990 resultados para Noussan Lettry, Luis
Resumo:
OBJETIVO: Documentar las creencias y las prácticas de las parteras tradicionales respecto al embarazo parto y puerperio. MÉTODOS: Aprovechando un curso de capacitación de 160 parteras tradicionales locales de las regiones Media y Huasteca del Estado de San Luis Potosí, México, dos de las enfermeras-instructoras entrevistaron a 25 de los capacitandos, apoyadas por un miembro de las comunidades náhuatl y tenek. La identidad de los participantes se mantiene anónima y se obtuvo permiso para publicar los resultados mediante consentimiento informado. RESULTADOS: Las prácticas de las parteras (os) tradicionales son comunes en los grupos sociales que carecen de servicios de salud. Sus funciones no están limitadas al parto e incluyen nutrición, cuidados prenatales, del puerperio y la lactancia, así como apoyo afectivo emocional de las madres parturientas y sus familiares. En este estudio se registraron varios mitos y terapias tradicionales. CONCLUSIÓN: Los recursos de la terapia tradicional y de la atención primaria de la salud de las parteras Náhuatl y Tenek son útiles y benéficos para los cuidados perinatales.
Resumo:
Los más viejos del lugar recordarán con nostalgia los repertorios clásicos de fuentes de información elaborados por Malclès y Sabor... A los no tan viejos les sonarán los nombres de Sheehy (o Balay) y Walford
Resumo:
The aim of this article is to show how, although the poet finds himself materialist or both Presocratic and Aristotelian, his poetic emotiveness is truly Platonic or idealist, so that that tension between reality and desire with the help of which his poetry has always been defined becomes once more confirmed thanks to the analysis of his poems from a philosophical rather than a literary point of view.
Resumo:
L'objectiu d'aquest article és mostrar com, malgrat declarar-se materialista o presocraticoaristotèlic, l'emotivitat poètica de Luis Cernuda és clarament platònica o idealista, de manera que la tensió entre la realitat i el desig que sempre ha definit la seva poesia es referma també gràcies a l'anàlisi de la seva obra des d¿una òptica més filosòfica que no pas literària.
Resumo:
The aim of this article is to show a wide range of lights and shadows in Luis Cernuda's poetry as images which have a specific reference -in spite of not being mentioned-, that is, the Platonic image of the cave. It is thanks to the images that the poet shows us his ideal world, in which shadows symbolize the beautiful, perfect and everlasting world in which Luis Cenuda needs to believe. Once more, it deals with that well-known tension between reality and desire which defines the essence of his poetry.
Resumo:
L'objectiu d'aquest article és revelar l'ús reiterat de les llums i les ombres en la poesia de Luis Cernuda, com a imatges que tenen com a referent concret -bé que no mencionat- la imatge platònica de la caverna. És justament gràcies a les imatges que el poeta ens mostra el seu univers ideal, en el qual la foscor simbolitza el món material condemnat a morir, mentre que la llum és el símbol del món bell, perfecte i etern en què Luis Cernuda necessita creure. Es tracta, un cop més, de la tensió entre realitat i desig que defineix l'essència de la seva poesia.
Resumo:
El objetivo de este artículo es revelar el uso reiterado de las luces y las sombras en la poesía de Luis Cernuda, como imágenes que tienen como referente concreto ¿aunque no mencionado- la imagen platónica de la caverna. Es justamente gracias a las imágenes que el poeta nos muestra su mundo ideal, en el cual la oscuridad simboliza el mundo material condenado a morir, mientras que la luz es el símbolo del mundo bello, perfecto y eterno en que Luis Cernuda necesita creer. Se trata, una vez más, de la tensión entre realidad y deseo que define la esencia de su poesía.
Resumo:
El objetivo de este artículo es mostrar cómo, pese a declararse materialista o presocrático-aristotélico, la emotividad poética de Luis Cernuda es claramente platónica o idealista, de tal suerte que la tensión entre realidad y deseo que siempre ha definido su poesía se reafirma también gracias al análisis de su obra desde una óptica más filosófica que literaria.
Resumo:
L'organisation du premier livre de motets de Tomás Luis de Victoria, publié à Venise en 1572 chez les Fils d'Antonio Gardano (RISM V 1421), repose sur une stratification d'éléments divers mais complémentaires. Les pièces sont organisées en quatre groupes : quatorze à 4 voix, neuf à 5 voix, neuf à 6 voix et une à 8 voix. Elles forment des paires modales. Les derniers motets des groupes reposent sur des écritures individualisées (ad aequales, canon à l'unisson, Tenormotette, motet à double choeur). De plus, un jeu avec le nombre de parties, une et deux essentiellement, intervient entre les groupes et à l'intérieur. Les textes émanent de plusieurs rites (avilais, prétridentin et tridentin) et sources. Lorsque c'est nécessaire, le compositeur les remanie pour qu'ils s'adaptent à l'organisation du recueil. Au bout du compte, le livre veut être un objet ayant un certain poids et qui dit quelque chose de plus qu'une simple addition de pièces. C'est précisément ce dont a besoin le jeune compositeur pour prendre une place sur le marché du motet avec ce qui constitue son premier « opus ». Dans la dédicace qu'il signe lui-même, Victoria inscrit son édition dans la mouvance de la musica reservata puisqu'il la destine d'abord aux connaisseurs. Or, c'est précisément cette organisation complexe qui permet au musicien d'inscrire son recueil dans une lignée de publications savantes, initiées semble-t-il par le livre de motets à 5 voix d'Adrian Willaert, qui date de 1539.
Resumo:
Contrary to what Felipe Pedrell indicates, the second Ave maris stella in his Victoria's collected works (vol. V, 1908, pp. 100-3, n° 33) doesn't appear in the collection published in 1600 in Madrid by the composer, nor in any other of the musician's books. In the 1600 edition, Victoria reissues the two first verses (plainchant followed by polyphony) of the Ave maris stella published in 1576 and then again in 1581. The earliest source of the problematic Ave maris stella is Munich, Bayerische Staatsbibliothek, Musik-Abteilung, 2 Mus. pr. 23 handschriftlicher Beiband, dating from the third quarter oft he seventeenth century. This source is a manuscrit that runs as an appendix to the 1581 edition of Victoria's hymns. No attributions are given in the manuscript. The first attributions of the piece to Victoria arise in the nineteenth century, in manuscripts copied by Johann Michael Hauber, Johann Caspar Aiblinger, August Baumgartner and Carl Proske, and preserved in Munich and Regensburg. Proske pubished the piece in his Musica divina in 1859 (Annus primus, vol. III, pp. 419-24). The most probable hypothesis ist that Pedrell had knowledge of the second Ave maris stella, under the spanish composer's name, via Proske's Musica divina. In all likelihood the piece is not by Victoria, not least because the composer has never written odd polyphonic verses of hymns. In his Studies in the Music of Tomás Luis de Victoria (2001), Eugene Casjen Cramer relies on the supposed authenticity of the work to ascribe the others pieces of Munich, Bayerische Staatsbibliothek, Musik-Abteilung, 2 Mus. pr. 23 handschriftlicher Beiband to the composer. These attributions should therefore be refuted.
Resumo:
In this project we present some background data about José Luis Sampedro and his works to point out the main reasons why we should translate them. We then offer a translation proposal for some selected chapters of the book La sonrisa etrusca in order to suggest a hypothetical translation job.
Resumo:
Cernuda tradujo a Hölderlin sin saber alemán, sin ser traductor. La obra de Hölderlin apenas era conocida y casi no había sido editada en lengua española. ¿Cómo lo hizo? ¿Realmente influyó la obra del poeta alemán en su poesía, como él lo afirmaba? He aquí una aproximación a estas cuestiones
Resumo:
Contrairement à l'opinion formulée dans la littérature, les motets de Victoria sont majoritairement homophoniques. Cette prééminence se manifeste notamment dans le premier livre de motets du compositeur (Venise, 1572), qui comporte plus de la moitié des pièces qu'il a laissées dans le genre. Dans cette publication, 58% de l'ensemble des sections qui composent les motets sont homophoniques. En outre, plus le nombre de voix des pièces est élevé (5, 6 et 8 voix, par opposition aux motets à 4 voix), plus l'homophonie est utilisée. Cependant, les débuts des motets sont majoritairement imitatifs. Deux types de sections homophoniques jouent un rôle de poids. Le premier fait intervenir des sous-sections basées sur le même sujet dans une combinatoire répétition/variation. Dans les motets à 6, une opposition de registre aigu/grave renforce le procédé. Le second type voit se succéder des sous-sections nouvelles qui reposent sur des unités textuelles non répétées. Les sections homophoniques déploient une grande variété d'écriture, qui va de l'extrême « simplicité » à une complexité marquée. L'immédiate succession de sections bien différenciées constitue un marqueur formel fort. L'écriture, quel que soit le degré de complexité, repose régulièrement sur des modèles de progression intervallique. Si l'homophonie est prépondérante, son utilisation conjointe avec l'imitation reste primordiale dans la conception du motet qu'a le compositeur. Ces deux facteurs participent de la « modernité » des pièces. Ils répondent aux préoccupations humanistes des érudits de la musique, à qui le recueil est destiné et appartiennent de ce fait à la musica reservata.