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Contient : 1° « Remonstrances sur les miseres et abuz de ce monde, pour retraire ung chascun de peché » ; 2° « Instruction et doctrine à bien vivre et mourir » ; 3° « Aux jeunes mariez » ; 4° « Plusieurs beaulx Dictz et enseignemens de la saige CHRISTINE DE PISAN à son filz » ; 5° « Plusieurs Enseignemens utiles et prouffitables » ; 6° « Contre aulcuns exces qui se commettent chascun jour à boire et menger » ; 7° « De la Beaulté tres excellente-de Nostre Seigneur Jesus Christ » ; 8° « La Voye de paradis » ; 9° « Plusieurs devotes Contemplations sur les injures, derisions et opprobres faictz à Nostre Seigneur Jesus Christ, touchant les parolles dictes par Pylate : Eccehomo » ; 10° De la Patience ; 11° « De la Brefveté de la vie humaine » ; 12° « Rondeau contre les mal parlans ». Refrain : « Entre vivans » ; 13° « Les douze Vertuz et qualitez » ; 14° De la Nécessité de mourir ; 15° « Calcul de plusieurs pieces de monnoye » ; 16° « Ballade contre les aveuglez mondains » (fol. 54). Refrain : « C'est parce que sommes pervers » ; 17° « Aultre Ballade moralle contre les aveuglez mondains » (fol. 55). Refrain : « Quant de voz maulx vous fauldra rendre compte » ; 18° « Rondeau double de la misere du monde » (fol. 56). Refrain : « Où pensez vous ? » ; 19° « Bons Enseignemens et authoritez » ; 20° « Bon Regime fort utile pour le corps et l'ame d'ung chascun » ; 21° « Destruction du corps humain » ; 22° « Dicton utile pour chascune personne » ; 23° « Ballade faicte en l'honneur de la croix, la couronne d'espines et la lance de Nostre Seigneur Jesus Christ ». Refrain : « Tant que les larmes en yssent de noz yeux » ; 24° « Aultre Ballade en l'honneur de la glorieuse Vierge Marie » (fol. 62). Refrain : « Mere de Dieu, que veult on plus ? » ; 25° « Aultre Ballade en l'honneur de monsieur sainct Jehan l'evangeliste » (fol. 63). Refrain : « Mignon de Dieu, que veult on plus ? » ; 26° Enseignements

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Contient : 1 « Definition d'amour », par « S[AINT] G»[ELAIS] ; 2 « Rondeau », par « S[AINT] G»[ELAIS] (fol. 2). Refrain : « Mal ou bien » ; 3 « Le Courtisant » [par BALTHASARD DE CASTIGLIONE] ; 4 « Epistre » ; 5 Épigramme contre le duc de Guise et le cardinal de Lorraine ; 6 « Epistre de J[ACQUES] C»[OLIN] ; 7 « Epistre du chevalier navré et prins devant Pavie à sa dame negligente de luy escribre » ; 8 « Epistre » ; 9 « Epistre » ; 10 « Compte d'amour fugitif, translaté de grec en latin par POLITIAN, et de latin en françois par CLEMENT MAROT » ; 11 « Six Dames de Paris à Clement Marot », épître, par « JANNE DEMONT » ; 12 « Epistre de CLEMENT MAROT à trois sortes de dames parisiennes » ; 13 « A six dames, Dieu sçait quelles, qui luy envoierent une epistre pleine de ce qu'elles sçavent dire », par le même ; 14 « A celles de qui ledict MAROT ne vouldroit perdre la grace » — Commençant (fol. 60) par: Et vous aultres bien saiges... » ; 15 « CLEMENT MAROT aux gentilz veaulx « Qui ont faict les adieux nouveaulx » ; 16 Huit rondeaux, par « C[LEMENT] M»[AROT]. Refrains ; 1 « Au temps passé » ; 2 « Avant mes jours » ; 3 « En la baisant » ; 4 « Toutes les nuictz » ; 5 « S'il est ainsy » ; 6 « D'avoir le pris » ; 7 « Tout à par soy » ; 8 « De nuict » ; 17 « Dixain », par « C[LEMENT] M»[AROT] ; 18 Cinq rondeaux, par « J[ACQUES] C»[OLIN]. Refrains ; 1 « Je le voy bien » ; 2 « Quand j'ay voulu » ; 3 « Taire ou cryer » ; 4 « En me taisant » ; 5 « Incontinent » ; 19 Sept rondeaux, par « J. G ». Refrains ; 1 « De m'acquiter » ; 2 « Sy ne revient » ; 3 « Si longuement » ; 4 « L'honesteté » ; 5 « Tout vient de Dieu » ; 6 « Oultre mon gré » ; 7 « De ton ennuyt » ; 20 Cinq rondeaux, par « J[EAN] MA»[ROT]. Refrains ; 1 « Contre le coup » ; 2 « Plus chault que feu » ; 3 « Dont vient cela » ; 4 « D'un seul regard » ; 5 « Pour le deduyt » ; 21 Quatorze rondeaux. Refrains ; 1 « Au feu d'amours » ; 2 « Aupres du vif » ; 3 « Comme ung phoenix » ; 4 « Mort ou mercy » ; 5 « Faict ou failly » ; 6 « Sy mieulx ne vient » ; 7 « De grise teste » ; 8 « D'estre amoureux » ; 9 « A ma requeste » ; 10 « Je n'en veuls point » ; 11 « Au tour de vous » ; 12 « Maulgré moy » ; 13 « Quand je vous voy » ; 14 « Ung jour » ; 22 « Dixain » ; 23 Trois stances amoureuses sur les mêmes rimes ; 24 « Dixain » ; 25 « Huittain » ; 26 Deux quatrains, par « L[A] M»[AISONNEUVE] ; 27 Huitain ; 28 Deux quatrains ; 29 Deux huitains ; 30 Deux huitains ; 31 « Epitaphe » ; 32 Deux huitains ; 33 Huitain ; 34 Deux huitains ; 35 Huitain ; 36 « La Royne de Navarre, du dieu Cupido » ; 37 « Dixain » ; 38 « Complaincte fort lugubre » ; 39 « In amorem furem », épigramme latine ; 40 Traduction de l'épigramme précédente, par « STROSIUS, poeta ferrariensis » ; 41 « AUSONIUS e greco », texte latin et « translat » de l'épigramme suivante ; 42 Trois quatrains amoureux, par « le roy » [FRANÇOIS Ier] ; 43 « Dixain » ; 44 Pièce de vers de « CHAP»[UIS] ; 45 Epigramme sur « les Blancs Manteauls » ; 46 « Response » de « MAROT » à l'épigramme précédente ; 47 Deux huitains ; 48 « Response » aux huitains précédents ; 49 Rondeau, par « CHAP»[UIS]. Refrain : « Che foeu » ; 50 Deux rondeaux. Refrains ; 51 Rondeau, par [LA] « M[AISON] N»[EUVE]. Refrain ; 52 Rondeau (fol. 97). Refrain : « En bone foy » ; 53 Dixain « pour les dames de la rue S. Antoine », par « S[AINT] G»[ELAIS] ; 54 En envoyant un portrait, par « H. J. » ; 55 Huitain, par « CHAP»[UIS] ; 56 Vers sur l'«amour », par « S[AINT] G»[ELAIS] ; 57 Deux quatrains, par « COLIN » ; 58 Quatrain, par « CHAP»[UIS] ; 59 « Rondeau » (fol. 100). Refrain : « A Dieu » ; 60 Dixain ; 61 Huitain ; 62 Dixain, par [LA] « M[AISON] N»[EUVE] ; 63 Trois sixains, par « CHAP»[UIS] ; 64 Douzain, par « le roy » [FRANÇOIS Ier] et « CHAP»[UIS] ; 65 Dixain, par « S[AINT] G»[ELAIS] ; 66 Vers sur une « amitié... decousue », par « S[AINT] G»[ELAIS] ; 67 Deux quatrains, par « C[LAUDE] C»[OLLET] ; 68 Quatrain, par « CHAP»[UIS] ; 69 « Blason de couleurs », par « BRO»[DEAU] ; 70 Huitain, par « S[AINT] G»[ELAIS] ; 71 « Enigme » ; 72 Huitain, par « CHAP»[UIS] ; 73 Dixain, par « CHAP»[UIS] ; 74 Plainte d'amour, par « CHAP»[UIS] ; 75 ; 76 « Dixain », par « CHAP»[UIS] ; 77 « Response d[e] MACAULT » ; 78 Dixain ; 79 « Dixain », par « CHAP»[UIS] ; 80 Huitain, par « CHAP»[UIS] ; 81 « Dixain », par « CHAP»[UIS] ; 82 Huitain, par « S»[AINT-GELAIS] ; 83 Dixain, par « CHAP»[UIS] ; 84 Sept vers d'amour, par « CHAP»[UIS] ; 85 A une dame qui avait mêlé sa voix au son du luth de « SAINCT GELAIS » ; 86 Huitain, par « M. T. » ; 87 Huitain, par « M. T. » ; 88 Dixain, par « T. » ; 89 Huitain, par « T. » ; 90 Huitain, par « T. » ; 91 Dixain, par « le roy » [FRANÇOIS Ier] ; 92 « Rithme françoise tirée d'un epigramme latin de JONI PONTAN » ; 93 Huitain, par « CHAP»[UIS] ; 94 Dixain ; 95 Dixain, par « CHAP»[UIS] ; 96 Dixain, par « S[AINT] G»[ELAIS] ; 97 « Envoy » ; 98 Huitain, par « LA M»[AISONNEUVE] ; 99 Dixain, par « GHAP»[UIS] ; 100 Dixain ; 101 Neuf vers d'amour, par « CHAP»[UIS] ; 102 Cinq quatrains d'amour ; 103 Huitain, par « CHAP»[UIS] ; 104 Dixain, par « CHAP»[UIS] ; 105 Sept vers d'amour, par « CHAP»[UIS] ; 106 « Pour monsieur de S. », dixain ; 107 Huitain ; 108 « Response » ; 109 Dixain ; 110 Dixain « du roy » [FRANÇOIS Ier] ; 111 Unzain « d'une qui allumat le foeu de la S. Jehan » ; 112 Douzain « de monseigneur le cardinal DE TOURNON » ; 113 Quatrain, par « M. D. L. »

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Contient : 1 Lettre de « la duchese D'ESTAMPE,... à monseigneur de La Guastiniere,... De Villedieu, ce IIIIe jour d'octobre » ; 2 Lettre de « DIANE DE POYTIERS,... à... monseigneur le conte Du Bouchaige,... A Sainct Germain en Laye, ce dernier jour de juing » ; 3 Instructions de CHARLES-QUINT pour l'administration des Pays-Bas. 1531. Copie ; 4 « Extract de la particuliere instruction de madamme MARIE, royne douaigiere d'Hongrie, touchant le gouvernement du Pays Bas, en date du VIIe jour du mois d'octobre 1531 » ; 5 « Copie de l'instruction du conseil privé, faicte... par l'empereur Charles cinquiesme... le premier d'octobre en l'an XV.C.XXXI » ; 6 Lettre de « D'ANNEBAULT,... au cappitaine Du Mont,... Du Pont Audemer, ce Vme octobre » ; 7 Lettre de la reine « CLAUDE,... à monseigneur Du Bouchaige,... Escript à Romorentin, le XIme jour de mars » ; 8 Lettre de « CHARLES TIERCELIN,... à monseigneur de La Gateliniere,... Escript à Mouson, ce VIIIme may » ; 9 Lettre de « LIVIO CROTTO,... au roy... Escript à Bings, le VIe jour de fevrier [M] V.C.XLVI » ; 10 État des troupes en diverses provinces ; 11 « Nouvelles du camp de Jaallon, du premier de septembre 1544 » ; 12 Lettre de « J[EAN] DE POYTIERS [Sr DE ST-VALLIER]... à monseigneur... Du Bouchaige,... De Paris, ce XXVIe jour de juillet » ; 13 Lettre de « MARGUERITE DE OYRON » à « monseigneur... de La Gateliniere,... A Fontainebleau, ce XXIIe janvier » ; 14 Lettre de « HUMYERES,... à... monseigneur le conte de Sainct Aignan,... De Romorantin, ce lendemain de Noel 1546 » ; 15 Lettre de « DE ANGLIERES,... à monseigneur le conte Du Bouchaige,... Se mois de mars, setiesme jour » ; 16 Lettre de « MARGUERITE » DE VALOIS, reine de Navarre, à « madame Du Bouchaige » ; 17 « Rondeau » (fol. 28). Refrain : « Dame sans per » ; 18 Pièce de vers de « SALEL » sur « la nativité de monseigneur le duc, fils premier de monseigneur le Daulphin » ; 19 « Chansons faictes par la royne de Navarra dens sa litiere, durant la maladie du roy » ; 20 « Aultre Chanson faicte par ladicte dame ung mois apres la mort du roy » ; 21 « Rondeau faict par ladicte dame au mesme temps » (fol. 36). Refrain : « L'odeur de mort » ; 22 Copie d'une lettre du roi « FRANÇOYS » Ier à « monseigneur Du Roolle,... De Sainct Germain en Laye, le XIIIe jour de fevrier M.V.C.XLVI » ; 23 Copie d'une lettre du roi « FRANÇOYS [Ier] à monseigneur de Ruffe,... Escript à Amboyse, le IXe jour de may mil V.C.XLI » ; 24 Lettre de « BOTIERES,... à monseigneur de La Gastilliniere,... De Troart, ce XXIIIIe jor de juing » ; 25 État de payement des troupes « faict à Engolesme, le Xme jour de decembre mil V.C. quarente huict » ; 26 Lettre de « LOYS DE BOURBON,... à monseigneur Du Bouschaige,... Escript à Champigny, le VIIIe jour de novembre » ; 27 Lettre de « LOYSE DE BOURBON,... à... madame Du Bouchaige,... Escript à Champigny, ce XIIe jour de decembre » ; 28 Lettre de « LOYS DE BOURBON,... à... monseigneur Du Bouhaige,... Escript à Champigny, le XXVIe jour d'octobre » ; 29 Lettre de « LOYS DE BOURBON,... à... monseigneur le conte Du Bouchaige,... De Champigny, ce XIme jour de mars » ; 30 Lettre de « LOYSE DE BOURBON,... à monseigneur le conte Du Bouchaige,... Escript à Champigny, ce second jour de septembre » ; 31 Lettres patentes du « roy FRANÇOYS » Ier pour faire nommer un curateur à « René de Baternay,... baron Du Bouchaige,... Donné à Paris, le XIIme jour de decembre, l'an de grace mil cinq cens vingt sept » ; 32 Lettre d'« ANTHOINETTE [DE BOURBON, duchesse DE GUISE]... à monseigneur de La Gateligniere,... De Joinville, le XXVe jour de septembre » ; 33 Lettre de « LOYS DE BOURBON,... à... monseigneur le conte Du Bouschaige,... A Paris, ce XXIme jour de fevrier » ; 34 Lettre de « LOYSE DE BOURBON,... à monseigneur Du Bouchaige,... Escript à Molins, le XVIIIe jour de juilhet » ; 35 Lettres patentes du « roy... FRANÇOYS » Ier, par lesquelles il nomme « Jehan Doiron,... Sr de La Gastelliniere », à la charge de commissaire ordinaire des guerres. « Donné à Cremyeu, le XXIme jour de mars, l'an de grace mil cinq cens trente cinq » ; 36 Acte par lequel le maréchal « de Montmorency » met de par le roi « Jehan Doiron,... Sr de La Gastelliniere », en possession de son office de commissaire ordinaire des guerres. « Le XXIXme jour de mars, l'an mil cinq cens trente cinq » ; 37 Acte, sur le même sujet, de « GUILLAUME PREUDOMME, conseiller du roy, general de ses finances et tresorier de son espargne... Donné à Montbrison... le XXVIIIme jour d'avril, l'an mil cinq cens trente six »

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Contient : 1 Bulle de PIE II pour la croisade contre les Turcs, vers 1464. Copie ; 2 « La joyeuse Entrée faicte à Bruges par... monseigneur le duc de Bourgogne [Philippe le Bon] et par madame [Agnès, duchesse] de Bourbon, sa seur, le jour de karesme prenant M.CCCC.LXII ». Copie ; 3 « Complainte piteable de Chasteté » contre « Le Fol amoureux » du Roman de la Rose, composée par JEAN DE GERSON, « l'an de grace mil quatre cens et deux, le XVIIIe jour de may » ; 4 « Advis des medecins demorans à Dijon » touchant une maladie épidémique, « rapporté à messrs les mayeur et eschevins dudict Dijon, le XIIIIe jour d'octobre, l'an mil IIII.C.LXVI » ; 5 « Autre Advis apporté de Paris sur la matiere avant dicte » ; 6 « Alter modus datus contra epidimiam per magistrum NAUDINUM, medicum in Avinione, tempore quo ibi vigebat epidimia » ; 7 « Alia recepta ad idem et eodem tempore per magistrum JACOBUM JUDEUM Avinione ordinata » ; 8 « Autre Remede contre l'impedimie » ; 9 « Remede baillé à aucuns pour les preserver de l'impedimie regnant l'an mil IIII.C.LXVII » ; 10 « Traictié fait à Bouloigne contre l'impedimie » de l'année « mil IIII.C.XXVII ou mois d'aoust », par « THIEBAULT LOUET D'AVRIGNY » ; 11 « Tractatus quidam contra pestem » ; 12 « Traictié » en vers « fait à Montpelier de pieça sur le fait de l'impedimie » ; 13 « Le Livre de SENEQUE des quatre vertus, translaté en françois par maistre JEHAN COURTE-CUISSE », dédié à « Jehan, filz de roy de France, duc de Berry » ; 14 « Traictié que ont fait, par le commandement du roy nostre sire Loys de Valois, monseigneur maistre JEHAN LE SELLIER et monseigneur maistre JEHAN HENRY, conseilliers en sa court de parlement, touchant la pramatique sanxion » ; 15 « HIERONIMI MANFREDI, celeberrimi vatis... pronosticon anni salutis M.CCCC.LXXVIII... Bononie » ; 16 Lettres patentes de LOUIS XI, portant défense de faire aucun commerce sur les terres du duc de Bourgogne. « Données au Montiz les Tours, le VIIIe jour d'octobre, l'an de grace mil CCCC.LXX ». Copie ; 17 « La Traïson faicte en Angleterre au roy Edouard [IV], comme l'a escript monseigneur le bailly de Dijon, qui est en Flandres, à monseigneur le president des parlemens de Bourgongne » par lettres « receues à Dijon, le XXVIe jour d'octobre mil IIII.C.LXX » ; 18 Double de la pièce portée sous le n° 16 ; 19 Lettres patentes de CHARLES LE TEMERAIRE, duc DE BOURGOGNE, portant défense à ses sujets de faire aucun commerce avec les sujets du roi de France. « Donné en nostre chastel de Hesdin, le VIIIe jour de novembre, l'an de grace mil CCCC. soixante et dix ». Copie ; 20 « Lectres escriptes » par CHARLES LE TEMERAIRE, duc DE BOURGOGNE, « à son bailly de Dijon ou à son lieutenant, et es mayeurs (sic), eschevins, conseil, manans et habitans de Dijon, sur la trayson que l'on luy a voulu faire... Escript en nostre chastel de Hesdin, le XIIe jour de decembre, l'an [MCCCC]LXX ». Copie ; 21 Lettres patentes de « CHARLES [LE TEMERAIRE], duc DE BOURGOINGNE », portant défense à tous ses sujets de recevoir les lettres du roi de France et d'avoir aucun rapport avec ses gens et officiers. « Donné en nostre chastel de Hesdin, le XIIIIe jour de janvier, l'an de grace mil CCCC.LXX » ; 22 Lettres closes de CHARLES LE TEMERAIRE, duc DE BOURGOGNE, au bailli de Dijon, pour convocation de troupes. « Donné en nostre ville de Dourlens, le XXe jour de jenvier, l'an de grace mil CCCC.LXX ». Copie ; 23 Lettre de GUI BERNARD, évêque de Langres, à « mon compere monseigneur de Talemer,... Escript à Lengres, le XIIIe jour de fevrier » 1471. Copie ; 24 Post-scriptum de la lettre portée plus bas sous le n° 32. Copie ; 25 Lettres patentes de LOUIS XI, par lesquelles il promet sa protection aux sujets du duc de Bourgogne qui feront leur soumission dans un mois. « Donné à Complaigne (Compiègne), le VIe jour de fevrier, l'an de grace mil IIII.C.LXX ». Copie ; 26 Lettre de GILBERT, comte DE MONTPENSIER, « daulphin d'Auvergne », et de JEAN, bâtard D'ARMAGNAC, comte « DE COMMINGE, mareschal de France... lieutenans generaulx du roy es pays, duchié et conté de Bourgongne... à messre Pierre de La Bussiere,... Donné à Villefranche en Beaujolais, le XXIIIIe jour de fevrier, l'an de grace mil IIII.C.LXX ». Copie ; 27 « Nouvelles de Flandres », envoyées à Dijon par messre FERRY DE CLUGNY,... Escript à Bruxelles, le XVIIIe de mars... mil IIII.C.LXX ». Copie ; 28 Lettre d'« A. MASILLES » à « monseigneur maistre Pierre Bonfeal,... Escript à Seurre, le XIXe jour d'avril ». Copie ; 29 Lettres closes de « CHARLES [LE TEMERAIRE], duc DE BOURGONGNE,... à noz amez et feaulx messe Jehan Joard, chief de nostre conseil et president de noz parlemens de Bourgongne, et les autres gens de nostre dit conseil et de noz comptes à Dijon », touchant la trêve avec le roi Louis XI. « Escript en nostre champ lez [C]orbie, le XIe d'avril, l'an [M.CCCC]LXX, avant Pasques ». Copie ; 30 « Advis fait par les capitaines et conseillers de monseigneur [Charles, duc de Bourgogne], qui sont esté assemblez à Dijon, dez le XXVIIIe jour d'avril jusques au IIIIe jour de may mil IIII.C.LXXI ». Copie ; 31 « Advis fait par les nobles es estas qui sont esté assemblez à Dijon, dez le XXVIIIe jour d'avril jusques au IIIe jour de may mil IIII.C.LXXI ». Copie ; 32 Lettres closes de « CHARLES [LE TEMERAIRE], duc DE BOURGONGNE,... à noz tres chiers et bien amez les mayeur et eschevins de nostre ville de Dijon », touchant la trêve. « Escript en nostre ville de Peronne, le XXVIIe jour d'avril mil IIII.C.LXXI ». Copie ; 33 Lettre de « JEHAN DE MOLESMES [secrétaire de Charles le Téméraire]... à messrs les mayeur et eschevins de la ville de Dijon... Escript à Peronne, le XXVIIe jour d'avril » 1471. Copie ; 34 « Les Noms de ceulx qui ont esté mors en la bataille [de Barnet], qui a esté entre le roy Edouard [IV] d'Engleterre et le conte de Verwic, le jour de Pasques, XIIIIe jour d'avril mil IIII.C.LXXI ». Copie ; 35 « Les premieres Trieves prinses entre le roy [Louis XI] et monseigneur [Charles, duc] de Bourgongne, publiées à Dijon, le XXVIe jour d'avril, l'an mil IIII.C.LXXI ». Copie ; 36 « Secondes Triefves, seur estat et abstinence de guerre entre le roy [Louis XI] et monseigneur de Bourgongne,... Receues en l'escriptore du bailliage à Dijon par Pierre Prevost, scribe en icelly, le IIIIe jour de juillet... mil IIII.C.LXXI ». Copie ; 37 « Mandement de l'ordonnance de gens de guerre que CHARLES [LE TEMERAIRE], duc DE BOURGOGNE, entend à mectre sus et entretenir à gaiges en ses pays... Donné en nostre ville d'Abbeville, le XXIXe jour de jung... mil IIII.C.LXXI ». Copie ; 38 « La Maniere comment monseigneur le duc [de Bourgogne] veult et entend que les hommes d'armes, costilliers et archiers qu'il retiendra pour son ordonnance de douze cens cinquante lances, qu'il met sus, soient habilliez... Publié à Dijon, le diemenche XIIIIe jour de juillet, l'an mil IIII.C.LXXI ». Copie ; 39 « Copie des aliances faictes par le roy Loys [XI] avec le prince de Galles et autres ses aliez en Engleterre, à l'encontre de monseigneur [le duc] de Bourgongne... A Amboise, le XXVIIIe jour de novembre, l'an de grace mil quatre cens soixante dix » ; 40 « Nouvelles du recouvrement fait par le roy Edouart IIIIe de son royaulme d'Angleterre et des victoires qu'il a eues contre ses rebelles » Copie ; 41 Lettre d'«EDOWARD [IV]... roy d'Engleterre... à tres hault et puissant prince... le duc de Bourgongne... De Canterbury, le XXVIIIe jour de may » 1471. Copie ; 42 Lettres closes de « CHARLES [LE TEMERAIRE], duc DE BOURGOGNE, [déclarant] ses pays et subgectz estre exempts de la coronne et ressort de France et de la court de parlement de France, par l'infraction faicte par le roy contre le traictié de Peronne... Donné en nostre ville de Saint Omer, le XIIe jour de novembre » 1471. Copie ; 43 Récapitulation des trêves conclues ou prorogées entre Louis XI et Charles le Téméraire, depuis le 14 octobre 1468 jusqu'au 13 septembre 1475 ; 44 Double du n° 35 ; 45 Double du n° 36 ; 46 « Tierce Treve » entre Louis XI et Charles le Téméraire, depuis le premier mai « jusques au XVe jour de jung... mil IIII.C???LXXII », publiée par Louis XI, « au Plesseys du Parc lez Tours, le XXIIe jour d'avril » 1472. Copie ; 47 Même Trêve publiée par Charles le Téméraire « en nostre ville de Bruges, le XXVIe jour d'avril » 1472. Copie ; 48 « Quatriesme Treve entre le roy [Louis XI] et monseigneur de Bourgogne ; 49 « Cinquiesme Treve, continuée de la precedente, depuis le premier jour d'avril avant Pasques mil IIII.C. LXXII jusques au premier jour d'avril.mil IIII.C.LXXIII avant Pasques ». Copie ; 50 Lettre de « J[EAN] JOARD DES CHAVANNES, chief du conseil et president des parlemens de monseigneur le duc de Bourgogne... à nostre tres chier Sr et especial amy le bailli de Dijon... Escript à Dole, ce XXIIIIe jour de mars M.IIII.C.LXXIII » ; 51 « Sixiesme Treve » entre Louis XI et Charles le Téméraire, « proroguée de la precedente jusques au XVe jour de may, l'an mil IIII.C.LXXIIII, ledit jour inclus ». Copie ; 52 Lettre d'«A. DE LUXEMBOURG, conte de Roussy et de Charny, mareschal de Bourgoingne... à nostre tres chier et especial ami le bailli de Dijon... Escript à Dijon, le XXVIIIe jour de jung [MCCCC]LXXIIII » ; 53 « Septiesme Treve entre le roy [Louis XI] et monseigneur de Bourgongne, depuis le XVe jour de jung mil IIII.C.LXXIIII jusques au premier jour de may mil IIII.CLXXV ». Copie ; 54 « Huictiesme Treve entre le roy [Louis XI] et monseigneur [le duc de Bourgogne], leurs pays, subgectz et aliez, à neuf ans, qui finistront ou mois de septembre que l'on dira mil IIII.C.IIII.XX. et IIII, et sont communicatives et marchandes... Publiées à Dijon... le venredi XXVIIe jour d'octobre » 1475. Copie ; 55 Trêve pour un an, du 11 juillet 1478 au 11 juillet 1479, conclue entre Louis XI, d'une part, et Maximilien d'Autriche et sa femme Marie de Bourgogne, d'autre part. « Donné en nostre cité d'Arras, le XIe jour du mois de juillet » 1478. Copie ; 56 Manifeste de CHARLES LE TEMERAIRE, duc DE BOURGOGNE, contre Louis XI, 1472. Copie ; 57 « Nouvelles de monseigneur le duc » de Bourgogne. « Escript les Falvy à trois lieux de Peronne, le XXVIIIe jour de septembre, l'an [MCCCC]LXXII ». Copie ; 58 « Places prinses » par Charles le Téméraire, duc de Bourgogne, « depuis le dernier jour de septembre jusques au IXe jour d'octobre mil IIII.C.LXXII » ; 59 « De sancto Nicolao salus » ; 60 « Salus sancti Nicolai » ; 61 Confirmation par EUDES III, duc DE BOURGOGNE, d'une donation de 500 sous à prendre chaque année sur le péage de Dijon, faite par Hugues III son père à l'abbaye de Saint-Bénigne de Dijon. 1192. Copie ; 62 Charte d'EUDES III, duc DE BOURGOGNE, contenant : 1° confirmation des priviléges accordés à l'abbaye de Saint-Bénigne de Dijon par les ducs Robert le Vieux, Eudes II et Hugues III ; 2° concession de la justice haute et basse à ladite abbaye. 1193. Copie ; 63 « Lettres de vidimus et extraction » des lettres de « PHILIPPE [LE BON], duc DE BOURGONGNE,... touchant la fondacion de la messe de l'ordre de la Toison d'or, et des quatre prebendes par lui fondées en la chappelle à Dijon », en 1431. Vidimus donné en 1478 par « HUGUES NOBLET, lieutenant general » du bailli de Dijon. Copie ; 64 Lettre de « J. JAQUELIN, president, et les autres gens du conseil du roy à Dijon... à nostre tres chier Sr et especial ami le bailly de Dijon... Escript à Dijon, ce VIIe jour de janvier [MCCCC]LXXVIII ». Copie ; 65 « Coppie des lectres escriptes à Rodez le XIIIe de septembre mil IIII.C.IIII.XX., du siege qui a esté devant Rodes par les Turs, et de la levation d'icellui par les chevaliers dudit Rode ». Copie ; 66 « En brief ce qui a esté respondu es ambaxadeurs du roy » de France Louis XI par CHARLES LE TEMERAIRE, touchant l'appel du ban et arrière-ban, etc. Copie ; 67 Chanson en l'honneur des Bourguignons ; 68 Ordonnance de LOUIS XI portant convocation du ban et de l'arrière-ban. « Donné à Amboise, le IIIIe jour de fevrier, l'an de grace mil IIII.C.LXIX ». Copie ; 69 Lettres closes de CHARLES LE TEMERAIRE, duc DE BOURGOGNE, par lesquelles il prescrit aux gens de son conseil du duché de Brabant d'indemniser ses sujets de ce pays des pertes et dommages subis à la suite des incursions des duc de Clarence et comte de Warwick. « De Middelbourg en Zellande, le XIIe jour de jung, l'an de grace mil IIII.C.LXX ». Copie ; 70 « Nouvelles envoyées par... monseigneur le duc DE BOURGONGNE [CHARLES LE TEMERAIRE]... à madame la duchesse sa mere estant à Aire... Escript à Midelbourg en Zellande, le IIIe jour de jung, l'an [MCCCC]LXX ». Copie ; 71 Récit de l'entrevue de Louis XI et de son frère Charles, duc de Guyenne, au Pont de Bray (Charente), les 7 et 8 septembre 1469. Copie ; 72 « Nouvelles envoyées de la conté de Ferrete par ceulx qui en sont esté prendre la possession pour monseigneur [le duc] de Bourgogne », Charles le Téméraire. Juin 1469. Copie ; 73 Lettres patentes de LOUIS XI, portant exemption de service personnel pour la defense du royaume, en faveur des vassaux, sujets et serviteurs du duc de Bourgogne. « Donné à Peronne, le XIIIIe jour d'octobre, l'an de grace mil CCCC. soixante et huit ». Copie ; 74 Lettres patentes de LOUIS XI, concernant la juridiction que le bailli de Sens exerçait sur les habitants de Villeneuve-le-Roi. « Donné à Peronne, le XIIIIe jour d'octobre, l'an de grace mil CCCC. soixante huit ». Copie ; 75 Lettres patentes de LOUIS XI, par lesquelles il défend au bailli de Sens de recevoir les appellations des jugements rendus par les officiers du duc de Bourgogne, et ne permet de les porter qu'au parlement de Paris. « Donné à Peronne, le XIIIIe jour d'octobre » 1468. Copie ; 76 Lettres patentes de LOUIS XI réglant la connaissance des complaintes dans le duché de Bourgogne. « Donné à Peronne, le XIIIIe jour d'octobre » 1468. Copie ; 77 « Nouvelles escriptes par maistre ANTHOINE DE LOISEY, licencié es lois, à monseigneur le president de Bourgongne », sur la prise de Liége. « Escript en la cité de Liege, le jeudi au soir, IIIe jour de novembre » 1468. Copie ; 78 Lettre de « JEHAN DE MASILLES, eschansson de monseigneur le duc de Bourgongne et capitaine de Saulx », sur la prise de Liége. « Escript en la cité du Liege, le VIIIe jour de novembre mil IIII.C.LXVIII ». Copie ; 79 Vers « pour trouver le millenaire, le jour et le mois de l'an de la prinse et destruction de Liege... 1468, [31] octobre ». En latin. Copie ; 80 « Nouvelles de JEHAN DE MAZILLES » sur la prise de Liége. Copie ; 81 Lettres patentes de LOUIS XI, portant défense à tous ses sujets de proférer des menaces ou des paroles injurieuses contre Charles le Téméraire et contre la maison de Bourgogne. « Donné à Cressy-sur-Cere, le Xme jour de novembre, l'an de grace mil CCCC. soixante et huit ». Copie ; 82 « Nouvelles escriptes par ROBERT VION à Girart de Saint Legier, son beaul pere, touchant la paix du roy [Louis XI] et de monseigneur le duc [de Bourgogne] et la prinse de Liege... A Bruxelles, le XIIe jour de novembre mil CCCC. soixante et huit ». Copie ; 83 « Traitté d'Arras » entre le roi Charles VII et Philippe le Bon, duc de Bourgogne. 1435. Copie ; 84 Requête de « MICHAUS DE CHANGEY, seigneur DE CHISSEY,... au roy » Louis XI, concernant, « le don de la terre et chastellenie de Rossillon ». Copie ; 85 « Epitaphe de feu le duc [de Bourgogne], Phelippe [le Bon], derrenier trespassé », 1467 ; 86 « Extracta ex certis processibus et examinibus factis in causa fidei super quadam... secta que Valdesia nuncupatur ». En latin. Copie ; 87 « Le Testament de maistre PIERRE DE NESSON » ; 88 Ballade ; 89 Autre ballade. Refrain (fol. 224) ; 90 Discours de GUILLAUME FILLATRE, évêque de Tournai, au pape Pie II, de la part de Philippe le Bon, duc de Bourgogne, 1463 ; 91 « Le Livre du saulvement d'umainne creature » ; 92 « L'Ave Maria en françois » ; 93 « Tres bonne Oroison à la benoiste et glorieuse Vierge » ; 94 « Bonne Oroison contre les sept pechiez mortelz »

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It is our intention in the course of the development of this thesis to give an account of how intersubjectivity is "eidetically" constituted by means of the application of the phenomenological reduction to our experience in the context of the thought of Edmund Husserl; contrasted with various representative thinkers in what H. Spiegelberg refers to as "the wider scene" of phenomenology. That is to say, we intend to show those structures of both consciousness and the relation which man has to the world which present themselves as the generic conditions for the possibility of overcoming our "radical sol itude" in order that we may gain access to the mental 1 ife of an Other as other human subject. It is clear that in order for us to give expression to these accounts in a coherent manner, along with their relative merits, it will be necessary to develop the common features of any phenomenological theory of consdousness whatever. Therefore, our preliminary inquiry, subordinate to the larger theme, shall be into some of the epistemological results of the application of the phenomenological method used to develop a transcendental theory of consciousness. Inherent in this will be the deliniation of the exigency for making this an lIintentional ll theory. We will then be able to see how itis possible to overcome transcendentally the Other as an object merely given among other merely given objects, and further, how this other is constituted specifically as other ego. The problem of transcendental intersubjectivity and its constitution in experience can be viewed as one of the most compelling, if not the most polemical of issues in phenomenology. To be sure, right from the beginning we are forced to ask a number of questions regarding Husserl's responses to the problem within the context of the methodological genesis of the Cartesian Meditations, and The Crisis of European Sciences and Transcendental Phenomenology. This we do in order to set the stage for amplification. First, we ask, has Husserl lived up to his goal, in this connexion, of an apodictic result? We recall that in his Logos article of 1911 he adminished that previous philosophy does not have at its disposal a merely incomplete and, in particular instances, imperfect doctrinal system; it simply has none whatever. Each and every question is herein controverted, each position is a matter of individual conviction, of the interpretation given byaschool, of a "point of view". 1. Moreover in the same article he writes that his goal is a philosophical system of doctrine that, after the gigantic preparatory work. of generations, really be- . gins from the ground up with a foundation free from doubt and rises up like any skilful construction, wherein stone is set upon store, each as solid as the other, in accord with directive insights. 2. Reflecting upon the fact that he foresaw "preparatory work of generations", we perhaps should not expect that he would claim that his was the last word on the matter of intersubjectivity. Indeed, with 2. 'Edmund Husserl, lIPhilosophy as a Rigorous Science" in Phenomenology and theCrisis6fPhilosophy, trans". with an introduction by Quentin Lauer (New York.: Harper & Row, 1965) pp. 74 .. 5. 2Ibid . pp. 75 .. 6. 3. the relatively small amount of published material by Husserl on the subject we can assume that he himself was not entirely satisfied with his solution. The second question we have is that if the transcendental reduction is to yield the generic and apodictic structures of the relationship of consciousness to its various possible objects, how far can we extend this particular constitutive synthetic function to intersubjectivity where the objects must of necessity always remain delitescent? To be sure, the type of 'object' here to be considered is unlike any other which might appear in the perceptual field. What kind of indubitable evidence will convince us that the characteristic which we label "alter-ego" and which we attribute to an object which appears to resemble another body which we have never, and can never see the whole of (namely, our own bodies), is nothing more than a cleverly contrived automaton? What;s the nature of this peculiar intentional function which enables us to say "you think just as I do"? If phenomenology is to take such great pains to reduce the takenfor- granted, lived, everyday world to an immanent world of pure presentation, we must ask the mode of presentation for transcendent sub .. jectivities. And in the end, we must ask if Husserl's argument is not reducible to a case (however special) of reasoning by analogy, and if so, tf this type of reasoning is not so removed from that from whtch the analogy is made that it would render all transcendental intersubjective understandtng impos'sible? 2. HistoticalandEidetic Priority: The Necessity of Abstraction 4. The problem is not a simple one. What is being sought are the conditions for the poss ibili:ty of experi encing other subjects. More precisely, the question of the possibility of intersubjectivity is the question of the essence of intersubjectivity. What we are seeking is the absolute route from one solitude to another. Inherent in this programme is the ultimate discovery of the meaning of community. That this route needs be lIabstract" requires some explanation. It requires little explanation that we agree with Husserl in the aim of fixing the goal of philosophy on apodictic, unquestionable results. This means that we seek a philosophical approach which is, though, not necessarily free from assumptions, one which examines and makes explicit all assumptions in a thorough manner. It would be helpful at this point to distinguish between lIeidetic ll priority, and JlhistoricallJpriority in order to shed some light on the value, in this context, of an abstraction.3 It is true that intersubjectivity is mundanely an accomplished fact, there havi.ng been so many mi.llions of years for humans to beIt eve in the exi s tence of one another I s abili ty to think as they do. But what we seek is not to study how this proceeded historically, but 3Cf• Maurice Natanson;·TheJburne in 'Self, a Stud in Philoso h and Social Role (Santa Cruz, U. of California Press, 1970 . rather the logical, nay, "psychological" conditions under which this is possible at all. It is therefore irrelevant to the exigesis of this monograph whether or not anyone should shrug his shoulders and mumble IIwhy worry about it, it is always already engaged". By way of an explanation of the value of logical priority, we can find an analogy in the case of language. Certainly the language 5. in a spoken or written form predates the formulation of the appropriate grammar. However, this grammar has a logical priority insofar as it lays out the conditions from which that language exhibits coherence. The act of formulating the grammar is a case of abstraction. The abstraction towards the discovery of the conditions for the poss; bi 1 ity of any experiencing whatever, for which intersubjective experience is a definite case, manifests itself as a sort of "grammar". This "grammar" is like the basic grammar of a language in the sense that these "rulesil are the ~ priori conditions for the possibility of that experience. There is, we shall say, an "eidetic priority", or a generic condition which is the logical antecedent to the taken-forgranted object of experience. In the case of intersubjectivity we readily grant that one may mundanely be aware of fellow-men as fellowmen, but in order to discover how that awareness is possible it is necessary to abstract from the mundane, believed-in experience. This process of abstraction is the paramount issue; the first step, in the search for an apodictic basis for social relations. How then is this abstraction to be accomplished? What is the nature of an abstraction which would permit us an Archimedean point, absolutely grounded, from which we may proceed? The answer can be discovered in an examination of Descartes in the light of Husserl's criticism. 3. The Impulse for Scientific Philosophy. The Method to which it Gives Rise. 6. Foremost in our inquiry is the discovery of a method appropriate to the discovery of our grounding point. For the purposes of our investigations, i.e., that of attempting to give a phenomenological view of the problem of intersubjectivity, it would appear to be of cardinal importance to trace the attempt of philosophy predating Husserl, particularly in the philosophy of Descartes, at founding a truly IIscientific ll philosophy. Paramount in this connexion would be the impulse in the Modern period, as the result of more or less recent discoveries in the natural sciences, to found philosophy upon scientific and mathematical principles. This impulse was intended to culminate in an all-encompassing knowledge which might extend to every realm of possible thought, viz., the universal science ot IIMathexis Universalis ll •4 This was a central issue for Descartes, whose conception of a universal science would include all the possible sciences of man. This inclination towards a science upon which all other sciences might be based waS not to be belittled by Husserl, who would appropriate 4This term, according to Jacab Klein, was first used by Barocius, the translator of Proclus into Latin, to designate the highest mathematical discipline. . 7. it himself in hopes of establishing, for the very first time, philosophy as a "rigorous science". It bears emphasizing that this in fact was the drive for the hardening of the foundations of philosophy, the link between the philosophical projects of Husserl and those of the philosophers of the modern period. Indeed, Husserl owes Descartes quite a debt for indicating the starting place from which to attempt a radical, presupositionless, and therefore scientific philosophy, in order not to begin philosophy anew, but rather for the first time.5 The aim of philosophy for Husserl is the search for apodictic, radical certitude. However while he attempted to locate in experience the type of necessity which is found in mathematics, he wished this necessity to be a function of our life in the world, as opposed to the definition and postulation of an axiomatic method as might be found in the unexpurgated attempts to found philosophy in Descartes. Beyond the necessity which is involved in experiencing the world, Husserl was searching for the certainty of roots, of the conditi'ons which underl ie experience and render it pOssible. Descartes believed that hi~ MeditatiOns had uncovered an absolute ground for knowledge, one founded upon the ineluctable givenness of thinking which is present even when one doubts thinking. Husserl, in acknowledging this procedure is certainly Cartesian, but moves, despite this debt to Descartes, far beyond Cartesian philosophy i.n his phenomenology (and in many respects, closer to home). 5Cf. Husserl, Philosophy as a Rigorous Science, pp. 74ff. 8 But wherein lies this Cartesian jumping off point by which we may vivify our theme? Descartes, through inner reflection, saw that all of his convictions and beliefs about the world were coloured in one way or another by prejudice: ... at the end I feel constrained to reply that there is nothing in a all that I formerly believed to be true, of which I cannot in some measure doubt, and that not merely through want of thought or through levity, but for reasons which are very powerful and maturely considered; so that henceforth I ought not the less carefully to refrain from giving credence to these opinions than to that which is manifestly false, if I desire to arrive at any certainty (in the sciences). 6 Doubts arise regardless of the nature of belief - one can never completely believe what one believes. Therefore, in order to establish absolutely grounded knowledge, which may serve as the basis fora "universal Science", one must use a method by which one may purge oneself of all doubts and thereby gain some radically indubitable insight into knowledge. Such a method, gescartes found, was that, as indicated above by hi,s own words, of II radical doubt" which "forbids in advance any judgemental use of (previous convictions and) which forbids taking any position with regard to their val idi'ty. ,,7 This is the method of the "sceptical epoche ll , the method of doubting all which had heretofor 6Descartes,Meditations on First Philosophy, first Med., (Libera 1 Arts Press, New York, 1954) trans. by L. LaFl eur. pp. 10. 7Husserl ,CrisiS of Eliroeari SCiences and Trariscendental Phenomenology, (Northwestern U. Press, Evanston, 1 7 ,p. 76. 9. been considered as belonging to the world, including the world itself. What then is left over? Via the process of a thorough and all-inclusive doubting, Descartes discovers that the ego which performs the epoche, or "reduction", is excluded from these things which can be doubted, and, in principle provides something which is beyond doubt. Consequently this ego provides an absolute and apodictic starting point for founding scientific philosophy. By way of this abstention. of bel ief, Desca'rtes managed to reduce the worl d of everyday 1 ife as bel ieved in, to mere 'phenomena', components of the rescogitans:. Thus:, having discovered his Archimedean point, the existence of the ego without question, he proceeds to deduce the 'rest' of the world with the aid of innate ideas and the veracity of God. In both Husserl and Descartes the compelling problem is that of establ ishing a scientific, apodictic phi'losophy based upon presuppos itionless groundwork .. Husserl, in thi.s regard, levels the charge at Descartes that the engagement of his method was not complete, such that hi.S: starting place was not indeed presupositionless, and that the validity of both causality and deductive methods were not called into question i.'n the performance of theepoche. In this way it is easy for an absolute evidence to make sure of the ego as: a first, "absolute, indubitablyexisting tag~end of the worldll , and it is then only a matter of inferring the absolute subs.tance and the other substances which belon.g to the world, along with my own mental substance, using a logically val i d deductive procedure. 8 8Husserl, E.;' Cartesian 'Meditation;, trans. Dorion Cairns (Martinus Nijhoff, The Hague, 1970), p. 24 ff.

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"Thèse présentée à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de docteur en droit (LL.D.)". Cette thèse a été acceptée à l'unanimité et classée parmi les 10% des thèses de la discipline.

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Le phénomène de la mort a été et sera toujours présent au sein des sociétés. Bien que la mort soit une étape triste et pénible à vivre, elle n’en demeure pas moins un événement inévitable et bien réel. Cependant, il existe des moyens, comme la pratique des rites, permettant d’atténuer la souffrance causée par un décès. Malgré tout, il n’est pas rare de constater l’absence ou le peu de temps consacré aux rites lors d’un décès en milieu hospitalier (O’Gorman, 1998; Lemieux, 1991; Leonetti, 2004; Hamonet, 1992; Piquet, 1999; Hanus, 1999; Vachon, 2007; Hasendhal, 1998). Les raisons susceptibles d’être à l’origine de cette situation peuvent découler du fait que les progrès de la médecine et des technologies amènent à croire que l’être humain est invulnérable face à la mort et que celle-ci représente un échec vis-à-vis la maladie. Le manque de formation des soignants par rapport à la mort (Leonetti, 2004; Goopy, 2005; Blum, 2006) est aussi à considérer. Finalement, la tendance de certaines sociétés occidentales qui occultent et nient la mort (O’Gorman, 1998; Piquet, 1999; Matzo et al., 2001; MSSS, 2004; Leonetti, 2004; SFAP, 2005; Goopy, 2005) constitue une autre possibilité. Pourtant, offrir la possibilité aux familles de réaliser leurs rites en signe d’amour pour le défunt fait partie de la composante du soin spirituel lequel, est intégré dans les soins infirmiers. À notre connaissance, peu d’études ont exploré les rites dans un contexte de décès en milieu hospitalier, d’où la pertinence de s’y attarder. Ainsi, le but de la recherche consistait à décrire et à comprendre la signification des rites associés au décès de la personne soignée, pour des infirmières œuvrant en milieu hospitalier. Pour ce faire, l’étudiante-chercheuse a réalisé auprès de neufs infirmières, une étude qualitative de type phénoménologique, ayant comme perspective disciplinaire, la philosophie du caring de Watson (1979, 1988, 2006, 2008). L’analyse des verbatim, réalisée selon la méthodologie de Giorgi (1997), a permis d’obtenir 28 sous-thèmes émergeant des six thèmes suivant soit : a) accompagnement empreint de caring; b) respect incontesté de la dignité humaine et du caractère sacré des rites; c) réconfort spirituel des personnes, des familles et du personnel; d) conciliation des croyances culturelles et religieuses; e) mort comme phénomène existentiel; f) barrières face aux rites. Par la suite, a émergé de ces thèmes, l’essence de la signification des rites associés au décès de la personne soignée, pour des infirmières œuvrant en milieu hospitalier. L’essence correspond à : un hommage essentiel envers le défunt et sa famille, en dépit des nombreuses barrières qui freinent sa pratique. Plusieurs thèmes et sous-thèmes corroborent les résultats de quelques études et les propos théoriques de différents auteurs. Toutefois, le caractère inédit de quelques unes de nos conclusions révèle la nature novatrice de la présente recherche. Par conséquent, les résultats de cette étude peuvent sensibiliser les infirmières à comprendre les rites en milieu hospitalier et offrir des pistes d’interventions pouvant contribuer au renouvellement des pratiques de soins offerts en fin de vie. Enfin, accompagner les familles dans leur pratique des rites concourt certainement à promouvoir l’humanisation des soins.

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À partir de l’étude des concepts de la ritournelle et du galop chez Gilles Deleuze et Félix Guattari, le présent mémoire explore les fonctions temporelles de la musique dans le cinéma moderne. Ce concept de temporalité sera déplié en trois temps. En premier lieu, une relecture de la musique romantique permettra d’en développer les différentes articulations temporelles. Par la figure du compositeur incompris, reclus et exilé ainsi que par l’utilisation du fragment, la musique romantique se donne des personnages qui habitent la terre et fondent des territoires. Ensuite, parce qu’il s’agit de comprendre les mécanismes de la musique au cinéma, il est primordial d’examiner les conclusions des différentes théories sur le sujet. De ce parcours théorique, il faudra comprendre que les fonctions classiques attribuées à la musique de cinéma ne réussissent pas complètement à expliquer les mécanismes de la musique dans le cinéma moderne. En fait, c’est qu’une nouvelle problématique motive les images. Ces films, tout comme la musique romantique, font voir les mouvements du temps. Finalement, c’est par la ritournelle et le galop, aux croisements des concepts de la musique romantique et du cinéma moderne, qu’une musicalité filmique fait voir un nouveau temps dans l’image.

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Michel Foucault fait remarquer qu’il y a dans la conception des Lumières européennes une tension entre la « croissance de l’autonomie » et la « croissance des capacités » par la science et la technique (Foucault, 1994, p. 83). Or, dans « Qu’est-ce que les Lumières? », Kant privilégie clairement le premier volet, l’autonomie, tel qu’en témoigne sa définition : « sortie de l’homme de l’état de minorité, où il se maintient par sa propre faute ». Force lui est toutefois d’admettre que l’autonomie qui s’exprime dans le « penser par soi-même » nécessite un accès à l’espace public, car la liberté de pensée implique la possibilité de publier ses opinions et de penser avec autrui. Le texte de Kant évoque donc les conditions politiques permettant un libre accès au « public des lecteurs ». Il importe ainsi que le despote éclairé, en l’occurrence Frédéric le Grand, gouverne à tout le moins dans un esprit républicain en maintenant un espace public exempt de censure. Il importe en outre qu’il s’abstienne d’intervenir en matière religieuse. Ce n’est pas un hasard si le thème de la liberté de conscience religieuse occupe une large place dans le texte de Kant, car la tentation est grande pour l’autorité politique de bafouer cette liberté et d’instrumentaliser la religion à des fins politiques.

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Commentaire / Commentary

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An analysis of the alternatives of compensation in relation to international investment disputes is relevant, because a pecuniary award is not always the appropriate remedy to solve disputes arising between investors and States. This is the case because States may be increasingly interested in opting for a different type of compensation. Furthermore, it is still not clear whether arbitral tribunals have recognised alternative types of awarding damages in respect of international investments disputes. This analysis comprises two principal components, the first, is to identify whether or not the tribunals may render an award that not only demands the payment of a sum of money but also considers some other means of compensation. The second, centres on how compliance with these non-pecuniary awards may be demanded. Our approach to these two principal components will always revolve around the idea of respecting the sovereignty of the State, bearing in mind that the execution of an arbitral award, which obliges the State to refrain from or to perform an act in its territory, relies precisely on the sovereignty of the State to execute it. 

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Este ensayo revisa elementos presentes en La emancipada (1863), texto que funda la novela ecuatoriana, y que representa por primera vez el territorio de esta nación. Revisa las relaciones de esta novela con otros discursos, como el refrán tradicional que afirma «La letra con sangre entra», en referencia a la dominación y el control ejercido por las élites sobre sujetos subalternos (en este caso los indios y las mujeres). Resalta el hecho de que la protagonista da validez a un texto ajeno, al poner su firma en una carta redactada por su padre, aunque escribe en el reverso del papel su propio mensaje, éste no llega con claridad a su destino. El motivo con el que se inicia la literatura ecuatoriana es revelador de otros elementos que contribuyeron a la formación de las naciones hispanoamericanos americanas en el siglo XIX.

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The relationship between repeated body checking and its impact on body size estimation and body dissatisfaction is of interest for two reasons. First, it has importance in theoretical accounts of the maintenance of eating disorders and, second, body checking is targeted in cognitive-behavioural treatment. The aim of this study was to determine the impact of manipulating body checking on body size estimation and body dissatisfaction. Sixty women were randomly assigned either to repeatedly scrutinize their bodies in a critical way in the mirror ("high body checking") or to refrain from body checking but to examine the whole of their bodies in a neutral way ("low body checking"). Body dissatisfaction, feelings of fatness and the strength of a particular self-critical thought increased immediately after the manipulation among those in the high body checking condition. Feelings of fatness decreased among those in the low body checking condition. These changes were short-lived. The manipulation did not effect estimations of body size or the discrepancy between estimations of body size and desired body size. The implications of these findings for understanding the influence of body checking on the maintenance of body dissatisfaction are considered. (c) 2006 Elsevier Ltd. All rights reserved.

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Temporal discounting (TD) matures with age, alongside other markers of increased impulse control, and coherent, self-regulated behaviour. Discounting paradigms quantify the ability to refrain from preference of immediate rewards, in favour of delayed, larger rewards. As such, they measure temporal foresight and the ability to delay gratification, functions that develop slowly into adulthood. We investigated the neural maturation that accompanies the previously observed age-related behavioural changes in discounting, from early adolescence into mid-adulthood. We used functional magnetic resonance imaging of a hypothetical discounting task with monetary rewards delayed in the week to year range. We show that age-related reductions in choice impulsivity were associated with changes in activation in ventromedial prefrontal cortex (vmPFC), anterior cingulate cortex (ACC), ventral striatum (VS), insula, inferior temporal gyrus, and posterior parietal cortex. Limbic frontostriatal activation changes were specifically associated with age-dependent reductions in impulsive choice, as part of a more extensive network of brain areas showing age-related changes in activation, including dorsolateral PFC, inferior parietal cortex, and subcortical areas. The maturational pattern of functional connectivity included strengthening in activation coupling between ventromedial and dorsolateral PFC, parietal and insular cortices during selection of delayed alternatives, and between vmPFC and VS during selection of immediate alternatives. We conclude that maturational mechanisms within limbic frontostriatal circuitry underlie the observed post-pubertal reductions in impulsive choice with increasing age, and that this effect is dependent on increased activation coherence within a network of areas associated with discounting behaviour and inter-temporal decision-making.

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Esta dissertação objetiva compreender como a entrada da companhia no mercado de retail Norte Americano poderia contribuir com sua estratégia. Acredita-se que sendo o mercado Norte Americano o maior consumidor e também importador mundial de gasolina (derivado de petróleo de alto valor agregado) este seria um mercado relevante para a expansão dos negócios da Petrobras. Dentre as principais razões destacamos: o tamanho deste mercado consumidor, vantagens logísticas, margens atrativas, diversificação do portfólio da companhia e; um posicionamento estratégico no sentido de ser reconhecida internacionalmente. Dentre os resultados desta dissertação pode-se destacar que o mercado de downstream norte americano é atrativo e, assim sendo, a Petrobras, como companhia de petróleo regional objetivando tornar-se uma grande empresa internacional de petróleo, deva estudar a possibilidade de entrar no mercado de retail norte americano. Não foram detectadas barreiras suficientemente fortes no que tange ao comportamento predatório nem custos afundados ou integração vertical que impeça a entrada de novos competidores. Finalmente, ao observar-se os resultados da fronteira eficiente, tem-se que não existe uma “melhor” opção de carteira e, caberá a companhia definir o quão exposto ao risco deseja estar e, ao mesmo tempo, qual o retorno mínimo aceitável.