849 resultados para Palestinian-Israeli conflict


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Le conflit israélo-palestinien dure depuis plus de 60 ans. Non seulement perdure-t-il, il gagne aussi en complexité. Cette thèse s’intéresse à l’expérience d’exil des Palestiniens et plus particulièrement à celle de femmes palestiniennes vivant en camp de réfugiés au Liban. La mémoire palestinienne a longtemps été, dans son ensemble, occultée dans la littérature, et qui plus est l’expérience des femmes; la façon dont leurs récits sont construits nous le démontre bien. La présente étude s’inscrit donc dans la lignée de travaux qui font une place aux « voix silencieuses » que sont souvent celles des femmes réfugiées palestiniennes des camps. Cette thèse s’appuie sur une approche qualitative – récits de vie et observation participante – et fait suite à une recherche qui a été menée entre 2009 et 2011 dans le camp palestinien de Bourj El Barajneh au Liban. Les résultats dégagés confirment que, dans l’exil, une partie de l’expérience de la nakba palestinienne telle que vécue par les femmes s’est perdue. Ceci dit, si la quasi-absence des femmes caractérise l’exode, on voit ces dernières s’affirmer au fil de l’exil qui devient une réalité durable. Au cours des deux premières décennies, les femmes apparaissent comme des « résistantes du quotidien ». Puis, la montée du sentiment national palestinien et l’éclatement de la guerre civile libanaise amènent les femmes à investir de plus en plus l’espace public. En temps de guerre, toutes les femmes participent à la survie de la communauté, et cela, par l’extension de leurs tâches domestiques et sociales. Plus le conflit prend de l’ampleur, plus leurs activités se diversifient : elles intègrent d’autres tâches à celles qui leur sont traditionnellement assignées. À l’issue du conflit, une grande partie des femmes palestiniennes commencent à prendre leurs distances de la lutte nationale partisane. Pour plusieurs d’entre elles, la fin de la guerre est aussi la fin des illusions : elles ont le sentiment d’avoir été abandonnées par la classe politique. Ainsi, le mouvement nationaliste palestinien a certes bousculé les rôles de genre, mais il n’a pas permis d’induire des changements durables. Dans les récits des femmes, on voit qu’à travers l’exil s’est créé un lien avec ce milieu que l’on croyait temporaire, le camp de Bourj El Barajneh : un lien qui se situe au cœur d’une tension entre un pôle réel et un pôle symbolique. Le camp « réel » est décrit comme insalubre, instable et non sécuritaire, et la vie dans ce camp est à ce point précaire et difficile que les femmes s’accrochent à cet autre camp qui, lui, est porteur de mémoire, de souvenirs, de relations et de rêves. C’est d’ailleurs parce que ce second pôle existe que la vie dans le camp peut être tolérée. Si la lutte nationale a été pour une certaine génération de Palestiniennes la préoccupation première, la fin de la guerre signe la perte de vitesse de cette lutte qui s’est longtemps avérée structurante. Ceci dit, le modèle de résistance, lui, persiste. Les femmes continuent de lutter et apparaissent comme des « actrices de la transmission ». L’un de ces projets qu’elles font leur, la transmission de l’identité religieuse, prend rapidement de l’ampleur alors que la communauté palestinienne peine à se relever des affres de la guerre. Nombreuses sont les femmes qui cherchent un sens à la vie dans ce cumul de catastrophes, et la religion les soutient dans cette quête, mais en plus c’est à travers elle que le projet du retour en Palestine est porté. D’ailleurs, la mémoire de la Palestine est une autre valeur que les femmes cherchent à transmettre d’une génération à l’autre. Maintenir la mémoire de la Palestine est un rôle traditionnel de la femme palestinienne. Ceci dit, les femmes ne remplissent pas ce rôle « aveuglément » : elles transmettent une mémoire, un message qu’elles ont cherché, reconstruit, évalué et parfois critiqué. Enfin, un autre projet se manifeste rapidement dans l’exil : la transmission des connaissances, une valeur phare pour les Palestiniennes puisque à la fois stratégie de survie, de développement et d’ascension sociale. Mais pour quelques-unes, l’éducation est une lutte parce que confrontée à des contraintes contextuelles et au poids des traditions. Ainsi, c’est par des valeurs traditionnellement portées et transmises par les femmes – l’identité religieuse, la mémoire et l’éducation – que l’oppression et la colonisation des Palestiniens se combattent au quotidien.

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Il est mondialement reconnu que les institutions judiciaires jouent un rôle central dans le processus de prise de décisions politiques, à la fois au niveau national et international. C’est d’ailleurs le cas à la Haute Cour de justice d’Israël. L’étendue de son succès (ou de son échec) dans la tentative de trouver une solution aux violations des droits humains dans les territoires occupés est un problème qui continue de faire l’objet de bien des débats et de recherches académiques. À cet égard, il a été suggéré que, malgré l’absence de constitution écrite et l’existence d’un état d’urgence prolongé en Israël, la Haute Cour de justice a réussi à adopter une approche « judiciairement active » quant à la protection et la promotion des droits de l’homme de manière générale, y compris ceux des Palestiniens dans les territoires occupés. Dans cette perspective, le débat sur le processus d’examen judiciaire de la Haute Cour de Justice tient pour acquise la notion qu’Israël est une démocratie. Ainsi, cet article cherche à examiner cette hypothèse. Premièrement, en adoptant la position que le processus de révision judiciaire est compatible avec la démocratie et la règle de loi. Deuxièmement, il examine l’approche « judiciairement active » de la Cour et soumet un bref aperçu du processus, des outils et des principes légaux que la Cour adopte pour examiner les actions des autorités israéliennes, y compris l’armée, et imposer une loi commune de protection des droits de la personne, donc ceux des Palestiniens dans les territoires occupés. L’article argumente également que le contrôle prolongé des territoires occupés par Israël a eu des conséquences significatives, car tout effort fourni par la Cour pour garantir le respect des droits humains de la population civile palestinienne doit se faire sans compromettre la sécurité du pouvoir israélien. La conclusion à laquelle on arrive ici dépend de la façon dont on qualifie ce contrôle: une occupation à long terme ou une annexion (ce qui n’est pas réglementaire par rapport à loi internationale), ce qui n’est pas sans conséquence sur le rôle que la Haute Cour de justice peut effectivement jouer pour faire respecter les droits de la personne dans les territoires occupés.

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L’objectif de ce mémoire est d’analyser les impacts et l’efficacité de la politique d’assassinats ciblés d’Israël dans le cadre du conflit israélo-palestinien. Pour ce faire, trois angles d’approches sont utilisés; militaire, légale et politique. Pour cette raison, l’hypothèse de départ soutient que la politique compromet la résolution du conflit et se divise en trois sections. Tout d’abord, les assassinats ciblés nuisent au règlement du conflit car ils engendrent un cycle de représailles contre Israël. Deuxièmement, ils représentent une violation du droit international ainsi que du droit national israélien. Finalement, ils sont un sérieux obstacle à la résolution politique du conflit dû au climat de violence et de méfiance qu’ils instaurent. Dans la conclusion, il est retenu que, bien que la politique d’assassinats ciblés ne soit pas efficace pour lutter contre les organisations terroristes, elle n’engendre cependant pas d’effet contreproductif de cycle de violence. Dans un second temps, la politique va à l’encontre de lois internationales mais elle peut cependant être justifiée par certains articles issus de ces mêmes textes alors que la Cour suprême israélienne a reconnu que certaines opérations pouvaient s’avérées légales. Troisièmement, elle nuit bel et bien à la résolution politique du conflit israélopalestinien en exacerbant les tensions de par le climat qu’elle instaure. Finalement, les nombreux impacts de celle-ci sur le conflit n’en font pas une politique efficace.

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La presente monografía de grado relaciona la teoría Constructivista Rule-Oriented y el Triangulo de Violencia de Johan Galtung (violencia estructural, violencia cultural y violencia directa) a la luz del conflicto entre Israelíes y Palestinos. Se busca resaltar aquellos actos de violencia comprendidos entre 1994-1995: la masacre de Baruck Golstein, el asesinato de Isaac Rabin y los atentados suicidas cometidos por Palestinos, miembros de Hamas. Actos que merecen ser recordados, estudiados y analizados para que seamos conscientes del peligro que pueden generar los discursos religiosos extremistas como vehículos de violencia. Este estudio se focaliza en los grupos Hamas, Gush Emunim y Kach; quienes desde su fundación se encargaron de fomentar una violencia cultural entre ambos pueblos. Finalmente los invito a reflexionar sobre este conflicto de tan larga duración y con gran contenido de violencia.

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Los diferentes procesos que se han llevado a cabo con el objeto de darle fin al conflicto palestino-israelí han sido numerosos y en algunos casos improductivos. Se podría decir que han sido las formas de negociación las que han influido en el fracaso de algunos procesos, pero desde esta investigación se quiere mostrar cómo la religión de cada uno de los pueblos ha influido de manera negativa para la finalización satisfactoria de los procesos. Este conflicto no sólo se basa en la consecución de la paz por medios negociados, sino en la búsqueda del reconocimiento de la identidad religiosa y cultural de dos pueblos que habitan en un mismo territorio.

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Pós-graduação em Relações Internacionais (UNESP - UNICAMP - PUC-SP) - FFC

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Israel's occupation of territories it captured in 1967 has become one of the longest and most controversial occupations of the last fifty years. Eschewing the traditional political analysis of the Israeli-Palestinian conflict, this paper aims to explore whether Israel has adequately applied international law in the occupied territories, in particular, the law of belligerent occupation. The two actors under assessment are the Israeli government, particularly its military which enforces and maintains the law in the territories, and the Supreme Court of Israel, which has the power of review over military actions in the territories. The particular issues of the occupation that are critically analyzed are the general legal framework that Israel established in the territories, Israel's civilian settlement policy in territories, and Israel's construction of a barrier in the West Bank. This paper concludes that Israel has incorrectly applied the legal framework of belligerent occupation by refusing to apply the Fourth Geneva Convention; it has wrongly concluded that the establishment of civilian settlements in the territories conform with international law; yet it has rightly concluded that the construction of the barrier in the West Bank is permissible under international law, in contrast to the conclusion of the much publicized International Court of Justice's Advisory Opinion on the 'Wall.' Along with these general assessments, the author will also provide some historical and political insight into why the Israeli government and the Supreme Court may have applied the law in the way that they did.

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The increase in the number of anti-Semitic acts since the start of the Second Intifada has sparked off a broad debate on the return of anti-Semitism in France. This article focuses on the question whether this anti-Semitism is still based on the alleged superiority of the Aryan race as in the time of Nazism, or if it represents the birth of a “new Judeophobia” that is more based on anti-Zionism and the polemical mixing of “Jews,” “Israelis,” and “Zionists.” One supposed effect of this transformation is that anti-Semitism is in the process of changing camps and migrating from the extreme right to the extreme left of the political arena, to the “altermondialistes,” the communists, and the “neo-Trotskyists.” The article provides answers to the following questions: Are anti-Jewish views on the increase in France today? Do these opinions correlate with negative opinions of other minorities, notably Maghrebians and Muslims? Do they tend to develop among voters and sympathizers with the extreme right or on the extreme left of the political spectrum? And how are they related to opinions concerning Zionism and the Israeli-Palestinian conflict? My evaluation of the transformations in French anti-Semitism relies on two types of data. The first is police and gendarmerie statistics published by the National Consultative Committee on Human Rights (CNCDH), which is charged with presenting the prime minister with an annual report on the struggle against racism and xenophobia in France. The other is data from surveys, notably surveys commissioned by CNCDH for its annual report and surveys conducted at the Center for Political Research (CEVIPOF) at Sciences Po (Paris Institute for Political Research). The data show that anti-Semitic opinions follow a different logic from acts, that the social, cultural, and political profile of anti-Semites remains very close to that of other types of racists, and that anti-Zionism and anti-Semitism do not overlap exactly.

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In the West Bank city of Hebron the Israeli-Palestinian conflict still overshadows all activities. Despite the tension, friction, and violence that have become integral to the city’s everyday life, the Jewish Community of Hebron is expanding in numbers and geographical extent. Since the Six Day War, the community has attracted some of the most militant groups among the settlers in the West Bank, responsible for severe violence against Palestinians, including harassment, car bombs, and attempts to blow up the Dome of the Rock mosque itself. Why do the members of the Jewish Community of Hebron wish to live and raise their children in such a violent setting? Using a series of interviews with members of the Jewish Community of Hebron and related settler communities in the period 2000–05, the article examines the ways the Jewish Community legitimizes its disputed presence. It reveals a deep religious belief, blended with intense distrust of and hatred toward the Palestinian population.

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Palestinians living in the West Bank, a territory occupied by the State of Israel according to International Law, face deprived access to land and a limited ability to move freely which pertains to the presence of Israeli settlements and other infrastructure (closures, restricted or forbidden roads, etc.). This confinement has significant impacts on their economic and social livelihoods, and it is even worsening with the on-going construction of a 709 km long Barrier which mainly runs inside the West Bank. With regard to this situation, there is a clear need to strengthen the capacity of civil society and its representatives to apply sound research processes as a basis for improved advocacy for Palestinian human rights. Monitoring processes and tools are needed to assess the impacts of the Palestinians’ confinement, particularly in relation to the Barrier’s construction. Reliable data has also to be collected, managed, and above all, shared. These challenges have been addressed within the Academic Cooperation Palestine Project (ACPP) that brings together academic partners from the occupied Palestinian territory (oPt) West Bank (WB), and Switzerland as well as other international academic institutions and Palestinian governmental and non-governmental agencies. ACPP started in early 2011 and is designed as a large cooperation networking platform involving researchers, students, public servants and experts from the oPt WB. A large set of actions have already been developed during the first year of the project, including courses, training, and research actions. First relevant results and impacts of the different actions are presented in this paper. Taken as a whole, the project produces valuable results for all partners: useful advocacy material for the Palestinian partners, and a unique “real-scale laboratory” where investigations are jointly conducted to develop novel confinement and change indicators.

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Chronic communal conflicts resemble the prisoner’s dilemma. Both communities prefer peace to war. But neither trusts the other, viewing the other’s gain as its own loss, so potentially shared interests often go unrealized. Achieving positive-sum outcomes from apparently zero-sum struggles requires a kind of riskembracing leadership. To succeed leaders must: a) see power relations as potentially positive-sum; b) strengthen negotiating adversaries instead of weakening them; and c) demonstrate hope for a positive future and take great personal risks to achieve it. Such leadership is exemplified by Nelson Mandela and F.W. de Klerk in the South African democratic transition. To illuminate the strategic dilemmas Mandela and de Klerk faced, we examine the work of Robert Axelrod, Thomas Schelling, and Josep Colomer, who highlight important dimensions of the problem but underplay the role of risk-embracing leadership. Finally we discuss leadership successes and failures in the Northern Ireland settlement and the Israeli-Palestinian conflict.

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From the Introduction. The refugee question is at the core of the conflict between Israel and the Palestinians. Palestinians were first displaced as a direct consequence of the 1948 war and its aftermath. Twenty years later, another wave of Palestinian refugees was created as a consequence of the war during which Israel occupied the West Bank and the Gaza Strip. The purpose of the present paper is to: • deliver a critical analysis of past approaches to deal with the refugee issue in the various attempts to resolve the conflict between Israel and the Palestinians; • discuss lessons to be learned from the settlement and its implementation mechanisms in Bosnia and Herzegovina; and • propose a direction for a long-term strategy for the international community that avoids past pitfalls and could ultimately lead both parties to an agreement.

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This multi-disciplinary research project explores the religious and cultural foundations within the "master commemorative narratives" that frame Israeli and Iranian political discourse. In articulating their grievances against one another, Israeli and Iranian leaders express the tensions between religion, nationalism, and modernity in their own societies. The theoretical and methodological approach of this dissertation is constructivist-interpretivist. The concept of "master commemorative narratives" is adapted from Yael Zerubavel's study of ritualized remembrance in Israeli political culture, and applied to both Israeli and Iranian foreign policy. Israel’s master commemorative narrative draws heavily upon the language of the Hebrew Bible, situating foreign policy discourse within a paradigm of covenantal patrimony, exile, and return, despite the unrelenting hostility of eternal enemies and "the nations." Iran’s master commemorative narrative expresses Iranian suspicion of foreign encroachment and interference, and of the internal corruption that they engender, sacralizing resistance to the forces of evil in the figurative language and myths of pre-Islamic tradition and of Shi'a Islam. Using a constructivist-interpretive methodological approach, this research offers a unique interpretive analysis of the parallels between these narratives, where they intersect, and where they come into conflict. It highlights both the broad appeal and the diverse challenges to the components of these "master" narratives within Israeli and Iranian politics and society. The conclusion of this study explains the ways in which the recognition of religious and cultural conflicts through the optic of master commemorative narratives can complement the perspectives of other theoretical approaches and challenge the conventions of Security Studies. It also suggests some of the potential practical applications of this research in devising more effective international diplomacy.

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This multi-disciplinary research project explores the religious and cultural foundations within the “master commemorative narratives” that frame Israeli and Iranian political discourse. In articulating their grievances against one another, Israeli and Iranian leaders express the tensions between religion, nationalism, and modernity in their own societies. The theoretical and methodological approach of this dissertation is constructivist-interpretivist. The concept of “master commemorative narratives” is adapted from Yael Zerubavel’s study of ritualized remembrance in Israeli political culture, and applied to both Israeli and Iranian foreign policy. Israel’s master commemorative narrative draws heavily upon the language of the Hebrew Bible, situating foreign policy discourse within a paradigm of covenantal patrimony, exile, and return, despite the unrelenting hostility of eternal enemies and “the nations.” Iran’s master commemorative narrative expresses Iranian suspicion of foreign encroachment and interference, and of the internal corruption that they engender, sacralizing resistance to the forces of evil in the figurative language and myths of pre-Islamic tradition and of Shi‘a Islam. Using a constructivist-interpretive methodological approach, this research offers a unique interpretive analysis of the parallels between these narratives, where they intersect, and where they come into conflict. It highlights both the broad appeal and the diverse challenges to the components of these “master” narratives within Israeli and Iranian politics and society. The conclusion of this study explains the ways in which the recognition of religious and cultural conflicts through the optic of master commemorative narratives can complement the perspectives of other theoretical approaches and challenge the conventions of Security Studies. It also suggests some of the potential practical applications of this research in devising more effective international diplomacy.

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In conflicts, political attitudes are based to some extent on the perception of the outgroup as sharing the goal of peace and supporting steps to achieve it. However, intractable conflicts are characterized by inconsistent and negative interactions, which prevent clear messages of outgroup support. This problem calls for alternative ways to convey support between groups in conflict. One such method is emotional expressions. The current research tested whether, in the absence of outgroup support for peace, observing expressions of outgroup hope induces conciliatory attitudes. Results from two experimental studies, conducted within the Israeli-Palestinian conflict, revealed support for this hypothesis. Expressions of Palestinian hope induced acceptance of a peace agreement through Israeli hope and positive perceptions of the proposal when outgroup support expressions were low. Findings demonstrate the importance of hope as a means of conveying information within processes of conflict resolution, overriding messages of low outgroup support for peace.