991 resultados para Resistance types


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This study aimed to identify the presence of β-lactam-resistant bacteria in different types of Portuguese deli meats. The numbers of ampicillin resistant bacteria varied from negative in 25 g to 1.0 × 108colony-forming units/g. Within 78 randomly selected β-lactam-resistant bacteria, 24 different resistant phenotypes were found and 35.9% were multidrug resistant (MDR). The majority (87.2%) of the isolates identified belonged to the Enterobacteriaceae family. The presence of the blaTEM gene was detected in 23 out of 67 isolates (34.3%) and 16 of them presented MDR phenotypes. Four Klebsiella oxytoca isolates (6%) harbored a gene for the CTX-M/OXY-type enzyme. The direct sequencing of their purified amplicons confirmed the presence of three types of blaOXYgenes (blaOXY-1, blaOXY-2 and blaOXY-5). These results suggest that without good hygienic practices, deli meats may act as a vehicle of transfer of β-lactam-resistant bacteria to the gastrointestinal tract of consumers.

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Extended-spectrum β-lactamases (ESBLs) prevalence was studied in the north of Portugal, among 193 clinical isolates belonging to citizens in a district in the boundaries between this country and Spain from a total of 7529 clinical strains. In the present study we recovered some members of Enterobacteriaceae family, producing ESBL enzymes, including Escherichia coli (67.9%), Klebsiella pneumoniae (30.6%), Klebsiella oxytoca (0.5%), Enterobacter aerogenes (0.5%), and Citrobacter freundii (0.5%). β-lactamases genes blaTEM, blaSHV, and blaCTX-M were screened by polymerase chain reaction (PCR) and sequencing approaches. TEM enzymes were among the most prevalent types (40.9%) followed by CTX-M (37.3%) and SHV (23.3%). Among our sample of 193 ESBL-producing strains 99.0% were resistant to the fourth-generation cephalosporin cefepime. Of the 193 isolates 81.3% presented transferable plasmids harboring genes. Clonal studies were performed by PCR for the enterobacterial repetitive intragenic consensus (ERIC) sequences. This study reports a high diversity of genetic patterns. Ten clusters were found for E. coli isolates and five clusters for K. pneumoniae strains by means of ERIC analysis. In conclusion, in this country, the most prevalent type is still the TEM-type, but CTX-M is growing rapidly.

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Objective Activation of the renal renin-angiotensin system in patients with diabetes mellitus appears to contribute to the risk of nephropathy. Recently, it has been recognized than an elevation of prorenin in plasma also provides a strong indication of risk of nephropathy. This study was designed to examine renin-angiotensin system control mechanisms in the patient with diabetes mellitus.Methods We enrolled 43 individuals with type 2 diabetes mellitus. All individuals were on a high-salt diet to minimize the contribution of the systemic renin-angiotensin system. After an acute exposure to captopril (25 mg), they were randomized to treatment with either irbesartan (300 mg) or aliskiren (300 mg) for 2 weeks.Results All agents acutely lowered blood pressure and plasma aldosterone, and increased renal plasma flow and glomerular filtration rate. Yet, only captopril and aliskiren acutely increased plasma renin and decreased plasma angiotensin II, whereas irbesartan acutely affected neither renin nor angiotensin II. Plasma renin and angiotensin II subsequently did increase upon chronic irbesartan treatment. When given on day 14, irbesartan and aliskiren again induced the above hemodynamic, renal and adrenal effects, yet without significantly changing plasma renin. Irbesartan at that time did not affect plasma angiotensin II, whereas aliskiren lowered it to almost zero.Conclusion The relative resistance of the renal renin response to acute (irbesartan) and chronic (irbesartan and aliskiren) renin-angiotensin system blockade supports the concept of an activated renal renin-angiotensin system in diabetes, particularly at the level of the juxtaglomerular cell, and implies that diabetic patients might require higher doses of renin-angiotensin system blockers to fully suppress the renal renin-angiotensin system. J Hypertens 29: 2454-2461 (C) 2011 Wolters Kluwer Health vertical bar Lippincott Williams & Wilkins.

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Affiliation: Faculté de pharmacie, Université de Montréal & Institut de recherches cliniques de Montréal

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Ce projet propose une nouvelle approche de la résilience en vue d’assurer le bien-être chez les enseignants. Les raisons qui nous amènent à un tel intérêt sont notamment le stress intense ressenti dans le corps professoral où la tâche est lourde et particulièrement difficile. Sera donc abordé au chapitre premier, le fait que l’environnement de travail, par ses caractéristiques, génère du stress et des effets néfastes. Par la suite, la résilience étant sollicitée pour retenir les travailleurs en poste, nous décrirons son historique, ce qui nous amènera à soulever une problématique d’importance, notamment le fait qu’elle ne soit pas nécessairement accompagnée d’un bien-être salutaire. En contrepartie, un des indicateurs du bien-être est la motivation autodéterminée. Nous détaillerons ces notions et verrons comment elles sont atteintes par les conditions mêmes de travail. Cette mise en contexte nous permettra, en chapitre deuxième, de concevoir la résilience sous un autre jour grâce à la mise en lien avec les motivations autodéterminées. S’y dessineront deux types importants, dans lesquels motivation et bien-être devraient différer sensiblement. Cela pourrait expliquer la raison d’un bien-être mitigé. Nous terminerons ce chapitre par nos hypothèses. Nous aborderons ensuite la vérification de la proposition de types de résilience sous-tendues par la motivation. Au chapitre troisième, la méthodologie décrira l’échantillon de 465 enseignants québécois du primaire et du secondaire, les différents questionnaires de résilience, motivation et bien-être aux fins de l’étude transversale. Le chapitre suivant traitera des résultats des ANOVA , MANOVA et ANOVA factorielles entreprises. Notamment, les différences statistiques de bien-être et de motivation seront détaillées, ainsi que la non interaction entre motivation et résilience. Les effets principaux de résilience à tous les niveaux de motivation seront décrits. Les résultats obtenus nous permettrons une discussion au chapitre cinquième avant de conclure qu’effectivement, des différences sont observables, que la résilience pourrait s’opérer en deux formes durant lesquelles les motivations et le bien-être sont différents. Il sera possible d’envisager la résilience non pas comme une caractéristique personnelle stable ou un résultat statique, mais comme un processus pouvant prendre différentes formes qu’il serait alors possible de promouvoir. En découle également une mise en garde contre le fait de penser qu’il n’est plus nécessaire d’agir auprès des personnes étiquetées de résilientes. Le soutien semble encore nécessaire pour soutenir un processus efficace.

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Nous avons effectué ce travail afin d’évaluer l’impact d’une utilisation accrue des antirétroviraux (ARV) sur l’émergence de la résistance dans le cadre d’une cohorte de sujets infectés par le VIH-1, enrôlés au Mali pour recevoir la thérapie antirétrovirale. La première partie de ce travail a évalué la résistance primaire auprès de 101 sujets naïfs aux ARV. Cette étude a démontré que la majorité des sujets (71,3%) étaient infectés par le sous-type CRF02_AG. La prévalence de la résistance primaire était de 9,9%. Ce chiffre dépasse largement la moyenne de 5,5% observée dans les pays en développement et le seuil des 5% fixé par l’OMS dans le cadre de la surveillance de la résistance. Les mutations associées aux analogues de la thymidine ou « Thymidine-associated Mutations » (TAMs): M41L, D67N, L210W, T215A/Y, K219E liées à la résistance aux inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (INTI) ainsi que les mutations K103N, V108I, V179E et Y181C impliquées dans la résistance aux inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (INNTI) étaient majoritairement observées. Ces mutations sont compatibles avec les régimes de traitement de première ligne utilisés au Mali, composés de stavudine/lamivudine/nevirapine. Nous n’avons pas trouvé de mutations majeures aux inhibiteurs de protéase (IP), probablement du fait que cette classe d’ARV est rarement utilisée au Mali. Cependant plusieurs polymorphismes au niveau du gène de la protéase, particulièrement L10I et L10V ont été observés à une fréquence très élevée (18,80%). Compte tenu de ces premiers résultats, une suite logique de ce travail était de savoir comment des souches de sous-type CRF02_AG évolueraient sous la pression de sélection des ARV. Nous avons abordé ces questions dans une étude de cohorte de 132 sujets infectés majoritairement avec le sous-type CRF02_AG débutant une thérapie de première ligne. Nos résultats suggèrent que la présence de mutation de résistance primaire pourrait avoir un effet sur l’efficacité du traitement. Par exemple, la présence d’une seule mutation INNTI avant traitement comme K103N ou V179E était suffisante pour mener à l’échec au traitement (charge virale supérieure à 400 copies/ml). Par ailleurs, nous avons effectué des expériences in vitro pour mieux évaluer l’impact du polymorphisme L10I/V chez le sous-type CRF02_AG. Il faut savoir que le rôle de ce polymorphisme reste incertain chez le sous-type CRF02_AG, car aucune étude in vitro n’avait été réalisée auparavant. Nos résultats indiquent chez le sous-type sauvage CRF02_AGwt_10L une légère augmentation de la concentration inhibitrice 50% (IC50) pour le darunavir, le lopinavir et le nelfinavir comparativement au sous-type de référence B HXB2_10L avec respectivement un « Fold Change » (FC) de 1,2, 1,3 et 1,5. Cette augmentation est plus importante pour le lopinavir avec un FC (1,3) très proche de son seuil biologique (1,6). Comparativement au type sauvage CRF02_AGwt_10L, nos deux mutants CRF02_AGL10I et CRF02_AGL10V ont démontré une légère augmentation d’IC50 pour l’indinavir (avec respectivement un FC de 1,3 et 1,2) et une diminution pour le lopinavir (avec respectivement un FC de 0,78 et 0,75). Toutes ces observations suggèrent que la mutation en position 10 pourrait avoir un impact chez le sous-type CRF02_AG. Toutefois, la signification clinique de ces observations doit être déterminée. En conclusion, nos résultats supportent d’une part la nécessité de renforcer la surveillance de la résistance aux ARV et d’autre part, il fournit des informations nécessaires à l’amélioration des stratégies thérapeutiques afin de prévenir les échecs aux traitements chez les sous-types non B, particulièrement le CRF02_AG.

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La bléomycine est un antibiotique cytotoxique, son potentiel génotoxique est plus important quand elle est utilisée en combinaison avec des agents antinéoplasiques sur le cancer testiculaire, que sur les autres types qui développent souvent une résistance envers la drogue. Notre but consiste alors de mettre en évidence ce mécanisme de résistance en utilisant l’organisme modèle Saccharomyces cerevisiae. Nous avons démontré au sein de notre laboratoire, que les levures délétées au niveau de leur coactivateur transcriptionnel Imp2, présentent une hypersensibilité à la bléomycine, en raison de son accumulation toxique dans la cellule. Ceci suggère que Imp2 pourrait réguler l’expression d’une ou de plusieurs pompes à efflux, capables d’expulser la bléomycine à l’extérieur de la cellule. Pour tester notre hypothèse, nous avons recherché des suppresseurs multicopies capables de restaurer la résistance à la bléomycine chez le mutant imp2, et c’est ainsi que nous avons identifié l'activateur transcriptionnel Yap1. Ce dernier se lie à une région spécifique localisée au niveau du promoteur et permet d’activer l'expression d'un sous-ensemble de gènes, codant pour des pompes à efflux, impliquées dans la résistance aux drogues. Selon la littérature, au moins 27 pompes à efflux ont été identifiées chez la levure Saccharomyces cerevisiae, certaines d’entre elles disposent du site de liaison pour Yap1, tels que Qdr3, Tpo2 et Tpo1. Afin de déterminer si une de ces pompes expulse la bléomycine, nous avons créé des mutations simples et doubles en combinaison avec IMP2, aussi nous avons verifié si les mutants étaient sensibles à la drogue et enfin, nous avons testé si la surexpression de Yap1 pouvait restaurer le phénotype sauvage chez ces mutants, via l’activation de pompes à efflux.

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Cette thèse traite de la résistance du VIH-1 aux antirétroviraux, en particulier de l'activité antivirale de plusieurs inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (INNTI) ainsi que des inhibiteurs de protéase (IP). Nous avons exploré l’émergence et la spécificité des voies de mutations qui confèrent la résistance contre plusieurs nouveaux INNTI (étravirine (ETR) et rilpivirine (RPV)) (chapitres 2 et 3). En outre, le profil de résistance et le potentiel antirétroviral d'un nouvel IP, PL-100, est présenté dans les chapitres 4 et 5. Pour le premier projet, nous avons utilisé des sous-types B et non-B du VIH-1 pour sélectionner des virus résistants à ETR, et ainsi montré que ETR favorise l’émergence des mutations V90I, K101Q, E138K, V179D/E/F, Y181C, V189I, G190E, H221H/Y et M230L, et ce, en 18 semaines. Fait intéressant, E138K a été la première mutation à émerger dans la plupart des cas. Les clones viraux contenant E138K ont montré un faible niveau de résistance phénotypique à ETR (3,8 fois) et une diminution modeste de la capacité de réplication (2 fois) par rapport au virus de type sauvage. Nous avons également examiné les profils de résistance à ETR et RPV dans les virus contenant des mutations de résistance aux INNTI au début de la sélection. Dans le cas du virus de type sauvage et du virus contenant la mutation unique K103N, les premières mutations à apparaître en présence d’ETR ou de RPV ont été E138K ou E138G suivies d’autres mutations de résistance aux INNTI. À l’inverse, dans les mêmes conditions, le virus avec la mutation Y181C a évolué pour produire les mutations V179I/F ou A62V/A, mais pas E138K/G. L'ajout de mutations à la position 138 en présence de Y181C n'augmente pas les niveaux de résistance à ETR ou RPV. Nous avons également observé que la combinaison de Y181C et E138K peut conduire à un virus moins adapté par rapport au virus contenant uniquement Y181C. Sur la base de ces résultats, nous suggérons que les mutations Y181C et E138K peuvent être antagonistes. L’analyse de la résistance au PL-100 des virus de sous-type C et CRF01_AE dans les cellules en culture est décrite dans le chapitre 4. Le PL-100 sélectionne pour des mutations de résistance utilisant deux voies distinctes, l'une avec les mutations V82A et L90M et l'autre avec T80I, suivi de l’addition des mutations M46I/L, I54M, K55R, L76F, P81S et I85V. Une accumulation d'au moins trois mutations dans le rabat protéique et dans le site actif est requise dans chaque cas pour qu’un haut niveau de résistance soit atteint, ce qui démontre que le PL-100 dispose d'une barrière génétique élevée contre le développement de la résistance. Dans le chapitre 5, nous avons évalué le potentiel du PL-100 en tant qu’inhibiteur de protéase de deuxième génération. Les virus résistants au PL-100 émergent en 8-48 semaines alors qu’aucune mutation n’apparaît avec le darunavir (DRV) sur une période de 40 semaines. La modélisation moléculaire montre que la haute barrière génétique du DRV est due à de multiples interactions avec la protéase dont des liaison hydrogènes entre les groupes di-tétrahydrofuranne (THF) et les atomes d'oxygène des acides aminés A28, D29 et D30, tandis que la liaison de PL-100 est principalement basée sur des interactions polaires et hydrophobes délocalisées à travers ses groupes diphényle. Nos données suggèrent que les contacts de liaison hydrogène et le groupe di-THF dans le DRV, ainsi que le caractère hydrophobe du PL-100, contribuent à la liaison à la protéase ainsi qu’à la haute barrière génétique contre la résistance et que la refonte de la structure de PL-100 pour inclure un groupe di-THF pourrait améliorer l’activité antivirale et le profil de résistance.

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Ce mémoire vise à comprendre la diffusion transnationale du phénomène du 'nouvel insurrectionalisme'. C'est une forme novatrice de contestation violente, basée dans la philosophie anarchiste, s'opposant à la domination de systèmes étatiques et capitalistes. L'intérêt pour ce sujet porte sur le fait que c'est une manière inédite d'organiser une lutte révolutionnaire, et que le nouvel insurrectionalisme relève de formes et interprétations novatrices d'action violente. Nous situons l'étude dans le contexte contemporain de la mondialisation, car c'est son accroissement qui contribuerait à l'émergence du nouvel insurrectionalisme. Pour démontrer cela, seront examinés plusieurs types de littératures : écrits portant sur la diffusion transnationale de luttes ; analyses de violence terroriste et insurrectionaire; et les communiqués et publications émis par les acteurs et penseurs insurrectionalistes. La méthodologie relève de l'étude qualitative d'un phénomène transnational, en la forme d'une étude comparative de cinq pays (Italie, Grèce, Mexique, Chili et Indonésie). Le cadre analytique est 'l'approche compréhensive', placée dans la diffusion transnationale, qui cherche à comprendre un mouvement social de l'intérieur, donnant parole à ceux qui y participent. Le nouvel insurrectionalisme est une lutte transnationale, au miroir de son adversaire la mondialisation économique et politique, et il se diffuse aisément à travers des contextes variés car portant en lui des idéaux plus aptes à être partagés du fait de leur flexibilité, de la primauté des luttes locales, la décentralisation, les relations horizontales, et la lutte contre la hiérarchie, la domination et l'exploitation.

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It makes economic sense to use as little fungicide as possible on a crop. In many settings, it is common to apply less than the manufacturer's recommended dose. If sources of disease are scarce, or conditions are unsuitable for it to increase, the reduced control from a low dose may be adequate. In other cases, a big reduction in dose may cause little reduction in control, again permitting savings - especially for growers prepared to run a little risk. But the label recommendations for most fungicides state that to avoid resistance, a full dose must always be used. Are individual cost-savings therefore endangering everyone's access to an exceptionally useful tool? The emergence of fungicide resistance is evolution in action. In all cases, it involves the genetic replacement of the original susceptible population of the pathogen by a new population with genetically distinct biochemistry, which confers resistance. The resistant biochemistry originates in rare genetic mutations, so rare that initially the population is hardly altered. Replacement of susceptible forms by resistant ones happens because, with fungicide present, the resistant form multiplies more rapidly than the susceptible form. The key point to notice is that only the relative rates of multiplication of the resistant and susceptible types are involved in the evolution of resistance. The absolute rates are irrelevant.

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Since 1990 multiresistant (MR) Salmonella enterica serotype Typhimurium definitive phage-type (DT) 104 (MR DT104) and closely related phage types have emerged as a worldwide health problem in humans and food animals. In this study the presence of the bla(CARB-2) (ampicillin), cmlA (chloramphenicol), aadA2 (streptomycin/spectinomycin), sul1 (sulphonamide), and tetG (tetracycline) resistance genes in isolates of one such phage type, U302, have been determined. In addition bla(TEM) I primers have been used for the detection of TEM-type beta-lactamases. Isolates have also been characterized by plasmid profile and pulsed field gel electrophoresis (PFGE). Thirty-three of 39 isolates were positive for blaCARB-2, cmlA, aadA2, sul1 and tetG, four for bla(TEM), aadA2 and sul1, one for aadA2 and sul1, and one for blaTEM only. bla(TEM)-mediated ampicillin resistance was transferred to Escherichia coli K12 from three isolates along with other resistance markers, including resistance to chloramphenicol, streptomycin, spectinomycin, sulphonamides, and tetracyclines. Strains carried up to 6 plasmids and 34 plasmid profiles were identified. Although the majority of strains (33/39) produced a PFGE profile identical to that predominant in MR DT104, six different patterns were generated demonstrating the presence of various clones within MR U302. The results show that the majority of the MR U302 strains studied possessed the same antibiotic resistance genes as MR DT104. However, isolates with distinctive PFGE patterns can have different mechanisms of resistance to ampicillin, chloramphenicol, streptomycin, sulphonamides, and tetracyclines. Such resistance genes may be borne on transmissible plasmids.

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Objectives: To examine 397 strains of Salmonella enterica of human and animal origin comprising 35 serotypes for the presence of aadB, aphAI-IAB, aadA1, aadA2, bla(Carb(2)) or pse1, bla(Tem), cat1, cat2, dhfr1, floR, strA, sul1, sul2, tetA(A), tetA(B) and tetA(G) genes, the presence of class 1 integrons and the relationship of resistance genes to integrons and antibiotic resistance. Results: Some strains were resistant to ampicillin (91), chloramphenicol (85), gentamicin (2), kanamycin (14), spectinomycin (81), streptomycin (119), sulfadiazine (127), tetracycline (108) and trimethoprim (45); 219 strains were susceptible to all antibiotics. bla(Carb(2)), floR and tetA(G) genes were found in S. Typhimurium isolates and one strain of S. Emek only. Class 1 integrons were found in S. Emek, Haifa, Heidelberg, Mbandaka, Newport, Ohio, Stanley, Virchow and in Typhimurium, mainly phage types DT104 and U302. These strains were generally multi-resistant to up to seven antibiotics. Resistance to between three and six antibiotics was also associated with class 1 integron-negative strains of S. Binza, Dublin, Enteritidis, Hadar, Manhattan, Mbandaka, Montevideo, Newport, Typhimurium DT193 and Virchow. Conclusion: The results illustrate specificity of some resistance genes to S. Typhimurium or non- S. Typhimurium serotypes and the involvement of both class 1 integron and non-class 1 integron associated multi-resistance in several serotypes. These data also indicate that the bla(Carb(2)), floR and tetA(G) genes reported in the SG1 region of S. Typhimurium DT104, U302 and some other serotypes are still predominantly limited to S. Typhimurium strains.

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Poorer people are more likely to use antibiotics; inappropriate antibiotic use causes resistance, and health campaigns attempt to change behaviour through education. However, fuelled by the media, the public think antibiotic resistance is outside their control. Differences in the attribution of blame for antibiotic resistance in two genres of UK newspapers, targeting distinct socioeconomic groups, were examined using a mixed methods approach. Firstly, depiction of blame was categorised as either external to the lay public (outside their control) or internal (lay person accountable) and subjected to a chi-square test. Secondly, using critical discourse analysis, we examined the portrayal of the main agents through newspaper language. Data from 597 articles (307 broadsheets) analysed revealed a significant association between newspaper genre and attribution of blame for antibiotic resistance. While both newspaper types blamed antibiotic resistance predominantly on factors external to the lay public, broadsheets were more likely to acknowledge internal factors than tabloids. Tabloids provided a more skewed representation, exposing readers to inaccurate explanations about antibiotic resistance. They highlighted ineptitude in health professionals, victimising patients and blaming others, while broadsheets used less emotive language. Pharmacists should take special care to communicate the importance of appropriate antibiotic use against this backdrop of distortion.

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The use of antibiotics in birds and animals intended for human consumption within the European Union (EU) and elsewhere has been subject to regulation prohibiting the use of antimicrobials as growth promoters and the use of last resort antibiotics in an attempt to reduce the spread of multi-resistant Gram negative bacteria. Given the inexorable spread of antibiotic resistance there is an increasing need for improved monitoring of our food. Using selective media, Gram negative bacteria were isolated from retail chicken of UK-Intensively reared (n = 27), Irish-Intensively reared (n = 19) and UK-Free range (n = 30) origin and subjected to an oligonucleotide based array system for the detection of 47 clinically relevant antibiotic resistance genes (ARGs) and two integrase genes. High incidences of β-lactamase genes were noted in all sample types, acc (67%), cmy (80%), fox (55%) and tem (40%) while chloramphenicol resistant determinants were detected in bacteria from the UK poultry portions and were absent in bacteria from the Irish samples. Denaturing Gradient Gel Electrophoresis (DGGE) was used to qualitatively analyse the Gram negative population in the samples and showed the expected diversity based on band stabbing and DNA sequencing. The array system proved to be a quick method for the detection of antibiotic resistance gene (ARG) burden within a mixed Gram negative bacterial population.

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Anticoagulants rodenticides have already known for over half a century, as effective and safe method of rodent control. However, discovered in 1958 anticoagulant resistance has given us a very important problem for their future long-term use. Laboratory tests provide the main method for identification the different types of anticoagulant resistances, quantify the magnitude of their effect and help us to choose the best pest control strategy. The main important tests are lethal feeding period (LFP) and blood clotting response (BCR) tests. These tests can now be used to quantify the likely effect of the resistance on treatment outcome by providing an estimate of the ‘resistance factor’. In 2004 the gene responsible for anticoagulant resistance (VKORC1) was identified and sequenced. As a result, a new molecular resistance testing methodology has been developed, and a number of resistance mutations, particularly in Norway rats and house mice. Three mutations of the VKORC1 gene in Norway rats have been identified to date that confer a degree of resistance to bromadiolone and difenacoum, sufficient to affect treatment outcome in the field.