846 resultados para Santuario de la Virgen de la Sierra.


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Tesis ( Doctor en Ciencias con Especialidad en Manejo de Recursos Naturales) U.A.N.L.

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Tesis (Doctor en Ciencias con Especialidad en Manejo de Recursos Naturales) UANL, 2009.

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Tesis (Doctorado en Ciencias con Especialidad en Manejo de Recursos Naturales) UANL, 2013.

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Tesis (Doctor en Ciencias con Especialidad en Manejo de Recursos Sustentables) UANL, 2011.

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Tesis (Doctor en Ciencias con especialidad en Ecología) UANL, 2014.

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Cette thèse analyse la capacité d’action collective des populations marginalisées situées respectivement dans un bidonville appelé Cité de l’Éternel à Port-au-Prince (Haïti) et dans des campements à la Sierra Santa Catarina, Iztapalapa (Mexico). À Port-au-Prince, avant la chute de la dictature des Duvalier, des «tontons macoutes» envahirent un terrain situé en bordure du quai de la capitale, près du boulevard Harry Truman. Après s’y être installés, ils ont procédé à la vente de parcelles destinées à la construction de logement à des particuliers. Mais après la chute de Jean-Claude Duvalier, en 1986, des gens de la populace en ont profité pour envahir ce qui restait de ces terrains marécageux. Après l’occupation, ils se sont organisés pour défendre collectivement leur propriété avant d’entreprendre, par la suite, des démarches pour y amener des services et obtenir la régularisation de leur situation sur ces territoires. À la Sierra Santa Catarina, des populations conduites par des militants d’un Front populaire ont occupé des terrains situés au pied d’une montagne de sable afin d’accéder à la propriété et de construire leur demeure. À l’instar des populations de la Cité, ces gens se sont organisés pour aménager des espaces, y ériger des logements provisoires, monter la garde afin de ne pas être déguerpis par les forces de police. Tout en travaillant pour accéder à leur manière aux services de base, elles entreprennent des actions auprès des institutions publiques afin d’obtenir la régularisation de leur situation. Par rapport à la capacité d’action collective de ces populations, les théories sociologiques sont divisées. D’un côté, certains auteurs soutiennent la thèse de l’incapacité de ces populations d’avoir des intérêts collectifs et d’agir en conséquence. Selon eux, sans une médiation sociale ou à défaut d’une agrégation et d’une représentation politiques, ces populations sont incapables d’avoir une subjectivité collective. De l’autre, des auteurs pensent qu’à partir des liens d’amitié de parenté et de voisinage, indépendamment de leurs situations socioéconomiques, ces populations peuvent créer des stratégies de subsistance et de luttes qui leur permettent de trouver des solutions à des problèmes tant individuels que collectifs. S’agissant des populations qui envahissent des terrains en milieu urbain pour habiter, les actions de ces gens là sont définis déjà comme une forme d’action collective inscrite dans des rapports sociaux qui se caractérisent par la différenciation entre les groupes sociaux dans l’accès à la propriété. Ainsi, leurs revendications de reconnaissance et de régularisation auprès des instances étatiques sont déterminées par leur mode d’accès aux biens et aux richesses inégalement réparties en Haïti et au Mexique. Les populations des deux territoires ont entrepris diverses démarches auprès de certaines institutions et réalisé des actions collectives soit pour amener des services de base tels que l’eau et l’électricité, soit pour obtenir de l’État la reconnaissance des territoires envahis, c’est-à-dire leur jonction à la cartographie de la ville. Cette reconnaissance implique non seulement l’installation des services réguliers au bénéfice de la population mais aussi l’octroi à chaque propriétaire de son titre de propriété. Si dans le cas de la Sierra Santa Catarina les démarches sont entreprises auprès des institutions publiques, dans celui de Port-au-Prince, ce sont les ONG ou les agence de coopération qui sont touchées et qui fournissent certains services à la population conformément à la priorité de leurs bailleurs de fonds. Les interventions auprès de l’État se font plutôt dans le but d’obtenir une autorisation de fonctionnement d’une association locale. Il ressort des approches théoriques et des actions collectives réalisées par ces populations qu’on ne peut pas dire qu’elles sont incapables d’avoir une subjectivité collective et des intérêts communs sans une agrégation et une représentation politique. À partir de différents liens entre les individus, des associations sont créées lesquelles permettent d’établir une médiation entre les populations et d’autres organismes. Dans le cas des campements, les actions collectives sont certainement mises à contribution par quelques leaders. Cela participe de toute une tradition politique au Mexique. Néanmoins, dans certains campements, des populations parviennent à tenir tête jusqu’à révoquer certains leaders. Au-dede leur situation socioéconomique, de l’emprise de certains dirigeants de campement, de l’indifférence de l’État (dans le cas de Port-au-Prince, notamment), ces populations font preuve d’une étonnante capacité critique de leur situation tant dans leurs relations avec les dirigeants des associations et des campements que par rapport à l’État. Ceci pourrait soulever des doutes quant à la possibilité qu’elles soient réellement ou inconsciemment manipulées. Cela suggère la possibilité d’actions collectives autonomes de portée critique là où les circonstances le permettent Mots clés : Marginalisation, action collective, reconnaissance, Débrouille, capacité critique, bidonvilles, instrumentalisation politique, reconnaissance fragmentée.

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Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.

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Segundo premio en la segunda edición de premios a la elaboración de materiales de estudio sobre la Región de Murcia en la modalidad de primaria.

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Caminando Asturias es una acci??n enmarcada en el Programa de Actividades Complementarias y Extraescolares que promueve la Consejer??a de Educaci??n y Ciencia de Asturias. Est?? orientado a promover actividades de car??cter formativo y convivencial, fomentando la pr??ctica de los mejores valores humanos que siempre se dan en pleno medio natural, las relaciones sociales y de compa??erismo, al tiempo que contribuye a una adecuada educaci??n medioambiental. En este sentido, trata de potenciar el estudio y disfrute de los recursos naturales, como un elemento que contribuye a la Formaci??n Integral de los alumnos. As?? mismo, se pretende fomentar las pr??cticas de educaci??n no formal, ni reglada, vertebradas a trav??s de las actividades extraescolares y complementarias. Por ??ltimo, como objetivo b??sico se busca fomentar y facilitar la participaci??n de las familias en las actividades de los centros docentes. El programa se dirige a alumnos de los colegios p??blicos e institutos de ense??anza secundaria, a sus familias y a sus profesores, y va preferentemente dirigido a alumnos y alumnas matriculados en el tercer ciclo de Primaria (quinto y sexto) y de la ESO (primero a cuarto). Este d??ptico recoge la informaci??n, itinerario y mapa de la ruta a pie entre el Mirador del Fitu (El Fito) y la Majada del Bustacu, que discurre en la zona oriental de la Reserva de la Sierra del Sueve.

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El “Parque Sierra de San Javier” és un espai natural al costat d’ un gran nucli urbà, San Miguel de Tucumán (Argentina). A la Sierra es troba la comuna de San Javier, on s’ ha creat el CIC (Centre Integrador Comunitari). És a partir del CIC que s’ elabora un pla integral que inclou el projecte d’ ecoturisme. Aquest projecte es basa en una gestió de la xarxa de camins existents a la Sierra. Es fa un inventari de cadascun dels camins de la xarxa i s’ analitza cadascun d’ ells amb uns índexs de potencial paisatgístic i interpretatiu i es valora també la seva conservació. A partir d’ aquests valors es planteja un pla d’ actuació de recuperació i manteniment, i un pla d’ actuació turística en el que es millora l’ estat del camí; s’ intal•len panells informatius i senyalització. El projecte conté les fitxes d’ informació de cadascun dels itineraris amb un mapa i amb d’ altres informacions d’ interès pels usuaris dels senders

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El discurso del gobierno de Álvaro Uribe Vélez en su primer periodo presidencial, y el discurso de las comunidades indígenas de la Sierra Nevada de Santa Marta en torno a las fumigaciones con glifosato resultan en una relación antagónica, la cual produce una deslegitimación de la identidad cultural necesaria para la supervivencia de las comunidades indígenas. El análisis de los elementos de dicho antagonismo permite entender cómo se articula el discurso reivindicativo de las comunidades indígenas y cómo se fortifica la lucha reivindicativa por la legitimación de la identidad cultural. El discurso reivindicativo unifica las demandas generadas por dichas comunidades en torno a las fumigaciones con glifosato, mientras la lucha reivindicativa por la legitimación pretende resolver estas demandas y sentar las bases de un modelo de accionar político regido a partir de la aplicación de la palabra y el pensamiento tradicional de los pueblos indígenas.

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El problema del paramilitarismo en Colombia ha afectado diversas capas de la sociedad colombiana. En la Sierra Nevada de Santa Marta específicamente unos de los principales afectados han sido las comunidades indígenas que ahí habitan (Koguis, Arhuacos, Wiwa y Kankuamos), siendo estos obligados a pertenecer a una lógica de guerra caracterizada por involucrar a la población civil y por utilizar al narcotráfico como medio de financiación. Por lo tanto la investigación que se presenta a continuación es una aproximación teórica a las lógicas de la guerra paramilitar en la zona y su influencia sobre la situación de los derechos humanos de las comunidades indígenas entre los años 2002 y 2007.

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En enero de 2006 el presidente Álvaro Uribe Vélez decidió implementar un ambicioso programa de erradicación de miles de hectáreas de cultivos ilícitos en la sierra de La Macarena. La política de erradicación de cultivos ilícitos se ha caracterizado por fuertes disensos entre quienes la ejecutan e importantes sectores que la critican debido a los supuestos daños que provoca al medioambiente y a la salud de las personas. En sus orígenes la erradicación manual en La Macarena contó con un inusual consenso social en materia de política antidrogas en el país; en él confluyeron la urgencia del Gobierno por adelantar la lucha contra las drogas y la pretensión de diferentes sectores por llevarla a cabo con el menor impacto social y ambiental posible.

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Este Estudio de Caso cruza las variables de conflicto interno armado en la Sierra Nevada de Santa Marta, Colombia, y territorio indígena Wiwa, con el fin de mostrar la influencia que llegó a tener el conflicto en todos los ámbitos de la vida individual y sobre todo grupal de los Wiwa, quienes presentan una especial relación con el territorio; la afectación fue tan grande que los llevó a ser considerados pueblo indígena en vía de extinción. La investigación está centrada en el primer periodo del ex-Presidente Álvaro Uribe, cuatrienio en el cual los actores armados del conflicto (FARC, AUC, Fuerzas Militares y de Policía) aumentaron su accionar, sobre todo por lo estratégico que resulta tener dominio territorial en la Sierra, ya que esta zona del país perteneciente ancestralmente a los cuatro pueblos indígenas serranos, sirve como zona de resguardo de grupos armados, tiene suelos aptos para la ganadería, el cultivo de banano, palma, pero también para los cultivos ilícitos, la salida al mar permite el tráfico de armas y drogas, además de poseer muchas fuentes hídricas. Se muestra entonces el conflicto de intereses entre los mismos grupos armados, y el de los grupos armados con los Wiwa, quienes denunciaron el desprecio absoluto por su cultura y su pensamiento territorial. Además de ello se evidencia como mediante actos de terror y violencia se violaron los derechos humanos y se infringió el derecho internacional humanitario.