917 resultados para Splice Variants
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Most human genes undergo alternative splicing and loss of splicing fidelity is associated with disease. Epigenetic silencing of hMLH 1 via promoter cytosine methylation is causally linked to a subset of sporadic non-polyposis colon cancer and is reversible by 5-aza-2' -deoxycytidine treatment. Here I investigated changes in hMLHI mRNA splicing profiles in normal fibroblasts and colon cancer-derived human cell lines. I established the types and frequencies of hMLHI mRNA transcripts generated under baseline conditions, after hydrogen peroxide induced oxidative stress, and in acutely 5-aza-2' -deoxycytidine-treated and stably derepressed cancer cell lines. I found that hMLHI is extensively spliced under all conditions including baseline (50% splice variants), the splice variant distribution changes in response to oxidative stress, and certain splice variants are sensitive to 5- aza-2' -deoxycytidine treatment: Splice variant diversity and frequency of exon 17 skipping correlates with the level of hMLHI promoter methylation suggesting a link between promoter methylation and mRNA splicing.
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Il y a 4 isoforme de p38 : α, β, δ, and γ. MK5, à l'origine identifié comme étant un régulateur de PRAK (Regulated/Activated Protein Kinase), est maintenant connu pour être activée par la protéine kinase p38 (qui est un mitogène activé par la protéine kinase, MAPK). Cette dernière est impliquée dans les mécanismes de fibrose et d'apoptose pendant l'hypertrophie cardiaque. De plus, MK5 est également activée par les MAPKs atypiques; ERK3 et ERK4. Bien qu’elles soient fortement exprimées dans le coeur, le rôle physiologique de MK5 et ERK3 demeure inconnu. Par conséquent, nous avons étudié l'effet de la constriction aortique transversale (TAC) – induisant un surcharge chronique de pression chez les souris hétèrozygotes knockout pour MK5 (MK5+/-) ou ERK3 (ERK3+/-) et pour leurs types sauvages (MK5+/+ et ERK3+/+). Deux sem post-TAC; le ratio de poids du coeur/poids corporel a été augmenté chez les 2 souris MK5+/- et MK5+/+. L'échocardiographie de la trans-thoracique démontre que la surcharge de pression a altéré la fonction diastolique du ventricule gauche chez MK5+/+, mais pas chez la souris MK5+/-. De plus, nous avons observé moins de dépôt de collagène, évalué par une coloration au trichrome de Masson, 2 et 3 sem post-TAC chez les souris MK5+/-. Parallèlement, le niveau de l’ARNm de collagène type1 alpha-1 a été significativement diminué dans les coeurs des souris MK5+/-, 2 et 3 sem post-TAC. De même, ERK3, mais pas ERK5 ni p38α, co-IP avec MK5 dans les 2 modèles des coeurs TAC; aigus ou chroniques. En revanche, l’ajout exogénique de GST-MK5 a abaissé ERK4 et p38α, mais pas ERK3 dans les lysâtes de coeur de souris. Par contre, GST-ERK3 et GST-p38α ne démontrent aucune co-IP avec MK5. Ces données suggèrent que dans le coeur seul ERK3, et non ERK4 ou p38α, est capable d’interagir avec, et réguler MK5. A niveau physiologique MK5 interagit entièrement avec ERK3 et par conséquent MK5 n’est pas disponible pour lier les protéines exogéniques. Les souris hétérozygotes pour ERK3 (ERK3+/-) ont également démontré une réduction ou une absence de collagène et une faible expression d’ARNm du collagène type1 alpha1, 3 sem post-TAC. Ces résultats démontrent un important rôle pro-fibrotique de la signalisation MK5-ERK3 pendant une surcharge chronique de pression.Nous avons également démontré 5 variant d'épissage de (MK5.1-5), y compris la forme originale (MK5.1). MK5.2 et MK5.5 subissent une délétion de 6 paires de base dans l’exon 12 : MK5.3 manque l'exon 12 : MK5.4 et MK5.5 manquent les exons 2-6. L'expression des ARNm des différents variant d'épissage a été vérifiée par PCR en temps réel (qPCR). Bien que l’expression est ubiquitaire, l'abondance relative de chaque variant était tissu-spécifique (coeur, rein, pancréas, muscle squelettique, poumon, foie, et cerveau). En plus, l'abondance relative des variant d’épissage varie pendant la surcharge de pression et le développement postnatal du coeur. En outre, l'immunofluorescence a indiqué que MK5.1-5.3 se localise au noyau alors que MK5.4-5.5 est situé au niveau cytoplasmic dans les cellules HEK 293 non stimulées. Suite à une stimulation avec l'anisomycin, un activateur de p38 MAPK, MK5.1-5.3 se translocalise du noyau au cytoplasme alors qu’une petite fraction de MK5.4-5.5 translocalise vers le noyau. Ces variant d'épissage peuvent diversifier la signalisation de MK5-ERK3 dans coeur, mais leur rôle exact oblige des recherches supplémentaires. Excepté l’isoforme δ, toutes les isoformes de p38 sont exprimées dans le coeur et la forme α est considérée comme étant l'isoforme dominante. L’analyse par qPCR et immunobuvardage de type western ont démontré que p38α et p38γ sont les deux isoformes prédominantes alors que p38β et p38δ sont exprimées aux mêmes niveaux dans le coeur de rat adulte. L'immunofluorescence a démontré que p38α et p38γ se trouvent dans le cytoplasme et le noyau. Cependant, suite à la surcharge par TAC, p38γ s'est accumulé dans noyau tandis que la distribution de p38α est demeurée inchangée. Ainsi, l'abondance de p38γ et sa translocalisation nucléaire suite à la surcharge de pression indique un rôle potentiel dans l'expression génique pendant le remodelage cardiaque. En conclusion, nous avons mis en évidence pour la première fois un rôle pro-fibrotique pour la signalisation MK5-ERK3 pendant une surcharge chronique de pression. D'ailleurs, les niveaux comparables d'expression de p38γ avec p38α, et la localisation différentielle de p38γ pendant la surcharge aiguë ou chronique de pression suggèrent différents rôles possibles pour ces isoformes pendant le remodelage hypertrophique cardiaque.
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The completion of the Human Genome Project has revealed a multitude of potential avenues for the identification of therapeutic targets. Extensive sequence information enables the identification of novel genes but does not facilitate a thorough understanding of how changes in gene expression control the molecular mechanisms underlying the development and regulation of a cell or the progression of disease. Proteomics encompasses the study of proteins expressed by a population of cells, and evaluates changes in protein expression, post-translational modifications, protein interactions, protein structure and splice variants, all of which are imperative for a complete understanding of protein function within the cell. From the outset, proteomics has been used to compare the protein profiles of cells in healthy and diseased states and as such can be used to identify proteins associated with disease development and progression. These candidate proteins might provide novel targets for new therapeutic agents or aid the development of assays for disease biomarkers. This review provides an overview of the current proteomic techniques available and focuses on their application in the search for novel therapeutic targets for the treatment of disease.
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A detailed genome mapping analysis of 213,636 expressed sequence tags (EST) derived from nontumor and tumor tissues of the oral cavity, larynx, pharynx, and thyroid was done. Transcripts matching known human genes were identified; potential new splice variants were flagged and subjected to manual curation, pointing to 788 putatively new alternative splicing isoforms, the majority (75%) being insertion events. A subset of 34 new splicing isoforms (5% of 788 events) was selected and 23 (68%) were confirmed by reverse transcription-PCR and DNA sequencing. Putative new genes were revealed, including six transcripts mapped to well-studied chromosomes such as 22, as well as transcripts that mapped to 253 intergenic regions. In addition, 2,251 noncoding intronic RNAs, eventually involved in transcriptional regulation, were found. A set of 250 candidate markers for loss of heterozygosis or gene amplification was selected by identifying transcripts that mapped to genomic regions previously known to be frequently amplified or deleted in head, neck, and thyroid tumors. Three of these markers were evaluated by quantitative reverse transcription-PCR in an independent set of individual samples. Along with detailed clinical data about tumor origin, the information reported here is now publicly available on a dedicated Web site as a resource for further biological investigation. This first in silico reconstruction of the head, neck, and thyroid transcriptomes points to a wealth of new candidate markers that can be used for future studies on the molecular basis of these tumors. Similar analysis is warranted for a number of other tumors for which large EST data sets are available.
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Neural stem/progenitor cell (NSP) biology and neurogenesis in adult central nervous system (CNS) are important both towards potential future therapeutic applications for CNS repair, and for the fundamental function of the CNS. In the present study, we report the characterization of NSP population from subventricular zone (SVZ) of neonatal piglet brain using in vivo and in vitro systems. We show that the nestin and vimentin-positive neural progenitor cells are present in the SVZ of the lateral ventricles of neonatal piglet brain. In vitro, piglet NSPs proliferated as neurospheres, expressed the typical protein of neural progenitors, nestin and a range of well-established neurodevelopmental markers. Upon dissociation and subculture, piglet NSPs differentiated into neurons and glial cells. Clonal analysis demonstrates that piglet NSPs are multi-potent and retain the capacity to generate both glia and neurons. These cells expressed VEGF, VEGFR1, VEGFR2 and Neuropilin-1 and -2 mRNAs. Real time PCR revealed that SVZ NSPs from newborn piglet expressed total VEGF and all VEGF splice variants. These findings show that piglet NSPs may be helpful to more effectively design growth factor based strategies to enhance endogenous precursor cells for cell transplantation studies potentially leading to the application of this strategy in the nervous system disease and injury.
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There is evidence that fibroblast growth factors (FGFs) are involved in the regulation of growth and regression of the corpus luteum (CL). However, the expression pattern of most FGF receptors (FGFRs) during CL lifespan is still unknown. The objective of the present study was to determine the pattern of expression of 'B' and 'C' splice variants of FGFRs in the bovine CL. Bovine CL were collected from an abattoir and classed as corpora hemorrhagica (Stage I), developing (Stage II), developed (Stage III) or regressed (Stage IV) CL. Expression of FGFR mRNA was measured by semiquantitative reverse transcription-polymerase chain reaction and FGFR protein was localised by immunohistochemistry. Expression of mRNA encoding the 'B' and 'C' spliced forms of FGFR1 and FGFR2 was readily detectable in the bovine CL and was accompanied by protein localisation. FGFR1C and FGFR2C mRNA expression did not vary throughout CL lifespan, whereas FGFR1B was upregulated in the developed (Stage III) CL. FGFR3B, FGFR3C and FGFR4 expression was inconsistent in the bovine CL. The present data indicate that FGFR1 and FGFR2 splice variants are the main receptors for FGF action in the bovine CL.
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The Ph chromosome is the most frequent cytogenetic aberration associated with adult ALL and it represents the single most significant adverse prognostic marker. Despite imatinib has led to significant improvements in the treatment of patients with Ph+ ALL, in the majority of cases resistance developed quickly and disease progressed. Some mechanisms of resistance have been widely described but the full knowledge of contributing factors, driving both the disease and resistance, remains to be defined. The observation of rapid development of lymphoblastic leukemia in mice expressing altered Ikaros (Ik) isoforms represented the background of this study. Ikaros is a zinc finger transcription factor required for normal hemopoietic differentiation and proliferation, particularly in the lymphoid lineages. By means of alternative splicing, Ikaros encodes several proteins that differ in their abilities to bind to a consensus DNA-binding site. Shorter, DNA nonbinding isoforms exert a dominant negative effect, inhibiting the ability of longer heterodimer partners to bind DNA. The differential expression pattern of Ik isoforms in Ph+ ALL patients was analyzed in order to determine if molecular abnormalities involving the Ik gene could associate with resistance to imatinib and dasatinib. Bone marrow and peripheral blood samples from 46 adult patients (median age 55 yrs, 18-76) with Ph+ ALL at diagnosis and during treatment with imatinib (16 pts) or dasatinib (30 pts) were collected. We set up a fast, high-throughput method based on capillary electrophoresis technology to detect and quantify splice variants. 41% Ph+ ALL patients expressed high levels of the non DNA-binding dominant negative Ik6 isoform lacking critical N-terminal zinc-fingers which display abnormal subcellular compartmentalization pattern. Nuclear extracts from patients expressed Ik6 failed to bind DNA in mobility shift assay using a DNA probe containing an Ikaros-specific DNA binding sequence. In 59% Ph+ ALL patients there was the coexistence in the same PCR sample and at the same time of many splice variants corresponded to Ik1, Ik2, Ik4, Ik4A, Ik5A, Ik6, Ik6 and Ik8 isoforms. In these patients aberrant full-length Ikaros isoforms in Ph+ ALL characterized by a 60-bp insertion immediately downstream of exon 3 and a recurring 30-bp in-frame deletion at the end of exon 7 involving most frequently the Ik2, Ik4 isoforms were also identified. Both the insertion and deletion were due to the selection of alternative splice donor and acceptor sites. The molecular monitoring of minimal residual disease showed for the first time in vivo that the Ik6 expression strongly correlated with the BCR-ABL transcript levels suggesting that this alteration could depend on the Bcr-Abl activity. Patient-derived leukaemia cells expressed dominant-negative Ik6 at diagnosis and at the time of relapse, but never during remission. In order to mechanistically demonstrated whether in vitro the overexpression of Ik6 impairs the response to tyrosine kinase inhibitors (TKIs) and contributes to resistance, an imatinib-sensitive Ik6-negative Ph+ ALL cell line (SUP-B15) was transfected with the complete Ik6 DNA coding sequence. The expression of Ik6 strongly increased proliferation and inhibited apoptosis in TKI sensitive cells establishing a previously unknown link between specific molecular defects that involve the Ikaros gene and the resistance to TKIs in Ph+ ALL patients. Amplification and genomic sequence analysis of the exon splice junction regions showed the presence of 2 single nucleotide polymorphisms (SNPs): rs10251980 [A/G] in the exon2/3 splice junction and of rs10262731 [A/G] in the exon 7/8 splice junction in 50% and 36% of patients, respectively. A variant of the rs11329346 [-/C], in 16% of patients was also found. Other two different single nucleotide substitutions not recognized as SNP were observed. Some mutations were predicted by computational analyses (RESCUE approach) to alter cis-splicing elements. In conclusion, these findings demonstrated that the post-transcriptional regulation of alternative splicing of Ikaros gene is defective in the majority of Ph+ ALL patients treated with TKIs. The overexpression of Ik6 blocking B-cell differentiation could contribute to resistance opening a time frame, during which leukaemia cells acquire secondary transforming events that confer definitive resistance to imatinib and dasatinib.
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Das humane Cytomegalovirus (HCMV) ist ein fakultativ-pathogener Erreger, der bei Patienten mit geschwächter oder unausgereifter Immunabwehr schwerwiegende Erkrankungen hervorrufen kann. Wie alle Herpesviren zeigt das HCMV eine streng koordinierte Expression viraler Gene, die in eine „sehr frühe-“ (IE), „frühe “ (E) und „späte-“ (L) Phase unterteilt werden kann. Die Produkte der IE-Gene IE1 und IE2 sind für die Expression der frühen Gene und somit für die Initiation der viralen DNA-Replikation entscheidend. Sie greifen gleichzeitig in den zellulären Stoffwechsel ein und schaffen damit optimale Vorraussetzungen für die virale Vermehrung. Zu Beginn dieser Arbeit war bekannt, dass HCMV in lytisch infizierten Zellen ein abundantes IE-Transkript von 5 kb (IE4-RNA) exprimierte, dessen Funktion bislang unklar war. Ältere Publikationen deuteten darauf hin, dass die IE4-Genregion an der Transformation eukaryonter Zellen beteiligt sein könnte. Neuere Arbeiten zeigten, dass es sich bei diesem IE4-Transkript um ein metabolisch stabiles Intron handelt. Im Rahmen dieser Arbeit sollte zunächst geklärt werden, ob die IE4-Genregion ein Protein kodiert. In der Folge sollten mit viralen Deletionsmutanten Hinweise auf die biologische Funktion des IE4-Bereichs erarbeitet werden. Durch Northern Blot Analysen und cDNA-Klonierungsexperimente konnte eine Reihe neuer Spleiß-Varianten der IE4-RNA identifiziert werden. Durch Sequenzanalysen wurde gezeigt, dass diese Transkripte keine längeren offenen Leserahmen enthalten. Zusammen mit bereits publizierten Erkenntnissen, kann aus diesen Ergebnissen mit hoher Wahrscheinlichkeit geschlossen werden, dass die IE4 Region nicht für ein Protein kodiert. Zur Analyse der biologischen Funktion der IE4-Region wurde das DNA-Genom des HCMV gezielt mutagenisiert. Eine phänotypische Analyse der entsprechenden Viren mittels Reportergen-Tests und quantitativer RealTime RT-PCR zeigte, dass einige der Mutanten eine verringerte Expression früher Gene aufwiesen, die mit einer Beeinträchtigung ihrer Replikationsfähigkeit in Fibroblastenkulturen korrelierte. Dabei war die Ausbildung eines Phänotyps jedoch von dem genetischen Hintergrund des verwendeten viralen Ausgangsstammes abhängig. Auffällig war, dass phänotypische Veränderungen nur bei solchen Mutanten sichtbar wurden, die auf der Grundlage des Laborstammes Ad169 des HCMV generiert worden waren. Die nachfolgende Analyse der Ausgangsstämme ergab deutliche Unterschiede in der IE-Genexpression. Die Ergebnisse dieser Arbeit zeigen somit, dass die IE4-RNA mit hoher Wahrscheinlichkeit nicht für ein Protein kodiert, aber bei limitierender Expression der essentiellen Regulatoren IE1 und IE2 die frühe lytische Genexpression stimuliert. Die Ergebnisse dieser Arbeit stellen die Grundlage für nachfolgende Untersuchungen zur Aufklärung der molekularen Funktion der IE4-RNA im Rahmen der lytischen Infektion des HCMV dar.
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Nozizeptive Spinalganglienneurone detektieren mit einer Vielzahl liganden- und spannungsgesteuerter Ionenkanäle noxische Reize, d.h. Reize, die eine Gewebeschädigung bewirken können, wandeln sie in Aktionspotenzialentladungen um und leiten sie über das Rückenmark zum Gehirn weiter, wo eine Schmerzempfindung ausgelöst wird. Die pronozizeptiven transienten Rezeptor-Potenzial-Kanäle der Vanilloidrezeptorfamilie, TRPV1 und TRPV2, sind die klassischen Transduktionsmoleküle für noxische Hitzereize in den Spinalganglien und werden von Reiztemperaturen über 43°C bzw. 52°C aktiviert. Daneben finden sich auch antinozizeptive Membranproteine, wie z.B. der metabotrope Cannabinoidrezeptor CB1. Er koppelt an spannungsgesteuerte Kaliumkanäle, die neben Natrium- und Kalziumkanälen ebenfalls an der neuronalen Erregbarkeit beteiligt sind. Von den spannungsgesteuerten Kaliumkanälen könnte der Kv1.4, der einen schnell inaktivierenden A-Strom vermittelt, an antinozizeptiven Signalwegen beteiligt sein. Um die molekulare Physiologie der Regulation von Nozizeption und Antinozizeption zu charakterisieren, wurde die Expression bzw. Ko-Expression dieser Membranproteine auf der einen als auch die funktionelle Charakterisierung von TRPV1 auf der anderen Seite im Soma der Spinalganglienneurone und im heterologen Expressionssystem untersucht. TRPV1 wurde in je einem Drittel und TRPV2 in je einem Zehntel aller Spinalganglienneurone nachgewiesen. Das Expressionsmuster veränderte sich nicht zwischen verschiedenen Präparationsmethoden, die zur Aufarbeitung der Zellen für unterschiedliche experimentelle Ansätze notwendig sind. Somit können die aus Expressionsanalysen und funktionellen Untersuchungen gewonnenen Ergebnisse miteinander verglichen werden. Obwohl TRPV1 und TRPV2 in unterschiedlich großen Zellen exprimiert werden, überlappen dennoch ihre Größenverteilungen. Durch Ko-Expressionsanalysen konnten hier erstmalig TRPV1-TRPV2-ko-exprimierende Neurone detektiert werden. Mit dem neu entwickelten N-terminalen Antikörper gegen TRPV1 (3C11) konnte gezeigt werden, dass für TRPV1 verschiedene Splice-Varianten existieren. Neben den bereits bekannten Splice-Varianten wurde hier die neue Variante Vr.3’sv isoliert. Diese besitzt zwischen Exon 15 und 16 eine Insertion aus 104 Basen und exprimiert daher einen veränderten C-Terminus. Trotz dieser Veränderung bildeten sich im heterologen Expressionssystem funktionelle Kanäle aus, die im Gegensatz zu den anderen Varianten immer noch durch Capsaicin aktivierbar waren. Vr.3’sv könnte als Homo- oder Heterotetramer die Eigenschaften TRPV1-positiver Neurone beeinflussen. Bei der Bestimmung der Häufigkeit von TRPV1 in einem Gewebe ist somit die Wahl des Antikörpers von entscheidender Bedeutung. Für TRPV2 dagegen gibt es hier keine Hinweise auf Splice-Varianten. TRPV1 wird durch das Vanilloid Capsaicin aktiviert, wobei diese Substanz neurotoxisch ist und eine Degeneration von Neuronen und epidermalen Nervenfasern bewirkt. Hier wurde nun gezeigt, dass unabhängig von den Splice-Varianten nicht alle TRPV1-positiven Neurone bei langer Inkubationszeit absterben. Funktionelle Untersuchungen belegten, dass auch Capsaicin-sensitive Zellen unter dem Einfluss des Agonisten überleben können. Dieser Schutzmechanismus wird möglicherweise von den verschiedenen Splice-Varianten vermittelt. Ko-Expressionsanalysen zeigten, dass der spannungsgesteuerte Kaliumkanal Kv1.4 in nahezu allen TRPV1- aber nicht TRPV2-positiven Neuronen exprimiert wird. Desweiteren ko-exprimierten nahezu alle TRPV1-positiven Neurone auch den Cannabinoidrezeptor CB1. Diese fast vollständige Ko-Lokalisation von CB1 und Kv1.4 in nozizeptiven Spinalganglienneuronen spricht für eine funktionell synergistische Aktivität. Der Kaliumkanal kann unter der regulativen Kontrolle von CB1 als Vermittler von A-Typ-Kaliumströmen an der Kontrolle der repetitiven Entladungen in der Peripherie und der Transmitterausschüttung zentral beteiligt sein. Es ergeben sich daraus Ansatzpunkte für die Entwicklung neuer Medikamente. Mit Kv1.4-Aktivatoren und/oder peripher wirkenden Cannabinoiden könnten die Nebenwirkungen der Cannabinoide im zentralen Nervensystem umgangen werden.
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Das Chemokin CXCL12 (auch bekannt als SDF-1) ist ein kleines Protein (8-14) KDa, das in sechs Isoformen exprimiert wird (SDF-1α, SDF-1β, SDF-1γ, SDF- 1δ, SDF-1ε und SDF-1θ) von einem einzigen Gen, dass die Leukozyten-Wanderung regelt und variabel in einer Reihe von normalen und Krebsgeweben exprimiert wird.rnCXCL12 spielt verschiedene Rollen in der Tumorpathogenese. Es wurde nachgewiesen, dass CXCL12 das Tumorwachstum und die Malignität fördert, die Tumorangiogenese stärkt, sich an der Metastasierung beteiligt und zu immunsuppressiven Netzwerken innerhalb des Tumormikromilieus beiträgt. Daher liegt es nahe, dass der CXCL12/CXCR4-Signalweg ein wichtiges Ziel ist für die Entwicklung von neuartigen Krebstherapien.rnUm Licht auf die Rolle der Chemokin CXCL12 Splicevarianten in der Entwicklung von Krebs zu werfen und die mögliche physiologische Relevanz und ihre möglichen funktionellen Unterschiede bei Darmkrebs zu verstehen, haben wir alle CXCL12 Splicevarianten (alpha, beta, gamma, delta, epsilon und theta) in die kolorektalen Zelllinie SW480 und die Melanomzellinie D05 transfiziert und exprimiert.rnrnDiese Arbeit wurde erstellt, um die folgenden Ziele zu erreichen. Untersuchung der Rolle von CXCL12 Splicevarianten bei der Vermittlung von Tumorprogression, Adhäsion, Migration, Invasion und Metastasierung von Darmkrebs. Untersuchung, ob die CXCL12 Variantenwege ein wichtiges Ziel für die Entwicklung von Krebstherapien darstellen.rn• Um eine in vivo Mausmodell zu entwickeln, um die Rolle der CXCL12 Varianten im Rahmen des Tumorwachstums zu verstehen.rnrnUnsere Ergebnisse zeigen, dass:Der CXCL12 G801A Polymorphismus ist ein Low-Penetranz Risikofaktor für die Entwicklung von Darmkrebs. Der CXCL12-Gen-Polymorphismus rs1801157 ist mit dem T-Status (Tumor-node-Metastasen) assoziiert. Es gab keine Beziehung zwischen CXCL12-Gen-Polymorphismus rs1801157 und Fernmetastisen oder LN metastasen. Alle sechs CXCL12 Splicevarianten werden im Darmkrebs und in gesunder Kolon mucosa exprimiert. Die höchste Expression wird bei SDF-1alpha, dann SDF-1 beta gefunden. Alle sechs CXCL12 Varianten zeigen erhöhte Tumorzellproliferation in vitro. SDF-1beta, gefolgt von SDF-1alpha zeigte die größte Aktivität im Proliferationsassay.rn• Alle sechs CXCL12 Varianten induzieren die Tumorzelladhäsion.SDF-1beta dann SDF-1alpha zeigte die größte Aktivität im Rahmen des Adhäsionsassay. Alle sechs CXCL12 Varianten erhöhten die Zellmigration und Invasion von Tumorzellen in vitro. SDF-1theta und SDF-1epsilon 1theta zeigten die größte Aktivität, während die schwächste Aktivität mit SDF-1alpha und SDF-1beta beobachtet wurde. Alle sechs CXCL12 Varianten aktivieren Akt und (MAPK) Mitogen- acktivatedierte Protein kinase Wege und damit die Regulierung viele essentieller Prozesse in Tumorzellen, wie Proliferation, Migration, Invasion und Adhäsion. Es ist interessant festzustellen, dass AMD3100 die CXCL12 Splicevarianten inhibriert, die AKT-MEK-1/2-Phosphorylierung induzieren.rnDer Inhibitor AMD3100 unterdrückt stark die CXCL12 Varianten -delta, -epsilon und theta-und unterdrückt schwach CXCL12-gamma. während es keine signifikante Wirkung auf CXCL12-alpha und beta hatte. Es hat möglicherweise Auswirkungen auf mehrere große Signalwage in Bezug auf Proliferation, Migration und Invasions.rn• Es ist wichtig anzumerken, dass die Hemmung von CXCL12-Varianten durch AMD3100 einen der möglichen Ansaätze in der Krebstherapie darstellen kann.Wir schlagen vor, dass weitere Studien erwogen werden, die wir brauchen, um die biologische Aktivität dieser neuen CXCL12 Varianten bei verschiedenen Arten von Krebs klar zu verstehen.
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BACKGROUND: The neuronal ceroid lipofuscinoses (NCL) are a heterogenous group of inherited progressive neurodegenerative diseases in different mammalian species. Tibetan Terrier and Polish Owczarek Nizinny (PON) dogs show rare late-onset NCL variants with autosomal recessive inheritance, which can not be explained by mutations of known human NCL genes. These dog breeds represent animal models for human late-onset NCL. In mice the chloride channel 3 gene (Clcn3) encoding an intracellular chloride channel was described to cause a phenotype similar to NCL. RESULTS: Two full-length cDNA splice variants of the canine CLCN3 gene are reported. The current canine whole genome sequence assembly was used for gene structure analyses and revealed 13 coding CLCN3 exons in 52 kb of genomic sequence. Sequence analysis of the coding exons and flanking intron regions of CLCN3 using six NCL-affected Tibetan terrier dogs and an NCL-affected Polish Owczarek Nizinny (PON) dog, as well as eight healthy Tibetan terrier dogs revealed 13 SNPs. No consistent CLCN3 haplotype was associated with NCL. CONCLUSION: For the examined animals we excluded the complete coding region and adjacent intronic regions of canine CLCN3 to harbor disease-causing mutations. Therefore it seems to be unlikely that a mutation in this gene is responsible for the late-onset NCL phenotype in these two dog breeds.
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L-type calcium channels are composed of a pore, alpha1c (Ca(V)1.2), and accessory beta- and alpha2delta-subunits. The beta-subunit core structure was recently resolved at high resolution, providing important information on many functional aspects of channel modulation. In this study we reveal differential novel effects of five beta2-subunits isoforms expressed in human heart (beta(2a-e)) on the single L-type calcium channel current. These splice variants differ only by amino-terminal length and amino acid composition. Single-channel modulation by beta2-subunit isoforms was investigated in HEK293 cells expressing the recombinant L-type ion conducting pore. All beta2-subunits increased open probability, availability, and peak current with a highly consistent rank order (beta2a approximately = beta2b > beta2e approximately = beta2c > beta2d). We show graded modulation of some transition rates within and between deep-closed and inactivated states. The extent of modulation correlates strongly with the length of amino-terminal domains. Two mutant beta2-subunits that imitate the natural span related to length confirm this conclusion. The data show that the length of amino termini is a relevant physiological mechanism for channel closure and inactivation, and that natural alternative splicing exploits this principle for modulation of the gating properties of calcium channels.
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Ca(v)2.1 Ca(2+) channels (P/Q-type), which participate in various key roles in the CNS by mediating calcium influx, are extensively spliced. One of its alternatively-spliced exons is 37, which forms part of the EF hand. The expression of exon 37a (EFa form), but not exon 37b (EFb form), confers the channel an activity-dependent enhancement of channel opening known as Ca(2+)-dependent facilitation (CDF). In this study, we analyzed the trend of EF hand splice variant distributions in mouse, rat and human brain tissues. We observed a developmental switch in rodents, as well as an age and gender bias in human brain tissues, suggestive of a possible role of these EF hand splice variants in neurophysiological specialization. A parallel study performed on rodent brains showed that the data drawn from human and rodent tissues may not necessarily correlate in the process of aging.
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Through alternative splicing, multiple different transcripts can be generated from a single gene. Alternative splicing represents an important molecular mechanism of gene regulation in physiological processes such as developmental programming as well as in disease. In cancer, splicing is significantly altered. Tumors express a different collection of alternative spliceoforms than normal tissues. Many tumor-associated splice variants arise from genes with an established role in carcinogenesis or tumor progression, and their functions can be oncogenic. This raises the possibility that products of alternative splicing play a pathogenic role in cancer. Moreover, cancer-associated spliceoforms represent potential diagnostic biomarkers and therapeutic targets. G protein-coupled peptide hormone receptors provide a good illustration of alternative splicing in cancer. The wild-type forms of these receptors have long been known to be expressed in cancer and to modulate tumor cell functions. They are also recognized as attractive clinical targets. Recently, splice variants of these receptors have been increasingly identified in various types of cancer. In particular, alternative cholecystokinin type 2, secretin, and growth hormone-releasing hormone receptor spliceoforms are expressed in tumors. Peptide hormone receptor splice variants can fundamentally differ from their wild-type receptor counterparts in pharmacological and functional characteristics, in their distribution in normal and malignant tissues, and in their potential use for clinical applications.
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Classic cystic fibrosis (CF) is caused by two loss-of-function mutations in the cystic fibrosis transmembrane conductance regulator (CFTR) gene, whereas patients with nonclassic CF have at least one copy of a mutant gene that retains partial function of the CFTR protein. In addition, there are several other phenotypes associated with CFTR gene mutations, such as idiopathic chronic pancreatitis. In CFTR-associated disorders and in nonclassic CF, often only one CFTR mutation or no CFTR mutations can be detected. In this study, we screened 23 patients with CFTR-associated disorders for CFTR mutations by complete gene testing and quantitative transcript analysis. Mutations were found in 10 patients. In cells from respiratory epithelium, we detected aberrant splicing of CFTR mRNA in all investigated individuals. We observed a highly significant association between the presence of coding single-nucleotide polymorphisms (coding SNPs, or cSNPs) and increased skipping of exon 9 and 12. This association was found both in patients and in normal individuals carrying the same cSNPs. The cSNPs c.1540A>G, c.2694T>G, and c.4521G>A may have affected pre-mRNA splicing by changing regulatory sequence motifs of exonic splice enhancers, leading to lower amounts of normal transcripts. The analysis of CFTR exons indicated that less frequent and weak exonic splicing enhancer (ESE) motifs make exon 12 vulnerable to skipping. The number of splice variants in individuals with cSNPs was similar to previously reported values for the T5 allele, suggesting that cSNPs may enhance susceptibility to CFTR related diseases. In addition, cSNPs may be responsible for variation in the phenotypic expression of CFTR mutations. Quantitative approaches rather than conventional genomic analysis are required to interpret the role of cSNPs.