963 resultados para Parent support
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RÉSUMÉ L‘hébergement en centre de soins de longue durée d'un parent âgé atteint de démence marque une transition pour les personnes qui occupent un rôle d’aidant familial principal. Ces personnes, principalement des femmes, poursuivent leur engagement après l’hébergement et souhaitent être impliquées dans les décisions concernant les soins offerts à leur parent. Souvent l'hébergement survient au moment où la personne âgée n'est plus en mesure, compte tenu de ses déficiences cognitives, d'exprimer clairement ses besoins; les aidantes accordent alors une place centrale au rôle de représentante de leur proche hébergé. Cette étude avait pour but d’expliquer la transformation du rôle de représentante chez des aidantes familiales dont le parent atteint de démence vit dans un centre d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD). La méthode qualitative de la théorisation ancrée a été retenue pour expliquer ce processus social. Les résultats obtenus reposent sur 14 entrevues en profondeur réalisées auprès de filles dont le parent atteint de démence était hébergé depuis plus de six mois dans un CHSLD. Ces aidantes ont été sélectionnées selon une procédure d’échantillonnage théorique et l’analyse des données a été réalisée à partir de la transcription intégrale des entrevues en suivant trois niveaux d'analyse, soit la codification ouverte, axiale et sélective. Une proposition théorique, générée par voie inductive, met en lumière trois processus intermédiaires interreliés expliquant la transformation du rôle de représentante pendant l’hébergement du proche : 1) l’intégration dans le milieu ; 2) l’évaluation de la qualité des soins et 3) le développement de la confiance envers le milieu d’hébergement. Plus précisément, les aidantes déploient différentes stratégies d’intégration dans le milieu d’hébergement, soit l’établissement de relations de réciprocité et d’une collaboration avec le personnel soignant, ainsi que l’utilisation d’un style de communication diplomatique. Parallèlement, elles évaluent la qualité des soins en trois étapes : jugement, pondération et action. Finalement, une relation de confiance avec les membres du personnel de l’établissement se développe en lien avec cinq facteurs spécifiques, soit les premières impressions, la comparaison avec d’autres CHSLD, l’intérêt démontré par le personnel envers le proche, le fait d’être entendue et prise au sérieux et la transparence du milieu d’hébergement. Ces trois processus contribuent au bien-être du parent hébergé et à celui de l’aidante. Le développement de la confiance étant associé aux deux autres processus intermédiaires ainsi qu’au bien-être de l’aidante, il est le processus central de la théorie contextuelle qui émerge de cette recherche. Cette étude contribue au développement des connaissances, notamment en fournissant plusieurs éléments inédits de compréhension du processus de transformation du rôle de représentante des aidantes familiales, de même que des pistes pour soutenir ces aidantes dont le parent, souffrant de démence, n’est plus en mesure de prendre des décisions. La théorie contextuelle proposée dans le cadre de cette étude constitue les prémices d’une théorie de niveau intermédiaire portant sur le rôle de représentant des aidants familiaux dans le contexte plus général du système de santé. Des études réalisées dans d’autres contextes de soins et auprès d’aidants de proches vulnérables ayant d’autres types d’affections sont ainsi recommandées.
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Les troubles anxieux figurent parmi les psychopathologies les plus fréquentes chez les enfants. Ils peuvent avoir de graves répercussions sur leur développement et, à long terme, ils tendent à persister ainsi qu’à s’aggraver. L’évitement est un moyen souvent utilisé par les personnes anxieuses, adultes ou enfants, afin de tenter d’échapper à l'objet de leur peur et ainsi faire diminuer leur niveau d’anxiété. Les schémas cognitifs dysfonctionnels reliés à l’anxiété, et à l’origine de l’évitement, se développent tôt chez l’enfant et sont en partie reliés aux interactions parent-enfant. La présente recherche vise à examiner, à l’aide d’une analyse séquentielle des interactions, la dépendance entre les comportements d’anxiété et d’évitement chez les membres de 20 dyades parent-enfant, dont les enfants sont âgés entre 4 et 7 ans. La tâche d’interaction, une histoire à compléter par les membres de la dyade, a la capacité de susciter des émotions anxieuses chez les participants. Les résultats de cette étude ne permettent pas de démontrer une dépendance entre les comportements d’anxiété et d’évitement des parents et ceux des enfants. La discussion présente des éléments de réflexion sur des pistes de recherche à explorer.
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Avec l’avancement en âge, les personnes âgées qui vivent à domicile ont besoin du soutien des membres de leur entourage, notamment d’un aidant familial dont le rôle n’est toutefois pas sans conséquence sur sa santé. Les écrits empiriques ont montré que certains aidants sont résilients, c’est-à-dire qu’ils s’adaptent à leur situation et continuent leur développement. Toutefois, aucune étude n’a été effectuée au Liban auprès des aidantes familiales pour expliquer la résilience dans ce contexte et, plus spécifiquement, pour déterminer les facteurs qui pourraient l’influencer. Cette étude à devis corrélationnel de prédiction avait pour but de vérifier certaines des relations postulées par un modèle empirique découlant des écrits, soit la contribution de facteurs personnels (stratégies de coping et auto-efficacité) et de facteurs contextuels (relations familiales, perception du soutien de l’entourage, et sens accordé au « prendre soin »),à la résilience des aidantes familiales libanaises qui prennent soin d’un proche âgé à domicile. L’étude a été effectuée au Liban auprès d’un échantillon de convenance composé de 140 aidantes familiales principales cohabitant à domicile avec un parent âgé de 65 ans et plus ayant une perte d’autonomie fonctionnelle ou cognitive. La collecte des données a été réalisée en arabe en utilisant un guide d’entrevue standardisé regroupant des instruments nord-américains traduits selon la méthode de traduction inversée parallèle, de même qu’une question ouverte portant sur la perception des aidantes de la résilience, soit des facteurs qui les aident à continuer à prendre soin de leur proche âgé tout en continuant à se développer. Une analyse de régression hiérarchique a permis de vérifier la contribution unique des facteurs personnels et contextuels à expliquer la résilience des aidantes familiales, en contrôlant pour l’âge et le niveau de scolarité des aidantes et pour le niveau de perte d’autonomie et la fréquence des comportements dysfonctionnels de leurs parents âgés. Une analyse de contenu a permis de décrire la perception des aidantes eu égard à la résilience. Les résultats ont montré que le modèle empirique, incluant les variables de contrôle explique 54% de la variance de la résilience et que quatre des facteurs considérés, soit les stratégies de coping centrées sur le problème, les stratégies de coping centrées sur les émotions, le sentiment d’auto-efficacité et le sens du « prendre soin » ont une contribution statistiquement significative à la résilience des aidantes. Parmi ces quatre facteurs, le sens du « prendre soin » et le sentiment d’auto-efficacité expliquent davantage de variance, soit 11% et 5% respectivement. L’analyse qualitative du discours des aidantes a montré qu’elles prennent soin de leur proche âgé surtout par souci de réciprocité, mais également parce qu’il s’agit d’un membre de la famille et par respect pour Dieu. Ce sont par ailleurs leurs croyances et la satisfaction liée au prendre soin qui les aident à continuer et à se développer. Cette étude offre une meilleure compréhension du concept de la résilience des aidantes familiales au Liban et de certains facteurs qui en sont des prédicteurs significatifs. Elle offre des pistes pour l’intervention infirmière dans le but de promouvoir la santé de la personne/famille en tant que partenaire de soins. Des recommandations pour la pratique, la formation et la recherche sont proposées.
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La mort d'un enfant est considérée comme l'une des expériences les plus difficiles à laquelle une personne puisse faire face. Les cliniciens, les hôpitaux et plusieurs organismes ont pour objectif d’aider les parents endeuillés, mais leurs efforts sont compliqués par un manque de recherche dans le domaine du deuil parental. Cette thèse est composée de trois articles, soit deux revues de littérature et une étude empirique, qui tentent de combler cette lacune et d’informer les services en soins palliatifs pédiatriques et les services de soutien au deuil en particulier. Le premier article porte sur les besoins des patients recevant des soins palliatifs pédiatriques et de leurs familles. Par le biais d’un méta-résumé de la recherche descriptive et qualitative récente, 10 domaines de besoins ont été identifiés qui correspondent aux lignes directrices actuelles en soins palliatifs pédiatriques et de fin de vie. Ces besoins sont présentés de manière à être facilement applicables à la pratique. Cependant, les résultats mettent aussi en évidence plusieurs aspects des soins identifiés comme déficitaires ou problématiques qui mériteraient une attention particulière dans le cadre de politiques futures. Dans le deuxième article, l'objectif était de résumer une vaste littérature d'une manière utile aux cliniciens. À cette fin, une synthèse narrative a permis d’intégrer la recherche quantitative et qualitative dans le domaine du deuil parental. Les résultats mettent en évidence les éléments susceptibles de favoriser l’adaptation des parents au deuil, éléments qui suggèrent par le fait même des avenues possibles de soutien et d'intervention. Cette synthèse a cependant cerné dans la littérature certaines failles méthodologiques qui rendent l'applicabilité clinique des résultats difficile. L'objectif du troisième article était d'informer les services de suivi et de soutien au deuil auprès des parents en se renseignant directement auprès de parents endeuillés. À cette fin, 21 parents (dont 8 couples) et 7 membres du personnel impliqués dans des activités de suivi de deuil de 2 hôpitaux pédiatriques ont été interrogés dans le cadre d’une description interprétative, et l'application clinique des résultats a été vérifiée par le biais de réunions avec des collaborateurs de recherche et les décideurs des centres hospitaliers. Les résultats décrivent comment les parents ont fait face à leur détresse dans la phase précoce de leur deuil, ainsi que leurs points de vue sur la façon dont les divers services de suivi de deuil ont été aidants. Les résultats suggèrent que les parents gèrent leurs sentiments intenses de douleur par une alternance de stratégies axées soit sur leur deuil ou sur leur quotidien et que dans plusieurs cas leurs relations avec autrui les ont aidé. Cette étude a également permis d'élucider la façon dont divers services de soutien aide les parents à aborder leur deuil. Les implications cliniques de ces résultats sont discutées ainsi que des recommandations à l’intention de ceux qui sont impliqués dans la provision des services en deuil.
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La présente recherche s’intéresse aux adolescents qui sont des aidants naturels auprès d’un parent aux prises avec une maladie chronique dans un contexte où, d’une part, de plus en plus de soins doivent désormais être assumés par les personnes atteintes elles-mêmes et par leurs familles (Guberman et coll., 2005) et, d’autre part, les services destinés aux aidants naturels ont encore de la difficulté à concevoir les enfants et les adolescents comme étant des aidants (Charles, Stainton et Marshall, 2012). Les jeunes aidants adoptent des tâches et des rôles qui ne sont pas toujours adaptés à leur âge (Earley et Cushway, 2002), ce qui peut compromettre leur développement psycho-social (Sieh et coll., 2010 ; Davey et coll., 2005 ; Pedersen et Revenson, 2005). En parlant des jeunes aidants, il est important de considérer le caregiving sur un continuum selon lequel tous les jeunes sont impliqués, d’une façon ou d’une autre, dans les aspects de la prise en charge d’un parent malade, mais qu’une proportion plus petite adopte un rôle de jeune aidant, ce qui signifie que leur implication est exagérée, que le temps consacré à l’aide ainsi que la nature de celle-ci ne correspondent pas à leur âge ni à leur stade de développement, et qu’il y a des restrictions importantes ayant des impacts négatifs sur leur vie (Becker, 2007). Notre recherche part ainsi de l’interrogation sur la façon dont cette réalité est vécue par les adolescents et dont elle est perçue et interprétée par les intervenants de différents milieux de pratique dans le contexte québécois. Cette recherche s’appuie sur le cadre théorique de la reconnaissance tel que proposé par Honneth. En effet, en nous appuyant sur la littérature disponible, on peut présumer que l’attention portée aux jeunes aidants est un enjeu central de leur réalité. En conséquence, il est de notre avis qu’il faut mieux comprendre les enjeux de cette reconnaissance dont la plupart des recherches parlent, mais qui restent peu étudiés en lien avec les jeunes aidants. Ce cadre conceptuel servira de porte d’entrée pour analyser quatre entrevues semi-dirigées avec des adolescents âgés de 15 à 19 ans, ainsi que sept entrevues semi-dirigées avec des intervenants de divers milieux de pratique. Les résultats de cette recherche suggèrent la présence de trois dynamiques de reconnaissance décrivant des enjeux différents entourant la réalité des jeunes aidants. Celles-ci mettent en évidence que les conséquences auxquelles les jeunes aidants peuvent être confrontés proviennent moins de leur rôle d’aidant que de la dimension relationnelle en ce qui concerne leur réalité. En outre, au croisement des regards entre les adolescents et les intervenants, un point de divergence se dégage et semble faire obstacle à notre manière de considérer l’aide qui devrait être apportée en ce qui concerne ce phénomène. Il apparaît que, pour les intervenants, l’amélioration de la situation des jeunes aidants passe, entre autres, par le soutien qui devrait être apporté aux parents, tandis que les adolescents mettent un accent particulier sur la manière dont leur contribution est non seulement valorisée dans la sphère familiale, mais également soutenue par les intervenants entourant leur famille.
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La dépression est une psychopathologie répandue qui débute fréquemment au cours de l’adolescence. Maintes répercussions tant personnelles qu’économiques et sociales ont été associées à ce trouble. Plusieurs facteurs, dont la consommation de cannabis, ont été identifiés comme étant susceptibles d’influencer l’apparition et le développement de symptômes dépressifs. Il existe toutefois une absence de consensus par rapport au lien entre la consommation de cannabis et les symptômes dépressifs à l’adolescence, qui pourrait notamment résulter de différences méthodologiques telles que le contrôle de tierces variables. Parmi ces variables, la relation parent-adolescent pourrait modérer la relation entre la consommation de cannabis et les symptômes dépressifs. Ce mémoire vise d’une part à vérifier la relation entre la consommation de cannabis et la manifestation de symptômes dépressifs à l’adolescence et, d’autre part, le rôle modérateur de la relation parent-adolescent sur ce lien. L’échantillon compte 1 740 adolescents québécois suivis longitudinalement du secondaire II au secondaire IV. Des analyses de régression multiple hiérarchique ont été effectuées afin de tester les hypothèses à l’étude. Les résultats démontrent une faible relation positive entre la consommation de cannabis en secondaire II et les symptômes dépressifs évalués deux ans plus tard. Par ailleurs, une seule dimension de la relation parent-adolescent, soit le faible soutien parental, a été identifiée comme ayant un pouvoir prédictif sur les symptômes dépressifs. Cet effet d’interaction explique néanmoins une variance insuffisante pour être significatif d’un point de vue clinique. Les implications de ces résultats pour la recherche sont discutées.
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This study describes the validation of short tandem repeat (STR) systems for the resolution of cases of disputed parentage where only a single parent is available for testing or where the claimed relationship of both parents is in doubt and also cases where sibship must be tested. Three separate multiplex systems the Second Generation Multiplex, Powerplex 1.2 and FFFL have been employed, giving a total of 16 STR loci. Both empirical and theoretical approaches to the validation have been adopted. Appropriate equations have been derived to calculate likelihood ratios for different relationships, incorporating a correction for subpopulation effects. An F(ST) point estimate of 1% has been applied throughout. Empirically, 101 cases of alleged father, alleged mother and child where analysed using six SLP systems and also using the three multiplex STR systems. Of the 202 relationships tested, 197 were independently resolved by both systems, providing either clear evidence of non-parentage or strong support for the relationship.
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Cognitive theories emphasise the role of dysfunctional beliefs about sleep in the development and maintenance of sleep-related problems (SRPs). The present research examines how parents' dysfunctional beliefs about children's sleep and child dysfunctional beliefs about sleep are related to each other and to children's subjective and objective sleep. Participants were 45 children aged 11 -12 years and their parents. Self-report measures of dysfunctional beliefs about sleep and child sleep were completed by children, mothers and fathers. Objective measures of child sleep were taken using actigraphy. The results showed that child dysfunctional beliefs about sleep were correlated with father (r=.43, p<.05) and mother (r=.43, p<.05) reported child SRPs, and with Sleep Onset Latency (r=.34, p<.05). Maternal dysfunctional beliefs about child sleep were related to child SRPs as reported by mothers (r=.44, p<.05), and to child dysfunctional beliefs about sleep (r=.37, p<.05). Some initial evidence was found for a mediation pathway in which child dyfunctional beliefs mediate the relationship between parent dysfunctional beliefs and child sleep. The results support the cognitive model of SRPs and contribute to the literature by providing the first evidence of familial aggregation of dysfunctional beliefs about sleep.
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background: Guidance encourages oncologists to engage patients and relatives in discussing the emotions that accompany cancer diagnosis and treatment. We investigated the perspectives of parents of children with leukaemia on the role of paediatric oncologists in such discussion. methods: Qualitative study comprising 33 audio-recorded parent–oncologist consultations and semi-structured interviews with 67 parents during the year following diagnosis. results: Consultations soon after the diagnosis were largely devoid of overt discussion of parental emotion. Interviewed parents did not describe a need for such discussion. They spoke of being comforted by oncologists’ clinical focus, by the biomedical information they provided and by their calmness and constancy. When we explicitly asked parents 1 year later about the oncologists’ role in emotional support, they overwhelmingly told us that they did not want to discuss their feelings with oncologists. They wanted to preserve the oncologists’ focus on their child’s clinical care, deprecated anything that diverted from this and spoke of the value of boundaries in the parent–oncologist relationship. conclusion: Parents were usually comforted by oncologists, but this was not achieved in the way suggested by communication guidance. Communication guidance would benefit from an enhanced understanding of how emotional support is experienced by those who rely on it.
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The Equality Act 2010 will be implemented in full in 2011, and schools in the UK will have to provide special aids or services for children with disabilities where this provision is considered reasonable. This paper reports on staff perspectives on the use and usefulness of a parental questionnaire on disability from a sample of 49 schools (mainstream and special) located in 12 local authorities. Most schools found the process of administering the parent questionnaire undemanding; just under half of the sample indicated that they would take some action as a result of the data collected from the parental questionnaire (e.g., to inform plans for targeting or monitoring support for children, and to contact parents and follow-up issues they had mentioned); and about one-third of schools recorded unanticipated findings from the parental questionnaire, that is, the identification of children whose disabilities were not previously known to the school. Implications for schools are discussed.
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BACKGROUND: Pre- and post-migration trauma due to forced migration may impact negatively on parents' ability to care for their children. Little qualitative work has examined Somali-born refugees' experiences. The aim of this study is to explore Somali-born refugees' experiences and challenges of being parents in Sweden, and the support they need in their parenting. METHODS: A qualitative descriptive study was undertaken. Data were collected from four focus group discussions (FGDs) among 23 Somali-born mothers and fathers living in a county in central Sweden. Qualitative content analysis has been applied. RESULTS: A main category, Parenthood in Transition, emerged as a description of a process of parenthood in transition. Two generic categories were identified: Challenges, and Improved parenting. Challenges emerged from leaving the home country and being new and feeling alienated in the new country. In Improved parenting, an awareness of opportunities in the new country and ways to improve their parenting was described, which includes how to improve their communication and relationship with their children. The parents described a need for information on how to culturally adapt their parenting and obtain support from the authorities. CONCLUSIONS: Parents experienced a process of parenthood in transition. They were looking to the future and for ways to improve their parenting. Schools and social services can overcome barriers that prevent lack of knowledge about the new country's systems related to parenthood. Leaving the home country often means separation from the family and losing the social network. We suggest that staff in schools and social services offer parent training classes for these parents throughout their children's childhood, with benefits for the child and family.
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From the very first moment of entrance in sports up to the time of their successful achievements, parents have a pronounced influence on the sport's career of their children. This influence is readily seen when the parent's dedicated involvement and investment, both emotional and financial, put into the support they give to their children in sports is taken into account. This is all done with the objective that their young athlete may stay involved and reach their full potential. To describe the parental support in the context of Brazilian Artistic Gymnastics in formative categories, this study addressed the perceptions that young gymnasts have toward the behavior and attitude of their parents through a field research conducted among 29 sport institutions involving a total of 163 athletes. We have found that parental support enabled and greatly influenced the child's entering into sports, their access to the practice of a sport, their level of participation, their degree of involvement, and their physical and emotional wellbeing. Moreover, the parental support is crucial to the commitment and dedication of the young gymnast. However, when this support is perceived in a negative way it can result in stress, conflicts between parents and children, burnout and may provoke dropout.
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Child sexual abuse continues to be a prevalent and complex problem in today’s society as it poses serious and pervasive mental health risks to child victims and their non-offending parents. The main objectives of this study were (a) to elucidate the psychological symptoms and support needs of parents of child sexual abuse victims as they present to group treatment, (b) to examine changes in psychological symptoms and support needs and their relationship with child functioning over the course of a parallel group treatment, and (c) to examine the impact of these factors on completion of group treatment. Participants included 104 sexually abused youth and their non-offending parent presenting to Project SAFE Group Intervention, a 12-session cognitive-behavioral group treatment for sexually abused children and their non-offending parents. This project had a unique advantage of utilizing a variety of demographic, parent-, and child-report measures, allowing for a more comprehensive examination of change in symptomatology and needs over the course of treatment. Several significant findings were noted, including the identification of four clusters of youth at pre-treatment, which were maintained at post-treatment; elevations on the CTQ Sexual Abuse scale; parents of youth sexually abused by a non-family member had significantly higher PSI-Restriction of Role subscale scores; parental expectations of a negative impact on their child were worse for older children; several parent characteristics predicted client treatment retention (e.g., older parents, lower SCL-90-R GSI scores); and an early age of onset of abuse also increased treatment retention. Future directions, recommendations, and limitations were discussed.
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The aim of this study is a Russian-German cross-cultural comparison of the actual support and the readiness for support that adult daughters give to their parents as well as of the conditions for this support. Compared to Russia, Germany can be characterized by a more individualistic value system and a fully developed social-welfare system. Therefore, the extent of intergenerational support should be less in Germany than in Russia. Furthermore, the study attempts to test if the support-related differences between the two countries are mediated by differences in cultural values. The participants were German and Russian adult daughters who at the same time were mothers of adolescent children. The cross-cultural comparisons showed that compared to their German counterparts, Russian adult daughters reported more current support as well as a higher readiness for future support. These differences were mediated through a higher emotional interdependence (intimacy) of the Russian adult daughters, as well as through their considerably higher family values and norm-oriented motives for support. The results are discussed with regard to theoretical approaches regarding parent-child relations and the culture-specific meaning of intergenerational support in Russia and Germany.
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Innovative, aggressive treatments and prolonged survival rates for patients with childhood cancers have placed new demands on the patient, parent and physician. As a result, counterproductive coping behaviors are often noted in adolescent cancer patients.^ One of the main ways the environment is manipulated by the individual to achieve personal comfort is through selectivity of information. An individual will usually pull the support personally needed to cope from the environment if sufficient resources are available. However, information provided young cancer patients is often filtered through the physicians and parents perspectives of the patient's needs without systematic input from the patient. In order to ensure that adequate information resources are available to help teenage patients cope with their illness, health professionals must have insights into the information needs of those patients. No previous efforts to address this subject were found in the literature.^ This study was designed to identify adolescent perspectives of their disease-related information needs and to compare their viewpoints with those of their parents and physicians. Sixty-five outpatient cancer patients (ages 11-20) receiving treatment at the University of Texas M. D. Anderson Hospital and Tumor Institute in Houston, Texas, 60 of their parents, and 53 physicians, who were involved in the treatment of pediatric patients at M. D. Anderson, were asked to complete self-administered questionnaires. The questionnaires used were developed, administered and analyzed by the investigator. Specific areas addressed in the questionnaires included: Perceptions of cancer-related tests and treatments, the importance of 30 disease-related items of information, responses evoked by receipt of information, current and preferred sources of information, delivery of information at the time of diagnosis, and disease-related information requested for patients, family, friends and teachers.^ Adolescent perceptions of their information needs and their preferences for delivery of information were determined. The relationships between patient-parent and patient-physician perceptions were then analyzed to determine areas in which agreements and disparities in viewpoint existed. Programmatic and research recommendations were then provided.^ Hopefully, through these efforts, the adolescent patient will be helped to receive relevant information support from those deemed to be most important to his/her efforts to cope with cancer. ^