298 resultados para Personnage écrivain
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Errata: p. [1] at end.
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By D.V. Aĭnalov et al.
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Ce travail a comme point de départ l’oeuvre Les lauriers sont coupés, de l’écrivain Edouard Dujardin. Le livre, écrit en 1887, n’est devenu connu qu’en 1924, lorsque James Joyce a déclaré s’inspirer de cette œuvre pour écrire le monologue de Molly Bloom, personnage d’Ulysse, en utilisant une technique nommée monologue intérieur, qu’aucun écrivain n’avait jusqu’alors utilisée. Dujardin s’est proposé d’écrire un livre où le personnage dévoile sa pensée avant même de subir une quelconque censure. Ecrit à la fin du siècle, Les lauriers sont coupés présente des caractéristiques du symbolisme: la synesthésie, la musicalité, le jeu de mots et la subtitution du sentiment, propre aux romantiques, par les sens. Pour une génération d’écrivains ayant vécu à Paris à la fin du siècle, la métaphore est remplacée par la métonymie. Dans ce sens, notre auteur se trouve inséré dans son temps, c’est-à-dire, à la fin du XIXe siècle, subissant l’influence de Mallarmé et de Wagner dans l’écriture de son oeuvre. A Canção dos Loureiros, titre de la traduction en portugais d’Élide Valarini (1989), de l’oeuvre Les lauriers sont coupés, a été analysée, en essayant à la fois d’identifier les éléments du Symbolisme et de montrer que l’auteur, en écrivant cette œuvre, suppose que le lecteur, partage la pensée du personnage principal en employant la technique du monologue intérieur. Outre cette analyse, nous faisons la traduction en portugais d’un essai de Dujardin, qui n’avait pas été traduit jusqu’à présent et où il a pu lui-même revoir son œuvre et où il explique comment il a eu l’idée de travailler la technique adoptée ainsi que la réception de cette œuvre auprès de ses contemporains.
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Si la théologie lucanienne de la résurrection a largement été étudiée dans le livre des Actes des Apôtres, Jésus n’a jamais été considéré comme personnage principal, à l’inverse des apôtres, de l’Esprit saint ou même de Dieu. Pourtant, le premier verset des Actes laisse entendre que Jésus va continuer de faire et d’enseigner ce qu’il avait commencé dans l’évangile, même si, peu de temps après l’ouverture du récit, il quitte la scène. Pour chercher à comprendre ce paradoxe, une analyse approfondie de la mise en récit du personnage Jésus dans les Actes était nécessaire. Le premier chapitre de cette thèse introduit le sujet, l’état de la question et deux approches méthodologiques empruntées aux experts de la caractérisation narrative. Au chapitre deux, après avoir introduit la difficulté d’identification du personnage qui se trouve derrière le titre Seigneur des Actes, le cadre épistémologique d’Elizabeth Struthers Malbon permet d’observer le comment en classant toutes les péricopes qui participent à la rhétorique de la caractérisation christologique en cinq catégories : (1) la christologie représentée qui montre ce que Jésus fait, (2) la christologie détournée qui permet d’entendre ce que Jésus dit en réponse aux autres personnages, (3) la christologie projetée qui laisse entendre ce que les autres personnages ou le narrateur disent à Jésus et à son sujet, (4) la christologie réfléchie qui montre ce que les autres personnages font en reflétant ce que Jésus a dit et (5) la christologie reflétée qui montre ce que les autres personnages font en reflétant ce que Jésus a fait. Ensuite, avec le chapitre trois, l’approche de John Darr donne à comprendre le pourquoi de la caractérisation par l’observation de quatre activités cognitives du lecteur : (1) l’anticipation et la rétrospection, (2) la recherche de cohérence, (3) l’identification et/ou l’implication et (4) la défamiliarisation. Enfin, au chapitre quatre, les résultats des deux méthodes sont comparés pour proposer une solution au cas de l’ouverture paradoxale des Actes. D’abord les différentes observations de la thèse montrent que le personnage Jésus n’est pas si absent du récit; puis la rhétorique narrative de la caractérisation conduit le lecteur à comprendre que c’est essentiellement au travers des personnages du récit que Jésus est présent en actes et en paroles.