG synthesis in neonatal animals causes very rapid, reversible vasoconstriction, with a reduction in GFR. In addition, this study confirms previous observations that the renal hemodynamic response to the inhibition of PG synthesis is far more pronounced in neonatal animals than in (young) adult rabbits.
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Introduction : Les carcinomes de la conjonctive sont les tumeurs oculaires épithéliales des plus fréquentes. Ces tumeurs peuvent se limiter à la membrane basale ou l'envahir pour devenir des tumeurs invasifs. Le diagnostic différentiel entre tumeurs intra‐épithéliales (CIN) et invasifs est exclusivement fait histologiquement. Le but de la présente étude est de définir les caractéristiques cliniques qui sont en faveur du diagnostic d'une CIN ou d'un carcinome invasif afin de améliorer le traitement. Méthode : étude rétrospective des carcinomes de la conjonctive examinés et traités à la Clinique Ophtalmologique Universitaire de Lausanne. Au total 100 dossiers de patients sont étudiés : divers signes cliniques sont notés et analysé selon le type de tumeur (intra‐épithélial et invasif). Résultats : 20 des tumeurs étudié étaient invasifs et 80 intra‐épihteliales, avec une moyenne d'âge de 65 ans. La lésion conjonctivale était localisée pour 40 cas sur 100 dans la région nasale, 22 temporale, 7 inférieures, 3 supérieurs. La forme gélatineuse de la tumeur se présente dans 36 cas sur 100 avec une fréquence relative de 17% en tumeur invasive et 83% en CIN. La forme nodulaire apparait dans 26 cas sur 100 avec 15% en tumeurs invasive et 85% en CIN. La forme papillaire elle se trouve dans 17 cas sur 100 avec 24% invasif et 76% CIN. 21 cas sur 100 sont de type diffus avec 29% invasif et 71% CIN. La kératine était présente dans 40 cas sur 100 avec 23% dans la tumeur invasive et 77% dans CIN. La cornée était touchée dans 74 cas sur 100 avec 20% des cas invasifs et 80% CIN. La taille la plus commune avec 57 cas sur 100 cas est la petite, 21 cas étaient de taille moyenne et 22 cas de taille volumineuse. La grande partie des tumeurs se présente avec un vasodilatation et 45 tumeurs avaient un vascularisation des muscles rectilignes VxR (18% invasif et 82% CIN), 25 cas avaient une vascularisation conjonctivale VxC (0% invasif et 100% CIN), et 30 cas plutôt une vascularisation mixte VxM (33% invasif et 67% CIN). On a trouvé qu'une vasodilatation de la vascularisation mixte (P=0,0294) est statistiquement significative pour caractériser une tumeur invasive et une vasodilatation de la vascularisation de la conjonctive est indicatif pour diagnostiquer un CIN (P=0,0159). La taille de la tumeur joue aussi un rôle important ; dans notre cas la taille volumineuse est statistiquement significative pour déterminer le risque d'avoir une tumeur invasive (P=0,0234). Conclusion : Pour le moment l'excision de la lésion est la méthode la plus plausible pour différencier les carcinomes de la conjonctive. Différents critères permettent de suspecter si la tumeur est invasive ou un CIN, mais ils ne sont pas suffisamment forts pour baser la décision thérapeutique là dessus.
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But: L'échauffement local augmente le flux sanguin cutané (SkBF) en induisant une vasodilatation. Cette réponse de la microcirculation dermique est dénommée hyperémie thermique. Dans une précédente étude, nous avons montré qu'un stimulus thermique local appliqué une première fois atténue la réponse hypérémique à un second stimulus appliqué ultérieurement sur le même site cutané, un phénomène que nous appelons désensibilisation. Cependant, d'autres études n'ont pas mis en évidence une désensibilisation dans des conditions similaires. Le but du présent travail est d'explorer les raisons de cette discordance qui pourrait relever d'une différence au niveau de l'instrumentation. Méthode: vingt-huit jeunes hommes en bonne santé sont étudiés. Deux paires de corps de chauffe, l'une faite sur mesure (notre étude) et l'autre produite commercialement (autres groupes d'investigateurs), sont fixées sur l'avant bras. SkBF est mesuré par fluxmétrie laser Doppler ponctuelle (LDF) (780 nm) sur une paire, et par imagerie laser Doppler (LDI) (633 nm) sur l'autre paire. Des palliers de température de 34 à 41 °C sont appliqués pendant 30 minutes et reproduits après deux heures. Résultats : Durant le second échauffement, le plateau SkBF est plus bas que lors du premier stimulus thermique et ce phénomène est observé avec chacune des quatre combinaisons entre différents instruments de mesure du SkBF et de chauffage (p< 0.05 pour chacune des conditions, différence de -9% à -16% de la valeur initiale). Conclusion : La désensibilisation lors d'une hypérémie thermique n'est pas spécifique à des conditions opératoires particulières.
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BACKGROUND: Remodeling of quiescent vessels with increases in permeability, vasodilatation, and edema are hallmarks of inflammatory disorders. Factors involved in this type of remodeling represent potential therapeutic targets. OBJECTIVES: We investigated whether the nuclear hormone receptor peroxisome proliferator-activated receptor (PPAR) β/δ, a regulator of metabolism, fibrosis, and skin homeostasis, is involved in regulation of this type of remodeling. METHODS: Wild-type and various Pparb/d mutant mice were used to monitor dermal acute vascular hyperpermeability (AVH) and passive systemic anaphylaxis-induced hypothermia and edema. PPARβ/δ-dependent kinase activation and remodeling of endothelial cell-cell junctions were addressed by using human endothelial cells. RESULTS: AVH and dilatation of dermal microvessels stimulated by vascular endothelial growth factor A, histamine, and thrombin are severely compromised in PPARβ/δ-deficient mice. Selective deletion of the Pparb/d-encoding gene in endothelial cells in vivo similarly limits dermal AVH and vasodilatation, providing evidence that endothelial PPARβ/δ is the major player in regulating acute dermal microvessel remodeling. Furthermore, endothelial PPARβ/δ regulatory functions are not restricted to the skin vasculature because its deletion in the endothelium, but not in smooth muscle cells, also leads to reduced systemic anaphylaxis, the most severe form of allergic reaction, in which an acute vascular response plays a key role. PPARβ/δ-dependent AVH activation likely involves the activation of mitogen-activated protein kinase and Akt pathways and leads to downstream destabilization of endothelial cell-cell junctions. CONCLUSION: These results unveil not only a novel function of PPARβ/δ as a direct regulator of acute vessel permeability and dilatation but also provide evidence that antagonizing PPARβ/δ represents an important strategy to consider for moderating diseases with altered endothelial integrity, such as acute inflammatory and allergic disorders.
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Endothelial cell release of nitric oxide (NO) is a defining characteristic of nondiseased arteries, and abnormal endothelial NO release is both a marker of early atherosclerosis and a predictor of its progression and future events. Healthy coronaries respond to endothelial-dependent stressors with vasodilatation and increased coronary blood flow (CBF), but those with endothelial dysfunction respond with paradoxical vasoconstriction and reduced CBF. Recently, coronary MRI and isometric handgrip exercise (IHE) were reported to noninvasively quantify coronary endothelial function (CEF). However, it is not known whether the coronary response to IHE is actually mediated by NO and/or whether it is reproducible over weeks. To determine the contribution of NO, we studied the coronary response to IHE before and during infusion of N(G)-monomethyl-l-arginine (l-NMMA, 0.3 mg·kg(-1)·min(-1)), a NO-synthase inhibitor, in healthy volunteers. For reproducibility, we performed two MRI-IHE studies ∼8 wk apart in healthy subjects and patients with coronary artery disease (CAD). Changes from rest to IHE in coronary cross-sectional area (%CSA) and diastolic CBF (%CBF) were quantified. l-NMMA completely blocked normal coronary vasodilation during IHE [%CSA, 12.9 ± 2.5 (mean ± SE, placebo) vs. -0.3 ± 1.6% (l-NMMA); P < 0.001] and significantly blunted the increase in flow [%CBF, 47.7 ± 6.4 (placebo) vs. 10.6 ± 4.6% (l-NMMA); P < 0.001]. MRI-IHE measures obtained weeks apart strongly correlated for CSA (P < 0.0001) and CBF (P < 0.01). In conclusion, the normal human coronary vasoactive response to IHE is primarily mediated by NO. This noninvasive, reproducible MRI-IHE exam of NO-mediated CEF promises to be useful for studying CAD pathogenesis in low-risk populations and for evaluating translational strategies designed to alter CAD in patients.
Resumo:
Previous studies have demonstrated that clinical pulpal pain can induce the expression of pro-inflammatory neuropeptides in the adjacent gingival crevice fluid (GCF). Vasoactive agents such as substance P (SP) are known to contribute to the inflammatory type of pain and are associated with increased blood flow. More recent animal studies have shown that application of capsaicin on alveolar mucosa provokes pain and neurogenic vasodilatation in the adjacent gingiva. Pain-associated inflammatory reactions may initiate expression of several pro- and anti-inflammatory mediators. Collagenase-2 (MMP-8) has been considered to be the major destructive protease, especially in the periodontitis-affected gingival crevice fluid (GCF). MMP-8 originates mostly from neutrophil leukocytes, the first line of defence cells that exist abundantly in GCF, especially in inflammation. With this background, we wished to clarify the spatial extensions and differences between tooth-pain stimulation and capsaicin-induced neurogenic vasodilatation in human gingiva. Experiments were carried out to study whether tooth stimulation and capsaicin stimulation of alveolar mucosa would induce changes in GCF MMP-8 levels and whether tooth stimulation would release neuropeptide SP in GCF. The experiments were carried out on healthy human volunteers. During the experiments, moderate and high intensity painful tooth stimulation was performed by a constant current tooth stimulator. Moderate tooth stimulation activates A-delta fibres, while high stimulation also activates C-fibres. Painful stimulation of the gingiva was achieved by topical application of capsaicin-moistened filter paper on the mucosal surface. Capsaicin is known to activate selectively nociceptive C-fibres of stimulated tissue. Pain-evoked vasoactive changes in gingivomucosal tissues were mapped by laser Doppler imaging (LDI), which is a sophisticated and non-invasive method for studying e.g. spatial and temporal characteristics of pain- and inflammation-evoked blood flow changes in gingivomucosal tissues. Pain-evoked release of MMP-8 in GCF samples was studied by immunofluorometric assay (IFMA) and Western immunoblotting. The SP levels in GCF were analysed by Enzyme immunoassay (EIA). During the experiments, subjective stimulus-evoked pain responses were determined by a visual analogue pain scale. Unilateral stimulation of alveolar mucosa and attached gingiva by capsaicin evoked a distinct neurogenic vasodilatation in the ipsilateral gingiva, which attenuated rapidly at the midline. Capsaicin stimulation of alveolar mucosa provoked clear inflammatory reactions. In contrast to capsaicin stimuli, tooth stimulation produced symmetrical vasodilatations bilaterally in the gingiva. The ipsilateral responses were significantly smaller during tooth stimulation than during capsaicin stimuli. The current finding – that tooth stimulation evokes bilateral vasodilatation while capsaicin stimulation of the gingiva mainly produces unilateral vasodilatation – emphasises the usefulness of LDI in clarifying spatial features of neurogenic vasoactive changes in the intra-oral tissues. Capsaicin stimulation of the alveolar mucosa induced significant elevations in MMP-8 levels and activation in GCF of the adjacent teeth. During the experiments, no marked changes occurred in MMP-8 levels in the GCF of distantly located teeth. Painful stimulation of the upper incisor provoked elevations in GCF MMP-8 and SP levels of the stimulated tooth. The GCF MMP-8 and SP levels of the non-stimulated teeth were not changed. These results suggest that capsaicin-induced inflammatory reactions in gingivomucosal tissues do not cross the midline in the anterior maxilla. The enhanced reaction found during stimulation of alveolar mucosa indicates that alveolar mucosa is more sensitive to chemical irritants than the attached gingiva. Analysis of these data suggests that capsaicin-evoked neurogenic inflammation in the gingiva can trigger the expression and activation of MMP-8 in GCF of the adjacent teeth. In this study, it is concluded that experimental tooth pain at C-fibre intensity can induce local elevations in MMP-8 and SP levels in GCF. Depending on the role of MMP-8 in inflammation, in addition to surrogated tissue destruction, the elevated MMP-8 in GCF may also reflect accelerated local defensive and anti-inflammatory reactions.
Resumo:
Introduction: Le retard de croissance intra-utérin (RCIU) est défini comme une incapacité du foetus à atteindre son plein potentiel de croissance. C'est une complication fréquente (affectant ~8% des grossesses), associée à un risque accru de mortalité et morbidité périnatales et de maladies chroniques à l'âge adulte, telles que les maladies coronariennes, l'hypertension, ou le diabète. Une croissance foetale adéquate est déterminée principalement par la disponibilité en oxygène et nutriments apportés au foetus par la circulation ombilico-placentaire. Chez l'homme, le tonus vasculaire ombilical est régulé majoritairement par la voie du monoxyde d'azote (NO)/GMPc. Nous avons émis l'hypothèse que le RCIU pourrait être associé à des altérations dans la régulation de la circulation ombilicale, en particulier dans la voie du NO/GMPc. Méthodes: Cette étude a été conçue pour identifier dans des cordons ombilicaux, les changements structurels, fonctionnels et moléculaires survenant en cas de RCIU, en particulier dans la veine om-bilicale. Résultats: De façon générale, le diamètre du cordon ombilical était significativement réduit chez les nouveau-nés avec RCIU par rapport aux contrôles. Les mesures histomorphométriques ont mis en évidence une diminution significative de la surface transversale totale ainsi que de muscle lisse dans la veine ombilicale en cas de RCIU. Les études pharmacologiques effectuées sur des anneaux vasculaires de veines ombilicales ont montré une diminution de la tension maximale induite par des vasoconstricteurs chez les garçons avec RCIU, et une réduction significative de la relaxation induite par le NO chez les filles avec RCIU. Cette altération de la relaxation s'accompagne de modifications de plusieurs composants de la voie du NO/GMPc au niveau du muscle lisse de la veine ombilicale des filles avec RCIU. Enfin l'addition d'un inhibiteur non-spécifique des phosphodiesterases (PDEs) a permis d'améliorer la réponse au NO dans tous les groupes et surtout de compenser la réduction de la relaxation induite par le NO chez les filles avec RCIU. Conclusion: Cette étude a permis de mettre en évidence des modifications structurelles dans le cordon ombilical de nouveau-nés présentant un RCIU, ainsi que des changements fonctionnels et moléculaires dans la veine ombilicale, en particulier dans la voie du NO/GMPc, qui pourraient contribuer au développement du RCIU. L'effet bénéfique de l'inhibition des PDEs sur la relaxation suggère qu'elles pourraient constituer des cibles thérapeutiques potentielles.