144 resultados para Tess


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Margaret Atwood’s novella The Penelopiad (2005) seemingly celebrates Penelope’s agency in opposition to Homer’s myth in The Odyssey. However, the twelve murdered maids steal the book to suggest the possibility of what Janice Raymond calls gyn/affection, a female bonding based on the logic of emotion that, in Atwood’s revision, verges on Kristevan abjection, the sinister and the fantastic, and serves a cathartic effect not only in the maids but also in the reader. This essay aims to question the generally accepted empowerment of Atwood’s Penelope and celebrates the murdered maids as the locus of emotion, where marginal aspects of gender and class merge to weave a powerful metaphorical tapestry of popular and traditionally feminized literary genres that, in plunging into and embracing the semiotic realm, ultimately solidify into an eclectic but compact alternative tradition of women’s writing and myth-making.

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This article will be a reflective report, made by participants, facilitators and tutors on the first stage of a project entitled ‘Mentalentity’ which, had as it brief, the promotion of positive attitudes to mental health among men in rural areas. The arts ‘product’ is a 25 minute film made by a group of men in South Armagh using an action learning and action research approach.. The project is a paradigm of ‘action research’ using arts based methods also in that none of the men had ever been involved in filmmaking and had to learn a wide range of skills to convert the knowledge they were reflecting on into an arts product; avoiding the sensationalising of a very complex subject and, equally, the earnestness sometimes associated with ‘awareness raising’ projects. The project is funded by a statutory agency, the Southern Investing for Health Partnership, and is being implemented by two voluntary groups, Men Aware (South Armagh) and a pan-disability group, Out and About, working with Queen’s University, School of Education, Open Learning Programme, which facilitated and accredited the project and the Nerve Centre, an internationally renowned independent arts organisation which specialises in music, multimedia, and the moving image. The article will relate the project to a range of arts based projects undertaken by the contributors and will contextualize this work within the research in such fields as inclusive participative and emancipatory research, qualitative research methodologies, active learning pedagogy, arts based pedagogy, Social/ Relational model disability and cutting edge ‘psychosocial’ models in mental health.

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The first section of this paper is a discussion of the paradoxes contained in the word ‘community’, which deliberately foregrounds and problematises these conflicting meanings before arguing for a third definition and practice of community that transcends and even celebrates contradictions within an active learning model of education in the community aimed at tackling inequality and prejudice. The second section offers an autocritical narrative account of an education in the community project which illustrates how such a practice of community making can be achieved within an educational framework in which pupil is teacher and teacher is pupil. The paper draws upon theoretical models from the fields of community development, inclusive and creative education, emancipatory action research, postmodernism and postcolonialism.

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Concert program for Eugene Onegin, May 17, 2009

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Concert program for Spring Opera Gala, May 14, 2010

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Cette lecture, tant critique, comparative, et théorique que pédagogique, s’ancre dans le constat, premièrement, qu’il advient aux étudiantEs en littérature de se (re)poser la question des coûts et complicités qu’apprendre à lire et à écrire présuppose aujourd’hui; deuxièmement, que nos pratiques littéraires se trament au sein de lieux empreints de différences, que l’on peut nommer, selon le contexte, métaphore, récit, ville; et, troisièmement, que les efforts et investissements requis sont tout autant couteux et interminable qu’un plaisir et une nécessité politique. Ces conclusions tendent vers l’abstrait et le théorique, mais le langage en lequel elles sont articulées, langage corporel et urbain, de la dépendance et de la violence, cherche d’autant plus une qualité matérielle et concrète. Or, l’introduction propose un survol des lectures et comparaisons de Heroine de Gail Scott qui centre ce projet; identifie les contextes institutionnels, historiques, et personnels qui risquent, ensuite, de décentrer celui-ci. Le premier chapitre permet de cerner le matérialisme littéraire qui me sert de méthode par laquelle la littérature, à la fois, sollicite et offre une réponse à ces interrogations théoriques. Inspirée de l’œuvre de Gail Scott et Réjean Ducharme, premièrement, et de Walter Benjamin, Elisabeth Grosz, et Pierre Macherey ensuite, ‘matérialisme’ fait référence à cette collection de figures de pratiques littéraires et urbaines qui proviennent, par exemple, de Georges Perec, Michel DeCerteau, Barbara Johnson, et Patricia Smart, et qui invitent ensuite une réflexions sur les relations entre corporalité et narrativité, entre la nécessité et la contingence du littéraire. De plus, une collection de figures d’un Montréal littéraire et d’une cité pédagogique, acquis des œuvres de Zygmunt Bauman, Partricia Godbout, et Lewis Mumford, constitue en effet un vocabulaire nous permettant de mieux découvrir (et donc enseigner) ce que lire et apprendre requiert. Le deuxième chapitre propose une lecture comparée de Heroine et des romans des auteures québécoises Anne Dandurand, Marie Gagnon, et Tess Fragoulis, dans le contexte, premièrement, les débats entourant l’institutionnalisation de la littérature (anglo)Québécoise et, deuxièmement, des questions pédagogiques et politiques plus larges et plus urgentes que nous pose, encore aujourd’hui, cette violence récurrente qui s’acharna, par exemple, sur la Polytechnique en 1989. Or, cette intersection de la violence meurtrière, la pratique littéraire, et la pédagogie qui en résulte se pose et s’articule, encore, par le biais d’une collection de figures de styles. En fait, à travers le roman de Scott et de l’œuvre critique qui en fait la lecture, une série de craques invite à reconnaître Heroine comme étant, ce que j’appelle, un récit de dépendance, au sein duquel se concrétise une temporalité récursive et une logique d’introjection nous permettant de mieux comprendre la violence et, par conséquent, le pouvoir d’une pratique littéraire sur laquelle, ensuite, j’appuie ma pédagogie en devenir. Jetant, finalement, un regard rétrospectif sur l’oeuvre dans son entier, la conclusion de ce projet se tourne aussi vers l’avant, c’est-à-dire, vers ce que mes lectures dites matérialistes de la littérature canadienne et québécoise contribuent à mon enseignement de la langue anglaise en Corée du Sud. C’est dans ce contexte que les propos de Jacques Rancière occasionnent un dernier questionnement quant à l’historique des débats et des structures pédagogiques en Corée, d’une part, et, de l’autre, les conclusions que cette lecture de la fiction théorique de Gail Scott nous livre.