865 resultados para Privacy Based Access Control
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INTRODUCTION: We present the protocol of a large population-based case-control study of 5 common tumors in Spain (MCC-Spain) that evaluates environmental exposures and genetic factors. METHODS: Between 2008-2013, 10,183 persons aged 20-85 years were enrolled in 23 hospitals and primary care centres in 12 Spanish provinces including 1,115 cases of a new diagnosis of prostate cancer, 1,750 of breast cancer, 2,171 of colorectal cancer, 492 of gastro-oesophageal cancer, 554 cases of chronic lymphocytic leukaemia (CLL) and 4,101 population-based controls matched by frequency to cases by age, sex and region of residence. Participation rates ranged from 57% (stomach cancer) to 87% (CLL cases) and from 30% to 77% in controls. Participants completed a face-to-face computerized interview on sociodemographic factors, environmental exposures, occupation, medication, lifestyle, and personal and family medical history. In addition, participants completed a self-administered food-frequency questionnaire and telephone interviews. Blood samples were collected from 76% of participants while saliva samples were collected in CLL cases and participants refusing blood extractions. Clinical information was recorded for cases and paraffin blocks and/or fresh tumor samples are available in most collaborating hospitals. Genotyping was done through an exome array enriched with genetic markers in specific pathways. Multiple analyses are planned to assess the association of environmental, personal and genetic risk factors for each tumor and to identify pleiotropic effects. DISCUSSION: This study, conducted within the Spanish Consortium for Biomedical Research in Epidemiology & Public Health (CIBERESP), is a unique initiative to evaluate etiological factors for common cancers and will promote cancer research and prevention in Spain.
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Cancer du poumon associé à l’exposition au nickel, au chrome VI et au cadmium dans le milieu de travail utilisant deux études populationnelles cas-témoins à Montréal. Au début des années 1990, le nickel, le chrome VI et le cadmium ont été classés en tant qu’agents cancérigènes de classe 1 par le CIRC (Centre International de Recherche sur le Cancer). Cependant, les résultats des études ayant permis la classification de ces métaux n’ont pas toujours été reproduits, et d’importantes questions demeurent quant aux effets de ces métaux à de faibles niveaux d’exposition. Un plus grand nombre de recherches empiriques est donc nécessaire afin de réaffirmer la cancérogénicité de ces agents, et d’identifier les circonstances dans lesquelles ils peuvent être néfastes. L'objectif de cette étude était d'explorer la relation entre l’exposition à un des métaux (soit le nickel, le chrome VI, ou le cadmium) et les risques subséquents de développer un cancer du poumon chez des travailleurs provenant de différents milieux de travail qui sont exposés à ces métaux à de différents degrés. Deux études cas-témoins de base populationnelle menées à Montréal ont fourni les données nécessaires pour examiner la cancérogénicité de ces métaux. La première étude était menée entre 1979 et 1986 chez des hommes âgés de 35 à 70 ans ayant un cancer dans l’un de 19 sites anatomiques de cancer sélectionnés. La seconde étude était menée entre 1996 et 2001 chez des hommes et des femmes âgés de 35 à 75 ans, avec un diagnostic de tumeur maligne au poumon. Dans ces deux études, les cas ont été recensés dans tous les hôpitaux de l'île de Montréal, tandis que les contrôles populationnels appariés par âge et stratifiés par sexe, ont été sélectionnés des listes électorales. Une entrevue avec chaque sujet a permis d'obtenir un historique d'emploi détaillé ainsi que des informations précises sur les facteurs de risques socio-économiques et personnels. Les descriptions de poste ont été évaluées par une équipe d'experts chimistes et hygiénistes afin de déterminer si le sujet a été exposé à chaque agent, et pour mesurer à la fois la concentration et la durée de chaque exposition, ainsi que l’exposition cumulative tout au long de la vie de chaque participant. Pour déterminer si une exposition à l’un des trois métaux en cause était associée à une augmentation de l'incidence du cancer du poumon, des données ont été analysées par régression logistique : des ajustements ont été effectués pour des facteurs de confusion pertinents incluant un historique détaillé du tabagisme. Des mesures catégoriques d'exposition cumulée ont été également analysées, ainsi que la modification des effets par le tabagisme. Les deux études ont été analysées séparément, puis par la suite combinées afin d'augmenter la puissance statistique. Les niveaux d'exposition mesurés dans cette population ne semblaient pas poser un excès de risque de cancer du poumon pour les travailleurs exposés au chrome VI. Cependant, ceux qui ont été exposés au nickel ont subi une augmentation significative du risque, et ce, quel que soit leur niveau d'exposition. Le risque de développer un cancer du poumon suite à une exposition au cadmium était élevé, mais pas de manière significative. Pour chacun des trois métaux, le risque de cancer du poumon était très élevé parmi les non-fumeurs, mais pas parmi les fumeurs. L’effet combiné du tabagisme et de l’exposition aux métaux était compatible avec un excès de risque additif. Cependant, les intervalles de confiance dans cette étude tendaient à être larges, et une faiblesse de puissance statistique peut limiter l’interprétation de certains résultats. Cette étude est unique dans la mesure où elle a fourni des preuves empiriques sur les risques de développer le cancer du poumon liés aux faibles niveaux d’exposition au nickel, au chrome VI, ou au cadmium provenant de divers contextes de travail. Dans la plupart des autres études, la majorité des expositions pertinentes n’ont pas été bien contrôlées. À l'inverse, cette étude a bénéficié de la collecte et de la disponibilité d'information détaillée concernant le tabagisme et d’autres facteurs de risque. Les résultats de cette étude ont d'importantes conséquences pour la santé publique, tant au niveau de la détermination des risques pour les travailleurs actuellement exposés à ces métaux, qu'au niveau de l’évaluation des risques pour la population en général, elle-même exposée à ces métaux par le biais de la pollution et de la fumée de cigarette. Cette analyse contribuera fort probablement à une réévaluation par le CIRC de la cancérogénicité de ces métaux. L'exploration de la relation entre les risques de cancer du poumon et l'exposition au nickel, au chrome VI et au cadmium est donc opportune et pertinente.
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In this paper, we address this problem through the design of a semiactive controller based on the mixed H2/H∞ control theory. The vibrations caused by the seismic motions are mitigated by a semiactive damper installed in the bottom of the structure. It is meant by semiactive damper, a device that absorbs but cannot inject energy into the system. Sufficient conditions for the design of a desired control are given in terms of linear matrix inequalities (LMIs). A controller that guarantees asymptotic stability and a mixed H2/H∞ performance is then developed. An algorithm is proposed to handle the semiactive nature of the actuator. The performance of the controller is experimentally evaluated in a real-time hybrid testing facility that consists of a physical specimen (a small-scale magnetorheological damper) and a numerical model (a large-scale three-story building)
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In this paper we propose an enhanced relay-enabled distributed coordination function (rDCF) for wireless ad hoc networks. The idea of rDCF is to use high data rate nodes to work as relays for the low data rate nodes. The relay helps to increase the throughput and lower overall blocking time of nodes due to faster dual-hop transmission. rDCF achieves higher throughput over IEEE 802.11 distributed coordination function (DCF). The protocol is further enhanced for higher throughput and reduced energy. These enhancements result from the use of a dynamic preamble (i.e. using short preamble for the relay transmission) and also by reducing unnecessary overhearing (by other nodes not involved in transmission). We have modeled the energy consumption of rDCF, showing that rDCF provides an energy efficiency of 21.7% at 50 nodes over 802.11 DCF. Compared with the existing rDCF, the enhanced rDCF (ErDCF) scheme proposed in this paper yields a throughput improvement of 16.54% (at the packet length of 1000 bytes) and an energy saving of 53% at 50 nodes.
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Low-power medium access control (MAC) protocols used for communication of energy constraint wireless embedded devices do not cope well with situations where transmission channels are highly erroneous. Existing MAC protocols discard corrupted messages which lead to costly retransmissions. To improve transmission performance, it is possible to include an error correction scheme and transmit/receive diversity. It is possible to add redundant information to transmitted packets in order to recover data from corrupted packets. It is also possible to make use of transmit/receive diversity via multiple antennas to improve error resiliency of transmissions. Both schemes may be used in conjunction to further improve the performance. In this study, the authors show how an error correction scheme and transmit/receive diversity can be integrated in low-power MAC protocols. Furthermore, the authors investigate the achievable performance gains of both methods. This is important as both methods have associated costs (processing requirements; additional antennas and power) and for a given communication situation it must be decided which methods should be employed. The authors’ results show that, in many practical situations, error control coding outperforms transmission diversity; however, if very high reliability is required, it is useful to employ both schemes together.
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Embedded computer systems equipped with wireless communication transceivers are nowadays used in a vast number of application scenarios. Energy consumption is important in many of these scenarios, as systems are battery operated and long maintenance-free operation is required. To achieve this goal, embedded systems employ low-power communication transceivers and protocols. However, currently used protocols cannot operate efficiently when communication channels are highly erroneous. In this study, we show how average diversity combining (ADC) can be used in state-of-the-art low-power communication protocols. This novel approach improves transmission reliability and in consequence energy consumption and transmission latency in the presence of erroneous channels. Using a testbed, we show that highly erroneous channels are indeed a common occurrence in situations, where low-power systems are used and we demonstrate that ADC improves low-power communication dramatically.