150 resultados para R5
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La pratique de l’hématologie, comme celle de toute profession, implique l’acquisition d’un raisonnement adéquat. Se basant sur une théorie de psychologie cognitive, le test de concordance de script (TCS) a été développé et validé comme un instrument permettant d’évaluer le raisonnement clinique dans diverses spécialités médicales. Le but de cette étude était d’examiner l’utilité et les paramètres psychométriques d’un TCS en hématologie. Nous avons construit un TCS composé de 60 questions que nous avons administré à 15 résidents juniors (R1 à R3 en médecine interne), 46 résidents séniors (R4, R5 et R6 en hématologie) et 17 hématologues à travers le Canada. Après optimisation, le TCS comptait 51 questions. Sa consistance interne mesurée par le coefficient de Cronbach alpha était 0.83. Le test était en mesure de discriminer entre les résidents selon leur niveau de formation. Les questions contenant des images (n=10) semblaient avoir un potentiel discriminatoire plus élevé. Les scores obtenus par les résidents séniors corrélaient modéremment avec ceux obtenus à un test conventionnel d’hématologie composé de questions à choix multiples et à courte réponse (r de Pearson = 0.42; p=0.02). Le TCS a été complété en 36 minutes en moyenne et a été bien reçu par les participants. Le TCS est un instrument d’évaluation utile et valide en hématologie. Il peut être utilisé à des fins formatives en aidant au suivi de la progression des résidents. Il pourrait aussi être combiné à d’autres instruments d’évaluation à des fins sanctionnelles, ou encore, en éducation médicale continue.
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Le travail décrit dans ce manuscrit vise à caractériser les voies de résistance aux inhibiteurs de CCR5. Lors d’une première étape, nous avons développé un test phénotypique clonal nous permettant d’une part d’identifier le tropisme viral et d’autre part de mesurer la résistance aux inhibiteurs des CCR5. Des virus à tropisme R5 ou X4 représentant aussi peu que 0,4% d’un mélange de populations virales sont détectables par ce test, démontrant ainsi sa sensibilité. De plus, grâce à son approche clonale, cette technique permet de différencier les virus à tropisme double de populations virales mixtes. Par la suite, nous avons étudié l’impact des mutations dans les régions variables de la protéine gp120 de l’enveloppe du virus VIH-1 sur la résistance aux inhibiteurs de CCR5. Pour ce faire, nous avons généré des virus résistants par passage des isolats CC1/85 et BAL, en présence de concentrations sous-inhibitrices de maraviroc (MVC) et vicriviroc (VCV). Après quelques passages du virus CC1/85 en présence de MVC, certaines sont apparues dans differentes régions de la gp120. Par la suite, nous avons sélectionné trois mutations dans les domaines variables de la gp 120, V169M en V2, L317W en V3 et I408T en V4 pour construire des virus contenant des mutations simples, doubles et triples afin d’évaluer la contribution des mutations individuelles ou combinées au phénotype de résistance. Nous avons déterminé la sensibilité de chaque mutant à MVC et VCV, le pourcentage d’infectivité et le tropisme viral par rapport au phénotype sauvage. Tous les mutants ont conservé le tropisme R5 et ont montré une diminution d’infectivité par rapport au contrôle. Nos résultats ont montré que les mutants qui portent des mutations en V4 (I408T) ont eu le plus d'impact sur la susceptibilité au MVC. Finalement, nous avons voulu évaluer l’activité antivirale d’un nouvel inhibiteur de CCR5, VCH-286 avec d’autres inhibiteurs de CCR5 tels que MVC et VVC ainsi que ses interactions avec des médicaments représentatifs de différentes classes d’antirétroviraux ARV employés en clinique pour traiter le HIV/SIDA., afin d’évaluer si ces médicaments pourraient être utilisés dans un même régime thérapeutique. Nous avons tout d’abord évalué indépendamment l’activité antivirale des trois inhibiteurs de CCR5 : VCH-286, MVC et VVC. Par la suite nous avons évalué les interactions de VCH-286 avec MVC et VVC. Finalement nous avons évalué les interactions de VCH-286 avec d’autres médicaments antirétroviraux. Ces études ont montré que VCH-286 est un inhibiteur puissant de CCR5 avec une activité antivirale in vitro de l’ordre du nanomolaire et des interactions médicamenteuses favorables avec la majorité des ARV tels que les inhibiteurs de transcriptase inverse, de protéase, d’intégrase, et de fusion employés en clinique pour traiter le VIH/SIDA et des interactions allant de synergie à l'antagonisme avec les inhibiteurs de CCR5. Nos résultats montrent que la plasticité de l’enveloppe virale du VIH-1 a des répercussions sur la résistance aux inhibiteurs de CCR5, le tropisme et la possible utilisation de ces molécules en combinaison avec d’autres molécules appartenant à la même classe.
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Introduction. Le VIH-1 évolue en fonction de la réponse immunitaire spécifique de l’hôte. La pression sélective exercée par la réponse immunitaire VIH-spécifique de l’hôte entraine l’évolution des gènes viraux et à terme détermine l’évolution de la maladie. Cette évolution du virus à l’échelle d’un individu façonne également l’évolution du virus à l’échelle de la population et détermine le devenir de l’épidémie. Le VIH utilise les corécepteurs d’entrée CCR5 (virus R5) et CXCR4 (virus X4) afin d’infecter la cellule cible, et l’évolution du tropisme du virus de R5 vers X4, appelé switch du tropisme, est associé à la progression de la maladie. Les virus R5 sont rencontrés en début d’infection tandis que les virus X4 apparaissent en fin de maladie chez un certain de nombre de patients et sont considérés comme plus virulents. La pression sélective immunitaire exercée sur le gène de l’enveloppe (env) peut donc entrainer l’évolution du tropisme du VIH. La grossesse est un état immunitaire particulier considéré comme étant principalement caractérisé par un biais Th2 nécessaire à l’établissement de la tolérance materno-fétale. Le switch de tropisme de R5 vers X4 en grossesse n’a jamais été documenté, de même que l’évolution des déterminants du tropisme à l’échelle de la population. Hypothèses. Les changements immunitaires associés à l’initiation et la progression de la grossesse engendrent des changements dans la pression immunitaire exercée sur l’enveloppe et peuvent favoriser le switch du tropisme. L’évolution du tropisme du VIH-1 peut être observé à l’échelle de la population au même titre que l’évolution de l’enveloppe virale. Objectifs. Analyser l’évolution du tropisme et décrire la pression sélective sur l’enveloppe des femmes enceintes infectées par le VIH-1. Analyser l’évolution des déterminants du tropisme à l’échelle de la population. Méthodes. Nous avons dans un premier temps analysé l’évolution des déterminants du tropisme et déterminé le génotype et phénotype du VIH-1 chez 19 femmes enceintes issues de la cohorte du centre maternel et infantile sur le SIDA de l’hôpital Sainte-Justine (CMIS). Nous avons ensuite caractérisé et comparé la pression sélective exercée sur env, par une méthode bayésienne, chez 31 femmes enceinte et 29 femmes non-enceintes. Enfin, nous avons analysé et comparé des déterminants du tropisme entre des séquences d’enveloppe contemporaines et anciennes, issues des bases de données du NCBI. Résultats. Nos résultats montrent la présence de virus X4 chez la moitié de notre cohorte, et un switch de tropisme de R5 vers X4 chez 5/19 sujets. Les séquences des femmes enceintes présentaient des taux de substitutions plus élevées que celles des femmes non-enceintes. La pression sélective dans la région C2 était plus faible chez les femmes enceintes que chez les femmes non-enceintes, et différait dans 4 positions entre ces 2 groupes. Cette sélection diminuait au cours de la grossesse chez les patientes traitées. Enfin, une accumulation de mutations X4 a été observée dans les séquences R5 contemporaines par rapport aux séquences R5 anciennes. Conclusion. Les changements immunitaires associés à la grossesse semblent induire des modifications subtiles dans la pression sélective exercée sur env, suffisant à influencer l’évolution du tropisme de R5 vers X4. Un switch du tropisme à l’échelle de la population impliquerait une épidémie évoluant vers une plus grande virulence du virus. Nos résultats sont d’importance en ce qui concerne la prophylaxie antirétrovirale pour la santé de la mère et la prévention de la transmission mère-enfant du VIH-1. Ils sont aussi importants concernant l’avenir de la thérapie antirétrovirale dans le contexte d’une épidémie évoluant vers une plus grande virulence
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En aquest treball s'ha desenvolupat una metodologia eficaç envers la síntesi de diferents derivats pirimidínics amb un alt grau de diversitat molecular. Aquesta metodologia es basa en la S-alquilació selectiva dels 2-tiouracils (2) utilitzats com a material de partida. Aquesta reacció es realitza amb bromur de benzil quan es treballa en dissolució, o bé amb la reïna de Merrifield quan la química és sobre suport sòlid. Seguidament, s'alquila selectivament l'àtom d'oxigen de les benzilsulfanilpirimidinones (3) mitjançant la reacció de Mitsunobu, o bé utilitzant diferents halurs d'alquil en presència d'una base. Amb les 4-alcoxipirimidines (4) es realitzen diverses transformacions químiques, per exemple, addicions de Grignard, reducció i posterior metilació del grup carbonil (quan R2 = CH2COPh), etc. Posteriorment, s'oxida el grup sulfanil a sulfona utilitzant m-CPBA. Finalment es desplaça la funció sulfona amb diversos nucleòfils. Gràcies a aquesta metodologia s'han preparat diferents 2-amino-4-alcoxipirimidines (7, Nu = RR'N) en dissolució i sobre suport sòlid. Mitjançant algunes variacions s'han pogut obtenir altres derivats pirimidínics: - 4(3H)-pirimidinones 2,6-disubstituïdes (8, Nu = RR'N, ArO, RR'R''C), preparades a partir de la hidròlisi del grup alcòxid (OR5) dels compostos (7) en medi àcid. - imidazo[1,2-a]pirimidinones (9 o 10, n = 1) i pirimido[1,2-a]pirimidinones (9 o 10, n = 2). Els compostos (9) s'han obtingut selectivament a través d'una ciclació intramolecular de les pirimidines (7, Nu = aminoalcohols) utilitzant àcid sulfúric. Quan s'han ciclat els compostos (8, Nu = aminoalcohols) mitjançant una reacció de Mitsunobu intramolecular, s'han obtingut els regioisòmers (9) i (10) en diferents proporcions en funció dels grups presents en l'anell. - pirimidines funcionalitzades amb restes d'-arilglina (11). La funció arilglicina s'ha preparat mitjançant la condensació d'amines (4, R2 = CH2CHR3NHR4) amb àcid glioxàlic i àcids arilborònics (reacció de Petasis). L'oxidació del grup sulfanil dels compostos (11) a sulfona utilitzant m-CPBA ha provocat també l'oxidació de l'àtom de nitrogen de l'arilglicina. Alguns d'aquests derivats pirimidínics han mostrat ser inhibidors del Mycobacterium tuberculosis.
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Previously we described a heterosexual outbreak of HIV-1 subtype B in a town in the north of England (Doncaster) where 11 of 13 infections were shown to be linked by phylogenetic analysis of the env gp120 region. The 11 infections were related to a putative index case, Don1, and further divided into two groups based on the patients' disease status, their viral sequences, and other epidemiological information. Here we describe two further findings. First, we found that viral isolates and gp120 recombinant viruses derived from patients from one group used the CCR5 coreceptor, whereas viruses from the other group could use both the CCR5 and CXCR4 coreceptors. Patients with the X4/R5 dual tropic strains were symptomatic when diagnosed and progressed rapidly, in contrast to the other patient group that has remained asymptomatic, implying a link between the tropism of the strains and disease outcome. Second, we present additional sequence data derived from the index case, demonstrating the presence of sequences from both clades, with an average interclade distance of 9.56%, providing direct evidence of a genetic link between these two groups. This new study shows that Don1 harbored both strains, implying he was either dually infected or that over time intrahost diversification from the R5 to R5/X4 phenotype occurred. These events may account for/have led to the spread of two genetically related strains with different pathogenic properties within the same heterosexual community.
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The objective of this study was to investigate the effect of elevated (550 ± 17 μmol mol−1) CO2 concentration ([CO2]) on leaf ultrastructure, leaf photosynthesis and seed yield of two soybean cultivars [Glycine max (L.) Merr. cv. Zhonghuang 13 and cv. Zhonghuang 35] at the Free-Air Carbon dioxide Enrichment (FACE) experimental facility in North China. Photosynthetic acclimation occurred in soybean plants exposed to long-term elevated [CO2] and varied with cultivars and developmental stages. Photosynthetic acclimation occurred at the beginning bloom (R1) stage for both cultivars, but at the beginning seed (R5) stage only for Zhonghuang 13. No photosynthetic acclimation occurred at the beginning pod (R3) stage for either cultivar. Elevated [CO2] increased the number and size of starch grains in chloroplasts of the two cultivars. Soybean leaf senescence was accelerated under elevated [CO2], determined by unclear chloroplast membrane and blurred grana layer at the beginning bloom (R1) stage. The different photosynthesis response to elevated [CO2] between cultivars at the beginning seed (R5) contributed to the yield difference under elevated [CO2]. Elevated [CO2] significantly increased the yield of Zhonghuang 35 by 26% with the increased pod number of 31%, but not for Zhonghuang 13 without changes of pod number. We conclude that the occurrence of photosynthetic acclimation at the beginning seed (R5) stage for Zhonghuang 13 restricted the development of extra C sink under elevated [CO2], thereby limiting the response to elevated [CO2] for the seed yield of this cultivar.
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A redução do espaçamento entre fileiras, de 40 para 20 cm, resulta em fechamento mais rápido da área, aumentando a interceptação da radiação, índice de área foliar, taxa de crescimento da cultura e, como conseqüência, o rendimento. Nestas condições, poderia haver aumento da tolerância da soja ao desfolhamento. O objetivo do trabalho foi avaliar se a redução do espaçamento entre fileiras, em semeadura direta, influenciaria a tolerância da soja a perda de área fotossintética. O experimento foi conduzido na Estação Experimental Agronômica da UFRGS, em Eldorado do Sul, RS, em 2000/2001. O delineamento foi de blocos ao acaso, com quatro repetições, em parcelas sub-subdivididas. Os tratamentos foram desfolhamentos em três estádios de desenvolvimento (V9-nono nó, R2-florescimento pleno e R5-início do enchimento de grãos), dois espaçamentos entre fileiras (20 e 40 cm) e três níveis de desfolhamento (33, 67 e 100%) e uma testemunha. Foi utilizada a cultivar FT-Abyara (semi-tardia). O rendimento de grãos variou dependendo do tratamento aplicado. O desfolhamento no período vegetativo não reduziu o rendimento. Já no período reprodutivo os desfolhamentos resultaram em decréscimo do rendimento, sendo o estádio R5 o mais crítico, com perdas de até 82% do rendimento, em virtude da redução em todos os componentes do rendimento. O rendimento médio de grãos da testemunha, não desfolhada, no espaçamento de 20 cm (4134 kg/ha) foi 21% superior ao de 40 cm (3413 kg/ha) e manteve-se sempre superior, em todos os níveis de desfolhamento. O componente que mais influenciou o rendimento foi o número de legumes m-2, que foi sempre superior no espaçamento de 20 cm. Estes resultados indicam que para a cultivar testada, em semeadura direta e em ano com condição favorável a alto potencial de rendimento, a redução do espaçamento de 40 para 20 cm entre fileiras, proporciona aumento da tolerância ao desfolhamento.
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A modificação do arranjo de plantas altera a competição intraespecífica pelos recursos disponíveis para o crescimento e rendimento de grãos da soja. O experimento foi conduzido na Estação Experimental Agronômica da UFRGS, em Eldorado do Sul, RS, na estação de crescimento 2000/01, objetivando avaliar como o arranjo de plantas modifica a competição intraespecífica e de que forma isto se reflete no crescimento, no potencial de rendimento (PR) e no rendimento de grãos da soja e seus componentes por estrato do dossel. Utilizou-se a cultivar ‘BRS 137’ (semiprecoce) em semeadura direta. O delineamento experimental foi de blocos casualizados com parcelas sub-subdivididas e quatro repetições. Os tratamentos constaram de regimes hídricos (irrigado e não irrigado), espaçamentos entre linhas (20 e 40 cm) e populações de plantas (20, 30 e 40 plantas/m2). A irrigação aumentou a taxa de enchimento de grãos e, como conseqüência, o peso do grão, resultando em maior PR no início do enchimento de grãos (R5) e rendimento de grãos na maturação (R8). O arranjo de plantas com 20 cm, independente da população, apresentou, em média, maior PR em R5 em relação ao arranjo com 40 cm, o que também foi verificado no estrato médio do dossel. Verificou-se também diminuição linear no PR com o aumento da população de plantas, dentro do espaçamento de 20 cm. Na maturação, o arranjo de plantas que proporcionou maior rendimento de grãos foi a associação do espaçamento de 20 cm com a população de 20 plantas/m2. Houve decréscimo linear no rendimento de grãos com o aumento da população de plantas no espaçamento reduzido. Respostas similares foram obtidas nos estratos médio e inferior do dossel. Estes resultados são explicados pelo maior crescimento inicial (índice de área foliar, massa seca e taxa de crescimento da cultura) da soja, número de nós férteis e legumes férteis/m2, obtidos nesses arranjos, principalmente no estrato médio e inferior do dossel. Arranjos de plantas que possibilitem melhor distribuição das plantas na área amenizam a competição intraespecífica, proporcionando maior crescimento inicial da soja, que resulta em maior rendimento de grãos.
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O crescimento e o rendimento da soja são influenciados por fatores ambientais como fotoperíodo, temperatura, precipitação pluvial, umidade e fertilidade do solo. Considerando a variação destes fatores durante a estação de crescimento e a influência que eles têm sobre o desempenho da soja, os objetivos deste experimento foram verificar o efeito de três épocas de semeadura no crescimento, potencial de rendimento, rendimento de grãos e seus componentes. E também qual o melhor arranjo de plantas para potencializar o desempenho da soja, pela variação no espaçamento entre fileiras e na população de plantas. O experimento foi conduzido na Estação Experimental Agronômica da Universidade Federal do Rio Grande do Sul (EEA/UFRGS), em Eldorado do Sul, RS, durante a estação de crescimento 2003/2004. O delineamento experimental utilizado foi o de blocos ao acaso, com parcelas sub-subdivididas e quatro repetições. Os tratamentos consistiram de épocas de semeadura (15 de outubro, 15 de novembro e 17 de dezembro), espaçamento entre fileiras (20 e 40 cm) e populações de plantas (20, 30, 40 e 50 plantas.m-2). O rendimento médio de grãos foi de 3514 kg.ha-1, sendo influenciado pela época de semeadura, com o maior rendimento em novembro. O potencial do rendimento foi determinado pela contagem de estruturas reprodutivas (flores e legumes). Em R2, mostrou-se superior em novembro e dezembro; em R5 o potencial foi superior em novembro, devido ao grande aborto de flores e legumes ocorrido em dezembro, entre R2 e R5. Os componentes do rendimento legumes por área e grãos por legume influenciaram diretamente o rendimento de grãos. A maioria das variáveis do crescimento avaliadas foi superiores quando da semeadura em novembro.
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A relação fonte-demanda rege a distribuição de assimilados pelas partes da planta e determina o potencial de rendimento (PR) da soja. Variações no ambiente da lavoura e na condição fisiológica das plantas alteram esta relação e ocasionam alterações no PR. O objetivo deste trabalho foi avaliar modificações no PR, rendimento de grãos, componentes do rendimento e no crescimento da soja, pela remoção total e instantânea da fonte (RTIF) e redução do espaçamento entre fileiras. O experimento foi conduzido na Estação Experimental Agronômica da UFRGS, Eldorado do Sul, RS, em 2003/2004, com a cultivar RS 7- Jacuí (ciclo médio, determinada) em semeadura direta. O delineamento experimental foi o de blocos casualizados com parcelas sub-subdivididas e quatro repetições. Os tratamentos foram: RTIF em cinco estádios de desenvolvimento (V6-sexto nó; V9- nono nó; R2- floração; R4- legumes desenvolvidos e R5- início do enchimento de grãos) e dois espaçamentos entre fileiras (20 e 40 cm). O PR, avaliado em R2, foi reduzido com a RTIF em V6 e V9. A RTIF reduziu o PR, avaliado em R5, quando realizada em R4 O rendimento médio de grãos do experimento foi 3080kg/ha. A redução do espaçamento aumentou o rendimento de grãos pelo incremento de legumes por área, nos ramos. A RTIF reduziu o rendimento de grãos quando aplicada em V9, R2, R4 e R5, sendo este último o mais crítico. Legumes por área e peso do grão foram responsáveis pelos decréscimos. A RTIF reduziu a matéria seca e o rendimento biológico aparente (Rba) em todos os estádios, sendo R5 o mais afetado. Índice de colheita aparente (ICa) foi reduzido com RTIF em R4 e R5. A taxa de enchimento de grãos (TEG) foi menor com RTIF em R2, R4 e R5. O espaçamento reduzido elevou RBa, ICa e TEG. A compensação no rendimento de grãos, pelos componentes, com RTIF, foi devido ao incremento destes nos ramos.
Aumento do rendimento de grãos da soja com o manejo de plantas daninhas e espaçamento entre fileiras
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A utilização de práticas de manejo indicadas e a implementação de novas técnicas de cultivo são necessárias para potencializar o desempenho da soja em busca de rendimentos elevados. Os objetivos desse trabalho foram determinar o potencial de rendimento, rendimento de grãos, componentes do rendimento e variáveis associadas ao crescimento da soja, sob interferência de plantas daninhas, modificação do arranjo de plantas, em níveis de adubação. O experimento foi conduzido na Estação Experimental Agronômica da Universidade Federal do Rio Grande do Sul (EEA/UFRGS), em Eldorado do Sul, RS, no ano agrícola 2002/2003. O delineamento experimental utilizado blocos ao acaso, com parcelas sub-subdivididas e quatro repetições. Os tratamentos constaram de manejo de plantas daninhas (com e sem controle), espaçamentos entre fileiras (20 e 40 cm) e níveis de adubação (sem adubação, metade da indicação e a dose indicada). O potencial de rendimento foi determinado a partir da contagem do número de flores em R2 e legumes em R5, que não mostrou diferença entre os fatores analisados. O rendimento médio de grãos foi de 4.058 kg.ha-1, sendo influenciado pelo manejo de plantas daninhas e espaçamento entre fileiras. Os componentes do rendimento apresentaram comportamento diferenciado dentro do manejo de plantas daninhas e espaçamento entre fileiras, onde se destacou o número de legumes por área como o componente que influencia diretamente o rendimento de grãos. As variáveis de crescimento, índice de área foliar, no estádio V9, matéria seca em R5, taxa de crescimento da cultura no subperíodo R2-R5, índice de colheita aparente e taxa de enchimento de grãos, em R8, se mostraram maiores no espaçamento reduzido em relação ao espaçamento amplo.
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Foi avaliado o desenvolvimento da ferrugem asiática e da produtividade da cultura da soja em razão de pulverizações fungicidas realizadas em diferentes estádios fenológicos da cultura. Os tratamentos consistiram na pulverização da mistura fungicida piraclostrobina + epoxiconazole no estádio fenológico V10 e R2; R2 e R5.2; apenas em R2; sem pulverização (testemunha). Os valores da AACPD total (área abaixo da curva de progresso da doença) e da produtividade da cultura da soja nos tratamentos com pulverização fungicida foram superiores ao tratamento testemunha. Até o 117º dia após a emergência das plantas, a aplicação de fungicida em V10 e R2 promoveu maior controle da ferrugem. Os resultados evidenciaram que a pulverização fungicida contra P. pachyrhizi é indispensável para diminuir as perdas na produtividade provocadas pela doença e que, em algumas situações, apenas uma pulverização fungicida no estádio R2 pode reduzir perdas significativas na produtividade.
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A adequada disponibilidade de N durante do ciclo do feijoeiro é fundamental para garantir elevada produtividade e qualidade dos grãos produzidos. Esse nutriente pode ser absorvido pelas raízes e folhas da planta. Contudo, ainda existem dúvidas sobre a eficiência da aplicação via foliar de N no feijoeiro e sobre a influência dessa prática na qualidade dos grãos. Objetivou-se neste trabalho avaliar o efeito da adubação nitrogenada em cobertura e via foliar sobre a produtividade e qualidade dos grãos da cultura do feijão. O experimento foi conduzido durante a safra da seca, em um Latossolo Vermelho distroférrico, no município de Botucatu-SP. O delineamento experimental utilizado foi o de blocos ao acaso com quatro repetições, num esquema fatorial 3 x 4, constituído por três doses de N (0, 45 e 90 kg ha-1) em cobertura e quatro épocas de aplicação de N via foliar (1 - sem aplicação de N via foliar, 2 - pulverização estádio R5 (pré-floração), 3 - pulverização no estádio R7 (início da formação das vagens) e 4 - pulverizações nos estádios R5 e R7). em cada aplicação de N via foliar foram utilizados 200 L ha-1 de uma solução com 10 % de ureia. Quando foi realizada a adubação nitrogenada de cobertura, a aplicação de N via foliar, independentemente da época, não alterou os componentes da produção, a produtividade e a qualidade dos grãos do feijoeiro. Na ausência da adubação nitrogenada de cobertura, a aplicação de N via foliar na fase reprodutiva aumentou a massa e o tamanho dos grãos, a produtividade de grãos e o teor de proteínas nos grãos do feijoeiro. A aplicação de N via foliar no estádio R5 foi mais eficiente em aumentar a produtividade de grãos do feijoeiro que a aplicação em R7.
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A aplicação de reguladores vegetais, com a finalidade de aumentar a produtividade das culturas, tem merecido, nos últimos anos, grande atenção de pesquisadores. No entanto, alguns resultados têm se mostrado contraditórios. em face disto, este estudo teve como objetivo verificar os efeitos da aplicação de regulador vegetal sobre os componentes da produção e a produtividade de grãos de duas cultivares de feijão de inverno, em condições de Cerrado. O experimento foi realizado no outono-inverno de 2007, na Fazenda Experimental da Unesp, Campus de Ilha Solteira, localizada no município de Selvíria (MS). O delineamento experimental foi o de blocos casualizados, no esquema em faixas, com quatro repetições. Os tratamentos constituíram-se da combinação de cinco doses do regulador vegetal (0 L ha-1 0,5 L ha-1 1,0 L ha-1 1,5 L ha-1 e 2,0 L ha-1, que é composto por três hormônios vegetais (cinetina, ácido giberélico e ácido indolbutírico), em duas épocas de aplicação: no estádio vegetativo (V4) e reprodutivo (R5). Características vegetativas como altura das plantas de feijão, altura de inserção da primeira vagem, número de grãos por vagem e massa de 100 grãos não foram afetadas pela aplicação do produto. No entanto, sua aplicação no estádio reprodutivo (R5) aumentou o número de grãos por planta e a produtividade de grãos das cultivares de feijoeiro Carioca Precoce e IAC Apuã. Para este aumento, a melhor dose foi 2 L ha-1do regulador vegetal.
Resumo:
Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)